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Actualité PolitiqueL’ Alliance des Parties et formation Politique de la Majorité Présidentielle ( APMP) a animé un point de presse ce jeudi 08 juillet 2021 à Ouagadougou à son siège. Cette conférence était basée sur trois points essentiels à savoir les recentes mesures prises par le présent du Faso en réponse à la situation sécuritaire, l’attitude de l’opposition politique face aux questions d’intérêt national et de l’avenir du dialogue politique initié par le présent du Faso. Ladite conférence a été animée par Me Benewendé Stanislas SANKARA.
La présente conférence s’inscrit dans la volonté permanente et le souci majeur de l’APMP de donner à l’opinion nationale et internationale l’information juste et objective, de livrer sa lecture sur les sujets importants de l’heure et de partager et de partager avec l’opinion ses points de vue sur les questions brûlantes du moment.
Il faut noter que du17 au 19 juin dernier, le président du Faso a convié l’ensemble des partis politiques de l’opposition et de la majorité dans le cadre du dialogue politique qui devrait permettre de discuter sur la question sécuritaire et les questions relatives à l’ancrage démocratique.
Pour l’APMP, ce dialogue à été suspendu et les concertations devrait se poursuivre du 03 au 04 juillet 2021, a signifié Me Benewendé SANKARA le conférencier.
<< Nous avons été surpris de constater le retrait du CFOP du dialogue politique et appelant à des manifestants dans les différentes provinces. Ce jeu trouble du CFOP nous laisse interrogatif sur sa réelle volonté de participer à la discussion si celle-ci ne devrait pas lui servir d’occasion politicienne », a affirmé Me Benewendé SANKARA.
En outre, se basé sur sur l’article 36 de la constitution qui stipule que le président du Faso « incarne et assure l’unité nationale et est garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire, de la permanence et de la continuité de l’État », Me Stanislas SANKARA fait savoir que le dialogue politique est bien encadré au Burkina Faso et qu’il peut s’exercer en tout moment si le président le juge nécessaire dans l’intérêt bien compris de la nation.
Selon Édouard Zagré, partisans de l’APMP, sur la question de la sécurité, le rat le bol de population sinon leur cri de cœur se comprennent. Il soutient que c’est dans l’union et la cohésion que nous pouvons venir à bout de cette guerre. « Aujourd’hui, nos autorités doivent se donner les moyens pour aider les VDP, les FDS et toutes les stratégies nécessaires et les personnes à la place qu’il faut pour aller au bout de ce tire », dit-il.
Du reste, l’APMP invite les acteurs politiques à faire preuve de responsabilité face à un besoin encore plus fort d’unité et de cohésion au plan national.
C’est à Ziniaré dans la région du Plateau central que le ministre des enseignements supérieurs, Alkassoum MAIGA avec sa délégation et la gouverneure ont donné le top départ pour l’examen de Baccalauréat 2021 ce jeudi 08 juillet 2021. Le lancement officiel a eu lieu en […]
Actualité SociétéC’est à Ziniaré dans la région du Plateau central que le ministre des enseignements supérieurs, Alkassoum MAIGA avec sa délégation et la gouverneure ont donné le top départ pour l’examen de Baccalauréat 2021 ce jeudi 08 juillet 2021. Le lancement officiel a eu lieu en présence des autorités administratives de la région du plateau central et du ministre de l’éducation nationale, Stanislas OUARO.
Après 09 mois d’apprentissage de connaissances et de savoirs, c’est aujourd’hui que les élèves de la classe de Terminal devront prouver qu’ils ont acquis des connaissances pour avoir leur premier diplôme de l’université, le Baccalauréat. En effet, ce jours 08 juillet, ce sont au total 154 775 candidats qui vont tenter de décrocher le Baccalauréat session 2021.
