
L'essentiel de l'information
Musique/Axelle Kidann dévoile « I TUNDI » : 13 titres pour sensibiliser, rendre hommage et inspirer L’artiste musicienne Axelle Kidann a procédé à la cérémonie officielle de dédicace de son nouvel album intitulé I TUNDI, son troisième opus, ce vendredi 7 février 2024 à Ouagadougou. […]
Actualité CultureBurkina/Mariage collectif : 45 FDS unies pour la vie sous le regard des autorités Ce jeudi 6 février 2025, la Direction Centrale de l’Action Sociale et des Blessés en Opération a célébré un mariage collectif réunissant 45 membres des Forces de Défense et de Sécurité […]
Actualité Sécurité SociétéLES 72 HEURES DE L’URBANISTE: Rendez-vous est pris du 20 au 22 février au SIAO L’urbanisation est un enjeu majeur en Afrique, où la croissance démographique rapide et l’urbanisation accélérée posent des défis cruciaux en matière d’aménagement du territoire. C’est dans ce contexte que l’Ordre […]
Actualité Habitat LittératureMusique/Axelle Kidann dévoile « I TUNDI » : 13 titres pour sensibiliser, rendre hommage et inspirer L’artiste musicienne Axelle Kidann a procédé à la cérémonie officielle de dédicace de son nouvel album intitulé I TUNDI, son troisième opus, ce vendredi 7 février 2024 à Ouagadougou. […]
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Actualité Habitat Littérature4e édition Concours Jeune Littéraire: Une finale riche en talent et en émotion La 4ᵉ édition de la finale du Concours Jeune Littéraire, organisée par Africa Young Ambassador Association (AYAA), s’est tenue ce samedi 1ᵉʳ février 2025 à Ouagadougou. Placée sous le thème « L’apport […]
Actualité LittératureMusique/Axelle Kidann dévoile « I TUNDI » : 13 titres pour sensibiliser, rendre hommage et inspirer L’artiste musicienne Axelle Kidann a procédé à la cérémonie officielle de dédicace de son nouvel album intitulé I TUNDI, son troisième opus, ce vendredi 7 février 2024 à Ouagadougou. […]
Actualité CultureMusique/Axelle Kidann dévoile « I TUNDI » : 13 titres pour sensibiliser, rendre hommage et inspirer
L’artiste musicienne Axelle Kidann a procédé à la cérémonie officielle de dédicace de son nouvel album intitulé I TUNDI, son troisième opus, ce vendredi 7 février 2024 à Ouagadougou. Cet album de 13 titres a été présenté aux mélomanes et aux amoureux de la musique burkinabè lors d’un événement placé sous le patronage de Pingdwendé Gilbert Ouédraogo, Ministre de la Culture, et sous la présidence d’Adjima Thiombiano, Ministre de l’Enseignement Supérieur. Le parrainage a été assuré par Seydou Boro, PDG de BOPA International, et Roger Ilboudo, Administrateur Général des Services scolaires et universitaires. La marraine Elise Kanla, la marraine artistique Amety Meria et le parrain artistique Gérard Koala ont également apporté leur soutien à l’artiste. Parents, collègues et amis ont répondu présents en grand nombre pour célébrer cette nouvelle étape dans la carrière de la chanteuse.
Après Paix du Cœur en 2009, son single Femmes chocos 10 étoiles en 2013 et N’djanda en 2018, Axelle Kidann fait son retour sur la scène musicale en 2025 avec I TUNDI. Cet album, riche en messages et en émotions, aborde des thématiques variées, mêlant sensibilisation, hommages et réflexion sur la société. Le premier titre, TIN COGI (Étudions), est un single sorti en 2022 qui met en avant le civisme, la citoyenneté et le patriotisme en milieu scolaire. Le deuxième titre, Allez FDS et VDP, rend hommage aux forces combattantes face à la crise sécuritaire que traverse le Burkina Faso. Faabo (Sauveur) est une chanson qui célèbre la foi en Dieu, tandis que AWA est un hommage poignant à sa mère, Awa Thiombiano. MI YEMA (La vie), un duo avec la diva Idak Bassavé, prône le bien-fait et la bienveillance.
