
L’Association Burkinabè des Professionnels des Métiers du Génie Electrique et Assimilés (ABPMGE) a tenue une assemblée générale ce 23 septembre 2023 à Ouagadougou. Une AG dont l’ objectif principal est de promouvoir l’excellence, la sécurité électrique, et l’efficacité énergétique dans le pays en favorisant le […]
Actualité SociétéLe Front de Défense pour la Patrie en collaboration avec le Mouvement la France doit partir a animé dans la soirée de ce samedi 23 septembre 2023 à Ouagadougou une conférence publique autour du thème « CNR de Thomas Sankara, MPSR2 de Ibrahim TRAORÉ: Quelle […]
Actualité SociétéL’ONG Pax a procédé ce vendredi 22 septembre 2023 à Ouagadougou à la commémoration de son 75e anniversaire et la journée internationale de la paix. C’est le sacrifice consenti pendant 75 ans pour les questions de conflits et de paix à travers le monde. Cette […]
Actualité SociétéL’Association Burkinabè des Professionnels des Métiers du Génie Electrique et Assimilés (ABPMGE) a tenue une assemblée générale ce 23 septembre 2023 à Ouagadougou. Une AG dont l’ objectif principal est de promouvoir l’excellence, la sécurité électrique, et l’efficacité énergétique dans le pays en favorisant le […]
Actualité SociétéLe Front de Défense pour la Patrie en collaboration avec le Mouvement la France doit partir a animé dans la soirée de ce samedi 23 septembre 2023 à Ouagadougou une conférence publique autour du thème « CNR de Thomas Sankara, MPSR2 de Ibrahim TRAORÉ: Quelle […]
Actualité SociétéL’ONG Pax a procédé ce vendredi 22 septembre 2023 à Ouagadougou à la commémoration de son 75e anniversaire et la journée internationale de la paix. C’est le sacrifice consenti pendant 75 ans pour les questions de conflits et de paix à travers le monde. Cette […]
Actualité SociétéLe Centre d’éducation et de formation intégrée des sourds et des enfants (CEFISE) a organisé une conférence de presse ce vendredi 22 septembre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec le hommes médias était de faire le plaidoyer pour une scolarisation précoce des enfants […]
Actualité santé SociétéL’Association Burkinabè des Professionnels des Métiers du Génie Electrique et Assimilés (ABPMGE) a tenue une assemblée générale ce 23 septembre 2023 à Ouagadougou. Une AG dont l’ objectif principal est de promouvoir l’excellence, la sécurité électrique, et l’efficacité énergétique dans le pays en favorisant le […]
Actualité SociétéL’Association Burkinabè des Professionnels des Métiers du Génie Electrique et Assimilés (ABPMGE) a tenue une assemblée générale ce 23 septembre 2023 à Ouagadougou. Une AG dont l’ objectif principal est de promouvoir l’excellence, la sécurité électrique, et l’efficacité énergétique dans le pays en favorisant le partage des connaissances et le développement des compétences au sein de cette profession, conformément à ses textes fondateurs provisoires.
Une assemblée générale est d’une importance capitale pour la vie associative. Elle a la capacité de sceller l’engagement commun à construire une organisation qui favorisera l’innovation et le développement continu de dudit métier. L’AG de l’ABPMGE contribuera de manière significative au développement du métier au Burkina Faso.
Il faut noter que les membres de cette association sont regroupés en trois collèges électoraux, dénommés A, B et C, en fonction de leur niveau d’études en génie électrique et métiers connexes, selon les textes fondateurs provisoires.
Pour la catégorie A qui concerne les membres qui ont atteint le niveau Master II ou tout diplôme équivalent ou supérieur, la catégorie B qui est destinée à ceux qui ont obtenu un niveau Master I et la catégorie C qui englobe les membres ayant atteint le niveau Licence ou d’ingénieur.
D’ailleurs, le fonctionnement de l’association comprend plusieurs organes, dont un comité scientifique et un bureau exécutif. Le bureau exécutif est composé de 10 membres, élus pour un mandat de 3 ans renouvelable une fois. Toute personne, qu’elle soit une entité juridique ou un individu, ayant une formation ou une expérience dans le domaine du génie électrique, du niveau technicien à doctorat, peut devenir membre de la TIES-ABPMGE en adhérant aux statuts, en payant les frais d’adhésion, et en soumettant une demande au bureau exécutif. Les décisions du bureau exécutif sur les candidatures sont finales et non sujettes à appel.
