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ActualitéA l’occasion du 73e anniversaire de la chambre du commerce du Burkina Faso, Paul Balkouma a procédé à la dédicace de son ouvrage biographique ce vendredi 11 juin 2021 à Ouagadougou. Un brillant parcours depuis 73 ans de l’institution et la biographie d’un homme qui a marqué la vie de la chambre du commerce, ce sont là, les principales idées que l’opinion publique a retenu de la commémoration du 73e anniversaire de la chambre du commerce du Burkina Faso. Ladite commémoration s’est tenue sous le leadership du ministre du commerce, Harouna Kabore.
Depuis sa création la chambre du commerce a toujours été dirigée par des hommes qualité qui ont une vision de développement du Burkina Faso. Ils avaient à cœur la promotion du secteur privé et n’ont eu cesse de faire des propositions aux pouvoirs publics sur les moyens d’accroitre la prospérité économique. Pour le ministre du commerce, ils ont su mettre en place et développer un réseau de partenariat pour faire valoir les points de vue des milieux d’affaires burkinabè aussi bien sur le plan national qu’à l’international. Il ajoute que le président Paul Balkouma a permis grâce à son dynamisme de consolider les bases de l’émergence d’un secteur privé qui, au fil des années, a acquis ses lettres de noblesses. « Je voudrais remercier le président Paul Balkouma pour tout le travail abattu et réaffirmer la fierté du gouvernement vis-à-vis de la chambre du commerce et d’industrie pour le rôle, combien important, qu’elle joue dans la dynamisation et le renforcement du dialogue Etat-Secteur privé », a affirmé le ministre.
Il convient de retenir que c’est au total 11ans que le président Paul Balkouma a travaillé avec abnégation pour améliorer et consolider les services offert aux opérateurs économiques. Selon le président de la chambre du commerce, Mahamadi Savadogo, après 73 ans d’existence, le patrimoine de la chambre du commerce et sa riche expérience font d’elle l’une des chambres de commerce les plus performantes d’Afrique. Il a salué l’ouvrage biographique du Dr Paul Balkouma porté à la chambre du commerce en 1983.
Du reste, c’est sur un air festif que la commémoration du 73e anniversaire de la chambre du commerce et de l’industrie et la dédicace de l’ouvrage biographique du Dr Paul Balkouma ont pris fin
Le comité d’organisation de la quatrième édition du Festival Gastronomique Ouest Africaine (FEGOA) a organisé une conférence de presse ce mardi 15 juin 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << Gastronomie ouest africaine, un atout touristique à promouvoir >>, ce festival se veut […]
Actualité CultureLe comité d’organisation de la quatrième édition du Festival Gastronomique Ouest Africaine (FEGOA) a organisé une conférence de presse ce mardi 15 juin 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << Gastronomie ouest africaine, un atout touristique à promouvoir >>, ce festival se veut un cadre d’échange et dégustation des mets de l’Afrique de l’ouest. Ladite cérémonie a été animée sous la présidence du président du FEGOA, Dabiré Sié ABEl.
L’alimentation est ancrée dans un système de représentation socio culturelle. Les rituels alimentaires réaffirment l’appartenance identitaire et assurent l’héritage culturel en remplissant des fonctions symboliques dans la vie d’un peuple. Le Festival Gastronomique Ouest Africaine est une initiative d’int8tion d’une agence de création audio numérique. Mise en place depuis 2015, l’agence de création audio numérique est la première agence de création de contenu audio au Burkina et compte de nos jours des milliers de productions audio avec différents partenaires du public et du privé.
Le » FEGOA » se veut être un festival gastronomique de la zone de l’UEMOA pour promouvoir, faire goûter et découvrir l’Afrique de l’Ouest à travers ses valeurs culinaires. Le premier festival Ouest Africaine mêlant l’identité, solidarité et gastronomie. Il faut noter que, le FEGOA est à sa 4e édition et compte s’ouvrir dans les autres pays de la zone UEMOA. Il souhaite ainsi insuffler un vent de valorisation du patrimoine touristique de l’Afrique de l’Ouest par les traditions culinaires, et un plaidoyer pour la promotion des produits bio, notamment en milieu urbain. Ce festival se veut être l’occasion de consommer africain avec la volonté de promouvoir l’intégration africaine par la gastronomie.
