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Actualité PolitiqueEn prélude au congrès extraordinaire du 11 septembre prochain, l’Union Pour la République (UPR) a tenu sa 3e conférence de presse ce samedi 21 août 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias étant d’informer à l’opinion publique les préparatifs d’un congrès extraordinaire et faire la lecture de la situation nationale. C’est le président du parti qui a procédé à la lecture de la déclaration liminaire.
Le Burkina Faso est confronté depuis un certain temps à plusieurs situations qui menace son existence, ce sont là les propos de l’UPR dès l’entame de la conférence de presse.
Il ajoute que la première solution dans le processus de la lutte contre le terrorisme c’est l’union sacrée mais pas une union verbale, une union faite d’acte.
« Chacun doit se poser la question de savoir qu’est-ce que je peux faire pour aider la nation. Ce n’est pas le moment de juger l’effort des uns et des autres. L’unité du Burkina c’est maintenant », a laissé entendre le président du UPR.
Concernant les élections législatives passés, l’UPR affirme être sortie avec zéro député et cette situation suscite un congrès extraordinaire le 11 septembre prochain pour situer les responsabilités afin de mieux se préparer pour les municipalités.
Il convient de noter que l’UPR a été dans le passé la 3e et la 4e force politique du Burkina Faso.
Sur la situation sécuritaire nationale, le président a soutenu qu’il ne faut pas se tromper d’adversaire ou de combat.
L’UPR reste convaincue que la situation sécuritaire ne se réglera pas seulement avec les armes et qu’au delà des FDS et VDP chaque citoyen devrait jouer un rôle.
Du reste, il convient de retenir que le congrès extraordinaire de l’UPR est prévu pour le 11 septembre 2021 à Dedougou.
L’Alliance Africaine pour le Développement a rencontré les hommes de médias autour d’une conférence ce vendredi 20 août 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de présenter à l’opinion publique le parti de l’ALIAD, un nouveau parti dans l’arène politique du Burkina. Ladite rencontre […]
Actualité PolitiqueL’Alliance Africaine pour le Développement a rencontré les hommes de médias autour d’une conférence ce vendredi 20 août 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de présenter à l’opinion publique le parti de l’ALIAD, un nouveau parti dans l’arène politique du Burkina. Ladite rencontre a été animée par le président du parti, Mohamed SOUDRE et du SG, Vidjennangni NOUATIN.
L’Alliance Africaine pour le Développement est un parti politique dont la base repose sur l’idéologie du capitaine Thomas SANKARA. L’Alliance Africaine pour le développement est convaincu que la jeunesse est une richesse et une énergie inestimable. La vision primordiale est la quête des besoins pratiques et stratégiques pour les masses populaires.
La création de ce nouveau s’explique par le fait que la classe politique exploite extrêmement les couches vulnérables.
Lors de sa déclaration liminaire, le président du parti, Mohamed SOUDRE, n’a pas manqué de souligner que la situation des masses populaires qui est la sève nourricière de la nation endure sa place de laisser pour compte notamment sur la famine, l’insécurité et la situation sanitaire précaire. Il ajoute que l’ALIAD fait le serment de mener la lutte en faveur de la jeunesse et des masses populaires.
Selon le SG de l’ALIAD, Vidjennangni Armand NOUATIN, il s’agit de mettre en place un organe qui va permettre à tout un chacun de se sentir concerné et d’élargir le champ des discussions. « Chaque citoyen burkinabè est concerné par la gestion de la nation. Nous voulions apporter une contribution efficace au développement du Burkina Faso et de l’Afrique. Dans la gestion de l’État, l’homme ne doit pas seulement être politique mais objectif« , a laissé entendre le SG.
Pour l’heure, le parti de l’Alliance Africaine pour le Développement a affirmé clairement ne pas appartenir ni à la majorité politique burkinabè, ni à l’opposition politique.
Il convient de retenir que le Bureau Politique Nationale est en phase de lancement et compte 17 membres dont 14 hommes et 03 femmes. À la question de savoir pourquoi le taux des femmes est faible, le président répond que le cota genre dépend de l’engagement des femmes envers le parti.
Du reste, l’ALIAD est présente dans 09 régions du Burkina et se dit déjà prête pour les élections municipales.