Il convient de noter qu’à la fin des travaux de cette assemblée générale, Frédéric Sandouidi, ingénieur de génie des systèmes électriques est élu président de l’association. << L’association burkinabè des professionnels du génie électrique se fut vraiment un travail de long halen depuis sept an. Aujourd’hui c’est un grand jour avec cette assemblée générale que nous avons pu lire et adopter les différents textes et la validation de ces textes qui donne naissance à cette association. Je suis animé d’un sentiment de joie et de fierté pour la mise en place de cette association qui va réuni l’ensemble des acteurs du métier. l’association réuni tous ceux qui sont dans le domaine à s’avoir les étudiants, les enseignants et les chefs d’entreprise. l’association va travailler avec d’autres associations du milieu du domaine électrique qui existe déjà pour assainir le métier. Ensemble nous devons relevé le défi du monde nouveau. Nous allons également partager nos expériences, notre expertise et aussi nos compétences pour faire face aux défis liés à notre domaine. Nous travaillerons aussi en étroite collaboration avec la SONABEL>> a t-il laissé entendre.
Du reste, Il est éclair que le réseautage qui sera mis en place par TIES-ABPMGE permettra aux étudiants d’avoir des stages et des emplois à l’avenir.
Minata Sanfo ✍️
Le Front de Défense pour la Patrie en collaboration avec le Mouvement la France doit partir a animé dans la soirée de ce samedi 23 septembre 2023 à Ouagadougou une conférence publique autour du thème « CNR de Thomas Sankara, MPSR2 de Ibrahim TRAORÉ: Quelle […]
Actualité SociétéLe Front de Défense pour la Patrie en collaboration avec le Mouvement la France doit partir a animé dans la soirée de ce samedi 23 septembre 2023 à Ouagadougou une conférence publique autour du thème « CNR de Thomas Sankara, MPSR2 de Ibrahim TRAORÉ: Quelle lecture politique ?». L’objectif de cette conférence débat était de livrer des similitudes de la gestion du pouvoir du Capitaine Ibrahim TRAORÉ à celle du Capitaine Thomas Sankara. Les différents Panels ont été principalement animés par l’écrivain Adama Siguiré, le Dr Boukary Nebié et le Dr Hyacinthe Ouédraogo.
D’entrée de jeu, il s’est agi pour les premiers responsables du Front de Défense pour la Patrie de prendre la parole pour souhaiter la bienvenue aux invités du jour. A eux, d’ajouter que une semaine, le Capitaine Ibrahim TRAORE qui dirige la Transition aura un an à la présidence de notre pays. Quoi de plus normal pour le mouvement de questionner sur la gouvernance du MPSR 2 et du Capitaine Ibrahim TRAORÉ, Président de la transition burkinabè. Pour le mouvement, c’est une gestion positive pleine d’espoir même si le défi sécuritaire n’est pas encore relevé totalement.
«Le MPSR2 aura bientôt un an. C’est un pouvoir dirigé par un jeune homme, un Capitaine de trente-cinq ans. C’est aussi le pouvoir des masses populaires. C’est le pouvoir du peuple. Le Capitaine Ibrahim TRAORE a de nombreux soutiens. Et cela nous rappelle un autre pouvoir. C’est le CNR ou Conseil National de la Révolution dirigé le Capitaine Thomas SANKARA.
Alors, n y a til pas de fortes ressemblances entre le MPSR2 et le CNR, entre le Capitaine Ibrahim TRAORE et le Capitaine Thomas SANKARA ? » questionne le conférencier principal du jour.
D’où toute l’importance de la thématique abordée«CNR de Thomas SANKARA, MPSR2 d’Ibrahim TRAORE: quelle lecture politique?». Il faut noter que ce thème principal sera développé à travers trois sous thèmes dont le thème 1 « La vision politique du Capitaine Thomas SANKARA et du Capitaine Ibrahim TRAORE : lecture comparative et regard critique», traité par l’écrivain Adama Amadé SIGUIRE; le thème 2 «Les fondements de l’idéologie sankariste et les fondements de la vision du Capitaine Ibrahim TRAORE : analyse croisée», développé par le Dr Boukary NEBIE et le troisième thème «Les forces et les faiblesses de la Révolution de Thomas SANKARA et les forces et les faiblesses du MPSR2:quelles leçons pour une bonne marche de la Transition ?», développé par le Dr Hyacinthe OUEDRAOGO.
Pour animer ce panel, le Front pour la Défense de la Patrie pense avoir fait appel à la crème de l’intelligentsia burkinabè.
Du reste, il convient de noter que selon le paneliste Adama Siguiré, il s’agissait de comparer la vision du capitaine Ibrahim TRAORÉ et du Capitaine Thomas Sankara. « Les deux capitaines ont à peu près le même âge 35 et 34. Au sortir de ces réflexions nous pouvons affirmer qu’ils ont la même idéologie et la même vision. Nous pouvons dire que dans l’ensemble la démarche est bonne», a laissé entendre Adama Siguiré.
Ismaël Kiekieta ✍️
L’ONG Pax a procédé ce vendredi 22 septembre 2023 à Ouagadougou à la commémoration de son 75e anniversaire et la journée internationale de la paix. C’est le sacrifice consenti pendant 75 ans pour les questions de conflits et de paix à travers le monde. Cette […]
Actualité SociétéL’ONG Pax a procédé ce vendredi 22 septembre 2023 à Ouagadougou à la commémoration de son 75e anniversaire et la journée internationale de la paix. C’est le sacrifice consenti pendant 75 ans pour les questions de conflits et de paix à travers le monde. Cette commémoration s’est tenue sous le leadership des premiers responsables de Pax Burkina, le DG Roger Minougou, des partenaires techniques et financiers, du DG de Diakonia, Nadine Bonkoungou.