Il faut noter que c’est au lycée Basy de Ziniaré que le ministre des enseignements supérieurs, de la recherche scientifique Alkassoum MAIGA, le ministre de l’éducation Stanislas Ouaro et de la gouverneure du plateau-central, Nana Fatoumata Benon, ont souhaité bonne chance aux candidats avant d’offrir officiellement le premier sujet de composition. A entendre la délégation pour la composition ce n’est pas le moment de stresser mais de se concentrer sur les sujets parce qu’il s’agit d’un examen et non d’un concours et les nombres de places ne sont pas limitées.
Quant aux membres des jurys, le ministre des enseignements supérieurs a été très ferme en situant les responsabilités de tout un chacun. Il a demandé le dévouement et l’engagement des jurys pour que les examens se déroulent dans de très bonnes conditions.
Selon le ministre, Alkassoum MAIGA, il faut espérer un taux de succès assez important parce qu’ils ont ouvert des centres universitaires pour que les capacités d’accueils soient améliorées. Pour lui, le succès c’est bien pour les élèves et les parents mais aussi pour le personnel enseignant. Sur la problématique des candidats déplacés internes, le ministre a soutenu que tout est mis en disposition pour qu’ils puissent composer. A la question de savoir si c’est le dernier examen organisé par le ministère des enseignements supérieurs, le ministre se veut catégorique sur la réponse. Pour lui, tant que les textes n’ont pas été relus, ce n’est pas le moment de parler de dernier examen. « Il y a la nécessité d’être mieux préparé pour un transfert », dit-il.
En termes de mobilisation de ressources, il faut souligner que c’est plus de 52 000 acteurs qui sont engagés et une somme de 6 milliards pour le bon déroulement des examens.
Du reste, il convient de préciser que rendez-vous est pris pour le 16 juillet prochain pour la proclamation des résultats du premier tour.
Le Ministre de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat a visité ce mardi 06 juillet 2021 une cimenterie, des boutiques de vente en gros de ciment de fer, d’huile et de riz dans la ville de Ouagadougou. L’objectif de ces visites était de contrôler les […]
Actualité SociétéLe Ministre de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat a visité ce mardi 06 juillet 2021 une cimenterie, des boutiques de vente en gros de ciment de fer, d’huile et de riz dans la ville de Ouagadougou. L’objectif de ces visites était de contrôler les prix des produits de grande consommation qui connaissent une hausse des prix ces derniers temps. A la tête de l’équipe de contrôle, le ministre a écouté attentive les commerçants qui ont tentés d’expliquer la hausse des prix sur les produits de grande consommation.
Une équipe composée du ministre du commerce, Harouna Kaboré, des responsables techniciens de la brigade de mobile de contrôle économique et de la répression des fraudes ( BMCRF), de la direction générale de la réglementation et du contrôle des prix (DGRCP) et de l’Agence burkinabè de la normalisation de la métrologie et de la qualité ( ABNORM) s’est rendu dans les locaux de CIMFASO s’assurer de la qualité des produits et de la disponibilité du ciment pour les populations. Pour le ministre, ils sont venus constater la quantité et de la qualité de production de ciment dans notre pays par l’ensemble des cimenterie et prendre connaissances des difficultés particulières par rapport à la production et la disponibilité.
Il faut noter qu’après CIMFASO, le ministre en charge du commerce, Harouna Kaboré s’est rendu dans une boutique SONAGESS dans l’arrondissement 4 de Ouagadougou pour s’imprégner des réalités des boutiques SONAGESS. Sur place, il convient de retenir qu’avec une longue file d’attente, la fatigue et la colère se sentait sur le visage des clients. Le président de la SONAGESS, Hamadé Bélem a affirmé que le sac de maïs coûte 6000. « Nous avons une fréquence d’approvisionnement de deux semaines et on amène 40 tonnes dans les trois boutiques de l’arrondissement chaque deux semaines. Nous sommes en réflexion sur l’augmentation de la quantité vu l’engouement de la population >> dit-il.