Les autres titres de l’album poursuivent cette dynamique d’engagement et de sensibilisation : Amour, TI MARI (La maternité), Honneur aux enseignants, O BI BE (Qu’a-t-elle fait ?), Sécurité routière, Respect à l’enseignant, U DJAKOANDIYANU (Hymne national) et COVID-19 BA BORI sont autant de chansons qui portent un message de respect, de reconnaissance et de prise de conscience.
Pour Axelle Kidann, I TUNDI est un album de confirmation qui témoigne de son engagement artistique et citoyen. « Cet album reflète pour moi la confirmation. Il traite plusieurs thèmes et porte un message fort. Mon souhait est qu’il apporte de la joie dans les cœurs », confie-t-elle. L’album est disponible en clé USB au prix de 5000 FCFA chez les revendeurs et sur les différentes plateformes de téléchargement.
Native de Fada N’Gourma, Thiombiano Alimata, connue sous le nom d’artiste Axelle Kidann, est une femme aux multiples talents. Enseignante de formation, elle est présidente du Bureau National des Enseignants Musiciens (BNEM) et ambassadrice de l’amour et de la paix. Engagée dans plusieurs associations, elle est aussi titulaire d’une licence en sociologie, actrice de cinéma, auteur-compositeur et interprète. Son parcours témoigne de sa capacité à conjuguer ses différentes passions pour partager au monde le meilleur d’elle-même à travers la musique.
L’artiste Axelle Kidann a profité de la dédicace pour rendre hommage à sa Mère Awa Thiombiano.
Ismaël Kiekieta ✍🏼
Burkina/Mariage collectif : 45 FDS unies pour la vie sous le regard des autorités Ce jeudi 6 février 2025, la Direction Centrale de l’Action Sociale et des Blessés en Opération a célébré un mariage collectif réunissant 45 membres des Forces de Défense et de Sécurité […]
Actualité Sécurité SociétéBurkina/Mariage collectif : 45 FDS unies pour la vie sous le regard des autorités
Ce jeudi 6 février 2025, la Direction Centrale de l’Action Sociale et des Blessés en Opération a célébré un mariage collectif réunissant 45 membres des Forces de Défense et de Sécurité (FDS) à Ouagadougou.
Présidée par le ministre en charge de la Défense, Célestin Simporé, en présence des autorités administratives, des familles et des proches des mariés, cette cérémonie revêt une importance particulière. Elle témoigne de l’engagement de l’État à soutenir ses forces de défense non seulement dans leur mission, mais aussi dans leur vie familiale.
Selon le Ministre Célestin Simporé, ces unions légalisées en groupe traduisent la volonté d’accompagner les FDS vers plus de stabilité. « Le mariage administratif ou civil est un acte fondamental pour le couple, la famille et l’institution que nous incarnons. Nous encourageons ceux qui ne sont pas encore dans la légalité à franchir ce pas pour le bien-être de leur famille », a-t-il déclaré.
Le mariage collectif, en plus d’être une solution pratique pour de nombreux couples, permet de simplifier les démarches administratives et de donner un cadre légal aux unions. Il assure aux époux des droits essentiels tels que la protection des conjoints, la reconnaissance des enfants et la garantie des droits successoraux.
Un fait marquant de cette cérémonie a été la présence d’un couple polygame parmi les 45 unions célébrées. Il s’agit du couple Zerbo, qui s’est distingué en se présentant au maire avec ses deux épouses pour officialiser leur union sous le régime de la polygamie, en toute conformité avec la législation en vigueur
À travers cette initiative, l’État réaffirme son engagement à accompagner les FDS non seulement dans leur mission de protection du pays, mais aussi dans la consolidation de leur vie familiale, un pilier essentiel à leur équilibre et à leur dévouement professionnel.
