
L’association solidarité pour un mieux être social et économique a procédé à la 3e édition de son maouloud ce samedi 18 mars 2023 à Ouagadougou dans le quartier Bissighin. Cette 3e édition se tient sous le thème « L’éducation de nos enfants face à l’insécurité […]
Actualité ReligionL’association Jam Burkina a fait parler son cœur en venant en aide aux personnes déplacées internes de Diapaga ce jeudi 09 mars 2022 à Ouagadougou. Ce don est une œuvre utile qui va soulager les ménages. Cette cérémonie officielle de remise s’est voulu très sobre. […]
Actualité SociétéLes Chefs coutumiers et traditionnels du Burkina Faso en collaboration avec le Mouvement des jeunes patriotes engagés ont animé une conférence de presse ce jeudi 09 mars 2023 à Ouagadougou. Cette rencontre avec les hommes médias était une occasion réaffirmer leur soutien au Président du […]
Actualité SociétéL’association solidarité pour un mieux être social et économique a procédé à la 3e édition de son maouloud ce samedi 18 mars 2023 à Ouagadougou dans le quartier Bissighin. Cette 3e édition se tient sous le thème « L’éducation de nos enfants face à l’insécurité […]
Actualité ReligionL’association Jam Burkina a fait parler son cœur en venant en aide aux personnes déplacées internes de Diapaga ce jeudi 09 mars 2022 à Ouagadougou. Ce don est une œuvre utile qui va soulager les ménages. Cette cérémonie officielle de remise s’est voulu très sobre. […]
Actualité SociétéLes Chefs coutumiers et traditionnels du Burkina Faso en collaboration avec le Mouvement des jeunes patriotes engagés ont animé une conférence de presse ce jeudi 09 mars 2023 à Ouagadougou. Cette rencontre avec les hommes médias était une occasion réaffirmer leur soutien au Président du […]
Actualité SociétéCe vendredi 24 février 2023 à Ouagadougou, le Bureau burkinabè du droit d’auteur (BBDA) a animé une conférence de presse pour livrer des informations sur la première répartition de l’année 2023. Et pour cette répartition, la somme de 148 898 309 FCFA sera repartie à […]
Actualité CultureL’association solidarité pour un mieux être social et économique a procédé à la 3e édition de son maouloud ce samedi 18 mars 2023 à Ouagadougou dans le quartier Bissighin. Cette 3e édition se tient sous le thème « L’éducation de nos enfants face à l’insécurité […]
Actualité ReligionL’association solidarité pour un mieux être social et économique a procédé à la 3e édition de son maouloud ce samedi 18 mars 2023 à Ouagadougou dans le quartier Bissighin. Cette 3e édition se tient sous le thème « L’éducation de nos enfants face à l’insécurité », un thème qui est d’actualité au regard de la situation nationale. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership du Président de l’ASME, Aboubacar SANA et du Cheick Bassirou Gansonré.
Sensibilisation, prêche, prière, culture de la tolérance, voici là les actes majeurs de la 3e édition du Maouloud du Cheick Mohamed Bassirou Gansonré.
Selon le président de l’ASME, Aboubacar SANA, l’association accompagne le Cheick Bassirou Gansonré dans ses prêches et des différentes activités pour la prospérité de la religion musulmane. Il ajoute que la 3e édition du Maouloud dans la logique de paix et de cohésion sociale. « Les FDS et les VDP ont notre bénédiction pour le retour de la paix au Burkina Faso. Nous invitons la population à soutenir le cheikh Bassirou Gansonré dans l’accomplissement de sa mission qui est celle de la paix, de la réconciliation nationale et de la cohésion. Notre association a déja accompagné les personnes déplacées internes et entend continuer dans cette lancée les jours à venir avec le concours du Cheick », a confié le président de l’ASME, Aboubacar SANA.
A entendre, le Cheick Mohamed Bassirou Gansonré, la cérémonie de Maouloud édition 3 est un moment de prière pour le retour à la paix au Burkina Faso. Il ajoute qu’il était question de sensibiliser les jeunes sur leur comportement dans un contexte sécuritaire difficile pour le Burkina Faso. « Comment vivre face l’insécurité ? Voici une interrogation que nous avons développé à l’endroit des jeunes. Le Burkina Faso a besoin de la solidarité agissante pour le retour de la paix. Nous avons besoin de nous aimer pour avancer. Il s’est agi de prêche, de prière et de bénédictions pour le retour de la paix au pays des hommes Intègres. Nous invitons les autorités à prendre beaucoup en considération les guides religieux et les chefs coutumiers dans leur prise de décision», a laissé entendre le Cheick Mohamed Bassirou Gansonré.