L’ Union des Jeunes Opérateurs Economiques du Burkina a animé une conférence de presse ce mercredi 18 août 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << Situation nationale des commerçants>>, l’objectif de cette rencontre avec les hommes de média est de lancer un appel […]
Non classéL’ Union des Jeunes Opérateurs Economiques du Burkina a animé une conférence de presse ce mercredi 18 août 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << Situation nationale des commerçants>>, l’objectif de cette rencontre avec les hommes de média est de lancer un appel à Monsieur le Président de bien vouloir accepter leur rencontre afin qu’ils puissent trouver une solution à leur difficultés. ladite conférence a été animée sous le leadership du président El Hadji Moumouni KABORE.
Les commerçants burkinabè traversent d’énormes difficultés à cause de la fermeture de leurs boutiques de plus de trois (03) mois pendant la période de prise de mesures contre la Covid19. C’est l’information capitale que l’U.J.O.E.B a donné au cours de sa conférence de presse. Par ailleurs, l’union souhaite rencontrer le président du Faso.
« Les commerçants burkinabè traversent d’énormes difficultés et souffrent jusqu’à présent a cause de la fermeture de leurs boutiques lors des mesures gouvernementales contre la Covid 19. La Mairie avait promis de nous soutenir mais malheureusement elle n’a pas honoré son engagement. Nous avions déposé plusieurs demandes d’ Audience pour rencontrer Monsieur le Président sans suite. Nous lançons encore un appel à Monsieur le Président de bien vouloir accepter nous rencontrer afin que nous puisons trouver une solution à nos différentes difficultés», a déclaré Souleymane Ouédraogo le vice président président de ladite structure.
Problèmes d’impôts, de loyers aussi que des difficultés d’accessibilité aux subventions de financements gouvernementale ont été entre autres, les difficultés brandies devant les journalistes, par ces commerçants qui espèrent trouvé des solutions en rencontrant le président du Faso.
«Aussi Nous demandons aussi a nos opérateurs économiques de s’entendre et de s’unir pour le bien être du commerce au Burkina. Nous avons constaté aussi que les prix des produits ont grimper depuis un certain temps, et nous demandons aussi à Monsieur Ministre du Commerce de bien suivre de prêt les prix des produits sur la place du Marché afin de trouver une solution », a laissé entendre le président. Pour eux, ils se peut que leurs demandes d’audience n’atteignent pas le chef d’État, alors qu’il y a nécessité que celui ci échange avec l’ensemble des commerçants de la Nation afin de trouver de solutions idoines aux multiples problèmes qui frappent actuellement le secteur.
Pour finir nous demandons aux Commerçants, les chefs d’entreprise d’aller s’enrôler à la Chambre de Commerce pour les élections Consulaire », ont-ils formulé.
Au delà de tout cela, il faut noter la hausse des produits de grande consommation. Face à cela, ils demandent aussi à Monsieur le ministre du commerce de bien suivre le prix de ces produits afin de trouver une solution.
En plus, l’ Union des jeunes opérateurs économiques du Burkina demandent aux autres opérateurs économiques de s’entendre et de s’unir pour le bien être du commerce au Burkina.
Le bureau de l’Organisation Nationale des Commerçants du Burkina (ONACOM-B) a organisé une assemblée générale ce mardi 17 août 2021 a Ouagadougou. L’ objectif de cette assemblée est d’informer l’opinion publique de la dégradation catastrophique du commerce au Burkina Faso. Ladite assemblée a été animée […]
Actualité SociétéLe bureau de l’Organisation Nationale des Commerçants du Burkina (ONACOM-B) a organisé une assemblée générale ce mardi 17 août 2021 a Ouagadougou. L’ objectif de cette assemblée est d’informer l’opinion publique de la dégradation catastrophique du commerce au Burkina Faso. Ladite assemblée a été animée sous le leadership du secrétaire général de l’ ONACOMB, Mahamadou SANFO.
Autour d’une assemblée générale constitutive , l’ONACOM-B s’est interrogée sur la question de savoir pourquoi l’application effective des textes qui régissent le commerce demeure une problématique majeure au ministère. Il s’agit principalement de la loi 012-2013/AN du 07 mai 2013 portant Régime Général des Importations et Exportations au Burkina Faso et la loi 013-2013/AN du 07 mai 2013 portant règlementation de la profession de commerce au Burkina Faso. Selon le décret N°1199/PRESS/MP/MVH/MINEFID/MATD/MJDHPC du 31 décembre 2018 relatif au commerce de distribution au Burkina Faso, à son article 9, il est formellement interdit aux commerçants grossistes et demi-grossiste de vendre directement aux consommateurs finaux, sauf dérogation expresse du ministre du commerce.