L’ONG PAX a voulu faire d’une pierre deux coups en commémorant la journée internationale de la paix et ses 75 ans d’existence au service de la Paix. En effet, PAX est une fusion de PAX Christi créée à la fin de la deuxième Guerre mondiale précisément le 21 septembre 1948 et IKV ( Conseils Ecclésiastiques pour la paix) créé en 1966.
Il faut dire que cela fait 75 ans que Pax, l’ONG Néerlandaise s’évertue pour la paix dans le monde et 3 ans qu’elle s’est installée au Burkina Faso. Elle célèbre en ce jour son jubilé d’albâtre avec le vœu que les armes se taisent partout dans le monde.
Et selon le directeur pays de PAX, Roger Minoungou, il faut rappeler l’importance de la paix pour la société et invité chacun à être un acteur de paix partout, il sera.
« Cela fait 75 ans que notre organisation ne sert que pour apporter sa contribution dans la résolution des crises et pour la paix dans le monde. Pax est intervenue dans notre pays le Burkina Faso en 2021 notamment dans la zone du grand Sahel. Pax travaille sur les thématiques de la prévention et gestion de conflits communautaire, de la protection civile et de la promotion des droits humains et de l’accès à la justice», a ainsi décrit le directeur pays.
A entendre la directrice pays de l’ONG Diakonia, Nadine Bonkoungou, chaque 21 septembre, les États membres des Nations Unies célèbrent officiellement la journée internationale de la paix. Elle ajoute que pour cette année le thème retenu est « Action en faveur de la paix: Nos ambitions pour les objectifs mondiaux». « Cette commémoration coïncide avec le 75 anniversaire de l’ONG PAX. La culture de la paix est une culture de dialogue et de la prévention. Nous avons pensé qu’il était important de marquer une halte pour aujourd’hui pour rendre hommage à tous les acteurs et actrices qui travaillent pour l’avènement d’un monde de paix. Nous rappelons avec force que la paix est possible et nous devons travailler pour cela. Peu importe votre ethnie, votre religion, votre catégorie sociale: construisons la paix ensemble», a plaidé Nadine Bonkoungou, directrice pays de l’ONG Diakonia.
Et à M. Roger Minoungou d’ajouter que la paix est un bien commun qui nécessite d’être protégé par tous dans le monde.
« Construisons la paix, engageons nous pour la paix quelle que soit votre ethnie, votre région… Nous formulons les vœux que les armes se taisent dans le monde et que la paix revienne au Burkina Faso, dans le Sahel, dans l’Afrique et dans le monde tout entier. Bonne fête, heureux jubilé d’albâtre à toutes et à tous.» , a-t-il donc formulé.
Le Chef de la délégation de l’ambassade du royaume des Pays-Bas au Burkina Faso lors de son allocution n’a pas manqué de féliciter et d’encourager l’ONG PAX pour ses efforts en faveur de la paix. « Parlant de paix, il y a nécessité de se poser la question du, pourquoi il y a l’insécurité. Et en ce sens, renforcer la résilience des communautés et leurs capacités financières est un volet très important qui peut contribuer à la stabilisation d’un pays. Travailler vraiment au niveau des communes et des villages», a conseillé le chef de la délégation des Pays-Bas.
Cette cérémonie commémorative a donné droit à des témoignages en présentiel et en vidéo. L’ONG PAX travaille dans la promotion de la paix et au niveau du Sahel, elle intervient dans trois pays que sont le Burkina Faso, le Niger et le Mali. Au niveau du Burkina, elle intervient dans quatre régions, à savoir celle de l’Est, le Centre-nord, le Centre et le Nord.
Du reste, il convient de noter que c’est une ambiance festive et conviviale que la commémoration a pris fin dans les locaux de Pax et Diakonia.
Ismaël Kiekieta ✍️
Le Centre d’éducation et de formation intégrée des sourds et des enfants (CEFISE) a organisé une conférence de presse ce vendredi 22 septembre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec le hommes médias était de faire le plaidoyer pour une scolarisation précoce des enfants […]
Actualité santé SociétéLe Centre d’éducation et de formation intégrée des sourds et des enfants (CEFISE) a organisé une conférence de presse ce vendredi 22 septembre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec le hommes médias était de faire le plaidoyer pour une scolarisation précoce des enfants vivants avec un handicap. Ladite conférence de presse s’est tenue sous le leadership des premiers responsables de Cefise – Benaja, et des partenaires tels que UN-ABPAM, UNADAB et le ReNOH.