Pour une des fidèles musulmanes, Adja Rokia Terra présente à cette 3e édition du Maouloud de Cheikh Bassirou Gansonré, c’était un moment de recueillement et d’enseignement sur la conduite à tenir dans un contexte d’insécurité. « Nous sommes contents de ce Maouloud et nous demandons à Dieu d’accepter toutes nos doléances et rendez-vous pour la 4e édition », soutient Adja Rokia Terra.
Du reste, il convient de retenir que l’ASME est une Association apolitique qui soutient le Cheikh Mohamed Bassirou Gansonré dans ses œuvres. C’est une association qui œuvre pour de meilleures conditions de vie des populations. Prières, doua et bénédictions ont entre autres conclu la 3e édition du Maouloud du Cheick Mohamed Bassirou Gansonré. Rendez-vous est pris l’édition 4.
L’association Jam Burkina a fait parler son cœur en venant en aide aux personnes déplacées internes de Diapaga ce jeudi 09 mars 2022 à Ouagadougou. Ce don est une œuvre utile qui va soulager les ménages. Cette cérémonie officielle de remise s’est voulu très sobre. […]
Actualité SociétéL’association Jam Burkina a fait parler son cœur en venant en aide aux personnes déplacées internes de Diapaga ce jeudi 09 mars 2022 à Ouagadougou. Ce don est une œuvre utile qui va soulager les ménages. Cette cérémonie officielle de remise s’est voulu très sobre.
La crise sécuritaire que connait le pays des hommes intègres depuis un certain temps a occasionné un déplacement massif de la population. Ces déplacements internes créent une situation de plus en plus difficile au niveau de la population. Plus qu’une nécessité ces déplacés internes ont besoin de se nourrir, de se vêtir, de se soigner et bien d’autres besoins. Ces besoins ne peuvent être comblés sans le concours combien estimable des personnes de bonnes volontés qui font preuve d’actions humanitaires. C’est essentiellement dans l’esprit de soulager et de venir en aide aux personnes vulnérables et aux personnes déplacées internes de Diapaga que l’association Jam Burkina a remis au conseil provincial des OSC de la Tapoa, 3 tonnes de riz pour répondre à leur appel à contribution pour assister aux PDI de Partiaga.
Pour la présidente de l’Association Jam Burkina, Cissé Aïssata épouse Ilboudo, ce don traduit l’esprit de solidarité agissante de l’association. Elle soutient que ce geste est une aide au conseil provincial des OSC de la Tapoa qui ont eu l’idée de lancer une campagne de don au profit des personnes déplacées internes de Partiaga. « Nous sommes venus ce matin exprimer notre solidarité au profit des PDI de Partiaga. Nous venons de remettre 3 tonnes de riz et une enveloppe pour les permettre de transporter les vivre jusqu’à Diapaga. J’invite les bonnes volontés à aider les PDI parce qu’ils sont dans le besoin. Ensemble nous pouvons bouger les lignes et aider les autorités qui ne ménage aucun effort pour sortir les burkinabè de cette crise», a plaidé la présidente de l’association Jam Burkina, Cissé Aïssata épouse Ilboudo.
Le conseil provincial des OSC de la Tapoa par la voix Mindiéba Ouali et de Dieudonné Lompo a tenu à saluer l’accompagnent de l’association Jam Burkina. « C’est un honneur de recevoir des vivres et une enveloppe pour les PDI de Partiaga. Merci à tous ceux qui sont sensibles au bien être des PDI. Merci au nom du conseil provincial», a remercié Mindieba Ouali.
Du reste, il convient de noter que cette action de grâce de l’association Jam Burkina répond à l’appel à la solidarité du Président du Faso qui insiste sur cet esprit de solidarité agissante entre les burkinabè et qui anime les uns et les autres. Il faut noter que l’association Jam Burkina depuis quelques années œuvre dans l’humanitaire avec des dons de diverses natures.
Les Chefs coutumiers et traditionnels du Burkina Faso en collaboration avec le Mouvement des jeunes patriotes engagés ont animé une conférence de presse ce jeudi 09 mars 2023 à Ouagadougou. Cette rencontre avec les hommes médias était une occasion réaffirmer leur soutien au Président du […]
Actualité SociétéLes Chefs coutumiers et traditionnels du Burkina Faso en collaboration avec le Mouvement des jeunes patriotes engagés ont animé une conférence de presse ce jeudi 09 mars 2023 à Ouagadougou. Cette rencontre avec les hommes médias était une occasion réaffirmer leur soutien au Président du Faso, Ibrahim Traoré et d’inviter l’ensemble des chefs coutumiers du Burkina Faso et leur population à s’investir davantage dans la lutte contre l’extrémisme violent. Ce sont environ plus 100 chefs coutumiers venus de diverses régions qui se sont été mobilisés pour ladite conférence de presse.