Au marché de Zogona, il était surtout question d’échange avec les commerçants sur l’augmentation des prix des produits de grande consommation. Un échange qui a permis aux commerçants de précise que le terrorisme joue un grand rôle dans cette flambée des prix parce que les paysans sont nombreux à fuir leur terre et incapable de pratiquer l’agriculture.
Selon le secrétaire général adjoint de la ligue des consommateurs, Ousséni Ouedraogo, la quasi-totalité des sacs au niveau des boutiques de cimenteries répondent aux normes. « Sur 20 sacs au total, il n’y a que deux sacs qui ne répondent pas aux normes des 50 kg et le reste était 50 et plus. J’estime que c’est à cause de l’information qui a été donnée qu’ils ont eu des sacs gonflés au niveau de la cimenterie », dixit le SG. Au nom de la ligue des consommateurs, le SG a demandé au ministre de multiplier les sorties de terrain afin de mieux contrôler les prix des produits.
Du reste, le ministre a attiré l’attention des commerçants et que ceux qui font la spéculation sur les produits de première nécessité seront sanctionnés conformément aux textes en vigueur.
Le Ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (MICA) a organisé ce jeudi 1 juillet 2021 une conférence de presse à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence est relative à l’augmentation des prix des produits de grande consommation et à la présentation des actions entreprises […]
Actualité SociétéLe Ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (MICA) a organisé ce jeudi 1 juillet 2021 une conférence de presse à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence est relative à l’augmentation des prix des produits de grande consommation et à la présentation des actions entreprises par le gouvernement. Ladite conférence de presse a été animée par le Secrétaire Général du MICA, Boubacar SAWADOGO.
Ces derniers mois, le Burkina Faso connait une augmentation des prix de certains produits de grande consommation, à savoir les céréales (riz, maïs,sorgho). Cette tendance haussière s’explique par l’existence de la crise sanitaire qui touche le monde entier depuis 2019. A titre illustratif, il faut retenir qu’au niveau mondial, l’indice FAO des prix des produits alimentaires a enregistré une hausse de 4,8% entre le moi d’avril et mai 2021 et pas moins de 39,7% de plus que sa valeur à la même période de l’année précédente. L’indice harmonisé des prix à la consommation de l’INSD pour le Burkina Faso, il était de 3,9% en moyenne entre février, mars et mai 2021.
Il convient de noter que les hausses du coût mondial de certains produits importés et du coût du dollar américain expliquent une hausse des prix de revient de certains produits de grande consommation importés comme le riz qui est aussi dû à la crise sécuritaire Nationale.
De ce fait, pour contrer cette situation de flambée de prix, le gouvernement a entrepris des actions visant à limiter ses effets sur le pouvoir d’achat du consommateur. Il faut noter entre autres la suspension de la délivrance des autorisations spéciales d’exportation de céréales locales depuis fin 2019, l’intensification des opérations de contrôle des prix des produits de grande consommation. De janvier à juin 2021, cette opération a permis de contrôler 13559 commerçants parmi lesquels 444 ont enfreint la réglementation et ces contrevenants ont été verbalisés. La lutte contre les exportations frauduleuses et le stockage clandestins de ces produits, l’ouverture de 121 boutiques témoins au Sahel, au Crntre-Nord, au Nord et à l’Est du 30 mars au ,28 juin 2021, la distribution gratuite de janvier à juin 2021 de plus de 30 000 tonnes vivre aux personnes déplacées internes (….).
Même si les actions entreprises par le gouvernement contribues à limiter l’augmentation des prix des produits de grande consommation, des efforts reste à fournir pour faciliter l’accès des populations. Pour se faire, le gouvernement envisage poursuivre les réformes en cours à travers l’ouverture de 244 nouvelles boutiques témoins afin de couvrir toutes les communes du pays pour ravitailler la population en céréales à hauteur de 175 200 tonnes par an. La fixation des prix des céréales locales, le maintien de la mesure de suspension de la délivrance des autorisations speciales d’exportation de céréales et l’intensification des contrôles pour faire respecter les prix fixés.