Ismaël Kiekieta ✍🏼
LES 72 HEURES DE L’URBANISTE: Rendez-vous est pris du 20 au 22 février au SIAO L’urbanisation est un enjeu majeur en Afrique, où la croissance démographique rapide et l’urbanisation accélérée posent des défis cruciaux en matière d’aménagement du territoire. C’est dans ce contexte que l’Ordre […]
Actualité Habitat LittératureLES 72 HEURES DE L’URBANISTE: Rendez-vous est pris du 20 au 22 février au SIAO
L’urbanisation est un enjeu majeur en Afrique, où la croissance démographique rapide et l’urbanisation accélérée posent des défis cruciaux en matière d’aménagement du territoire. C’est dans ce contexte que l’Ordre des Urbanistes du Burkina (OUB) organise la première édition des 72 heures de l’Urbaniste, un événement inédit qui se tiendra du 20 au 22 février 2025 au Pavillon du Soleil Levant du SIAO, à Ouagadougou.
Avec pour thème « Développement urbain durable en Afrique : rôle de l’urbaniste en temps de crise », cette rencontre ambitionne de réunir des experts, des chercheurs, des décideurs et des citoyens pour réfléchir ensemble aux solutions à adopter face aux défis de l’urbanisation dans un contexte de crises multiples.
Cet événement, qui se veut un véritable laboratoire d’idées et de propositions pour la construction de villes durables, se distingue par la diversité de ses activités. Au programme :
Expositions et rencontres B to B : Des projets urbains innovants seront présentés, favorisant les échanges entre professionnels et investisseurs.
Symposium international : Des experts de haut rang partageront leurs expériences et analyses sur les enjeux de l’urbanisme en Afrique.
Panels thématiques : La problématique du logement abordable et d’autres défis urbains seront au cœur des discussions.
Visites de terrain : Des quartiers non lotis et des projets d’aménagement seront explorés pour mieux comprendre les réalités du terrain.
Engagement citoyen et activités sportives : Une marche sportive à Bangr-Weogo et un match amical entre urbanistes et Forces de Défense et de Sécurité (FDS) viendront enrichir le programme.
Actions solidaires : Des dons seront effectués en soutien à l’effort de paix.
L’entrée étant libre, cet événement est une opportunité unique pour tous ceux qui s’intéressent à l’avenir de nos villes.
Dahouda Ouédraogo, président de l’Ordre des Urbanistes du Burkina, souligne l’importance de cet événement.
« Face aux défis croissants de l’urbanisation, il est essentiel de réunir toutes les forces vives pour repenser nos villes et les rendre plus durables. Nous invitons tous les acteurs – professionnels, institutions, entreprises, étudiants et citoyens – à participer à cette initiative historique. L’urbanisme ne concerne pas seulement les spécialistes : il touche la vie de chaque citoyen. », a-t-il déclaré.
Pendant trois jours, la capitale burkinabè sera le centre névralgique des réflexions sur l’avenir urbain du continent. Ces 72 heures de l’Urbaniste marquent le début d’une dynamique nouvelle pour repenser nos villes, adapter nos politiques urbaines aux réalités du terrain et construire un avenir meilleur pour tous.
L’urbanisation est un défi, mais aussi une opportunité. Rendez-vous du 20 au 22 février 2025 à Ouagadougou pour être acteur du changement et contribuer à façonner les villes de demain.
Sanfo Minata ✍🏼
4e édition Concours Jeune Littéraire: Une finale riche en talent et en émotion La 4ᵉ édition de la finale du Concours Jeune Littéraire, organisée par Africa Young Ambassador Association (AYAA), s’est tenue ce samedi 1ᵉʳ février 2025 à Ouagadougou. Placée sous le thème « L’apport […]
Actualité Littérature4e édition Concours Jeune Littéraire: Une finale riche en talent et en émotion
La 4ᵉ édition de la finale du Concours Jeune Littéraire, organisée par Africa Young Ambassador Association (AYAA), s’est tenue ce samedi 1ᵉʳ février 2025 à Ouagadougou. Placée sous le thème « L’apport de la littérature dans la construction et la consolidation d’une Afrique stable et unie », cette édition a bénéficié du patronage du Ministre de la Culture, ainsi que de Gilbert Pingdwendé Ouédraogo et Abraham Bila.