Lancer un appel pour un soutien populaire, sincère et patriotique de l’ensemble du peuple burkinabè aux autorités de la transition, exhorter les compatriotes à réviser les valeurs culturelles et traditionnelles pour le vivre ensemble et inviter les fils engagés au côté des hommes armés non identifiés à déposer les armes, voici résumé la substance de la conférence de presse animée par les chefs coutumiers du Burkina Faso en partenariat avec le Mouvement des jeunes patriotes engagés.
Et pour leurs porte parole, Dieudonné Congo, le Burkina Faso fait face à un défi sécuritaire préoccupant depuis 08 ans avec de nombreuses pertes en vie humaine et d’important dégâts matériels. Pour lui, c’est au regard de cette situation sécuritaire précaire qu’il était important de rencontrer les hommes de médias pour inviter les populations à soutenir sincèrement les autorités de la transition pour venir à bout du terrorisme. « Les fondements de notre société et la dignité du peuple ne saurait être déstructurés par des colporteurs de violence. Mais une chose est évidente, tant que le peuple restera uni résilient et résistant la victoire du bien sur le mal est certaine», a laissé entendre le porte-parole, Dieudonné Congo.
Selon Sanm Naaba, il s’agit d’inviter les populations de chaque localité à s’investir davantage dans la lutte contre le terrorisme. « Nous allons demander à chaque chef coutumier d’intercéder auprès de sa communauté pour soutenir le président Ibrahim Traoré. Nous travaillons dans l’ombre pour que la paix revienne au Faso», a laissé entendre Sanm Naaba.
Pour le Sonkolgl Naaba Siguiri avec de la sincérité et de la bonne foi la question du terrorisme pourrait être définitivement résolu si on se met ensemble pour accompagner le Chef de l’État Ibrahim Traoré dans sa mission. A lui d’ajouter que c’est le moment d’inviter toutes la population à s’unir pour faire bouger les lignes. « Si les chefs coutumiers sont réunis nous pouvons accompagner le président de la transition pour qu’il nous aide à venir à bout du terrorisme. Je suis convaincu que lorsque nous serons franc avec nous même, ensemble nous vaincrons», a soutenu Sonkolgl Naaba de Cissin.
A entendre le Bol Naaba Congo de Manga, les autorités doivent inscrire les chefs coutumiers au coeurs des prises de décisions pour redonner aux Chefs traditionnels leur lettre de noblesse. « Aujourd’hui, on accuse les chefs coutumiers parce qu’ils ne dépendent pas d’eux même financièrement. Je pense qu’on doit penser à une institutionnalisation. Je voudrais demander au président du Faso d’inviter tous les exilés à rentrer au pays pour un Burkina nouveau tourné vers la même direction, le retour de la paix», a plaidé le Bol Naaba Congo de Manga.
Du reste, il convient de noter que les jours avenirs, les chefs coutumiers entendent apporter des actions concrètes pour soutenir le Président du Faso dans sa mission. D’aucuns disent que les actions sont déjà en cours dans une discrétion totale.
Ce vendredi 24 février 2023 à Ouagadougou, le Bureau burkinabè du droit d’auteur (BBDA) a animé une conférence de presse pour livrer des informations sur la première répartition de l’année 2023. Et pour cette répartition, la somme de 148 898 309 FCFA sera repartie à […]
Actualité CultureCe vendredi 24 février 2023 à Ouagadougou, le Bureau burkinabè du droit d’auteur (BBDA) a animé une conférence de presse pour livrer des informations sur la première répartition de l’année 2023. Et pour cette répartition, la somme de 148 898 309 FCFA sera repartie à 3259 artistes. La conférence s’est tenue sous le leadership du DG du BBDA, Hamed dit Patindeba Patric LEGA.
A partir du mardi 28 février prochain, les artistes pourront rentrer en possession de leurs droits au BBDA.
A entendre la Directrice de la réparition, Armel Renée COMPAORÉ, la répartition porte sur les droits de reproduction mécanique des œuvres musicales, les droits de rémunération pour copie privée des ouvrages édités, les droits de reproduction par reprographie des ouvrages édités, les droits au titre des téléchargements des œuvres musicales.