Du reste, le Secrétaire Général du MICA, Aboubacar SAWADOGO a affirmé qu’ils sont disponibles pour tout besoin en appelant le numéro vert 80 00 11 84, au 80 00 11 85 et au 80 00 11 86.
(U.JO.E.B) a organisé un point de presse ce jeudi 1 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif principal de cette conférence était de donner leur position par rapport à la situation nationale. Pour l’U.JO.E.B c’est le moment de réaffirmer leur soutien au président du Faso, d’inviter la […]
Actualité Société(U.JO.E.B) a organisé un point de presse ce jeudi 1 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif principal de cette conférence était de donner leur position par rapport à la situation nationale. Pour l’U.JO.E.B c’est le moment de réaffirmer leur soutien au président du Faso, d’inviter la population à se démarquer de la marche et de soutenir les fds et les vdp dans la crise sécuritaire que traverse le Burkina Faso.
Ladite conférence a été animée sous le leadership du secrétaire à l’information Assami KABORE et de El hadji Moumouni KABORE.
Compte tenu du remaniement ministériel et des nouvelles réformes entreprises par le président du Faso, l’U.JO.E.B a réaffirmé son engagement à accompagner le président dans sa dynamique de lutte contre les forces du mal. Elle invite par ailleurs le peuple burkinabè à ne pas se tromper d’ennemis dans cette lutte contre l’extrémisme violent.
Pour Assami KABORE, cette conférence intervient pour inviter tous les burkinabè à l’union sacrée pour soutenir les fds et les vdp dans les durs moments qu’ils traversent sur le front. Il a invité les différents responsables politiques à se rendre dans les zones de combat pour s’enquérir des nouvelles de ceux qui se battent jour et nuit pour sauver le Burkina Faso. « Si les politiciens au lieu d’inviter la population à une marche partait dans les zones de combat pourront s’imprégner des réalités du terrain et écouter les doléances de nos valeureux combattant », a soutenu Assami KABORE
En ce qui concerne la marche de l’opposition politique du 3 juillet prochain, l’union se démarque et appel la population s’en démarquer aussi. « Ceux qui nous dises de marcher, n’ont pas leurs enfants ici et si la situation se détériore c’est nous qui allons souffrir. On dit de ne pas marcher mais nous pensons que ce n’est pas le moment. Nous les commerçants, du secteur privé quand-il y’ a problèmes, c’est toujours nous qui récoltons les pots cassés. Nous avions vue plusieurs types de marches ici », a soutenu Moumouni KABORE.
Du reste, l’ U.J.O.E.B souhaite que les burkinabè s’unissent pour qu’on puisse venir à bout de l’extrémisme violent.
Le comité d’organisation du Carrefour de la Musique Verte a organisé la 3e édition de Carrefour de la Musique Verte le Samedi 26 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif principal de cette cérémonie était d’encourager et de récompenser les artistes musiciens qui œuvrent pour la défense […]
Actualité Culture EnvironnementLe comité d’organisation du Carrefour de la Musique Verte a organisé la 3e édition de Carrefour de la Musique Verte le Samedi 26 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif principal de cette cérémonie était d’encourager et de récompenser les artistes musiciens qui œuvrent pour la défense et la protection de l’environnement. Pour cette 3e édition, Bol Filas a été le lauréat et Alif Naaba meilleure vidéo. La 3e édition s’est tenue sous le leadership du promoteur Boureima ZOUNDI.
Le carrefour de la music verte agit dans la défense et la protection de l’environnement. C’est un cadre pour récompenser les artistes musiciens qui ne ménage aucun effort pour sensibiliser les populations sur l’importance de l’environnement. En effet, pour le carrefour de la musique verte, la musique est un maillon fort de conscientisation pour la cause environnementale. Conscient de cela, l’environnement fait face à d’énormes difficultés auxquelles le carrefour entend jouer sa partition pour améliorer les cadres de vie.