À défaut d’amener la cuisine africaine à l’étranger, méthode qui fait perdre une plus-value au continent, il semble qu’il serait plus judicieux de faire de l’Afrique une destination culinaire de premier choix. Une stratégie qui serait bénéfique aussi bien pour le tourisme national que continental.
En termes d’objectifs, il faut préciser que qui dit forte présence touristique attirée par la cuisine locale dit forte demande en produits locaux de qualité. Le tourisme culinaire en Afrique a le pouvoir de contribuer au développement de l’agro-business sur le continent, lui permettant d’aller bien au-delà du trillion de dollars US de revenus que la Banque Mondiale estime qu’il générera d’ici à 2030.
Pour cette édition le FEGOA en plus de la dimension culturelle et identitaire, se veut être une plateforme de promotion du tourisme ouest africain par sa gastronomie. L’Organisation Internationale du Tourisme ( OMT ) révèle que la gastronomie est la troisième raison des voyages dans le monde après la culture et la nature. Mais dans ce tourisme culinaire, l’organisation révèle que l’ Afrique demeure quasi- inexistante.
Son objectifs est de valoriser les cultures ouest africaine à travers la gastronomie, labellisé l’art culinaire ouest africaine, promouvoir la santé par une alimentation bio et saine, fedérer tous les évènements africaine de promotion culinaire.
D’ailleurs, la banque mondiale estime qu’il gagnera d’ici 2030 à valoriser les cultures ouest africaine à travers la gastronomie, labellisé l’art culinaire, intégrer le FEGOA dans la sphère des grands événements. Par ailleurs, les résultats entendu sont 1 780 000 personnes informées, 20 000 visiteurs sur les trois jours du festival, 30 restauratrices venue des capitales ouest africaine, une couverture par 50 médias ouest africaine, des influenceurs des médias sociaux primés pour la promotion de la gastronomie.
Retenez que deux indications majeures sont prévus à savoir une œuvre caritative au profit des personnes et une formation aux méthodes HACCP en vu de garantir une sécurité alimentaire. Le FEGOA 2021 offre un espace premium à ses festivaliers les plus exigeants amateurs de plat exotiques.
Du reste, retenez que le TOGO sera à l’honneur pour faire découvrir aux festivaliers ses potentialités culinaire à savoir la pâte akoumé au donkounou, le futu, le gboma dessi, le ablo, le fromage à croûte rouge frit.
Rendez-vous est donc pris du 29 au 31 octobre prochain au palais de la culture Jean Pierre Guingané pour vivre la 4e édition du FEGOA.
Ce lundi 14 juin 2021 à Ouagadougou, le ministère de la jeunesse, de la promotion de l’entreprenariat et de l’emploi a procédé au lancement de l’Opération Permis de Conduire. L’opération Permis de conduire de l’édition 2021 prendra en compte 1280 jeunes sur 18000 inscrits issus […]
Sécurité routièreCe lundi 14 juin 2021 à Ouagadougou, le ministère de la jeunesse, de la promotion de l’entreprenariat et de l’emploi a procédé au lancement de l’Opération Permis de Conduire. L’opération Permis de conduire de l’édition 2021 prendra en compte 1280 jeunes sur 18000 inscrits issus des 13 régions du Burkina Faso. Ladite cérémonie s’est tenue sous le parrainage du ministre des transports, de la mobilité urbaine et de la sécurité urbaine, Vincent T DABILGOU et la présidence du ministre de la jeunesse, Salifo TIEMTORE.