En ce qui concerne la rémunération des copies privée, ce sont les auteurs et les éditeurs de tout les ouvrages édités enregistrés au BBDA. Pour les droits de Reproduction par Reprographie, ce sont les auteurs et les éditeurs de tous les ouvrages édités enregistrés au BBDA. En fin, pour le es téléchargement ce sont les auteurs, les compositeurs, les arrangeurs et les éditeurs d’œuvres musicales donc les œuvres ont fait l’objet de téléchargement du 1er janvier au 31 décembre 2022.
Il faut noter qu’à l’issue des prélèvements statutaires, le montant global net des droits mis réparation en février 2023 s’élève à cent quarante-huit millions huit cent quatre-vingt -dix – huit mille trois cent neuf (148 898 309) francs CFA.
D’ailleurs, le nombre total des bénéficiaires de cette répartition est de 3259 toutes sociétés confondues dont 2224 bénéficiaires membres du BBDA. En somme, c’est un montant total de 517 544 708 Francs CFA qui sera mis en paiement. Ce paiement débutera le mardi 28 février 2023 à Ouagadougou et à Bobo-Dioulasso.
Le paiement des droits de la répartition de février 2023 se fera en espèces au niveau du siège de la Direction Régionale de l’Ouest du BBDA, par chèque au niveau du Siège et de la Direction Régionale de l’Ouest du BBDA, par Orange Money au siège du BBDA et en fin par virement bancaire au siège du BBDA.
Pour le Directeur général du BBDA, Hamed dit Patindeba Patric LEGA, la conférence de presse avant chaque début de paiement est un exercice de redevabilité. « Les artistes ont donné mandat au BBDA de gérer leurs droits dans l’optique d’améliorer leurs conditions de vie et de travail. Je m’engage à faire du droit d’auteur, une véritable clé pour l’épanouissement des créateurs», rassure le DG.
Rendez vous est pris le mardi 28 février 2023 pour ke début du paiement des droits à Ouagadougou et Bobo-Dioulasso.
Contexte sécuritaire difficile pour le Burkina Faso et séisme pour la Turquie, c’est dans de telles circonstances que le comité d’organisation de la 2e édition du forum International des Affaires et de la coopération Turquie – Burkina Faso a procédé à la cérémonie officielle d’ouverture […]
Actualité ÉconomieContexte sécuritaire difficile pour le Burkina Faso et séisme pour la Turquie, c’est dans de telles circonstances que le comité d’organisation de la 2e édition du forum International des Affaires et de la coopération Turquie – Burkina Faso a procédé à la cérémonie officielle d’ouverture ce vendredi 24 février 2023 à Ouagadougou. Sous le patronage du ministère du commerce représenté par la conseillère technique Kaboré Eveline, de l’ambassadrice de la Turquie, du parrain El hadji Hamid Ouedraogo et l’honorable Daniel Sawadogo la 2e édition du forum International des Affaires et de la coopération Turquie – Burkina a offiellement ouvert ses portes.
C’est pendant 48 heures et ce, malgré le contexte sécuritaire difficile que hommes d’affaires turques et burkinabè aborderont des questions de relation bilatérale pour le développement de l’économie et des partenariats gagnant gagnant.
Dans un premier temps, il a été question pour le PDG, Mohamed Dabo de situer le onyexte dans lequel se tient se forum et présenter tout le bien fondé de ce forum qui sonne comme une forme de résilience face audites difficultés. « Cette 2e édition se tient dans un contexte difficile pour les deux pays Burkina Faso – Turquie. L’un est en proie au contexte sécuritaire et l’autre qui a subi une catastrophe naturelle. C’est une occasion de saisir pour compatir avec toutes les familles endeuillées. Nous les hommes d’affaires, nous devons cultiver la résilience parce que si nous nous arrêtons tout s’effondre. A cause de la catastrophe beaucoup d’entreprises n’ont pas pu effectuer le déplacement. Vive la coopération Burkina Faso – Turqui», a laissé entendre Mohamed Dabo, PDG de iPROBUSINESS.
Ce sont au total une dizaine d’entreprises qui ont pu effectuer le déplacement pour rencontrer les hommes d’affaires du Burkina Faso. Et pour le représentant des hommes d’affaires de la Turquie, Ousmane Bouro, il convient de présenter les condoléances aux familles victimes. A lui d’ajouter qu’il convient de saluer le comité d’organisation pour la tenue effective de ce forum. « Le commerce et les affaires ce ne sont pas facile pour les peuples de différentes cultures mais nous devons essayer de nous comprendre. Il faut savoir les besoins des partenaires. Dans l’esprit de la collaboration entre les deux pays frères nous sommes sur la bonne voie. Je voudrais remercier particulièrement tout ceux qui ont pu effectuer le déplacement », a remercié le représentant des hommes d’affaires de la Turquie.