Pour le promoteur, Boureima ZOUNDI, tout part du constat selon lequel les conséquences sont incalculables sur le changement climatique. Il ajoute à cela que plusieurs séries d’activités ont été faites en dehors de la cérémonie de récompense. Bientôt, ils vont réaliser un bosquet et faire des sensibilisations au niveau des écoles en présence du lauréat. » Nous avons mis en place une nouvelle catégorie qui est celle de la musique traditionnelle de la musique verte. Pour la 2e édition, nous nous sommes contentés des deux premières catégories, meilleure musique de l’environnement et meilleure vidéo sur l’environnement et cette fois ci nous avons institué meilleure musique traditionnelle sur l’environnement et en plus de cela nous avons organisé un panel le 8 mai dernier entrant dans le cadre de la musique et l’environnement » dit-il.
Quant au représentant du parrain de la cérémonie, Yacouba SAWADOGO, il a tenu à remercier le promoteur pour son initiative. Pour lui la musique contribue énormément dans le domaine de l’environnement car avec la musique les messages de sensibilisation passent mieux.
Il faut noter que le premier prix du Carrefour de la Musique Verte est revenu à Bol Filas, Bamogo de Noberé, meilleure musique traditionnelle de la musique verte et Alif Naaba à remporter le prix l’ambassadeur vidéo de la musique verte. Le lauréat de la 3e édition affirme que c’est un sentiment de fierté qui l’anime. « C’est aussi un appel à continuer la lutte. On peut rien faire sans l’environnement. Que parce qu’il y a des gens qui ont consacré leur vie à la protection de l’environnement, à la préservation de l’environnement et à la promotion de l’environnement. Nous en tant que humain nous devons protéger l’environnement pour les générations à venir. Je me suis lancé dans ce domaine car il faut toujours apte à mener le combat >>, ajoute BOL FILAS.
Du reste le promoteur a conclu que c’est un sentiment de joie qui l’anime et a réitéré ses remerciements à tous ceux qui ont effectué le déplacement. Il souhaite qu’il ait plus de mobilisation dans les années à venir.
Ce samedi 26 juin 2021 à Ouagadougou, African Women Leaders ( AWL) a organisé un panel au lycée yennega. Placé sous le thème : << Harcèlement sexuel en milieu scolaire et professionnel>>, l’ objectif général du panel est de briser le tabou autour du harcèlement […]
Actualité SociétéCe samedi 26 juin 2021 à Ouagadougou, African Women Leaders ( AWL) a organisé un panel au lycée yennega. Placé sous le thème : << Harcèlement sexuel en milieu scolaire et professionnel>>, l’ objectif général du panel est de briser le tabou autour du harcèlement sexuel dans le milieu scolaire et professionnelle. Ce panel a été annimée sous le leadership de madame la Présidente de AWL, Marie Hermann Coulibaly.
En marge de son 5e anniversaire, l’association African Women Leaders (AWL) a organisé une conférence publique et c’est sur le thème « Harcèlement sexuel en milieu scolaire et professionnel » qu’AWL a décidé d’échanger avec l’opinion publique.
La conférence d’AWL s’inscrit dans la dynamique de promotion et de protection des droits des femmes et des jeunes. Parler sans tabou du harcèlement sexuel en milieu scolaire et professionnel est une réalité avec l’AWL. Une question qui a pendant longtemps passé sous silence et qui détruit une pléthore de personnes. Pour l’association AWL s’est une opportunité pour partager les expériences et échanger avec la population sur comment il faut s’y prendre et ne pas se laisser brimer ou ronger par cette problématique. African Woman Leaders entend par cette conférence éclairer les zones d’ombre et espérer une résolution des harcèlements sexuels partout où besoin se fera sentir. Il convient de retenir de retenir que les domaines d’intervention de l’association AWL sont essentiellement liés à la question de la promotion et la protection des droits des femmes et des jeunes.