C’est autour du thème « Nécessité de la prise en charge précoce des enfants en situation de handicap » que les premiers responsables du Centre d’éducation et de formation intégrée des sourds et des enfants (CEFISE) ont bien voulu livrer à l’opinion publique. Toute chose qui a permis de peindre la situation des enfants en situation de handicap au Burkina Faso.
A entendre la D.G. Pawindpinda Thérèse Kafando, L’OMS et la Banque Mondiale estiment à plus d’un milliard les personnes vivant avec un handicap, ce qui équivaut à environ 15 % de la population mondiale. Elle ajoute que Concernant le Burkina Faso, les statistiques du ministère de l’Éducation nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues Nationales (MENAPLN), datant de 2021, font état de 60 724 enfants en situation de handicap, dont 49 301 au primaire. Pour cette catégorie d’enfants, l’acceptation, l’inclusion sociale, et l’égalité des chances sont difficiles dans tous les aspects. Pour cette catégorie d’enfants, l’acceptation, l’inclusion sociale, et l’égalité des chances sont difficiles dans tous les aspects. La discrimination et le peu d’intérêt à leur endroit restent perceptibles dans tous les domaines. Bien que plus vulnérables aux problèmes de développement, les jeunes enfants avec un handicap sont souvent négligés dans les programmes et dans les services ordinaires conçus pour assurer le développement de l’enfant. Ils ne reçoivent pas non plus le soutien indispensable pour accéder à leurs droits et répondre à leurs besoins », a ainsi décrit Mme Kafando qui souhaite au plus haut niveau, des actions à même de garantir l’accès à un soutien adéquat, comme l’éducation précoce et l’intervention précoce auprès de la petite enfance.
Pour elle, ces actions demandées peuvent contribuer à garantir les droits des enfants handicapés, en promouvant une enfance enrichissante et satisfaisante, et en les préparant ainsi à la participation pleine et effective à l’âge adulte.
« À cela passe par l’information et la communication, d’où cette présente rencontre organisée par le CEFISE en partenariat avec Défi Sens AO. Le rôle des différents acteurs dans le domaine de la prise en charge précoce des enfants handicapés. Il existe plusieurs structures spécialisées dans le dépistage et le suivi médical et psychologique des enfants en situation de handicap. Elles peuvent intervenir à domicile ou dans des structures médico-sociales. Pour les associations et les Organisations de Personnes Handicapées (OPH), la priorité devra être accordée à la sensibilisation de tous les acteurs à commencer par les personnes concernées par la question (personnes handicapées et leurs familles), la communauté, les acteurs du monde du handicap ainsi et que les structures. L’ignorance est plus redoutable que la déficience elle-même. Le rôle de l’État dans cette prise en charge précoce des enfants handicapés est très déterminant également. Il doit œuvrer à ce que les structures de prise en charge (médicale, préscolaire, scolaire, etc.) soient accessibles aux enfants handicapés, et cela, peu importe leur localité ou la situation sociale des parents. L’État devrait œuvrer également à l’équipement de ces structures de prise en charge en matériel adéquat pour le dépistage précoce des éventuelles déficiences afin de proposer une prise en charge convenable, et également d’équiper ces structures en personnel qualifié. Enfin, il faudrait que les parents à tous les niveaux jouent convenablement leur rôle et ce rôle, il commence par la fréquentation des centres de santé pour les consultations prénatales, le suivi et le respect du calendrier vaccinal de l’enfant. Les parents doivent également accepter la situation de leurs enfants, qu’ils soient nés avec un handicap ou non, ils doivent s’impliquer et s’investir dans leur éducation, ce qui permettra d’aboutir à des résultats meilleurs pour le bonheur de ces derniers.» , a en conclusion plaidé le présidium du CEFISE-BENAJA.
Ismaël Kiekieta ✍️
Les membres de l’Institut Africaine des Industries Culturelles (IAIC) ont organisé une conférence avec les hommes de médias ce samedi 16 septembre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de faire le point sur le chemin parcouru et de parler du chemin à parcourir. […]
Actualité CultureLes membres de l’Institut Africaine des Industries Culturelles (IAIC) ont organisé une conférence avec les hommes de médias ce samedi 16 septembre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de faire le point sur le chemin parcouru et de parler du chemin à parcourir. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership du fondateur de l’IAIC, Dr Noël SANOU.
L’institut Africaine des Industries Culturelles est une institution privée d’enseignement supérieur conventionné par l’État Burkinabè. Il faut noter que le domaine de formation de l’IAIC se décline en trois sous domaines de formation à savoir le management, le marketing et la communication appliqués au industries culturelles au tourisme et à l’hôtellerie. Il faut noter également les sciences sociales appliquées à la gestion des conflits et à l’humanitaire et le management de l’événementiel et des relations publiques, la communication institutionnelle et politique, le journaliste.