A entendre le représentant des parrains, l’honorable Daniel Sawadogo, il faudrait continuer et booster ce partenariat avec la Turquie. « Je voudrais dire merci aux initiateurs de ce forum et bienvenue au Burkina Faso, pays des Intègres », a déclaré le représentant des parrains.
Le représentant du Ministre du commerce, Kaboré Eveline n’a pas manqué de présenter ses condoléances aux deux pays. « Ce forum est une contribution au rayonnement du développement économique. Le ministère du commerce compte apporter sa modeste contribution pour la réussite de ce forum», affirme la conseillère technique du ministère du commerce, Kaboré Eveline.
L’ambassadrice de la Turquie au Burkina Faso se réjouie de ce forum et de cette collaboration avec la Turquie.
« Depuis que je suis au Burkina Faso, le climat des affaires entre les deux pays se développent avec le concours de iPROBUSINESS initiateur de ce forum. Je souhaite que ce cadre soit beaucoup plus institutionnel parce qu’il y a beaucoup d’intérêt en commun. Notre ambassade est toujours là pour soutenir parce que c’est notre forum», a confié l’ambassadrice avant de déclarer ouverte de la 2e édition du forum International des Affaires et de la coopération Turquie – Burkina Faso.
L’artiste THOMY a procédé à la sortie officielle de son New single intitulé «MAAM BAYIRI» ce jeudi 23 février 2023 à Ouagadougou. C’est un single chanté en langue mooré, en dioula et en français qui invite à l’union sacrée, à la cohésion sociale et la […]
Actualité CultureL’artiste THOMY a procédé à la sortie officielle de son New single intitulé «MAAM BAYIRI» ce jeudi 23 février 2023 à Ouagadougou. C’est un single chanté en langue mooré, en dioula et en français qui invite à l’union sacrée, à la cohésion sociale et la paix pour en finir avec la souffrance. Parents, amis et collègues sont venus soutenir l’artiste.
Après le single Cœur en or en décembre 2022 qui a été accepté par les mélomanes burkinabè, THOMY revient sur la scène musicale avec son tout nouveau single intitulé MAAM BAYIRI. Un single pleine de sensation qui parle à l’âme et touche les cœurs. Entièrement chanté en mooré,en dioula et en français, ce single est un mélange d’harmonica et de guitare qui invite à la résilience dans un contexte sécuritaire difficile au Burkina Faso.
Selon l’artiste THOMY l’album de 2017 était sur fond propre et avait entraîné pas mal de difficulté qui sert de leçon vie artistique. A lui d’ajouter que dans le show biz, il y a des difficultés qu’il convient de surmonter.
« Je voudrais confier l’œuvre aux hommes de médias pour la communication. C’est ensemble que nous pourrons faire voyager le single MAAM BAYIRI. Greg c’est un ami et chaque fois on me compare à lui. C’est quelqu’un qui est une référence et ça me calvanise. C’est une fierté pour moi. Bientôt nous aurons un featuring», a confié THOMY.
Sur son style musical, l’artiste soutient qu’il se sent bien dans ce style. « Je veux assoir les esprits avec une musique qui parle à l’âme. C’est une musique qui veut toucher les cœurs», a laissé entendre l’artiste.
Sur la question de savoir pourquoi le titre MAAM BAYIRI, THOMY soutient que c’est à cause du contexte sécuritaire. Il invite à la révision des valeurs sociétales et à l’union sacrée.
Concernant le précédent single « Cœur en or », l’artiste précise que c’était un manque de promotion.
« C’est un single qui a été soutenu par Paratezambo Hussein, un ami qui m’a tendu la perche», soutient THOMY.
Souah Sané Thomas alias THOMY est un polyglotte, professeur d’anglais des Lycée. C’est un jeune à la voix d’or, une valeur sûre de la musique, un talent en émergence dans l’arène de la musique burkinabè.
Le single est disponible au prix unitaire de 5000 FCFA et sur toutes les plateformes de téléchargement.