Ce sont au total 1280 jeunes qui vont bénéficier des cours du code de la route et de conduite en vue de l’obtention d’un permis de conduire. Pour le parrain, le ministre des transports, Vincent Dabilgou, cette opération de permis de conduire est va contribuer à enseigner le code de la route afin de permettre aux jeunes non seulement de se protéger mais aussi de protéger les autres en circulation. Il ajoute que le permis de conduire avant d’être un gage d’emploi est un diplôme de la vie. « Je veillerai personnellement au bon déroulement de cette opération de permis de conduire afin que le code de la route soit bien assimilé par les apprenants », a laissé entendre le ministre des transports.
Selon le ministre de la jeunesse, de la promotion de l’entreprenariat et de l’emploi, Salifo TIEMTORE, opération permis de conduire permettra de renforcer l’employabilité des jeunes et le civisme routier. « En plus du permis C, cette édition a inclus le permis D. Ils seront au nombre de 40 à bénéficier pour la formation catégorie D du permis de conduire », souligne le ministre de la jeunesse. Il a par ailleurs demandé aux auto-écoles engagées à faire preuve de rigueur et de professionnalisme afin que les formations se déroulent dans les délais raisonnables conformément aux engagements pris afin que nous puissions aboutir à de meilleurs résultats.
Il faut noter que l’incivisme routier est la principale cause des accidents, beaucoup d’usagers de la route dont les jeunes ignorent les règles de la circulation. Ainsi, il était plus que nécessaire de multiplier les actions de sensibilisation et d’éducation au code de la route. Il convient de retenir que l’opération permis de conduire concerne tous les jeunes burkinabè de 18 à 35ans et la sélection des bénéficiaires se fait par tirage.
Ce mercredi 16 juin 2021 à Ouagadougou, African Women Leaders (AWL) a rencontré les hommes de médias autour d’une conférence pour échanger sur la commémoration de ses 5 ans d’existences en termes de bilan et de perspective. Placée sous le thème « repenser la stratégies », […]
SociétéCe mercredi 16 juin 2021 à Ouagadougou, African Women Leaders (AWL) a rencontré les hommes de médias autour d’une conférence pour échanger sur la commémoration de ses 5 ans d’existences en termes de bilan et de perspective. Placée sous le thème « repenser la stratégies », cette rencontre avait pour but de mettre en lumière l’engagement d’AWL. Les échanges avec la presse se sont tenues sour le leadership de la présidente d’AWL, Marie Herman COULIBALY.
Reconnue depuis 2016, African Women Leaders a pour mission d’offrir des plateformes éducatives aux associations de femmes et de jeunes, afin qu’elles puissent créer de la valeur ajoutée dans leurs différentes initiatives entrepreneuriales. En effet, dans son cadre général de 2017/2020, AWL s’est fixé des objectifs visant à s’impliquer auprès des structures associatives des groupes cibles des milieux ruraux et urbains pour leur offrir des cadres d’apprentissage et de partage d’expérience. Une démarche qui permet de développer leurs capacités de leadership pour une autonomisation véritable.
Il convient de retenir que la structure associative African Women Leaders a gagné en maturité. Une maturité dans la durée et dans la mise en œuvre de stratégies innovantes pour mieux accompagner les associations de femmes et de jeunes dans le renforcement de leurs capacités. African Women Leaders commémore ce mois de juin 2021 ses 5 années d’existences au profit des associations de femmes et de jeunes.
Selon la présidente d’AWL, Marie Herman COULIBALY, en termes de bilan, il faut noter que plus de 200 associations ont été touchées directement et indirectement par l’action d’AWL. Elle affirme que 03 projets ont été réalisés à savoir le projet d’implantation des femmes dans le développement à travers les communes, le projet « MOUSSORO » et les activités culturelles et sportives. En termes de difficultés, elle note le manque de partenaire financier et le manque de capitaux pour élargir leurs champs d’actions. « Nous sommes à la recherche de partenaires pour nous accompagner dans nos actions et élargir notre vision. Au niveau national, nous n’avons que des partenaires techniques à savoir le ministère de la femme, de la culture et celui de la jeunesse mais à l’international nous n’avons pas de partenaire », a laissé entendre la présidente.