L’ONACOM-B constate la dégradation catastrophique du commerce en général et surtout dans son volet distribution qui est assuré par le secteur informel du fait de la concurrence déloyale exercée par les ressortissants hors CEDEAO. « L’ONACOM-B a déjà attiré l’attention du ministère du commerce à plusieurs reprises et plus précisément le cas des vendeurs de carreaux pour lesquels une entreprise chinoise dénommée GIWFORD qui par cette méthode a engagé de gruger nos camarades préalablement importateurs et distributeurs dudit produit depuis les entrepôts de cet opérateur au Ghana. Le ministère du commerce a observé le sujet avec la sourde oreille », a soutenu le SG de l’ONACOM-B, Mahamadou SANFO.
Lors de sa déclaration liminaire, le SG a affirmé que d’autres chinois s’autorisent de louer des maisons d’habitations d’où ils exposent leurs marchandises et reçoivent leurs clients pour réaliser leurs affaires. Pour lui, le ministère a été plusieurs fois informé et continu de manifester la sourde oreille. Ainsi, l’ONACOM-B s’impose le devoir d’inviter les concernés à arrêter immédiatement et définitivement leurs pratiques et de s’accorder au respect des textes en vigueur en matière de pratique commerciale au Burkina Faso.
Du reste, l’ONACOM-B informe à l’autorité que trop c’est trop. Elle affirme que les commerçants finiront par prendre leurs responsabilités.
Smart Business a organisé une cérémonie de remise des certifications aux récipiendaires de la deuxième session de certification des jeunes diplômés aux métiers de consultant et de conseil des entreprises ce samedi 14 août 2021 à Ouagadougou. Au nombre d’une trentaine, ladite cérémonie a été […]
Actualité SociétéSmart Business a organisé une cérémonie de remise des certifications aux récipiendaires de la deuxième session de certification des jeunes diplômés aux métiers de consultant et de conseil des entreprises ce samedi 14 août 2021 à Ouagadougou. Au nombre d’une trentaine, ladite cérémonie a été animée sous la présidence du Coach-formateur consultant en finance et gestion-Ecrivain, Issa DEME.
Un consultant est une personne qui est censé apporter une solution à une entreprise. En effet, c’est durant un mois de formation et trois mois de stage que ces consultants ont été sanctionnés par une remise d’attestation. Cette certification vient répondre à des problèmes de suivi des entreprises. Des études ont été faites et cela a démontré qu’une entreprise sur trois meure chaque année et l’autre étude a montré que l’échec de la plupart des entreprises sont dû à l’inexpérience des dirigeants d’entreprises. Selon le Directeur général de SABUFA/SARL , Coach Issa Demé, c’est formation intervient pour accompagner les entreprises.
Il faut noter que durant ces quatre mois c’est consultants ont vu plus de quarante (40) outils qui doivent permettre à une personne d’aller dans une entreprise, de pouvoir le diagnostiquer et collecter des informations afin de proposer des outils pour amener l’entreprise à pouvoir réussir sur le plan management, commercial et financier.
Pour le Coach Issa DEME, la consultation est un domaine assez complexe parce-que c’est un domaine qui évolue tout les jours. « Nous leur demandons premièrement d’apprendre à lire mais aussi à mettre déjà les services au profit des petites et moyennes entreprises avant d’aller attaquer les grandes entreprises. Il y a des gens qui sont venus se perfectionner et je leur souhaite une très bonne carrière », dixit le coach.
La certification a été donnée gratuitement grâce aux différentes partenaires telques le club RFI et le Mahna. Les participants payent le coût de support qui est de quarante mille (40 000) et la structure de formation (SABUFA /SARL) , plus les partenaires RFI, Mahna et International Certification Agence( ICA) les accompagne. Pour les conditions de participation, il faut un bac plus deux dans tous les domaines car toute entreprise a besoin d’un consultant qui va venir diagnostiquer et apporter des solutions.
Pour Wendtoin Séverine NIKIEMA, certifié consultant et membre du club RFI, ils ont bénéficié d’un mois de formation car ils ont eu plusieurs outils pour pouvoir affronter les différents problèmes dans les différentes entreprises. Après cette certification, ils auront la chance d’aller sur le terrain qui permettra de réduire le taux de mortalité des entreprises qui sont sans garantie pour augmenter leur coût de productivité.