L’artiste NOXY a procédé à la dédicace de son tout nouveau album intitulé «MA VISION» ce jeudi 09 février 2023 à Ouagadougou. Au cours de cette conférence dédicace, il a surtout été question de présenter le chef d’oeuvre de l’artiste NOXY, un album de six […]
Actualité CultureL’artiste NOXY a procédé à la dédicace de son tout nouveau album intitulé «MA VISION» ce jeudi 09 février 2023 à Ouagadougou. Au cours de cette conférence dédicace, il a surtout été question de présenter le chef d’oeuvre de l’artiste NOXY, un album de six titres qui traite essentiellement de l’amour et de l’argent. La dédicace s’est tenue sous le parrainage Raso.Com et le parrainage artistique Beri Kasman. Parents, amis et collègues sont venus soutenir l’artiste, NOXY.
C’est dans un rythme Afro Beat, et Afro Trap posés sur la rumba que se présente l’album « Ma vision» de l’artiste, NOXY.
Le titre « Moukassa » traduit mon amour pour ma reine. « Bi neeré » est une histoire avant la connaissance de ma reine.
Selon le manager de l’artiste Damien Ouédraogo, ce n’était pas facile pour l’artiste de rentrer en studio.
« « Ma vision » est un album qui chante l’amour et qui valorise la femme dans son ensemble. La musique commence en dehors du studio et nous avons pris deux ans pour préparer l’album. Nous comptons essentiellement sur les hommes de médias pour booster notre production», confie le Manager Guitariste de l’artiste NOXY, Damien Ouédraogo.
Sur le titre, Liguidi, NOXY soutient que l’argent contribue au bonheur. « L’argent participe à la vie quotidienne de l’homme.
Le titre «Ma reine» pour lui est une histoire personnelle avec sa reine, celle avec qui il partage sa vie.
« « Poko » est un titre qui a été inspiré au cours d’une soirée où il refusait de rentrer. Je ne suis pas le Singuila du Burkina Faso mais NOXY le burkinabè dans une création originale. L’artiste c’est la modestie et l’humilité. Je ne compte pas changé quoi que ce soit sur ma personne et ma personnalité. L’album prône l’attente et la cohésion sociale. C’est un album de six titres qui chante l’amour et de l’argent», a laissé entendre l’artiste, NOXY.
L’album « Ma vision» coûte 3000 FCFA à un prix subvention et est disponible dans les points de vente habituels. L’album n’attend qu’être consommé sans modération sur toutes les plateformes de musique.
Le CD 001 a été acheté à 60 000 FCFA par le parrain Nikiema Rasmane alias Raso Compressor. Le parrain artistique, Beri Kasman quant à lui n’a pas soutenir que l’artiste a besoin de soutien pour lancer sa carrière. «Il faut soutenir l’artiste parce que les artistes ont besoin de soutien» a déclaré l’artiste avant d’acheter le CD à 25 000 FCFA.
Du reste, il convient de noter que de son vrai nom, Henoc Tionon, l’artiste NOXY est un burkinabè originaire de Gode dans le département de Sabou. Il réside à Ouagadougou et à fait ses premiers pas dans la musique en 2010.
Les membres du congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) ont tenu leur 73ieme session du Bureau Politique Nationale le 28 janvier 2023 à Ouagadougou. L’objectif de cette cession était de parler d’abord de la situation nationale, ensuite la vie du parti et en […]
PolitiqueLes membres du congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) ont tenu leur 73ieme session du Bureau Politique Nationale le 28 janvier 2023 à Ouagadougou. L’objectif de cette cession était de parler d’abord de la situation nationale, ensuite la vie du parti et en fin les divers. La présente cession a eu lieu sous le liedership du président du parti, Eddie KOMBOIGO.
Le président du parti a salué et félicité les sympathisants pour leur résilience leur patience et leur courage manifesté tout au long de l’année 2022 dans l’attente du récépissé du parti. La fidélité et la loyauté du parti et à ses idéaux ont été fortement apprécié.
Le BPN a analysé la situation nationale autour de trois points
Au plan politique et institutionnel, les membres du BPN ont constatés que la prise du pouvoir du capitaine Ibrahim Traoré suite à des contradiction au sein du MPSR au sommet de l’Etat survie de la mise en place des organes de la transition. A cet effet, le parti a pris part aux assises nationales consacrant le choix du président de la transition.
D’après le président, le parti a constaté avec satisfaction avec l’arrivé de la nouvelle transition la délivrance du récépissé du parti. Cependant, il est à constaté la suspension des activités d’envergure du parti politique.