Quatorze candidats, issus de 5 pays africains, ont pris part à cette finale, démontrant leurs compétences à travers plusieurs épreuves : lecture, résumé d’œuvre, orthographe, rédaction de nouvelles et slam.
Les lauréats de cette édition sont Fadilatou Kaboré avec une moyenne de 73/100 pour la catégorie «résumé dynamique», Kambou Lydie avec une moyenne de 77,66/100 pour la catégorie «rédaction de nouvelles», Mathylda Ouédraogo avec 88/100 pour la catégorie «lecture», Couldiathy Eléonore avec une moyenne de 18/20 pour la catégorie «épellation» et Dayamba Delphin avec une moyenne 80,66/100 pour la catégorie «slam». Le Prix du Public a été décerné à Beye Fallou du Sénégal, tandis que Maimouna Ouédraogo, de la Côte d’Ivoire, a reçu le Prix de la Résilience, après avoir participé au concours pendant quatre ans consécutifs.
Pour le lauréat de la catégorie slam, Dayamba Delphin, c’est un sentiment de satisfaction qui l’anime. «Ce prix représente ma passion pour le slam. C’est grâce au travail acharné que j’ai pu arracher ce prix. Mon slam a porté sur l’approche de la littérature sur le développement de l’Afrique», a confié le
gagnant de la catégorie slam.
Dans son discours, Eulalie De Mérida Batieno, promotrice du concours et présidente de l’AYAA, a exprimé sa satisfaction quant au succès de cette édition, affirmant que la littérature va bien au-delà d’une simple compétition, car elle représente une passion. Elle a souligné la participation de plus de 200 candidats issus de 16 pays et la présence de 5 nations en finale, tout en remerciant les partenaires du concours, notamment ACEP Burkina et l’École Nationale de la Police, pour leur soutien indéfectible.
Le représentant du Ministre de la Culture, Jean Noël Bonkoungou, a mis en avant l’importance de la littérature comme vecteur d’unité et de progrès pour l’Afrique. Selon lui, les mots des jeunes participants façonnent les esprits, éclairent les consciences et contribuent à la construction d’une Afrique harmonieuse et prospère.
Pour Sergio Kaboré, représentant du DG de ACEP Burkina, cette compétition dépasse le cadre d’un simple exercice littéraire. Il a insisté sur le rôle fondamental de l’éducation et de l’innovation dans le développement durable, affirmant que la promotion des talents littéraires constitue un investissement essentiel pour l’avenir du continent.
Le représentant de l’École Nationale de la Police a, quant à lui, souligné que la littérature et la sécurité sont intimement liées, car il existe des écrivains et des futurs écrivains au sein des forces de défense et de sécurité.
Avec cette réussite, rendez-vous est pris pour la 5ᵉ édition du Concours Jeune Littéraire, qui promet d’être encore plus grandiose et inspirante.
Ismaël Kiekieta ✍🏼
Boxe « Fight for Peace » : Un Rendez-vous Historique le 07 février pour la Paix et le Sport au Burkina Faso Le Comité d’organisation du Gala International de Boxe Fight for Peace a tenu une conférence de presse ce vendredi 31 janvier 2025 au Palais des […]
Actualité SportBoxe « Fight for Peace » : Un Rendez-vous Historique le 07 février pour la Paix et le Sport au Burkina Faso
Le Comité d’organisation du Gala International de Boxe Fight for Peace a tenu une conférence de presse ce vendredi 31 janvier 2025 au Palais des Sports de Ouaga 2000, à Ouagadougou. À une semaine de l’événement prévu pour le vendredi 7 février 2025, cette rencontre a permis de faire le point sur les préparatifs.
Porté par Ringo Sport Élite et l’USFA, sous la direction de Gloria Guissou, promotrice du gala, Valérie Badolo, Directrice générale des sports et loisirs, et Abdoul Aziz Boro, président du comité d’organisation, cet événement vise à célébrer la paix et le sport, symboles d’unité et de renaissance pour le Burkina Faso.
Le triple champion d’Afrique, Mathias Napaongo, représentant les Forces armées nationales, affrontera l’Anglo-Nicaraguayen Jorge Moreno dans un combat qui s’annonce historique.
