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Actualité SociétéLa 24e édition du concours « Prix Galian » s’est tenu ce jeudi 15 juillet 2021 à Ouagdougou. C’est avec un étonnement sans précédent que le public a appris par le jury qu’il n’y a pas de « Super Galian » pour l’édition 2021. Personne n’aura le premier prix, 3 000 000FCFA plus une villa d’une valeur de 20 000 000 FCFA. Une question permanent revenait dans le public, est-ce le niveau des journalistes qui a baissé où est-ce la moyenne qui est élevée ?
Une villa d’une valeur de 20 000 000 FCFA et 3 000 000 FCFA du Président du Faso, c’était le prix du « Super Galian » qui n’a malheureusement pas eu de preneur. Selon la représentante du jury, Aissata SANKARA, le prix du « Super Galian » est attribué chaque année au meilleur journaliste ayant obtenu la meilleure moyenne de tout le concours.
« La moyenne minimale pour être lauréat du prix « Super Galian » est de 17/20. Pour la 24e édition, le jury SUPER GALIAN a enregistré 4 œuvres de deux candidats issus de 2 jurys, le jury langue nationale et le jury presse écrite. L’édition 2021 n’enregistre pas de « Super Galian ». En effet, aucune œuvre proposée n’a obtenu la note minimale de 17/20 comme stipulé dans le règlement intérieur du concours. Nous fondons l’espoir que plus d’émulations et d’engagements permettront de décerner le « Super Galian » à la prochaine édition pour célébrer l’excellence dans la profession. Le jury adresse leur félicitation aux lauréats », a soutenu Aissata SANKARA.
Il faut noter que le ministère de la communication a décidé de repartir le prix du Président du Faso (3 000 000 FCFA) au premier des 4 catégories du concours à savoir les langues nationales, la presse en ligne, la presse écrite et la presse audiovisuelle. Il s’agit de Alidou BADINI, RTB/télé, premier en Audiovisuel ; Richard SAMA de l’observateur Paalga, premier en presse écrite ; Noufou KINDO de Burkina 24, premier presse en ligne et Abdoulaye SAWADOGO de la RTB/radio, premier en langue nationale.
Au cours de la cérémonie, le ministère du sport et l’Assemblé Nationale ont donné leurs accords pour participer activement à la 25e édition. Les journalistes sportifs pourront prendre part au Galian.
Du reste, il faut noter que la villa d’une valeur de 20 000 000 FCFA a été remise en jeu pour la prochaine édition.
Le Service Régional de a Police Judiciaire ( SRPJ) a organisé une conférence de presse ce mardi 13 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de présenter aux hommes de médias un réseau de malfrats qui s’attaquaient à des lieux de commerce, des […]
Actualité SociétéLe Service Régional de a Police Judiciaire ( SRPJ) a organisé une conférence de presse ce mardi 13 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de présenter aux hommes de médias un réseau de malfrats qui s’attaquaient à des lieux de commerce, des boutiques de transfert d’argent et domicile. Ladite conférence a été animée sous le leadership du Commissaire principal de police, Sayibou Galbané.
Les investigations de la police judiciaire du centre ont permis de démanteler sept (07) présumés délinquants d’une même bande. Il faut noter qu’il s’agit d’un groupe bien organisé de trois cellules jouant chacun des rôles différents et bien déterminés.
Il faut retenir que la première cellule est celle de renseignement, de détection et d’information des cibles avec des initiales de O, E, Z, P, DAL et YM. La cellule d’intervention armée de pistolets prend les cibles en filature jusqu’à un endroit propice à l’agression et passe à l’acte. Selon les informations fournies, ces présumés font la connaissance des lieux avant l’intervention.
Ensuite, la cellule d’approvisionnement armée de munitions et d’écoulement des produits du vol, composé de K. I.I et de Y.Y. Le nommé K.I.I est un expatrié étranger chargé d’écouler les motos et les autres biens dans les pays voisins et aussi acheter les armes pour réconforter le groupe.
Il faut noter que ce groupe a à son actif plusieurs cas de vols à main armée à Ouagadougou. Les bien saisi au cours de l’enquête sont entre autres, deux crânes humains, un pistolet automatique de marque TISSAS, deux chargeur de pistolet automatique dont un garni de douze (12) munitions, un paquet de munition contenant 18 cartouches de calibre 7,65mm, Cinq (5) motocyclette dont, une scooter, une marque Suzuki Satria, une marque Finn, une marque Yamaha 135, une de marque TVS Appache plus une somme de 830.000 francs CFA.