Au plan sécuritaire, le BPN a noté que d’énormes efforts sont fournis malgré l’augmentation du nombre des attaques, force est de constater que les efforts pour endiguer le terrorisme sont à féliciter et les acquis à saluer à leur juste valeur. A cet effet, le BPN a noté avec satisfaction la libération de certaines zones du pays notamment solenzo, la sécurisation de certains axes routiers
Cependant force est de constater que les attaques se multiplient surtout dans certaines zones du pays.
Les membres ont saisi l’occasion pour féliciter et encourager tous ceux qui œuvre à soulager les familles,
Sur le plan social et humanitaire, le BPN a salué l’élan de solidarité qui anime la nation pour venir en aide les personnes déplacées internes.
De la vie du parti, le BPN exprimé sa satisfaction après la délivrance du récépissé par les autorités compétentes au bout d’une année d’attente. Encouragé l’ensemble des militants de travailler sur de vaste chantier pour la mobilisation pour l’atteinte des objectifs. Pour ce faire, la revu des choses s’imposent à savoir la remise en jour la liste de ses membres ainsi que le renouvellement des bureaux des structures géographiques afin de donner un nouveau souffle au parti.
Nous avons pris l’engagement ferme d’accompagner les organes de la transition, de soutenir les FDS et les VDP.
Cela va se traduire dans la pratique dans toutes les provinces les communes et les villages. C’est de bon ton qu’après le congrès puisse renouveler les structures encore moins, nous avons eu un an pour avoir le récépissé, nous allons revisiter toutes les structures géographiques pour les renforcer et les élargir à tous ceux qui veulent nous rejoindre. Nous voulons un CDP nouveau redonnant de l’espoir à la population, et cela doit se faire dans la discipline>>, a laissé entendre le président du parti, Eddie KOMBOIGO.
L’Institut Supérieur des Sciences de la population de l’Université Joseph Ki Zerbo dans le cadre du projet Performance Monitoring for ACTION au Burkina Faso a tenu une rencontre d’échanges avec l’Association des Journalistes et Communicateurs Population et Développement (AJC/PD) sur les modules Planning Familial (PF) […]
Actualité santéL’Institut Supérieur des Sciences de la population de l’Université Joseph Ki Zerbo dans le cadre du projet Performance Monitoring for ACTION au Burkina Faso a tenu une rencontre d’échanges avec l’Association des Journalistes et Communicateurs Population et Développement (AJC/PD) sur les modules Planning Familial (PF) et des Violences faites aux Femmes et aux Filles (VFF) ce vendredi 03 février 2023 à Ouagadougou. A l’issu des résultats, il ressort que chez les femmes en âge de procréer au Burkina Faso, 25,7% ont subi des VPI et 16,2% des violences au sein de leurs ménages en 2022 et sur ce, il a été question d’élargir les politiques préventives et la réponse efficace aux violences basées sur le genre (VBG), dont les violences entre partenaires intimes (VPI) et les violences au sein des ménages. Ladite rencontre s’est tenue sous le leadership du Directeur de l’ISSP, Pr Abdramane Soura, du Dr Georges Guella, directeur adjoint de l’ISSP et investigateur du projet PMA et du coordonnateur de l’AJC/PD, Boureima Sanga.
D’entrée de jeu, il s’est agi pour le Directeur de l’ISSP, Pr Soura Abdramane, de saluer l’AJC/PD pour leur accompagnement dans les activités du projet PMA. Pour lui, le projet PMA a réalisé avec l’appui de ses partenaires des enquêtes portant sur les modules violences faites aux femmes et aux filles et sur la planification familiale sur toutes l’étendue du territoire national entre 2020 et 2022. « Ces thématiques sont d’intérêt national au niveau national car ce sont des phénomènes qui impactent le développement pour lequel nous nous battons. Je reste convaincu que nous aurons une séance de travail riche», a confié Pr Abdramane Soura.
À sa suite, c’est au coordonnateur du l’AJC/PD, Boureima Sanga qui a pris la parole et remercier à son tour, le DG de l’ISSP pour la confiance accordée à son réseau. Il précise que ce présent cadre d’échanges est la troisième du genre avec l’ISSP. « Ces types d’échanges permet aux journalistes et communicateurs qui s’intéresse à la santé reproductive d’atteindre leurs objectifs de communication afin de plaider et sensibiliser conséquemment auprès de qui de droit », dixit le coordonnateur AJC/PD – RMAPSEN Boureima Sanga.
Il faut dire que selon les résultats du projet PMA, de nombreuses femmes subissent des violences au sein de leurs ménages et subissent violences entre partenaires intimes. Et chez les femmes en âge de procréer au Burkina Faso, 25,7% ont subi des violences entre partenaires intimes et 16,2% des violences au sein de leurs ménages en 2022.