Une affiche de prestige qui ambitionne de hisser la boxe burkinabè sur la scène internationale.
Selon Gloria Guissou, l’initiative Fight for Peace a été lancée pour valoriser les talents sportifs burkinabè et répondre aux normes internationales de la boxe. « Nous faisons face à des difficultés, mais notre pays a besoin d’espace pour exprimer son savoir-faire. Je remercie nos partenaires pour leur soutien. Le comité d’organisation prend en charge le transport, l’hébergement et la restauration. Les prix sont en fonction du palmarès des boxeurs. Les contrats sont confidentiels. Ce sont des combats records. Les prix sont des ceintures de Fight for Peace. Tous les combattants ont confirmé leur présence », a-t-elle affirmé.
Abdoul Aziz Boro, président du comité d’organisation, a rappelé le travail effectué depuis le lancement du projet : « Nous avons organisé des combats de proximité, rencontré les autorités et les partenaires. Le Mogho Naaba Baongo soutient cette initiative, et cette édition a pour parrain le Ministre des Sports et des Loisirs. »
L’entraîneur Saïdou Bandé a assuré que son protégé est fin prêt pour ce grand défi. « Le KO est un accident en boxe. Mathias s’est préparé localement, avec les moyens disponibles. Nous voulons prouver qu’il est possible d’atteindre l’excellence ici même au Burkina Faso. Son équipe est en pleine forme et nous promettons de grandes victoires. La préparation au Burkina Faso est un choix et non par manque de moyens. Nous avons étudié l’adversaire de Mathias », a-t-il confié.
La Directrice générale des sports et loisirs, Valérie Badolo, a souligné que cela faisait dix ans qu’un tel événement n’avait pas été organisé dans le pays. Elle estime que le soutien au Gala Fight for Peace est un choix stratégique pour la promotion du sport national. C’est un retour attendu de la boxe internationale au Burkina Faso.
Les tickets sont disponibles sur les différents points de vente aux prix suivants : 10 000 FCFA, 5 000 FCFA et 2 000 FCFA, avec également des tickets spéciaux à 100 000 FCFA.
Le 7 février 2025, le Palais des Sports de Ouaga 2000 vibrera au rythme d’un combat légendaire, où sport et paix uniront le Burkina Faso dans une célébration mémorable.
Ismaël Kiekieta ✍🏼
Réouverture du Marché de Sankariaré : Une Renaissance Après l’Incendie Deux ans après l’incendie dévastateur du 29 janvier 2023, le marché de Sankariaré à Ouagadougou rouvre officiellement ses portes ce jeudi 30 janvier 2025. Entièrement reconstruit et modernisé, ce centre commercial emblématique offre désormais un […]
Actualité SociétéRéouverture du Marché de Sankariaré : Une Renaissance Après l’Incendie
Deux ans après l’incendie dévastateur du 29 janvier 2023, le marché de Sankariaré à Ouagadougou rouvre officiellement ses portes ce jeudi 30 janvier 2025. Entièrement reconstruit et modernisé, ce centre commercial emblématique offre désormais un cadre sécurisé et fonctionnel aux commerçants et clients.
Avec un investissement de près de 2 milliards FCFA, la réhabilitation du marché comprend quatre grands quartiers commerciaux, dix portes d’entrée en plus de la principale, une administration intégrant un poste de police et un poste de sécurité incendie. Des pavés ont été posés par endroits pour améliorer le confort des usagers.
Dans le cadre de cette réouverture, l’Agence de Développement Économique Urbain (ADEU) a procédé au renouvellement des contrats des commerçants. Selon Bruno Yetta, directeur des équipements marchands de l’ADEU, un fichier électronique a été mis en place pour retrouver les documents perdus lors de l’incendie, facilitant ainsi la réintégration des commerçants.
Situé dans l’arrondissement n°2, secteur 10 de Ouagadougou, le marché de Sankariaré renaît de ses cendres, prêt à accueillir à nouveau commerçants et clients dans un cadre modernisé et sécurisé.