D’après le fondateur, l’État burkinabè affecte depuis 2019 des bacheliers à l’IAIC suite aux résultats du suivi-évaluation des IPES en leurs accordant des bourses d’aide et de près d’études. Il faut retenir que l’objectif principal de l’IAIC est de moderniser l’offre de formation en proposant des filières innovantes qui tiennent compte de la structure économique africaine et des tendances mondiales. En effet, les différentes filières de formation sont le Management des Produits Services Hôtelier qui est de nouveau licence-master, prévention des crises et gestion de la pais sociale qui est de licence-mas, le marketing et développement commercial des Arts et de l’Artisanat niveau licence, le tourisme, loisir et patrimoine (master), la communication politique (master) et bien d’autres choses.
D’ailleurs, la formation à l’IAIC obéit au système LMD. Depuis son ouverture, l’institut a formé quatre cent soixante (460) étudiants dont 137 forces de défense et de sécurité et 133 affectés de l’état ainsi que des étudiants de plusieurs pays africains dont le Cameroun, le Sénégal, la Centrafrique et le Tchad.
Il faut noter que l’IAIC célèbre son 10e anniversaire en 2024 marquant une décennie de croissance et d’engagement envers l’éducation. Des séries d’activité sont en cours tél que les compétitions, les sorties de promotion. «L’année académique 2023-2024 est spéciale pour nous, car nous renforçons nos initiatives sociales, notamment les bourses d’études pour soutenir nos étudiants. Nous sommes fiers d’annoncer l’élargissement de la bourse de réduction de 25% des frais de scolarité à toutes les forces combattantes et leur ayant-droit ainsi qu’une bourse complète pour les personnes déplacées, et une réduction de 25% pour deux étudiants de chaque média», a laissé entendre le fondateur.
En définitive, l’IAIC est une institution d’enseignement supérieur créee le 11 septembre 2013et ouverte en octobre 2014. Sa mission consiste à faire de la culture et les sciences sociales un moteur économique tout en contribuant à la formation de compétences.
Sanfo Minata ✍️
En marge de la Journée internationale de la démocratie, le Centre pour la Gouvernance Démocratique au Burkina Faso (CGD) en collaboration avec ses partenaires le consortium Diakonia, NDI, PAX et PNUD a initié un dialogue démocratique ce vendredi 15 septembre 2023 à Ouagadougou. Ce dialogue […]
Actualité Politique SociétéEn marge de la Journée internationale de la démocratie, le Centre pour la Gouvernance Démocratique au Burkina Faso (CGD) en collaboration avec ses partenaires le consortium Diakonia, NDI, PAX et PNUD a initié un dialogue démocratique ce vendredi 15 septembre 2023 à Ouagadougou. Ce dialogue démocratique se tient sous le thème: » Désinformation et démocratie « . A l’ordre du jour deux grands panels avec des sous thèmes animés par des figures emblématiques du Burkina Faso dont Pr Augustin Loada, Dr Régis Balima, pr Alkassoum Maïga, Dr Abdoulaye Barro et Dr Daniel Keré.
Le 15 septembre de chaque année est consacré à la célébration de la journée internationale de la démocratie. Et c’est pour cette commémoration que le consortium Diakonia, CGD, NDI, PAX et PNUD a initié cette conférence publique sur le thème « Désinformation et démocratie» au Burkina Faso dans un contexte sécuritaire difficile et un contexte de transition politique suite des coups d’État.
Réfléchir sur les défis qui surgissent et les progrès accomplis voici toute la quintessence de la conférence publique sur la désinformation et la démocratie. Ladite conférence a réuni des acteurs de la société civile, d’institutions, d’ONGs et des citoyens. L’objectif étant d’aborder les questions de désinformation et son impact sur la démocratie au Burkina Faso. Les difficultés qui mettent à mal les acquis de la démocratie ont été mis sur la table des discussions autour de plusieurs communications.
A entendre la directrice pays de Diakonia, Nadine Koné, il convient de souhaiter la bienvenue à tous pour cette commémoration de la journée internationale de la démocratie. Elle soutient que la démocratie est fondée sur les valeurs de liberté demeure un plié essentiel pour le développement de notre pays. « La démocratie est un processus qui nécessite notre engagement. Nous travaillons avec nos partenaires pour renforcer les institutions démocratiques. Aujourd’hui, pour cette journée commémorative, nous voulons réitérer notre engagement à promouvoir la démocratie. La démocratie n’est un luxe, ni un concept imposé à l’Afrique mais plutôt un droit fondamental», a confié Nadine Koné.
Du reste, il faut retenir la conférence publique sur la démocratie n’est pas une première du genre pour le CGD.
Rendez-vous est pris pour la commémoration de la journée internationale de la démocratie édition 2024.