En ce qui concerne Dieudonné YAOGO, étudiant en comptabilité 2e année, certifié consultant et formateur en développement personnel, un consultant en un mot c’est une solution. » En temps que entrepreneur, c’est cette formation va beaucoup me servir et aider les entreprises à évoluer », a t-il laissé entendre.
Du reste, la première session comptait cinquante personnes etla deuxième trente. Une autre session de vingt personnes en septembre prochain.
Ce dimanche 15 août 2021 à Ouagadougou l’Association des Ressortissants de Bittou et Environnants (A.R.B.E) a tenu son Assemblée Générale. Le but de cette AG est de mettre en place une association pour unir et renforcer les liens de solidarité entre les ressortissants d’une même […]
Actualité SociétéCe dimanche 15 août 2021 à Ouagadougou l’Association des Ressortissants de Bittou et Environnants (A.R.B.E) a tenu son Assemblée Générale. Le but de cette AG est de mettre en place une association pour unir et renforcer les liens de solidarité entre les ressortissants d’une même commune. Cette AG s’est tenue sous le patronage du Maire de la commune de Bittou, Lassané ZAMPALIGRE, le parrainage du PDG des écoles privés de santé Sainte-Julie, Samuel KERE et le co-parrainage du transitaire, Adama BALBONE.
Travailler à développer la commune de Bittou, tel est l’esprit autour duquel s’est tenue l’assemblée générale de l’Association des Ressortissants de Bittou et Environnants. En effet, l’A.R.B.E œuvre pour la cohésion et l’entente entre les ressortissants de Bittou et environnants avec des objectifs précis pour le développement de ladite commune.
Selon le représentant du Maire, le SG de la Mairie de Bittou, Boubié Alain Bassono, cette AG est une continuité dans le cadre de la solidarité entre fils et filles de la commune de Bittou. Il ajoute que le Maire de la commune de Bittou accorde beaucoup d’importance à cette association d’où son slogan « Bâtir ensemble pour un Bittou meilleur ». « Toute structure si elle est bien organisée, peut agir plus. Le conseil municipal salut la tenue de cette AG à sa juste valeur. C’est un processus pour avoir un récépissé. La contribution de l’A.R.B.E au développement de la commune est attendue. La Mairie prend acte et les encourages dans le cadre de leurs missions régaliennes », a laissé entendre le représentant du Maire de Bittou.
Pour le co-parrain de l’AG de l’A.R.B.E, Balboné Adama, cette initiative est à louer car c’est un cadre pour créer une association avec des objectifs clairs au service du développement de la commune de Bittou et environnant. « Il n’y a pas grande chose que de louer une telle initiative. Je félicite les organisateurs et les initiateurs. Il faut que chacun mette une volonté et un engagement personnel parce qu’il n’y a pas d’argent à y gagner. C’est déjà important de se réunir autour d’un noyau et de ne point oublier d’où nous venons. Toute chose qui est fondamentale pour projeter l’avenir. Je les invite à élargir ce cadre », soutient le Co-parrain.
Quant au président du comité d’organisation, Alassane Zampaligré, il affirmé que ce qui a motivé la création de cette association c’est le fait de pouvoir réunir tous les ressortissants de Bitou et environnant autour d’un cadre pour s’accompagner mutuellement. Il ajoute l’objectif premier c’est la solidarité et la participation au développement de Bittou. « Avec l’association nous pouvons apporter quelque chose à la collectivité », confie-t-il. En termes d’activités, l’A.R.B.E entend mettre en œuvre des festivals pour les ressortissants de Bittou.
Du reste, c’est dans une ambiance festive que les ressortissants de Bittou et environnant ont assistés à l’assemblée nationale.
Le Ministère de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat a effectué une visite chez deux grossistes d’huile alimentaire pour comprendre le manque et la hausse des prix de ce liquide précieux de grande consommation ce jeudi 12 août 2021 dans la ville de Ouagadougou. Le […]
Actualité SociétéLe Ministère de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat a effectué une visite chez deux grossistes d’huile alimentaire pour comprendre le manque et la hausse des prix de ce liquide précieux de grande consommation ce jeudi 12 août 2021 dans la ville de Ouagadougou. Le ministre Harouna Kabore et son équipe ont écouté et inviter les grossistes au respect des normes en matière de prix.