Ismaël Kiekieta ✍🏼
Hamado Maïga : « Un an après le retrait de la CEDEAO, l’AES reste déterminée à conquérir sa liberté totale » Le président de l’ACPB, Hamado Maïga, a pris part, ce mardi 28 janvier 2025, à la Place de la Nation, à un meeting organisé par la […]
Actualité SociétéHamado Maïga : « Un an après le retrait de la CEDEAO, l’AES reste déterminée à conquérir sa liberté totale »
Le président de l’ACPB, Hamado Maïga, a pris part, ce mardi 28 janvier 2025, à la Place de la Nation, à un meeting organisé par la Coordination nationale des associations de la veille citoyenne (CNAVC) pour marquer le premier anniversaire du retrait des pays membres de l’Alliance des États Souverains (AES) de la CEDEAO.
Dans ses mots, Hamado Maïga a salué cette décision historique prise il y a un an par les chefs d’État de l’AES – le capitaine Ibrahim Traoré, le général Abdourahamane Tiani, et le général Assimi Goïta – répondant aux aspirations profondes des peuples des trois nations désormais unies. Il a qualifié ce retrait de la CEDEAO comme une étape clé vers un avenir radieux, affirmant qu’il s’agissait de « couper l’une des cordes de l’asservissement ».
Le président de l’ACPB a appelé la population à maintenir un soutien indéfectible envers les leaders de l’AES, réitérant leur détermination à poursuivre ce combat pour la souveraineté totale. « Nos trois chefs d’État tiennent toujours la hache fermement, prêts à trancher toutes les autres cordes qui nous lient encore à l’impérialisme », a-t-il déclaré, soulignant la nécessité de rester vigilants face aux menaces extérieures.
Il a également encouragé les citoyens à poursuivre la mobilisation et à rester unis dans cette quête de liberté et de prospérité pour les générations futures. « La liberté ne s’octroie pas, elle s’arrache au prix de la sueur et du sang », a-t-il martelé, avant de remercier les participants pour leur engagement en faveur de cette lutte historique.
Ce meeting a été une occasion pour les leaders citoyens de réaffirmer leur soutien indéfectible aux présidents de l’AES et de mobiliser les populations pour poursuivre la marche vers un espace libre et prospère.
Ismaël Kiekieta ✍🏼
Un an après le retrait de l’AES de la CEDEAO : Les Partis politiques burkinabè réaffirment la révolution souverainiste de l’AES Ouagadougou, 28 janvier 2025 – À l’occasion du premier anniversaire du retrait historique du Burkina Faso, du Mali et du Niger de la Communauté […]
Actualité SociétéUn an après le retrait de l’AES de la CEDEAO : Les Partis politiques burkinabè réaffirment la révolution souverainiste de l’AES
Ouagadougou, 28 janvier 2025 – À l’occasion du premier anniversaire du retrait historique du Burkina Faso, du Mali et du Niger de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), les partis politiques burkinabè ont tenu une conférence de presse pour dresser le bilan de cette décision. Sous la direction de Alifata Abou Teguera, Président du Parti du Travail, les acteurs politiques ont réaffirmé les ambitions de l’Alliance des États du Sahel (AES) pour la souveraineté, l’unité et la résilience face aux défis régionaux.
Dans une déclaration empreinte de détermination, les conférenciers ont dénoncé les ingérences extérieures et l’inadéquation des politiques de la CEDEAO aux réalités sahéliennes. « Le Burkina Faso, le Mali et le Niger, unis dans cette révolution, ont décidé de prendre leur destin en main. Ce retrait de la CEDEAO n’est pas une rupture avec l’Afrique, mais un acte de libération, de reconstruction et de réaffirmation de notre dignité », a affirmé Ali Phata Teguera.
Les intervenants ont souligné que la CEDEAO, loin de favoriser la paix et la stabilité, est devenue « un instrument de domination étrangère », imposant des sanctions et des conditions économiques déconnectées des réalités du terrain. Alifata Abou Teguera a notamment critiqué les réactions de l’organisation face aux récents coups d’État au Sahel : « La CEDEAO a préféré la sanction et l’isolement plutôt que de chercher à comprendre les aspirations populaires et les défis sécuritaires. »
Appelant à une solidarité inter-États et à une mobilisation panafricaine, les leaders politiques burkinabè ont plaidé pour un Sahel uni, souverain et solidaire. « Nous voulons bâtir un Sahel nouveau, respectueux des aspirations de nos peuples, sans ingérence extérieure ni pressions », a déclaré le président du Parti du Travail.