« Sur le planning familial, il convient de noter que 82% des femmes l’utilise. Sur la disponibilité des contraceptions, il y a des ruptures à raison des retard de livraison ou de commande», a expliqué Dr Yentema Onadja, membre de l’équipe de recherche de la plateforme PMA.
En terme d’implication politique, Dr Georges Guella note que beaucoup de progrès ont été atteints depuis la relance de la planning familial en 2013. « Le besoin est encore perceptible en milieu rural. Il y a encore des efforts à faire. Seulement 42% de l’ensemble des utilisatrices actuelles de méthodes contraceptives ont un conseling complet de la part des prestataires», précisé Georges Gueda, le directeur adjoint de l’ISSP.
Quant au module sur les violences faites aux femmes et aux filles, le présentateur Fiacre Bazié soutient que les femmes sont beaucoup plus concernés. Il ajoute qu’il existe trois sortes de violences faites aux femmes qui sont les violences émotionnelles, physiques et conjugales.
Du reste, il convient de noter que selon le projet PMA, 25,7% des femmes ont subi une violence de la part de leurs partenaires intimes, 32% des femmes du Burkina pratiquent le planning familial au Burkina Faso dans la période 2019 et 1/4 des femmes au Burkina subi au moins un type de violence selon le PMA.
Après le malien Ibrahim Cissé qui est arrivé à pied à Ouagadougou, c’est autour de Demba Aboubacar Koné DOUCOURE de fouler le sol burkinabè à vélo ce jeudi 02 février 2023 à Ouagadougou. En effet, L’ONG Urgence panafricaniste en collaboration avec la ligue des patriotes […]
Actualité SociétéAprès le malien Ibrahim Cissé qui est arrivé à pied à Ouagadougou, c’est autour de Demba Aboubacar Koné DOUCOURE de fouler le sol burkinabè à vélo ce jeudi 02 février 2023 à Ouagadougou.
En effet, L’ONG Urgence panafricaniste en collaboration avec la ligue des patriotes a accueilli en fanfare leur camarade panafricaniste malien, Demba Aboubacar Koné DOUCOURE qui a fait le trajet Mali-Burkina Faso à vélo. L’objectif de la présence de ce panafricaniste sur la terre des hommes Intègres est de demander une franche collaboration entre les deux pays frère que sont le Burkina Faso et le Mali. Le trajet du cycliste Demba Aboubacar Koné DOUCOURE s’inscrit dans la logique d’une plaidoirie pour une coopération Burkina Faso- Mali.
Demba Aboubacar Koné DOUCOURE a quitté Bamako le 14 janvier 2023, dans l’après-midi et est arrivé ce jour même à Ouagadougou, soit environ trois semaines de voyage.
Selon le cycliste Demba DOUCOURE Aboubacar Koné, cette distance parcourue à vélo s’inscrit dans le cadre du panafricanisme et l’unité africaine. « Je voudrais saluer le peuple burkinabè. Le Mali et le Burkina Faso ont le même peuple et c’est mon sacrifice pour l’unité des peuples», a laissé entendre DOUCOURE Aboubacar Koné.
Pour le responsable de l’ONG urgence panafricaniste de Kemi Seba, Boris Pendwendé Guissou, il faut saluer et encourager DOUCOURE Aboubacar Koné pour le trajet parcouru. « Nous sommes sortis accueillir le frère Demba Aboubacar Koné DOUCOURE. S’il a tenu à faire le déplacement, il convient de l’accueillir de façon triomphal», a soutenu Boris Pendwendé Guissou.
A entendre le président de la fédération des mouvements panafricaniste du Burkina, Nestor Podassé, Demba Aboubacar Koné DOUCOURE est venu du Mali à vélo pour remettre le drapeau burkinabè et malien au président Ibrahim Traoré afin de demander une fédération des deux pays. A lui d’ajouter que l’arrivée de Aboubacar Koné DOUCOURE montre la détermination des peuples à prendre leur destin à main. « L’arrivée de ce camarade nous montre que le peuple est vraiment décidé. La mission c’est d’unir les peuples africains», dixit le panafricaniste, Nestor Podassé.
Du reste, il convient de noter qu’avant Demba Doucouré, un premier Malien, Ibrahim Cissé, a quitté le Mali pour rallier la capitale burkinabè à pied. Ce dernier a même été raccompagné par le Premier ministre burkinabè, par avion, à l’occasion de son déplacement dans le pays frère.