Ismaël Kiekieta ✍️
La cérémonie officielle de sortie de la 2e promotion des apprenantes des centres d’éducation et de promotion sociale des forces de défense et de sécurité a eu lieu, ce samedi 09 septembre 2023 à Ouagadougou. Ce sont au total plus de 166 apprenantes qui ont […]
Actualité SociétéLa cérémonie officielle de sortie de la 2e promotion des apprenantes des centres d’éducation et de promotion sociale des forces de défense et de sécurité a eu lieu, ce samedi 09 septembre 2023 à Ouagadougou. Ce sont au total plus de 166 apprenantes qui ont bénéficiées de formation en saponification, couture, coiffure et autres. Cette cérémonie s’est tenue sous le leadership de la Présidente de la Commission Genre, Santé, Action Sociale et Humanitaire, de l’Assemblée Législative de Transition, Mme Marie Angèle TIENDREBEOGO né KALENZAGA, représentant le Président de l’Assemblée Législative de Transition, Dr Ousmane BOUGOUMA, sous le parrainage du Ministre des Sports, de la Jeunesse et de l’Emploi, Dr Boubakar SAVADOGO et du Directeur Général du FAFPA, M. Dougoutigui Pierre OUATTARA.
Financé par le FAFPA, ces formations se sont déroulées au Centre d’Education et de Promotion Sociale sis au Camp Général Sangoulé LAMIZANA, à la Compagnie Républicaine de Sécurité (CRS) à Ouagadougou et au Camp Ouezzin COULIBALY à Bobo-Dioulasso. Elles ont concerné les métiers de la saponification, la cuisine-pâtisserie, la coupe-couture et la coiffure-pédicure-manicure.
A entendre, la porte-parole des apprenantes, Mme Fatoumata SAWADOGO, il convient de remercier l’ensemble des acteurs qui ont permis cette formation. Elle rassure de mettre en pratique les connaissances acquises. « Ces formations que nous avons acquises représentent bien plus que de simples compétences professionnelles. Elles symbolisent la possibilité pour nous, de retrouver notre indépendance financière, notre dignité mais aussi de contribuer activement au développement de notre chère patrie. Les défis auxquels sont confrontées les veuves, orphelins et épouses de blessés sont nombreux et nous ne pouvons pas sous-estimer l’importance du soutien continu de la société et des autorités. Nous espérons que ce programme servira de modèle et d’inspiration pour d’autres initiatives similaires visant à aider les familles des militaires qui ont fait le sacrifice ultime pour notre pays. Nous avons encore quelques Doléances afin de mieux faciliter notre insertion. Nous vous sollicitons en plus de ces Kits que nous allons recevoir, un soutien Financier pour faciliter notre installation. Nous demandons également des Stages et des formations pour notre perfectionnement. Vous avez devant vous des couturières, des restauratrices, des coiffeuses et des dames douées dans la saponification», a confié la représentante des apprenantes.
Selon la représentante du Président de l’Assemblée nationale de la transition, Mme Marie Angèle TIENDREBEOGO, il faut félicité les apprenantes pour leur assiduité au cours des formations. « Je vous exhorte à montrer une force et une résilience. Je suis convaincue qu’elles continueront à réaliser des merveilles dans leur domaine. Afin d’accompagner les apprenantes pour leur insertion socioprofessionnelle», a laissé entendre la représentante du Président de l’Assemblée nationale de la transition.
Pour Fadima Kambou, Présidente de Go Paga, il s’est agi pour Go paga d’impulser quelque chose au Burkina Faso. « Nous avons repensé et accompagné la prise en charge des familles de nos FDS blessés et tombés en opération. Nous avons apporté ce que nous pouvons apporter. Maintenant c’est à d’autres acteurs de voir comment compléter cette initiative. Nous avons scolarisé plus de 600 enfants et donné des cartes d’assurance maladie. Nous avons mis en place plus de 15 sites de formation. Toutes ses actions nécessitent de la mobilisation des ressources et nous voulons apprendre à ses femmes à pêcher», a soutenu la présidente de Go paga.
Du reste, il convient de retenir que les apprenantes ont reçu des kits d’installation pour faciliter le démarrage de leurs activités. Une visite des stands des réalisations a mis fin à la cérémonie de sortie officielle.
Ismaël Kiekieta ✍️
Dans la matinée de ce mardi 06 septembre 2023 à Ouagadougou, l’Association ID SÎGRE ( Nos Origines) dans le cadre du festival « Yum Teed Daaré» a animé un atelier public sur les valeurs ancestrales du Burkina Faso gage du développement endogènes. Cet atelier public […]
Actualité CultureDans la matinée de ce mardi 06 septembre 2023 à Ouagadougou, l’Association ID SÎGRE ( Nos Origines) dans le cadre du festival « Yum Teed Daaré» a animé un atelier public sur les valeurs ancestrales du Burkina Faso gage du développement endogènes. Cet atelier public qui a pour thème « Recourir aux valeurs ancestrales comme solution est un impératif pour le Burkina Faso» s’est tenu sous le leadership du représentant du Ministre en charge de la culture, Athanase Traoré et du promoteur dudit festival, Bend Naaba de Goughin.
Ce n’est pas un secret de polichinelle de dire que les instruments coutumiers et le parolier traditionnel occupent une place prépondérante dans la culture et la tradition moaga.