Les partis politiques ayant pris part à cette conférence de presse – le Parti du Travail, le Nouvel Élan Démocratique en Afrique, le Rassemblement des Mains Blanches et l’Alliance Démocratique des Patriotes – ont également exhorté la communauté internationale à reconnaître le droit des États membres de l’AES à l’autodétermination.
En conclusion, Alifata Abou Teguera a lancé un appel vibrant à tous les peuples africains : « Ensemble, nous réécrirons l’histoire de notre continent pour bâtir un avenir libre, souverain et juste. »
Cet anniversaire marque ainsi une étape importante dans le parcours de l’AES, qui continue de promouvoir une vision ambitieuse pour la transformation et l’émancipation du Sahel.
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AES : Un an après la rupture avec la CEDEAO, la CNAVC appelle à une mobilisation historique le 28! janvier Ce vendredi 24 janvier 2024, à Ouagadougou, la Coordination Nationale de Veille Citoyenne (CNAVC) a tenu un point de presse pour annoncer un meeting historique […]
Actualité SociétéAES : Un an après la rupture avec la CEDEAO, la CNAVC appelle à une mobilisation historique le 28! janvier
Ce vendredi 24 janvier 2024, à Ouagadougou, la Coordination Nationale de Veille Citoyenne (CNAVC) a tenu un point de presse pour annoncer un meeting historique prévu le 28 janvier prochain à la Place de la Nation. Cette mobilisation marquera le premier anniversaire du retrait des pays membres de l’Alliance des États du Sahel (AES) de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Lors de cette rencontre avec la presse, les porte-paroles Nina Ouédraogo et Ghislain Dabiré ont présenté un bilan des réalisations marquantes de l’année 2024 tout en projetant des perspectives pour les années à venir. Selon Ghislain Dabiré, « le meeting du 28 janvier porte un message puissant. Cette date est historique pour nos peuples, car elle symbolise notre autodétermination et notre indépendance totale ».
L’année 2024 a été marquée par d’importantes avancées dans divers domaines. Sur le plan sécuritaire, la modernisation de l’armée, conjuguée à des réformes institutionnelles, a permis la reprise de nombreuses localités autrefois occupées par des groupes armés. Plus d’un million de déplacés internes ont ainsi pu être réinstallés grâce aux efforts conjugués des autorités et du peuple.
Dans le domaine économique, plusieurs réalisations notables ont renforcé l’autonomie des pays membres de l’AES. Deux usines de transformation de tomates ont été inaugurées, la Banque du Trésor a vu le jour, et des réserves nationales d’or ont été considérablement renforcées. Par ailleurs, des appuis logistiques et techniques accordés aux agriculteurs dans le cadre de l’initiative présidentielle pour l’autosuffisance alimentaire ont permis d’enregistrer une production céréalière excédentaire de 12 % par rapport à l’année 2023.
Sur le plan social, la reprise des cours dans plusieurs localités et la construction d’infrastructures universitaires ont contribué à l’amélioration du système éducatif. De nouveaux équipements et des centaines de bus ont également été mis à la disposition des élèves et étudiants. En parallèle, des millions de déplacés internes ont bénéficié d’un soutien humanitaire renforcé.
L’année 2024 a également permis au Burkina Faso de rayonner culturellement et diplomatiquement. Des événements d’envergure internationale, tels que la Semaine Nationale de la Culture et le Tour du Faso, ont mis en valeur la résilience et l’identité culturelle du peuple burkinabè. Le 28 janvier 2024, une date désormais historique, a marqué la sortie souveraine de l’AES de la CEDEAO, un acte qualifié de « non-retour » par les chefs d’État des pays membres. Cette décision incarne la volonté des États de l’AES de s’affranchir de toute domination étrangère et de bâtir leur destin en toute indépendance.