Pour l’honorable député Rokia ROUAMBA, il est prétentieux de faire l’état des lieux des harcèlements sexuels car la situation est criarde. Elle affirme que la situation nous interpelle d’autant que se sont nos filles, nos sœurs qui vivent cela et qui sont obligés d’abandonner les études. « Il faut dire que c’est pas seulement en milieu scolaire qu’il y’a le harcèlement sexuel, on y rentre dans tous les milieux. Les études ont montré que la plupart du temps se sont les enseignants qu’on trouve coupable. Nous sommes là pour parler de ce thème et partager notre expérience avec nos sœurs, nos filles afin qu’à la sortie de cet atelier chacune puisse être averti et puisse prendre les dispositions pour éviter de se retrouver dans une situation d’harcèlement>> a-t-elle dit.
Quand t’a la présidente de l’association, Marie/Gnoumou Hermann Coulibaly, AWL est une association féminine régi par la loi burkinabè mise en place en octobre 2015 et reconnue officiellement le 22 juin 2016. Elle affirme que le choix de ce thème a été motivé par les différents témoignage reçu au sein de l’association. » Qu’aujourd’hui, nous avons eu des témoignages d’ harcèlement sexuel au niveau scolaire, au niveau professionnel, mais malheureusement, les victimes ne veulent pas que le grand public le sache et ne savent pas comment s’y prendre » dixit la présidente.
D’une manière spécifique, AWL envisage des actions qui vont permettre de rechercher ensemble des solutions aux différents problèmes généralement rencontrés par les femmes et les jeunes. En plus, il s’agit pour cette conférence de cultiver et entretenir l’autonomie économique et financière des femmes et des jeunes en tant que moyens efficaces pour éviter toutes sortes de discrimination et de violence et enfin soutenir les activités génératrices de revenus des femmes à travers une institution de micro crédit.
Ce samedi 26 juin 2021 à Ouagadougou, Youssouf SAWADOGO a organisé la cérémonie officielle de parution de dédicace de son nouveau livre intitulé « DEVELOPPEMENT PERSONNEL, CLE DE VOTRE POTENTIEL ». Un livre qui coûte 8000FCFA et un guide pratique pour l’opinion publique. Ladite cérémonie s’est tenue […]
Actualité CultureCe samedi 26 juin 2021 à Ouagadougou, Youssouf SAWADOGO a organisé la cérémonie officielle de parution de dédicace de son nouveau livre intitulé « DEVELOPPEMENT PERSONNEL, CLE DE VOTRE POTENTIEL ». Un livre qui coûte 8000FCFA et un guide pratique pour l’opinion publique. Ladite cérémonie s’est tenue en présence du coach Issa DEME et du Conseil national de la jeunesse du Burkina Faso.
Le livre « DEVELOPPEMENT PERSONNEL, CLE DE VOTRE POTENTIEL » de l’écrivain Youssouf SAWADOGO est un livre de 140 pages, reparti en 7 parties. Il s’agit des avantages du développement personnel, les grandes phases du développement personnel, la psychologie positive, le développement personnel : des leaders pour le salut de l’Afrique, la pauvreté existe-t-elle réellement en Afrique ou dans le monde ? et le défi humain : une étape vers l’excellence.
Riche en diversité, ce livre est prédestiné à tous les lecteurs sans exception qui nourrit le désir de se perfectionner. Pour le présentateur de l’œuvre, coach Issa DEME, ce livre prend en compte tous les aspects que comporte le développement personnel. « Celui qui lit un livre augmente sa culture et celui qui augmente sa culture est une personne qui se développe entraine son pays dans le développement. J’invite tout le monde à lire ce livre », explique le coach.