Selon le commissaire principal de police, Sayibou GALBANE, l’exploitation des fichiers audio de leur téléphone portable a permis de savoir que le groupe s’adonnait à des pratiques occultes. Suite à la profanation de sépultures à Zounghou dans la province du Ganzourgou, des crânes humains ont été exhumés. Interrogés, ces malfrats présumés reconnaissent avoir exhumé des restes humains pour accomplir des sacrifices afin de devenir riche et puissant.
Il convient de retenir que parmi ces présumés, l’un est un ancien membre des forces Armées, connu des fichiers de police judiciaire pour avoir été déféré plusieurs fois pour cause de banditisme. Il est à sa deuxième interpellation pour les mêmes faits en espace de dix (10).
Du reste plusieurs braquages ont été perpétrés par ce groupe. Les numéros verts qui sont disponible pour tous renseignements. Le 17 pour la police nationale, le 16 pour la gendarmerie nationale, le 1010 pour le CNVA.
Le Conseil d’information et de suivi des actions du gouvernement (CISAG), en collaboration avec onze (11) organisation de la société civile ont été reçu en audience par le président du Conseil National du Patronat Burkinabè (CNPB), Apollinaire Compaoré ce lundi 12 juillet 2021 à Ouagadougou. […]
Actualité SociétéLe Conseil d’information et de suivi des actions du gouvernement (CISAG), en collaboration avec onze (11) organisation de la société civile ont été reçu en audience par le président du Conseil National du Patronat Burkinabè (CNPB), Apollinaire Compaoré ce lundi 12 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif principal de cette audience était d’échanger sur la cherté de la vie au Burkina Faso afin de trouver une solution pour soulager les populations.
Depuis lors, le Burkina Faso connait une augmentation des prix des produits de grande consommation. Cette augmentation est due au contexte sanitaire et sécuritaire que le pays traverse actuellement. Pour remédier à cela, le président du Conseil d’administration et du suivi des actions du gouvernement (CISAG) en collaboration avec onze organisations de la société civile sont allés échanger avec le président du patronat burkinabè, Apollinaire Compaoré.
Selon le président du CISAG, Issiaka Ouédraogo, tout est chère au Burkina Faso et le ministre du commerce de l’industrie et de l’artisanat ne fait rien pour changer cela et essayer d’aider nos populations. Pour lui, le prix du maïs ne fait que grimper comme si les burkinabè ne cultivaient pas de maïs. Il faut noter également l’augmentation du riz, du fer, du ciment, etc. » Actuellement nos populations souffrent de la cherté de la vie et nous sommes venus échanger avec le président du patronat burkinabè en tant que premier acteur de l’économie burkinabè pour trouver des solutions et diminuer la souffrance de nos populations » a-t-il ajouté.
En ce qui concerne l’accusation faite sur la personne de Appolinaire Compaoré, le président du CISAG pense que les propos ne sont pas fondés..
Du reste, le président du CISAG, Issiaka Ouédraogo a souligné qu’un projet sera mis en place bientôt afin de soulager la population de la hausse des produits.
Ce mardi 13 juillet 2021 à Ouagadougou, les Association des Promoteurs Immobiliers du Burkina ont organisé une conférence de presse sur la réforme de la promotion immobilière au Burkina. Pour les promoteurs immobiliers leurs préoccupations n’ont pas été prises en compte lors de l’atelier de […]
Actualité HabitatCe mardi 13 juillet 2021 à Ouagadougou, les Association des Promoteurs Immobiliers du Burkina ont organisé une conférence de presse sur la réforme de la promotion immobilière au Burkina. Pour les promoteurs immobiliers leurs préoccupations n’ont pas été prises en compte lors de l’atelier de relecture de la loi 057-2008, portant promotion immobilière au Burkina Faso du 31 mai au 05 juin dernier.