La CNAVC appelle les populations des pays membres de l’AES à une mobilisation massive le 28 janvier 2025 à la Place de la Nation à Ouagadougou et dans les autres grandes villes. Ce meeting sera l’occasion de célébrer cette étape décisive du processus d’autodétermination et de rappeler au monde entier que l’avenir des nations du Sahel se construit désormais en toute souveraineté.
Ismaël Kiekieta ✍🏼
Pour le Soutien aux États du Sahel, Le CLP interpelle la France et prône l’unité africaine. Le CLP interpelle la France et prône l’unité africaine. Le Collectif des Leaders Panafricains (CLP) a organisé ce mercredi 22 janvier 2024 à Ouagadougou une conférence de presse axée […]
Actualité SociétéPour le Soutien aux États du Sahel, Le CLP interpelle la France et prône l’unité africaine. Le CLP interpelle la France et prône l’unité africaine.
Le Collectif des Leaders Panafricains (CLP) a organisé ce mercredi 22 janvier 2024 à Ouagadougou une conférence de presse axée sur trois points majeurs d’actualité : la déclaration de politique générale du Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, les propos controversés du président français Emmanuel Macron à l’endroit des États africains, et les déclarations du président nigérien, le Général Abdourahmane Tiani, sur les actions de déstabilisation soutenues par la France contre les pays de l’Alliance des États du Sahel (AES). Le CLP a profité de l’occasion pour donner un tableau d’honneur au Président du Faso, Ibrahim TRAORÉ.
Moussa Sanfo, Secrétaire Général Adjoint du CLP, a rappelé que l’année 2024 a été marquée par des défis immenses pour le Burkina Faso. Le CLP a exprimé sa gratitude envers le capitaine Ibrahim Traoré, chef de l’État, et son gouvernement pour leurs efforts dans la reconquête du territoire et l’amélioration de la sécurité nationale. À titre d’exemple, plus d’un million de personnes déplacées internes (PDI) sont retournées dans leurs localités d’origine, et 70,59 % du territoire national a été reconquis.
Le collectif a également salué les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) et les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) pour leur bravoure et leur dévouement face à la menace terroriste, rendant hommage aux victimes de ce combat.
Le CLP a réaffirmé son adhésion à la déclaration de politique générale du Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo du 27 décembre 2024. « Nous partageons cette vision et nous nous engageons à accompagner le chef du gouvernement pour sa réussite », a affirmé Moussa Sanfo.
Le collectif a réagi fermement aux déclarations d’Emmanuel Macron, qui avait évoqué l’ingratitude des États africains vis-à-vis de la France. Le SG adjoint du CLP a rappelé que c’est grâce à l’engagement des peuples africains, notamment les tirailleurs sénégalais et les ressources du continent, que la France a pu retrouver sa liberté face à l’Allemagne nazie. « Emmanuel Macron, s’il n’est pas athée, devrait prier l’Afrique chaque matin », a-t-il martelé.
Concernant les actions de déstabilisation dénoncées par le président nigérien, le CLP a renouvelé son appui aux chefs d’État de l’Alliance des États du Sahel (AES) – le Mali, le Niger et le Burkina Faso – face aux tentatives impérialistes de la CEDEAO et de la France. « Nous interpellons la France et ses alliés : toute tentative de déstabilisation trouvera sur son chemin le CLP et le peuple de l’AES », a déclaré Moussa Sanfo.
Le CLP a appelé les peuples des trois États membres de l’AES à une union sacrée pour bâtir un Sahel souverain, en paix et en développement durable. Le collectif a également exprimé sa gratitude envers ses partenaires internationaux, notamment la Russie, la Chine, l’Iran et la Turquie, pour leur soutien logistique et matériel.
Enfin, le CLP a annoncé des réformes internes et des activités à venir pour renforcer son soutien à la transition et contribuer à un Burkina Faso prospère.
Le message du CLP est clair : seule une unité sans faille pourra permettre aux peuples du Sahel de relever les défis actuels et de tracer les voies d’un avenir souverain et solidaire.
Ismaël Kiekieta ✍🏼