Une équipe composée du ministère du commerce, Harouna Kaboré, de la direction générale de la réglementation et du contrôle des prix (DGRCP) et de l’agence burkinabè de la normalisation de la méthodologie de la qualité (ABNORM), s’est rendu dans certaines huileries ( grossistes) de la ville pour s’assurer des prix, la vérité de la livraison et de la qualité des huiles.
Pour le PDG de SOCODY FA internationale, membres fondateurs du réseau des importateurs et distributeurs d’huile alimentaire du Burkina, Abdoul Fata Ouédraogo, les huiles sont importées du Togo, de la Malaisie, de l’Indonésie et du Ghana. Il ajoute que pour un importer le produit, il faut au préalable un échantillon qui sera soumis à la vérification au niveau de l’ABNORM qui certifie avant une éventuelle commande.
» J’importe précisément l’huile de palme la catégorie CP8, c’est une huile très bien raffiné sans odeur. Elle est de très bonne qualité et répond aux normes de l’ABNORM. Il y a une pénurie d’huile car il y a des problèmes au niveau des embarquements au niveau de la Malaisie et cela se sent sur le marché « , affirme le PDG de SOCODYFA. Il a tenu à rassurer les burkinabè que l’approvisionnement en huile alimentaire ne sera plus une source d’inquiétude
Concernant la hausse des prix, les grossistes ont soutenu que le prix du bidon d’huile est monté à 27 dollars au lieu de 11 Dollars en Malaisie . Toute chose qui a des répercutions sur les prix de vente. En 2020 le bidon de 20 L d’huile était à 12 000 f CFA à Ouagadougou et en 2021, il coute 16500 FCFA.
Selon le ministre du commerce, Harouna Kabore, avec les huiles importés il est impérative de respecter les marges bénéficiaires du ministère. Il ajoute qu’en dehors de ces marges bénéficiaires il n’y a pas de prix que nous pouvons diminuer. » La règlementation de notre pays impose aux différents importateurs une certaine marge de 12 à 15% sur les produits importés. La règlementation prévoit que les bidons que les bidons de 20 L d’huile de la SN CITEC soient vendues autour de 16 500 FCFA. Jusque là, la SN CITEC respecte ce prix mais il arrive que les détaillants ne respectent pas les prix » a laissé entendre le ministre.
Les burkinabè consomme plus de 100 000 tonnes d’huile alimentaire par an. alors que qu’il ne produit que 30 000 tonnes. Il est clair qu’avec ses chiffres dès qu’il y a un problème la situation se sent sur le marché. « Nous allons faire en sorte qu’il n’y ait pas de manque de stocks de produits de grande consommation« , soutient le ministre.
Du reste, le ministre a tenu rassurer la population que l’approvisionnement en huile se poursuit au Burkina Faso et qu’ils veillent à ce que les grossistes respectent les prix sous peine de sanction.
L’ Union communale des jeunes du MPP de Saaba ont organisé une conférence de presse ce jeudi 12 août 2021 à Ouagadougou. Le but de cette conférence était d’eclairer les lanternes des populations sur certains agissements dans la gestion foncière à Saaba. Ladite conférence a […]
Actualité SociétéL’ Union communale des jeunes du MPP de Saaba ont organisé une conférence de presse ce jeudi 12 août 2021 à Ouagadougou. Le but de cette conférence était d’eclairer les lanternes des populations sur certains agissements dans la gestion foncière à Saaba. Ladite conférence a été animée sous le leadership du secrétaire général de l’organisation, Parfait Kaboré.
L’ Union nationale des jeune du MPP de la commune de Saaba ont été témoin des déclarations et des agissements récents d’un groupuscule de jeune mettant en cause la gestion foncière du conseil municipal de Saaba.
Il faut noter que ces agissements sont caractérisés par des conférences de presse, des assemblées générales et des marches. Au regard de la gravité des choses, les jeunes du MPP tiennent à informer l’opinion communale, nationale et internationale qu’elle déplore les agissements du Mouvement des jeunes pour la transparence dans la gestion foncière. Un mouvement spontané, illégal, instrumentalisé composé d’acteurs politique avec des agents cachés.
Selon les jeunes mpp de Saaba, ces mouvements d’humeur sont des outils fabriqués par des acteurs politiques tapis dans l’ombre donc l’objectif est de saboter le travail impeccable abattu par le conseil municipal de Saaba piloté par le groupe municipal MPP aux vue des échéances électorales de 2022.