Sauvegarder et promouvoir les valeurs traditionnelles et particulièrement du territoire mooaga sont entre autres les objectifs des Journées des instruments coutumiers parleurs “YUM TEED DAARE” initiées par l’Association ID SIGRE(nos origines) depuis maintenant quatre ans.
Et selon le Bend Naaba, promoteur du festival, s’il est vrai que l’initiative est venue de sa Majesté le Moogho Naaba, tout est parti d’un constat qui montre le désintéressement des jeunes dans l’utilisation des instruments de musique traditionnels. Pour lui, il était urgent de se pencher sur cette question parce qu’à cette allure ce n’est pas évident d’avoir des tambourineurs les jours à venir. « Dans nos us et coutumes sans ces instruments, la tradition perd une grande partie de sa richesse. D’où tout le sens de la création de l’association. Nous avons commencé par les instruments qui sont dans le royaume Mooaga et par la suite à Fada N’gourma, Bobo Dioulasso, Boussouma et Ouahigouya. Comme activité, il faut noter un atelier de formation sur la fabrication des instruments traditionnels Mooaga, une conférence publique sur les valeurs culturelles endogènes et sur les croyances culturelles», a laissé entendre le Bend Naaba.
Pour le représentant du ministre en charge de la culture, Athanase Traoré, il est important de conserver cette tradition pour les générations avenir c’est pourquoi je tiens à saluer cette initiative qui à travers ce projet culturel cherchent à valoriser les instruments coutumiers parleurs et les Yummba (les tambourinaires). « Dans un contexte de crise sécuritaire, nous pensons que recourir aux valeurs ancestrales comme solution est un impératif pour la paix, la cohésion sociale et le vivre ensemble au Burkina Faso», dixit le représentant du Ministre en charge de la culture, avant de déclarer ouvert la conférence publique sur les valeurs traditionnelles Mooaga.
Du reste, les amoureux de la culture et la population de Ouagadougou sont invités du 04 au 10 septembre 2023 à l’ATB.
Ismaël Kiekieta ✍️
Après «Échos et complaintes de ma terre» , le poète, Lamoussa TIAHO vient ajouter à ses productions « Les sillons du futur», une poésie pour enfants. L’œuvre est un condensé de préceptes qui redynamise la fibre patriotique de la jeunesse. « Les Sillons du futur» […]
Actualité Education Littérature SociétéAprès «Échos et complaintes de ma terre» , le poète, Lamoussa TIAHO vient ajouter à ses productions « Les sillons du futur», une poésie pour enfants. L’œuvre est un condensé de préceptes qui redynamise la fibre patriotique de la jeunesse. « Les Sillons du futur» est préfacé par Pr Salaka Sanou et disponible au prix promotionnel de 7000 FCFA l’unité. A l’occasion de cette nouvelle parution, le Dr Lamoussa TIAHO a bien voulu accorder un entretien exclusif au journal faso-info.net le mardi 23 août 2023 à Ouagadougou.
Composé de 27 poèmes, tous illustrés d’images, « Les Sillons du futur» aborde une série de thèmes destinés à la formation des enfants.
«Les sillons du futur» c’est ce combat qui doit permettre au burkinabè de rentrer dans le futur.
A entendre le Dr Lamoussa TIAHO, « Les sillons du futur» est une littérature de jeunesse. Une poésie pour jeunes qui met l’accent sur un certain nombre de valeurs dont les valeurs civiques, patriotiques et le respect des aînés. Pour le Docteur en critique et littératures africaines, l’œuvre poétique commence par les couleurs nationales parce qu’elles doivent être inculquées dans le logiciel des jeunes pour les guider vers l’idéal patriotique.
« Parmi les principales thématiques, il y a le terrorisme qui montre que pour la patrie, il faut aller jusqu’au sacrifice suprême s’il le faut. C’est une poésie qui galvanise les jeunes et tous les burkinabè à être prêts pour défendre la partie. L’une des choses pour laquelle on peut donner sa vie c’est vraiment la patrie. Pour survivre, il faut accepter sacrifier nos vies. Il faut lutter pour pouvoir être là demain. Les martyrs ne devraient jamais être oubliés parce que c’est à cause d’eux que le futur sera possible. C’est une poésie de mobilisation de la jeuness», a laissé entendre Dr Lamoussa TIAHO.
Le préfacier de l’œuvre, Pr Salaka SANOU soutient que la littérature pour enfants et pour jeunes est une catégorie de production littéraire dont le destinataire est indiqué, précisé : les enfants et les jeunes. Il précise qu’en tant que catégorie sociale spécifique ayant des besoins et des attentes particulières, la création littéraire qui lui est consacrée devrait répondre justement à ces besoins. « Comptant sur cette volonté affichée de se mettre au service de l’enfance, Lamoussa Tiaho vient enrichir le patrimoine littéraire burkinabè consacré à l’enfance et la jeunesse. Avec I’espoir que « ces sillons du futur» seront bien guidés pour la jeunesse montante du Burkina Faso.