Les promoteurs immobiliers sont confrontés à la réalité du terrain et les orientations de la réforme souhaitée par le ministère de l’urbanisme risquent de mettre en mal le secteur, ce sont là les propos qui ont mis fin à la déclaration liminaire des promoteurs immobiliers. « Nous ne sommes pas hostiles à l’idée de réforme seulement nous militons pour des réformes juste et équilibrée », dixit Nikiema Roger. En effet, la relecture globale d’un certain nombre de textes et de lois dans le secteur de l’urbanisme et de l’habitat est justifiée par 04 points essentiels :
-La vente de terrains nus
-La non viabilisation des sites
-L’accaparement du foncier rural à des fins de promotions immobilières
-La démesure des superficies et les délibérations irrégulières des conseils municipaux sur les superficies.
Les promoteurs immobiliers ont trouvé que les motifs étaient insuffisants pour justifier une révision de la loi. Il estime que l’article 2 de la loi 057-2008 stipule que les produits fonciers et immobiliers issus des opérations d’urbanisme et de construction sont destinés à la vente. Pour eux, au regard des motifs exposés, il nous semble que le problème ne réside pas dans la révision de la loi mais dans son application. Les promoteurs immobiliers soutiennent que la reforme opère une restriction du champ de compétence initiale du promoteur immobilier en lui privant de toute opération d’urbanisme, opère une discrimination entre les sociétés de promotion immobilière du privée et du publique et consacre plus de 21 articles à la recherche et à la constatation des infractions avec une panoplie de sanctions.
Lors de la déclaration liminaire, le président de l’association des promoteurs immobiliers du Burkina, Roger Nikiema n’a pas manqué de souligner que l’avant-projet de loi regorge de contradictions d’ordre constitutionnel, législatif et communautaire. Il affirme que cette réforme plombera le secteur de l’immobilier avec la fermeture des entreprises et n’incitera plus les investisseurs. « Lors de l’atelier toutes nos préoccupations n’ont pas été prises en compte. Il faut qu’il y ait des discussions franches pour être compris. Nous marquons notre total désaccord par rapport au projet de loi que nous qualifions de suicidaire », a laissé entendre le président de l’APIB.
En définitive, les promoteurs immobiliers réaffirment leur disponibilité à accompagner le gouvernement dans sa politique nationale de construction de logements et dans l’apurement du passif foncier.
Les membres de la structure BDD (Black Dream Drivers) ont organisé une conférence de presse ce samedi 11 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était d’annoncer à l’opinion publique la tenue d’un forum d’orientation et de bourse prévu du 29, 30 et 31 […]
Actualité SociétéLes membres de la structure BDD (Black Dream Drivers) ont organisé une conférence de presse ce samedi 11 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était d’annoncer à l’opinion publique la tenue d’un forum d’orientation et de bourse prévu du 29, 30 et 31 juillet au lycée complexe scolaire Yampoutin à Pissy. Ladite conférence a été animée sous le leadership du président de la structure, Géry Gildas Pengdwendé SOUDRE.
BDD (Black Dream Drivers) qui signifie » conducteur du rêve de noir est un label qui a été créé dans le but de promouvoir la culture burkinabè voir africaine, aussi contribué à l’émancipation de la jeunesse et à l’éveil des consciences. Il faut noter que ce forum a été pensé par BDD pour venir en aide à la jeunesse qui est aujourd’hui perdue dans le choix des filières après l’obtention du baccalauréat. Ce forum a été créé aussi pour orienter les jeunes vers la formation professionnelle et dans les autres universités pour les formations d’ordre générales.
D’ailleurs ce forum se déroulera durant trois jours le 29, 30 et le 31 juillet avec plein d’activités qui seront mené à savoir les séances de développement personnel qui permettra aux participants d’avoir un état d’esprit qui lui permettra de faire un choix qu’il aura décidé. Aussi, il y’aura des séances de développement personnel sur l’entrepreneuriat, une séance sur le style vestimentaire, des conférences, et des partages d’expériences avec les grands Professionnels.
Il est prévu également des expositions des instituts de formations professionnelles des universités et de la ville de Ouagadougou pour présenter leurs instruments aux participants et la soirée d’orientation à partir de 18h 30 mn.
« Les activités de réflexion se dérouleront de 8h à 17h et à partir de 18h 30 c’est la soirée animation avec des prestations artistiques jusqu’à 23h 30. Il faut retenir que l’entrée est gratuite », affirme le président de la structure, Gildas SOUDRE.
L’objectif spécifique de ce forum est de vulgarisé la formation professionnelle et émanciper les gens dans l’entrepreneuriat. Ce forum va permettre également le développement économique du pays et contribuer à la réduction du taux de chômage, participe au changement positif de mentalité et sert de cadre d’échange et de réseautage entre les milliers de jeunes.