En rappel, plusieurs activités seront à l’ordre du jour pour la commémoration des 5 années d’existence. Il s’agira des panels, des renforcements de capacités pour les femmes et les jeunes et une soirée d’hommage aux anciens membres du bureau exécutif. Un appel à partenaire a été lancé pour permettre African Women Leaders d’étendre son domaine d’intervention dans les régions du Burkina Faso.
Compte rendu de : Minata SANFO (journaliste)
L’association les Fasoïstes a procédé officiellement au lencement de la journée de la promotion de l’entrepreneuriat de la jeunesse Fasoïste ( JPE/JF) ce dimanche 13 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif principal est de développer et de promouvoir l’esprit de leadership et l’entrepreneuriat Chez les jeunes. […]
Actualité SociétéL’association les Fasoïstes a procédé officiellement au lencement de la journée de la promotion de l’entrepreneuriat de la jeunesse Fasoïste ( JPE/JF) ce dimanche 13 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif principal est de développer et de promouvoir l’esprit de leadership et l’entrepreneuriat Chez les jeunes. Dix jeunes entrepreneurs ont bénéficié de la somme de cent mille francs CFA dans le cadre du projet » un jeune un mentor » et d’autres qui ont bénéficié de la carte verte Fasoïste.
Le tissu associatif reste une valeur refuse pour la majorité des Jeunes qui lui accorde toujours une grande confiance. La participation bénévole apparaît comme un moyen d’épanouissement personnel et d’ouverture sur la société.
Elle contribue au développement de l’économie sociale et solidaire à travers des activités à forte utilité.
Il faut noter que la cérémonie s’inscrit dans le cadre du lancement officiel de la journée de promotion de l’entrepreneuriat de la jeunesse Fasoïste à travers le lancement des projets mineurs pour soutenir les initiatives des jeunes dans le domaine de l’entrepreneuriat.
Il faut retenir que lors de cette cérémonie il y a eu l’installation du club des jeunes entrepreneurs Fasoïstes, dix jeunes entrepreneurs ont bénéficié de la somme de 100 000 FCFA dans le cadre du projet « un jeune un mentor ». Un cireur bénéficiaire de coffre du jeudi cireur et d’autres jeunes ont bénéficié de la carte Fasoïste qui facilitera les déplacements.
Pour le président de l’association les Fasoïstes, Serges P. COMPAORE, c’est autant d’initiatives qui permettront aux jeunes de s’en sortir dans la vie et éviter de s’adonner à des pratiques pas du tout conforme à la réglementation. <<Chaque jeune aura besoin de 100 milles de F CFA pour réaliser son projet donc autant de mentoring qu’il nous faut>>, a signalé le président. Pour ce faire, il lance un appel aux élus nationaux, au gouvernement et aux hommes d’affaires.
Selon le président de la cérémonie, le ministre de la jeunesse, de la promotion de l’entrepreneuriat et de l’emploi, Salifo TIEMTORE , embaucher les gens dans le secteur public devient de plus en plus difficile. Pour cette raison, il encourage et félicite les organisateurs qui ont joint cette parole. <<Cela vient en complément à toute la mission que nous avons au niveau du ministère à savoir la mise à disposition des fonds nationaux de financement qui accompagnent les jeunes entrepreneurs, des structures de formation en entrepreneuriat >>, a fait savoir le ministre
<<Nous avons décidé de les accompagner parce qu’ils ont une vision, des objectifs et se donnent les moyens propres à eux de les réaliser et s’outiller suffisamment pour être sûres que ce qu’ils projectent aujourd’hui aura forcément un impact positif sur l’économie du pays >>, a soutenu la marraine, zalissa KOUMARE, ambassadrice de Women in Africa.