Les jeunes ont laissés entendre des noms dont M.Salif Yaméogo membre du CDP , M. Jean Pascal SIMPORE, Moïse Tiendrebeogo et Zakaria KINDA du NTD.
» Nous voulons donc porter à la connaissance de l’opinion publique, de la population de Saaba qu’il s’agit d’un mouvement politique s’appuyant sur la lenteur administrative du projet de recasement des résidents de la zone SONATURE », a affirmé Parfait Kaboré, le SG dans sa déclaration.
If faut retenir que la SONATURE et la mairie de Saaba sont entrain de tout mettre en œuvre pour une issue heureuse et effective du projet d’ ici 2021. Le projet de recasement est sur de bonnes railles et la commission fait un travail minutieux pour que tout les résidents réels et les propriétaires terriens puissent entrer en possession de leur parcelles. Pour le SG, les agissements annoncés ne sont autres que des spéculations, des tentatives de déstabilisation et sont l’œuvre des politiciens et des personnes frustrés.
Le secrétaire général à l’organisation affirme qu’il font face à un mouvement purement politique qui se réclame d’un mouvement de la société civile. Il précise qu’ils ont la preuve que se sont des acteurs politiques. « Tout ce qu’ils ont eu à causer comme problème ont été résolu. Les résidents réels qui se trouvent sur le site de la zone SONATURE bénéficieront de leur parcelle que ça soit maintenant ou après. Nous avons élaboré une première liste qui a été affiché et les autres listes seront affichés les jours à venir. En ce qui concerne les zone de recasement nous mettrons toute les dispositions possible pour pouvoir tenir cette visite pour que vous constaterez vous même si le lieu est habitable ou pas », dixit Parfait Kaboré.
En somme, en considération de tout ce qui précède, l’Union communale des jeunes du MPP de Saaba salut le courage, l’abnégation et le sens du travail bien fait du Maire Joseph DIPAMA qui a bien voulu s’investir pour la résolution du projet qui date depuis 2002.
Le maire de la commune rurale de Komsilga et ses conseillers ont organisé une conférence avec les hommes de media ce mercredi 11 août 2021 dans la commune de Komsilga. Cette conférence est relative aux déguerpissement de 71 ménages de leur terrain d’habitation à Tingandogo. […]
Actualité HabitatLe maire de la commune rurale de Komsilga et ses conseillers ont organisé une conférence avec les hommes de media ce mercredi 11 août 2021 dans la commune de Komsilga. Cette conférence est relative aux déguerpissement de 71 ménages de leur terrain d’habitation à Tingandogo.
En effet, tout est parti d’un projet de lotissement d’une trame d’accueil entrepris en 2009 par la SONATURE à la demande du ministère de la santé et ce, dans le de la construction du centre Hospitalier de Universitaire de Tingandogo. Après le morcellement et le bornage de la zone réservée à la trame d’accueil qui a abouti à l’attribution de terrains à usage d’habitation attribués à environ 3998 personnes.
Hamidou Tamboura, détenteur d’un arrêté d’attribution du 31 décembre 2007, s’est présenté auprès de l’ administration communale pour signifier qu’il détenait un titre de propriété sur une portion de ladite zone. Après plusieurs démarche, le problème demeurerait toujours.
Face à cela, pour protéger l’intérêt des 71 ménages qui occupaient le terrain de monsieur Tamboura, monsieur Issouf NIKIEMA, le maire de la commune de Komsilga lui a fait des propositions de dédommagement qui lui ont été transmise par lettre du 26 juin 2021à savoir, l’attribution d’un terrain destiné à un lieu de culte d’une superficie de 1300m2 ;
Attribution d’une réserve foncière d’une superficie de 2600 m2;
Attribution d’une réserve foncière à Kieryaoghin d’une superficie de 2000 m2;
Attribution de 5 zones commerciales à Kieryaoghin d’ une superficie d’environ 375 m2 chacune soit plus de 1500 m2.
« J’ai rassuré les 71 ménages qu’un compromis avait été trouvé et qui il ne devrait plus s’inquiéter », a affirmé le maire.