Du reste, créer depuis 2018, ce forum est une activité à but non lucratif qui va permettre aux jeunes d’embrasser leur filière de choix. Le président de la structure BDD invite tous les jeunes à prendre part à cette première édition du forum d’orientation et de bourse.
Le Mouvement pour la Restauration de la Patrie a donné sa lecture de la situation nationale ce samedi 10 juillet 2021 à Ouagadougou. C’est au cours d’une conférence de presse que le MOREP a livré sa lecture sur la gestion de la situation sécuritaire, le […]
Actualité PolitiqueLe Mouvement pour la Restauration de la Patrie a donné sa lecture de la situation nationale ce samedi 10 juillet 2021 à Ouagadougou. C’est au cours d’une conférence de presse que le MOREP a livré sa lecture sur la gestion de la situation sécuritaire, le ras-le-bol de la population, l’inactivité de la France et les inégalités sociales.
La crise sécuritaire que traverse le pays des hommes intègres amène les partis politiques et les organisations de la société civile à situer les responsabilités et à donner leurs avis sur la question. Pour le MOREP, il faut dénoncer le silence des partenaires burkinabè, en l’occurrence la France. Un silence qu’il qualifierait de silence coupable contre le terrorisme. Dans leur déclaration liminaire, le MOREP estime que cette même France dispose des informations concernant la localisation et les mouvements des groupes terroristes et demeure inactive malgré l’existence de ses bases militaires au Burkina. Notons que cette rétention d’informations sur les terroristes, le MOREP la considère comme un partenariat complice et hypocrite.
« Nous ne voulons pas de la politique française telle que conçue en Afrique. Cette France doit revoir sa politique dans la gestion de la crise sécuritaire », affirme le coordonnateur général du MOREP, Kissou Félicien.
Du reste, il convient de retenir que pour le MOREP, ce double jeu de la France doit s’arrêter et les autorités doivent prendre leurs responsabilités. Il appelle à un partenariat avec la Russie.
Le syndicat de l’Union Police Nationale (UNAPOL) a offert un box aux agents de police de la circulation routière ce samedi 10 juillet 2021 à Ouagadougou. Ce don servira à la protection des policiers qui assurent la sécurité routière contre les intempéries. Pour assurer efficacement […]
Actualité Sécurité routièreLe syndicat de l’Union Police Nationale (UNAPOL) a offert un box aux agents de police de la circulation routière ce samedi 10 juillet 2021 à Ouagadougou. Ce don servira à la protection des policiers qui assurent la sécurité routière contre les intempéries.
Pour assurer efficacement la circulation routière, les agents de la police sont confrontés à plusieurs problématiques. Parmi-elles, il faut noter les intempéries, la canicule, les tempêtes et bien d’autres. Disons qu’au niveau des carrefours, la police nationale routière assure la circulation routière sous toutes sortes d’intempéries. Pour cela, le syndicat de l’Union Police Nationale dans sa quête des intérêts des policiers, a travaillé pour trouver un petit bureau destiné aux agents de la circulation routière.
Il faut noter que le tout premier poste de surveillance de la circulation routière est remis au commissaire principal de police, Ousmane Ouédraogo, chef de service régional de la circulation routière du centre.
Pour le secrétaire général de l’UNAPOL, Siyalé Moussa PALM, » Ce bloc servira de poste de travail et permettra aux agents de police de travailler dans de meilleures conditions ».
Il ajoute que d’autres box viendront s’ajouter à ce tout premier bureau et seront placés aux carrefours. << Nous avons déjà identifié les emplacements nécessaires au niveau de la ville de Ouagadougou >>, dit-il.
Du reste, Ousmane Ouédraogo a remercié l’UNAPOL pour le don et les a souhaité bon usage.
L’ Alliance des Parties et formation Politique de la Majorité Présidentielle ( APMP) a animé un point de presse ce jeudi 08 juillet 2021 à Ouagadougou à son siège. Cette conférence était basée sur trois points essentiels à savoir les recentes mesures prises par […]
Actualité PolitiqueL’ Alliance des Parties et formation Politique de la Majorité Présidentielle ( APMP) a animé un point de presse ce jeudi 08 juillet 2021 à Ouagadougou à son siège. Cette conférence était basée sur trois points essentiels à savoir les recentes mesures prises par le présent du Faso en réponse à la situation sécuritaire, l’attitude de l’opposition politique face aux questions d’intérêt national et de l’avenir du dialogue politique initié par le présent du Faso. Ladite conférence a été animée par Me Benewendé Stanislas SANKARA.