Fres yeelen Ba a organisé un atelier ce mardi 15 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif général de cet atelier est de créer un cadre d’échange pour accroitre l’utilisation d’énergie propre et abordable dans les zones rurales au Burkina Faso. Placé sous le thème « renforcement de […]
EnvironnementFres yeelen Ba a organisé un atelier ce mardi 15 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif général de cet atelier est de créer un cadre d’échange pour accroitre l’utilisation d’énergie propre et abordable dans les zones rurales au Burkina Faso. Placé sous le thème « renforcement de la collaboration entre les acteurs du secteur des énergies renouvelables », cet atelier se tient sous la présidence du DG de Fres Yeelen Ba, Bourama KEITA.
Depuis 2008, Fres Yeelen Ba fournit des services d’électricité solaire de qualité à un cout abordable aux ménages, aux entreprises et aux institutions dans le Haut-Bassins, les cascade et la boucle du Mouhoun. En 2020, il a lancé sa stratégie d’expansion.
Fres Yeelen Ba a décidé de réunir les acteurs les plus importants du secteur de l’énergie renouvelable pour qu’ensemble ils puissent voir dans quelle mesure, ils pourront augmenter l’utilisation de l’énergie propre et abordable dans les zones rurales du Burkina. Il faut dire que l’urgence climatique invite les hommes à changer leurs habitudes de consommation énergétique, une situation qui explique la vision et les objectifs de Fres Yeelen Ba dans les zones rurales du Burkina.
Pour le représentant du DG de l’ANEREE, Aida SIKO, il s’est agi de remercié les participants à cette rencontre d’échange et de partage en matière d’électrification en milieu rural. Elle souligne que l’un des objectifs de l’ANEREE est de faciliter l’accès à l’énergie à la population rurale en favorisant la transition à travers une meilleure maitrise de l’efficacité énergétique. « L’électrification rurale à travers le solaire est un domaine de compétence de l’ANEREE et il faut saluer l’initiative de Fres Yeelen Ba qui vise à mettre en relation les responsables gouvernementaux, les acteurs du secteur de l’énergie et les autorités locales. A l’issu de cette rencontre, nous sortirons suffisamment outillés pour relever les défis liés à l’électrification rurale », a soutenu Aida SIKO.
Selon le DG de Fres Yeelen Ba, Bourama KEITA, le secteur des énergies renouvelables constitue un outil de croissance économique et sociale. Pour lui, il sert d’appoint aux différents secteurs stratégiques à savoir l’industrie, le commerce, l’agriculture et grand pourvoyeur d’emploi. Il ajoute qu’il met en valeur les ressources locales et contribue de façon notable à la croissance du PIB.
Lors de son allocution, le DG de Fres Pays-Bas, Ido VERHAGEN a soutenu que c’est ensemble qu’ils peuvent proposer des solutions durables. Il affirmé qu’avec Fres, il ne s’agit pas seulement de fournir de l’énergie seulement dans les zones rurales mais de créer de l’emploi aussi dans ces zones.
Du reste, c’est sur cet angle que Fres Yeelen Ba tentera d’élaborer une feuille de route pour que mieux fournir l’électricité dans les zones rurales au Burkina Faso.
Minata SANFO
L’ Association Promotion Art et Culture ( APAC) a organisé une conférence de presse le vendredi 11 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif principal était d’annoncer la première édition des éditions award prévu pour le 26 juin prochain. Ladite conférence a été animée sous le leadership […]
Culture PolitiqueL’ Association Promotion Art et Culture ( APAC) a organisé une conférence de presse le vendredi 11 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif principal était d’annoncer la première édition des éditions award prévu pour le 26 juin prochain. Ladite conférence a été animée sous le leadership du commissaire général des élections award, Saïdou OUEDRAOGO.
Créer en depuis 2029, APAC est une association à but non lucratif et qui œuvre pour la valorisation de la culture au Burkina Faso. Pour le commissaire général, ils ont voulu mettre en place un projet culturel qui touche le côté des élections et aussi pour remercier les acteurs électoraux.