«Le recueil est écrit dans un langage sobre, un vocabulaire simple, des idées clairement exprimées. cela n’est pas surprenant de le voir faire de la poésie pour enfants son domaine de prédilection puisque Lamoussa Tiaho est formateur de profession. Son métier d’enseignant, donc de formateur ajouté à ce désir de mettre sa plume au service de l’enfance cette catégorie sociale qui a besoin d’être formée, éduquée dans le sens de préparer à assumer ses responsabilités dans la société. Quoi de plus normal dans ces conditions que de la guider dans ce qu’elle devrait être ?», questionne Pr Salaka SANOU.
Du reste, il convient de noter que Lamoussa TIAHO est titulaire d’un Doctorat unique en Lettres Modernes option : Critique et littératures africaines. Il est Enseignant-Chercheur à l’Université Joseph KI-ZERB0 à l’Unité de Formation et de Recherche en Lettres, Arts et Communication (UFR-LAC). Il est Maitre de Conférences CAMES. Il est membre du Laboratoire Littératures, Arts, Espaces et Sociétés. Il est aussi l’actuel Chef de Département de Lettres Modernes à l’UFR-LAC de l’Université Joseph KI-ZERBO. Il a publié en 2020 un essai intitulé «L’Esthétique littéraire de Jean-Marie Adiaffi», et un recueil de poésie, «Echos et complaintes de ma terre» en 2022.
Ismaël Kiekieta ✍️
Le championnat national de handball juniors et seniors saison 2022 – 2023 s’est disputé ce samedi 19 août 2023, au palais des sports de OUAGA 2000. Et pour cette saison l’AS Douanes a été sacrée championne en menant au score 28 contre 26 face à […]
Actualité SportLe championnat national de handball juniors et seniors saison 2022 – 2023 s’est disputé ce samedi 19 août 2023, au palais des sports de OUAGA 2000. Et pour cette saison l’AS Douanes a été sacrée championne en menant au score 28 contre 26 face à l’AS POLICE. Elle remporte 1 millions de FCFA, des médailles plus un trophée 🏆pour les seniors et 400 000 FCFA plus un trophée 🏆 et des médailles 🏅 pour la catégorie junior. Au niveau des filles, le premier prix junior est revenu à l’équipe de la SONABHY qui remporte le trophée 🏆, plus 400 000 FCFA et des médailles 🏅. Tandis que le premier prix senior filles est revenu à l’équipe de la LONAB qui repart avec 1 millions de FCFA, des médailles 🏅 et un trophée.
Ce sont au total 58 matches qui se sont confrontées depuis le 13 août 2023 avec 36 équipes venues de Bobo-Dioulasso, Koudougou, Ouahigouya, Tenkodogo, Banfora et Ouagadougou. Et au sortir l’AS DOUANES a été une nouvelle fois de plus championne en juniors et en seniors hommes, comme la saison précédente.
Les finales ont opposé :
Au niveau senior
l’AS DOUANES 28 vs 26 l’AS POLICE
l’AS Sonabhy 41 vs 27 wendpanga
Au niveau junior
l’AS DOUANES 35 vs 18 Racing Club de Bobo-Dioulasso
l’As LONAB 37 vs 20 l’As Finances
Au titre des récompenses pour les seniors, il faut noter que les champions sont repartis avec le trophée, la médaille d’or et un million (1 000 000) FCFA et les vices champions 500 000 FCFA et la médaille d’argent. Pour les juniors, il s’agit d’un trophée 🏆, la médaille 🏅 d’or et 400 000 FCFA pour les vainqueurs et 300 000 FCFA pour les vices champions.
Selon la Présidente de la Fédération Burkinabè de Handball Stella TAPSOBA, c’est un sentiment de satisfaction qui s’installe non seulement au niveau du jeu mais aussi au niveau du jeu mais aussi au niveau de la qualité de l’organisation. Elle a profité de l’occasion pour remercier sincèrement le Ministère des Sports, de la Jeunesse et de l’Emploi, pour son accompagnement. « J’adresse ma gratitude à l’ensemble des partenaires pour leurs soutiens multiformes. Je lance un appel aux responsables des sports burkinabè afin que le handball burkinabè puisse être exporté à l’échelle africaine voire mondiale», a plaidé la présidente.
Pour le Gouverneur de la région du centre, Monsieur Abdoulaye BASSINGA au-delà de l’enjeu sportif, il faut voir le rassemblement, l’engouement, toutes choses qui est un facteur de cohésion sociale. «En marge de la Journée Internationale de la Jeunesse dont la commémoration régionale a eu lieu le 19 août à Komsilga, il a été demandé aux différents acteurs d’être des vecteurs de paix», a laissé entendre le Gouverneur.
Du reste, il convient de noter que c’est dans une ambiance conviviale que les finales handball saison 2022/2023 ce sont tenues. Rendez-vous est pris pour la saison 2023/2024.
Ismaël Kiekieta ✍️