La présente conférence s’inscrit dans la volonté permanente et le souci majeur de l’APMP de donner à l’opinion nationale et internationale l’information juste et objective, de livrer sa lecture sur les sujets importants de l’heure et de partager et de partager avec l’opinion ses points de vue sur les questions brûlantes du moment.
Il faut noter que du17 au 19 juin dernier, le président du Faso a convié l’ensemble des partis politiques de l’opposition et de la majorité dans le cadre du dialogue politique qui devrait permettre de discuter sur la question sécuritaire et les questions relatives à l’ancrage démocratique.
Pour l’APMP, ce dialogue à été suspendu et les concertations devrait se poursuivre du 03 au 04 juillet 2021, a signifié Me Benewendé SANKARA le conférencier.
<< Nous avons été surpris de constater le retrait du CFOP du dialogue politique et appelant à des manifestants dans les différentes provinces. Ce jeu trouble du CFOP nous laisse interrogatif sur sa réelle volonté de participer à la discussion si celle-ci ne devrait pas lui servir d’occasion politicienne », a affirmé Me Benewendé SANKARA.
En outre, se basé sur sur l’article 36 de la constitution qui stipule que le président du Faso « incarne et assure l’unité nationale et est garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire, de la permanence et de la continuité de l’État », Me Stanislas SANKARA fait savoir que le dialogue politique est bien encadré au Burkina Faso et qu’il peut s’exercer en tout moment si le président le juge nécessaire dans l’intérêt bien compris de la nation.
Selon Édouard Zagré, partisans de l’APMP, sur la question de la sécurité, le rat le bol de population sinon leur cri de cœur se comprennent. Il soutient que c’est dans l’union et la cohésion que nous pouvons venir à bout de cette guerre. « Aujourd’hui, nos autorités doivent se donner les moyens pour aider les VDP, les FDS et toutes les stratégies nécessaires et les personnes à la place qu’il faut pour aller au bout de ce tire », dit-il.
Du reste, l’APMP invite les acteurs politiques à faire preuve de responsabilité face à un besoin encore plus fort d’unité et de cohésion au plan national.
C’est à Ziniaré dans la région du Plateau central que le ministre des enseignements supérieurs, Alkassoum MAIGA avec sa délégation et la gouverneure ont donné le top départ pour l’examen de Baccalauréat 2021 ce jeudi 08 juillet 2021. Le lancement officiel a eu lieu en […]
Actualité SociétéC’est à Ziniaré dans la région du Plateau central que le ministre des enseignements supérieurs, Alkassoum MAIGA avec sa délégation et la gouverneure ont donné le top départ pour l’examen de Baccalauréat 2021 ce jeudi 08 juillet 2021. Le lancement officiel a eu lieu en présence des autorités administratives de la région du plateau central et du ministre de l’éducation nationale, Stanislas OUARO.
Après 09 mois d’apprentissage de connaissances et de savoirs, c’est aujourd’hui que les élèves de la classe de Terminal devront prouver qu’ils ont acquis des connaissances pour avoir leur premier diplôme de l’université, le Baccalauréat. En effet, ce jours 08 juillet, ce sont au total 154 775 candidats qui vont tenter de décrocher le Baccalauréat session 2021.
Il faut noter que c’est au lycée Basy de Ziniaré que le ministre des enseignements supérieurs, de la recherche scientifique Alkassoum MAIGA, le ministre de l’éducation Stanislas Ouaro et de la gouverneure du plateau-central, Nana Fatoumata Benon, ont souhaité bonne chance aux candidats avant d’offrir officiellement le premier sujet de composition. A entendre la délégation pour la composition ce n’est pas le moment de stresser mais de se concentrer sur les sujets parce qu’il s’agit d’un examen et non d’un concours et les nombres de places ne sont pas limitées.
Quant aux membres des jurys, le ministre des enseignements supérieurs a été très ferme en situant les responsabilités de tout un chacun. Il a demandé le dévouement et l’engagement des jurys pour que les examens se déroulent dans de très bonnes conditions.