Selon l’auteur, Issouf SAWADOGO, ce livre est une contribution à l’endroit de la jeunesse afin qu’ils sachent que le 21e siècle est une ère où on doit plus apprendre pour entreprendre. Il soutient que le développement personnel est une science qu’il faut toujours explorer. Pour lui, la recherche effrénée de l’excellence est devenue une qualité intrinsèque et extrinsèque dans le monde de l’entreprise et du travail et le développement personnel est une science dont l’objectif est de puiser sa propre puissance intérieure pour produire du vrai, pour donner un sens à la vie. « On attend de toute personne, quel que soit ce que vous faites des changements nécessaires, un système de décisions rationnelles et cohérentes au service du développement individuel et collectif. Se développer est devenu une condition sine qua none au 21e siècle. Le développement est aussi devenu pour tous, un devoir de redevabilité de soi-même à condition qu’il s’agisse d’un développement cohérent, participatif, équilibré et prospectif », c’est du moins ce qui se laisse apercevoir dans la quatrième de couverture.
Pour les amoureux de la culture, ce livre coûte 8000 FCFA et est disponible au lieu habituel.
Du reste, Wendmangdé Youssouf SAWADOGO est archiviste d’Etat et a beaucoup consacrer sa vie à des recherches approfondies dans le domaine du développement personnel. Son combat c’est de réorienter une jeunesse africaine par le biais d’un moyen de valorisation de son plein potentiel.
La convention des organisations de la société civile pour l’observation domestiques des élections (CODEL) a présenté les résultats des élections 2020, ce mercredi 23 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif général est de contribuer à la tenue d’élections transparentes, crédibles et pacifiques à travers un suivi […]
Actualité PolitiqueLa convention des organisations de la société civile pour l’observation domestiques des élections (CODEL) a présenté les résultats des élections 2020, ce mercredi 23 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif général est de contribuer à la tenue d’élections transparentes, crédibles et pacifiques à travers un suivi du contentieux électoral. Lesdits résultats ont été présentés par la magistrate, présidente de chambre à la cour d’appel de Ouagadougou, Fatiata SANOU TOURE et le magistrat, conseiller à la cour d’appel de Ouagadougou, Vincent RAMDE.
Le contentieux électoral peut-être défini comme l’ensemble des règles et des procédures que régissent la résolution des litiges mettant en cause la régularité, la sincérité et la transparence des processus électoraux. Il comprend trois aspects à savoir le contentieux préélectoral, le contentieux électoral et le contentieux post electoral.
Il ressort de cette étude que la CENI a enregistré seize (16) recours au titre du contentieux des listes électorales dont quatre (4) ont fait l’objet de recours. Il faut noter qu’au titre du contentieux des actes détachables, le tribunal a enregistré un recours introduit, l’annulation de l’arrêté-conjoint n° 2020-298/MATDC/MINIFED, portant répartition de la somme de 500 millions de francs CFA aux partis, la formation politique et regroupement d’indépendance en compétition aux élections législatives et d’autres part aux fin d’adoption d’un nouvel arrêté conjoint, intégrant le parti pour la Démocrate et la jeunesse (PDJ) parmi les bénéficiaires de la subvention de l’ État.
La présidente de la chambre à la Cour d’appel de Ouagadougou Fatimata SANOU/TOURE a affirmé que cette requête a été sanctionnée par un rejet et le parti a été déchu de son droit à la subvention pour n’avoir pas déposé dans les délais requis les pièces justificatives des subventions reçues à l’occasion des élections de 2015. Elle ajoute à cela que: << le conseil constitutionnel n’a pas reçu de recours concernant les résultats provisoires de l’élection présidentielle. Pour ce qui est des élections législatives, 33 recours ont été enregistrés en raison des incidents de jonction de procédure mais ce sont 30 décisions qui ont été rendus >> a-t-elle dit.
Pour le président de la CENI, Newton Ahmed Barry, il manquait l’analyse du contentieux électoral. » Pour les élections du 22 novembre, il ya eu plus de 90 recours pré-électoral au niveau des listes et au niveau des élections. Il fallait qu’une instance comme la CODEL engage les consultants pour plus de lumière ». Il ajoute également qu’après l’analyse, il ressort qu’il y’a un certain nombre de domaine qui ne sont pas connu des acteurs politiques. Pour lui, le contentieux aide à crédibilité le processus électoral que parce que la qualité du rendu du contentieux détermine la paix sociale.