Les « élections award » est une cérémonie de récompense des acteurs électoraux qui se sont illustrés positivement à travers leur travail, leur engagement ou le fair-play pour les élections apaisées et transparente pour un Burkina Faso démocratique. Il faut noter que cette cérémonie aura lieu le le 26 juin 2021 à la salle des banquets de Ouaga 2000 à 20h30. Au cours de cette cérémonie, il y’aura des remises d’attestations et des trophées par catégorie à savoir :
* Le prix du meilleur humour de la campagne électorale dont 3 nominés. Monsieur Kiemdoro DO Pascal SESSOUMA » Burkina vision », Ablassé OUEDRAOGO » le Faso autrement », Eddie COMBOÏGO » CDP ».
*Prix de la meilleure presse télé dont 4 nominés à savoir, RTB, Burkina info, BF1 et Omega TV.
* Prix du meilleur parti politique fair-play dont 3 nominés à savoir UPC de Zephirin DIABRÉ, MCR de Tahirou BARRY, OPA-Bf de Ambroise FARAMA.
* Prix de la meilleure personnalité politique One man show dont 2 nominés à savoir, Bala Alasane SAKANDE, Me Gilbert Noël OUEDRAOGO.
* Prix du meilleur parti politique Respectant le quota genre des dépôts de candidature dont 2 nominés à savoir, MRB de Monique Yelli KAM, le Mouvement SENS de Me GUY Hervé KAM.k8
* Le prix du meilleur candidat à l’élection présidentielle le plus courageux lors des élections de candidature dont 4 nominés , Issa SAWADOGO, candidat indépendant, Dr Claude Aimé TASSEMBEDO candidat indépendant, Yacouba Isaac ZIDA MPS, Kiemdoro DO Pascal « Burkina vision »
* Le prix du meilleur buzz dont 3 nominés à savoir, Addie Comboïgo du CDP, Simon COMPAORÉ du MPP et Zépherin DIABRE de UPC.
Prix réserver à la plus jeune candidate qui sera décerné à mademoiselle Doria RL SAWADOGO du Mouvement SENS.
* Le prix de l’intégration sera décerné à la CEI Côté d’Ivoire et CEI TOGO
Il faut ajouter qu’il y’aura aussi des prix spéciaux pour les présidents qui ont dirigé la CENI.
En rappel, il faut retenir qu’au total, 9 trophées seront décernés au cours de cette cérémonie.
La Direction générale du Trésor et de la comptabilité politique en collaboration avec la Loterie Nationale Burkinabè et la Police Nationale a organisé une conférence avec les hommes de médias ce mercredi 9 juin 2021 à Ouagadougou. L’ objet de cette conférence rentre dans le […]
SociétéLa Direction générale du Trésor et de la comptabilité politique en collaboration avec la Loterie Nationale Burkinabè et la Police Nationale a organisé une conférence avec les hommes de médias ce mercredi 9 juin 2021 à Ouagadougou. L’ objet de cette conférence rentre dans le cadre de la sensibilisation et de la communication sur l’évolution inquiétante du phénomène lié à l’exploitation illégales des machines à sous non conventionnelles. Ladite conférence a été animée sous le leadership du DG du trésor et de la comptabilité politique, Célestin Santéré SANON.
La prolifération et l’exploitation illégale des machines à sous << non conventionnelles >> est une réalité au Burkina Faso. En effet, il a été constaté une implantation anarchique desdites machines à sous dans les endroits interdits à la pratique de cette activité. Il faut noter que le phénomène a pris une ampleur inquiétante car de nombreuses zones dites « non loties », ville et village ont été envahie. Ce phénomène est particulièrement constaté au niveau de la ville de Ouagadougou dans les quartiers de Zagtouli, zongo, Pissy, Yagma Nagrin, Nioko 1 et 2, Rimkiéta…La boucle du Mouhoun est la région la plus touchée parmi les autres régions.