Selon le ministre, Alkassoum MAIGA, il faut espérer un taux de succès assez important parce qu’ils ont ouvert des centres universitaires pour que les capacités d’accueils soient améliorées. Pour lui, le succès c’est bien pour les élèves et les parents mais aussi pour le personnel enseignant. Sur la problématique des candidats déplacés internes, le ministre a soutenu que tout est mis en disposition pour qu’ils puissent composer. A la question de savoir si c’est le dernier examen organisé par le ministère des enseignements supérieurs, le ministre se veut catégorique sur la réponse. Pour lui, tant que les textes n’ont pas été relus, ce n’est pas le moment de parler de dernier examen. « Il y a la nécessité d’être mieux préparé pour un transfert », dit-il.
En termes de mobilisation de ressources, il faut souligner que c’est plus de 52 000 acteurs qui sont engagés et une somme de 6 milliards pour le bon déroulement des examens.
Du reste, il convient de préciser que rendez-vous est pris pour le 16 juillet prochain pour la proclamation des résultats du premier tour.
Le Ministre de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat a visité ce mardi 06 juillet 2021 une cimenterie, des boutiques de vente en gros de ciment de fer, d’huile et de riz dans la ville de Ouagadougou. L’objectif de ces visites était de contrôler les […]
Actualité SociétéLe Ministre de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat a visité ce mardi 06 juillet 2021 une cimenterie, des boutiques de vente en gros de ciment de fer, d’huile et de riz dans la ville de Ouagadougou. L’objectif de ces visites était de contrôler les prix des produits de grande consommation qui connaissent une hausse des prix ces derniers temps. A la tête de l’équipe de contrôle, le ministre a écouté attentive les commerçants qui ont tentés d’expliquer la hausse des prix sur les produits de grande consommation.
Une équipe composée du ministre du commerce, Harouna Kaboré, des responsables techniciens de la brigade de mobile de contrôle économique et de la répression des fraudes ( BMCRF), de la direction générale de la réglementation et du contrôle des prix (DGRCP) et de l’Agence burkinabè de la normalisation de la métrologie et de la qualité ( ABNORM) s’est rendu dans les locaux de CIMFASO s’assurer de la qualité des produits et de la disponibilité du ciment pour les populations. Pour le ministre, ils sont venus constater la quantité et de la qualité de production de ciment dans notre pays par l’ensemble des cimenterie et prendre connaissances des difficultés particulières par rapport à la production et la disponibilité.
Il faut noter qu’après CIMFASO, le ministre en charge du commerce, Harouna Kaboré s’est rendu dans une boutique SONAGESS dans l’arrondissement 4 de Ouagadougou pour s’imprégner des réalités des boutiques SONAGESS. Sur place, il convient de retenir qu’avec une longue file d’attente, la fatigue et la colère se sentait sur le visage des clients. Le président de la SONAGESS, Hamadé Bélem a affirmé que le sac de maïs coûte 6000. « Nous avons une fréquence d’approvisionnement de deux semaines et on amène 40 tonnes dans les trois boutiques de l’arrondissement chaque deux semaines. Nous sommes en réflexion sur l’augmentation de la quantité vu l’engouement de la population >> dit-il.
Au marché de Zogona, il était surtout question d’échange avec les commerçants sur l’augmentation des prix des produits de grande consommation. Un échange qui a permis aux commerçants de précise que le terrorisme joue un grand rôle dans cette flambée des prix parce que les paysans sont nombreux à fuir leur terre et incapable de pratiquer l’agriculture.
Selon le secrétaire général adjoint de la ligue des consommateurs, Ousséni Ouedraogo, la quasi-totalité des sacs au niveau des boutiques de cimenteries répondent aux normes. « Sur 20 sacs au total, il n’y a que deux sacs qui ne répondent pas aux normes des 50 kg et le reste était 50 et plus. J’estime que c’est à cause de l’information qui a été donnée qu’ils ont eu des sacs gonflés au niveau de la cimenterie », dixit le SG. Au nom de la ligue des consommateurs, le SG a demandé au ministre de multiplier les sorties de terrain afin de mieux contrôler les prix des produits.
Du reste, le ministre a attiré l’attention des commerçants et que ceux qui font la spéculation sur les produits de première nécessité seront sanctionnés conformément aux textes en vigueur.