Au terme des diagnostics énumérés, les consultants ont formulé des recommandations qui pourront permettre d’améliorer le cadre juridique du Burkina Faso. Il s’agit entre autres :
– Renforcer les capacités des acteurs politiques sur les dispositions du code électoral, la résorption du conflit négatif entre les juridictions de l’ordre administratif et le conseil constitutionnel sur les recours de la validation de candidature et la révision de l’article 57 du code électoral par la fixation de manière dérogation de délais abrégés par le recours en cassation, en lieu et place de la formule vague suivant laquelle le pouvoir en cassation est exercé suivant les règles en vigueur.
Le Groupe Kastor Africa SA a procédé le 24 juin 2021 à Daguilma dans la commune de Loumbila à 7 km de l’aéroport de Donssin à la pose de la première pierre de son projet de construction d’une ville de 100 000 logements dénommé « Espoir […]
Actualité HabitatLe Groupe Kastor Africa SA a procédé le 24 juin 2021 à Daguilma dans la commune de Loumbila à 7 km de l’aéroport de Donssin à la pose de la première pierre de son projet de construction d’une ville de 100 000 logements dénommé « Espoir City ». C’est en présence des autorités administratives et coutumières que cette cérémonie a eu lieu.
Octroyé à chaque burkinabè un logement décent à un coût accessible, est l’objectif visé par l’entreprise immobilière groupe kastor Africa SA, à travers son projet d’immobilier < < Espoir City >>. Un projet par lequel cette société attend construire 100.000 logements décents au plaisir des Burkinabè. C’est du moins ce que l’administrateur général du Groupe Kastor Africa SA, Joseph Zagré. Il ajoute à cela que c’est un projet immobilier pas des moindres par lequel, ils vont bâtir 100.000 logements dont les coûts seront également à la porté des populations sans exception. Ce projet est aussi réalisable partout au Burkina Faso où le besoin se fera sentir sur un planning de quinze (15) ans. Particulièrement pour ce qui est du site de Daguilma, le groupe prévoit la construction de 12.000 logements sur une superficie de 349 hectares.
Pour lui, les premières phrases du projet consiste à faire un aménagement sur 100 hectares et va consister à construire des logements sociaux de type F2, F3, F4 jusqu’au logement de haut standing, scindé en trois. Soit la construction de 700 logements en première lieux, 700 autres par la suite et 600 logements pour la troisième phase.
Il faut noter que d’après M. Zagré, les conditions d’acquisition sont vraiment souples. « Pour les logements sociaux, vous payez 30% et le reste peut s’établir sur 5 à 10 ans. Lorsque vous vous adressez à une banque, le délai peut aller au delà, mais avec leur société, c’est un plafond de 5 ans. Les villas de type F3 sont a 7,5 millions de francs CFA et celles de type F2 à 6,5 millions de francs CFA.
En partenariat avec le ministère de l’Urbanisme, de l’habitat et des villes, le représentant du parrain de la cérémonie, M. Alfred Simporé, le projet du Groupe Kastor Africa s’inscrit dans la politique du président du Faso avec son projet de 40 000 logements. « Le développement doit être collectif. Le public et le privé se doivent une synergie d’actions pour envisager des lendemains meilleurs » a -til affirmé.
Il convient de retenir que plusieurs autorités religieuses et coutumières du plateau central présent à cette cérémonie ont réitéré leur soutien à Kastor Africa pour l’atteinte de ces objectifs.
En rappel, le Groupe KASTOR AFRICA est une société pluridisciplinaire dans le génie civil et les projets de développement durable. Dotés d’une expertise et d’une vision holistique, il accompagne les leaders politiques et économiques des pays africains. Le Groupe KASTOR AFRICA est déterminé à poser le socle du développement durable en Afrique à travers les projets routiers, le service hydraulique et mobilier, conseils, construction bâtiment et le service de promotion immobilière.