Au regard de ce phénomène, un document unique a été élaboré en vu pour une lutte efficace intitulé << Stratégique national de lutte contre la prolifération et l’exploitation illégale des machines à sous non conventionnelles au Burkina Faso>>. D’ailleurs, certains actions ont été réalisés à savoir la sensibilisation des Maires à travers l’Association des Municipalités du Burkina, la sensibilisation des responsables des structures déconcentrées du Ministre en charge des Finances, la sensibilisation des Autorités des Forces de défense et de sécurité au sein des différentes régions du pays pour expliquer la procédure en matière de réglementation des jeux de hasard au Burkina Faso.
Il faut également noter que des actions de contrôle ont été mises en place dans les marchés et yaars de la ville de Ouagadougou et un autre dans les régions.
En rappel, deux mille trois cent soixante machines à sous non conventionnelles ont été saisis le 31 mai 2021 dont mille six cent vingt-six stockées au sein de la DGTCP, trois cent quarante- quatre au sein du commissariat central de police de la ville de Bobo-Dioulasso et cent onze dans les Commissariats de police de District de la Direction Régionale de la Police Nationale des Cascades.
Le symbole de la musique burkinabè a procédé à la dédicace de son nouvel album « So Wok » en présence des médias nationaux et internationaux ce vendredi 11 juin 2021 à Ouagadougou. Cette cérémonie dédicace a connu la mobilisation de plusieurs acteurs culturels et des artistes […]
Actualité CultureLe symbole de la musique burkinabè a procédé à la dédicace de son nouvel album « So Wok » en présence des médias nationaux et internationaux ce vendredi 11 juin 2021 à Ouagadougou. Cette cérémonie dédicace a connu la mobilisation de plusieurs acteurs culturels et des artistes du terroir qui a semé les graines d’une réussite totale de l’album.
« Long parcours », c’est la définition du titre de nouvel album « So Wok » de Alif Naaba. Réalisé entre l’Afrique et l’Europe, l’album a été enregistré, mixé à Ouagadougou et à Paris, puis au studio La Fonderie en SUISSE. « So Wok » touche les causes sociétales à savoir le terrorisme, l’immigration des jeunes Africains hors du continent, l’amitié (faux amis), l’amour et aussi l’histoire. C’est un album de 17 titres.
Après un longue attente des fans de Alif Naaba, soit sept ans depuis la sortie du quatrième album « Yiki » en 2013, « So Wok » est le cinquième album qui a su allier folk et musique traditionnelle pour créer un style à lui, et se frayer un passage dans le monde de la musique.
Selon l’artiste, Alif Naaba, c’est un album décomplexé et très varié qui a pris en compte toutes les couches d’âges et bien évidemment aussi tous les deux sexes. Pour lui, « So wok » a une particularité par rapport à ses précédents albums. Il ajoute que l’album est une compilation dans laquelle son « cœur parle ». Ce cinquième album est composé de 17 titres, « M’tenga, Tal rinda, Poko… ».
Dans son album c’est un mélange du mooré, du français et de l’anglais. Il porte aussi la touche des ingénieurs de « renoms » tant sur le plan national qu’extérieur tel que Eliezer Oubda, David Felgeirolles et Jean Lamoot.
Au cours de la dédicace, le prince aux pieds nus, Alif Naaba a présenté et traduit toute sa reconnaissance à l’équipe artistique ainsi que les collaborateurs qui l’ont épaulé dans la concrétisation de son Long parcours, et leur a traduits toute sa reconnaissance.
En rappel, Alif Naaba dispose d’une discographie très riche, à savoir « Regard métis (2004), Foo (2005), Wakat (2009) Yiki (2013), Et maintenant (un single 2015), Gomdé (single 202O) et So Wok (2021) ». De son vrai nom Noura Mohamed Kaboré, il est né le 18 juillet 1982. Il est un compositeur-interprète, dont le genre musical est Afropop, afrobeat, folk musique du monde.