Quel ne fut son étonnement lorsque le 7 août 2021, contre toute attente, les ménages des 71 attributaires ont été réveillé par les bruits de bottes de la CRS leur signifiant par voie d’huissier la mise en exécution de l’intention dissimuler de monsieur Tamboura, intimant l’ordre à ceux-ci de déguerpir de leur logis dans un délai de huit jours. » Jusqu’à ce jour, mes services n’ ont reçu aucune réponse de monsieur Tamboura signalant son acceptation ou son refus des propositions à lui faites », a affirmé monsieur NIKIEMA.
Du reste, durant le déroulement de l’affaire, Issouf NIKIEMA, le maire de la commune de Komsilga, à fait des démarches pour privilégier le règlement du différents dans un climat d’apaisement. A titre illustratif on peut citer entre autres les échanges avec des représentants des habitants de Tingandogo concernés par la mesure de déguerpir dans le cadre de la résolution amiable de l’affaire, la rencontre avec le président de ‘ l AN, ainsi que le Ministre de l’État chargé de la réconciliation, la rencontre avec sa Majesté le Mogho Naaba Baongo.
Les membres de l’Ordre national des pharmaciens du Burkina Faso ont organisé ce mardi 10 août 2021 un déjeuner presse à Ouagadougou. L’ objectif de ce déjeuner était d’une part aborder le fonctionnement des officines de la ville de Ouagadougou et d’autres Part la contribution […]
Actualité santéLes membres de l’Ordre national des pharmaciens du Burkina Faso ont organisé ce mardi 10 août 2021 un déjeuner presse à Ouagadougou. L’ objectif de ce déjeuner était d’une part aborder le fonctionnement des officines de la ville de Ouagadougou et d’autres Part la contribution des pharmaciens de la région ordinale à la riposte contre la pandémie de la COVID-19. Ce déjeuner a été animée sous le leadership du président de l’ Ordre des pharmaciens, Docteur Nao Nébié.
L’officine est un lieu où l’on peut se procurer des médicaments et recevoir une information fiable sur la façon de les utiliser, c’est également un endroit facile d’accès où l’on peut demander conseil sur un problème de santé.
En effet, de façon générale, les officines pharmaceutiques sont au nombre de 220 et 180 dans la ville de Ouagadougou. Il faut retenir que le Conseil Régional a reparti ces officines en 11 onze zones officinales selon des critères géographiques de proximité dirigé par un bureau de trois personnes qui assurent un suivi de proximité.
« Sachez qu’une officine n’est pas un commerce comme les autres, son fonctionnement est encadré par des textes réglementaires et déontologiques. Elles sont ouvertes généralement de 8h à 20h en continue avec un service de garde organisé en tenant compte du maillage officinale de la ville de Ouagadougou ». << Nous avons en moyenne 45 à 50 officines par groupe de garde, a affirmé le président de l’ordre des pharmaciens, Nao Nébié.
En ce qui concerne la région ordinale du centre, c’est une des trois régions qui compte l’ordre national des pharmaciens du Burkina. Elle s’étend sur cinq régions à savoir, le région du Centre,du Centre Ouest, du Centre Sud, du Plateau Centrale et du Nord. Cette région regroupe près de 60% des pharmaciens inscrits à l’ ordre et des structures pharmaceutiques du pays.
D’ ailleurs, l’année 2020 a été marquée par la pandémie de la COVID-19 qui a touché tous les secteurs en particulier le secteur pharmaceutique. Face à cela, pour contribuer à la riposte contre la COVID-19 les pharmaciens de la région ordinale ont rencontrés des difficultés et des contraintes. Cette contribution à porté sur tous les domaines a savoir la coordination de la riposte, la communication, la surveillance et point d’entrée, la prise en charge des cas et la gestion logistique.
Au niveau de la coordination de la riposte, l’ordre des pharmaciens a mis en place une cellule de gestion de la crise dès les premières heures, ils élaboraient des notes et directives à l’attention des pharmaciens d’officines. Il faut noter que tout ces contributions ne s’est pas passé sans difficultés.
Le président de l’ordre des pharmaciens à affirmé : » Nous avons été confrontés à une rupture massives des consommables pour la lutte contre la COVID-19 avec pour effet collatéral une surenchère des prix auprès des fournisseurs et occasionnait des plaintes, des critiques même des ressentiments anti pharmaciens au sein d’une partie de la communauté ».
En rappel, l’ Ordre national des pharmaciens célèbre du 30 septembre au 2 octobre 2021 son 20 eme anniversaire à une haute idée de son rôle de régulateur de l’exercice de la profession de pharmacien.