Le président de l’Alliance des Jeunes Burkinabè de la Côte d’Ivoire (AJB-CI), Malick ZAMPALIGRE a foulé le sol burkinabè et s’est rendu au siège du Mouvement Plus Rien ne Sera Comme Avant (MPRSCA) ce samedi 12 juin 2001 à Ouagadougou. L’objectif principal de cette visite […]
SociétéLe président de l’Alliance des Jeunes Burkinabè de la Côte d’Ivoire (AJB-CI), Malick ZAMPALIGRE a foulé le sol burkinabè et s’est rendu au siège du Mouvement Plus Rien ne Sera Comme Avant (MPRSCA) ce samedi 12 juin 2001 à Ouagadougou. L’objectif principal de cette visite était d’échanger sur la situation nationale et celui de la diaspora de la Côte d’Ivoire. Ces échanges se sont voulus fructueux pour l’ensemble des burkinabè.
L’Alliance des Jeunes Burkinabè de la Cote d’Ivoire n’est pas resté insensible face à la situation dramatique que le pays des hommes intègre a connu ses derniers jours. En effet, c’est au cours d’une visite de courtoisie que le président de l’Alliance des Jeunes Burkinabè de la Côte d’Ivoire (AJB-CI), Malick ZAMPALIGRE a exprimé toute sa compassion à ses frères burkinabè pour l’attaque meurtrière de Solhan. C’est une occasion pour le président de AJB-CI de renseigner sur tous les problèmes que vivent les burkinabè et d’exposer également au MPRSCA toutes les difficultés que les burkinabè vivant en Côte d’Ivoire rencontre.
Au titre des difficultés que vivent les compatriotes diaspo de la Côte d’Ivoire, il faut noter les problèmes d’établissement de la carte consulaire, celui de la carte nationale d’identité burkinabè et la problématique de la fermeture des frontières terrestres. L’un des points majeurs, sur l’établissement de la carte consulaire, c’est sur la durer et le coût.
Les cartes consulaires coûtent entre 7000 f CFA et 20000FCFA selon les régions et sa durée est de 5 ans et alors que la CNIB coûte 2500 FCFA pour 10 ans de durée. Toute chose qui ne s’explique pas selon l’opinion publique.
Sur l’établissement de la carte nationale d’identité, c’est le manque d’une équipe pour l’établissement des cartes. « L’établissement de la CNIB en Côte d’Ivoire au sein du consulat a été interrompu après les élections couplées de novembre 2020. Nous demandons une équipe permanente en Côte d’Ivoire pour établir les CNIB. Nous demandons au ministre des affaires étrangères de se penser sur nos difficultés», a souhaité le président Malick ZAMPALIGRE.
Quant à la ferme des frontières, le président de l’Alliance des jeunes burkinabè de la côte d’ivoire, ZAMPALIGRE Malick, estime que c’est un leurre parce que le trafic routier continu de façon officieuse. « Nous insistons sur l’ouverture des frontières parce que le trafic routier fonctionne toujours de manière officieuse. Il suffit de corrompre les agents postés sur la route » a t’il souligné.
Le MPRSCA trouve qu’au regard de l’insécurité les burkinabè ont plus que jamais besoin de leurs CNIB pour circuler librement. Ils demandent au président au Faso de gérer les burkinabè à un pied d’égalité. « Nous ne pouvons pas comprendre que les frontières terrestres sont fermées alors que les frontières aériennes sont ouvertes. Nous avons une population qui n’a pas suffisamment les moyens pour prendre les avions. Il faut qu’on ouvre les frontières parce que ses fermetures profitent à une minorité de la population. Nous dénonçons les comportements illégaux sur nos voies. Nous demandons au président du Faso et à la CEDEAO d’ouvrir les frontières », dixit le chargé de communication du MPRSCA, Massirou Guiro.
Du reste, le ministre des affaires étrangères est interpelé pour l’instauration d’une équipe permanente pour l’élaboration des CNIB en Cote d’Ivoire.