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Actualité CultureL’ Association des Professionnels de Musée du Burkina Faso ( APMBF) a organisé un atelier de renforcement des capacités des acteurs et actrices de Musée ce jeudi 29 juillet 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << Quels musées pour le Burkina Faso? >>, cet atelier a pour objectif de valoriser la culture burkinabè. Ledit atelier est placé sous le parrainage de l’Honorable député Juliette CONGO.
L’ opérationnalisation de cet atelier sera une étape déterminante pour discuter de l’emprise du patrimoine culturel en général et en particulier de la vie de cette institution du Faso. Cet atelier permettra d’accroître durablement une synergie d’action pour être un modèle de musée fiable pour le Burkina Faso qui pourra répondre aux objectifs et exigence de progrès et de participation citoyenne. « Ce thème nous permet de mutualiser nos expériences pour apporter des idées novatrices pour l’épanouissement du secteur muséal« , a affirmé la Directrice général des Arts, Alimata Tanly/ SAWADOGO.
Pour la directrice, Alimata Tanly/Sawadogo, la rencontre de ce matin est un rencontre très pertinente des autorités du ministère de la culture des arts et du tourisme et aussi pour les professionnels du musée. « De nos jours, presque tous les musées en Afrique ont des difficultés à se positionner et aussi à attirer le public, car c’est un milieu un peu méconnu des Burkinabè dû à l’insécurité, la pandémie et les difficultés de financement. Nous avions besoin véritablement de financement. Nous voulons que tous les burkinabè prennent conscience du problème des musées« , a-t-elle dit.
En ce qui concerne la marraine de cet atelier, l’honorable député et promotrice d’un musée privé, Juliette CONGO, elle parraine cette activité parce que elle est très pertinente dans la mesure où elle même, elle est actrice de culture. Pour elle, il y’a des difficultés dans ce secteur. » Accompagner cette activité aujourd’hui est un grand honneur pour moi et j’interpelle simplement les Burkinabè et les Africains à faire du musée leur affaire personnelle. Tout ce que nous avons aujourd’hui comme problème est lié au fait que nous abandonnons notre culture pour épouser la culture des autres. Il faut qu’on fasse la prospection de nos musées locaux, des musées National afin de connaître les réalités sur le terrain. Nous interpellons les gens à faire de nos valeurs culturels leur cheval de bataille pour que nous puissions aller dans l’éducation traditionnelle pour permettre aux gens de se connaître soi-même « , a soutenu la marraine.
Il faut noter, que c’est dans un cadre de défi à relever pour les musées du Burkina que l’association des professionnels à bien voulu convier les acteurs pour une réflexion sur le musée du Burkina Faso. Cela pour permettre de jouer pleinement notre rôle dans le développement social et culturel de notre pays. Il est temps de se lever et de trouver des solutions pour permettre le bon fonctionnement de ces lieux pour pouvoir conserver et transmettre nos valeurs à la génération future.
L’association prend en compte le tourisme interne et plusieurs actions sont menés telles que les visites à l’intérieur du pays avec les membres de l’association et d’autres association sœurs. Il existe différents types de musée à savoir, le musée à ciel ouvert et les musées classés et protégés.
En rappel, le musée est un socle du patrimoine et un véritable lieu de promotion, de préservation et de concertation culturel.
L’ association Burkina Wa-mêdô a organisé une conférence de presse ce mercredi 28 juillet 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : » Productions locales et panorama de financement: Quelle stratégie pour accélérer la production et la consommation de masse dans un contexte de COVID-19? », […]
Actualité CultureL’ association Burkina Wa-mêdô a organisé une conférence de presse ce mercredi 28 juillet 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : » Productions locales et panorama de financement: Quelle stratégie pour accélérer la production et la consommation de masse dans un contexte de COVID-19? », l’ objectif de cette conférence était de lancer officiellement la 4eme édition du Burkin’daaga prévu se tenir du 26 octobre au 1er 2021. Ladite conférence marquée par le lancement du conours palme d’or pour l’entreprenariat burkinabè, a été animée sous le leadership du vice président de l’association, Ibrahim Ouédraogo et de la présidente du comité d’organisation, Maïmouna Touré Tanya.
« La quatrième édition du Burkin’daaga se tient dans un contexte économique difficile lié par la pandémie et la maladie du Coronavirus. Dans ce contexte ou le Burkina Faso est confronté à une crise économique avec la fermeture des économies, l’avènement de la zone de libre-échange continentale africaine est un facteur que nous considérons comme une opportunité de promotion du consommons local. C’est dans cette logique que se tient cette présente édition sous le thème : << productions locales et panorama de financements: Quelle stratégie pour accélérer la production et la consommation de masse dans un contexte de COVID-19 ? » a déclaré le PCO dans sa lecture liminaire.
Cette quatrième édition se déroulera du 26 octobre au 1er novembre 2021 à Ouagadougou au tour des activités tel que l’exposition vente pendant sept jours, panels suivie de débats, une formation, un concours du prix Palme d’Or de l’entrepreneuriat Burkinabè, d’un concert pendant six jours et d’une soirée gala.
Il faut noter que, le concours palme d’or de l’entrepreneuriat Burkinabè est organisé par l’association Burkina Wa-mêdô en partenariat avec les institutions publiques et privées et les autres économiques locaux. Son objectif est de soutenir la promotion de l’entrepreneuriat et de contribuer à la création d’emplois.
Le dépôt des dossiers de candidature est ouvert du 01 au 31 août 2021 de 8h à 16 h au siège de l’association où à l’adresse concours@burkinawamedo.org. Ce concours est ouvert à tous les champs d’entrepreneuriat mais la priorité sera accordée aux entreprises œuvrant dans le domaine de l’économie culturelle, de l’économie sociale et solidaire, de l’économie verte, de l’agro transformation de la technologie de l’information et de la communication.
« Par ailleurs, les critères d’éligibilité est d’être âgés au moins 18 ans au moment de la candidature, avoir un projet s’inscrivant dans les catégories du prix de l’entrepreneuriat, s’engager à mettre son projet sur le terrain. En plus, les candidats porteurs de projets doivent être ressortissants de l’espace UEMOA et domicilié sur le terrain burkinabè. Les structures associatives sont éligibles », a affirmé Maïmouna Touré Tanya.
Il faut noter que le dossier de candidature des personnes physiques est composé d’une copie de documents d’identité en cours de validité, en plus une copie de la carte étudiante en cours de validité, une fiche projet téléchargeable sur le site. Pour les personnes morales, il faut une copie du document d’identité du dirigeant, une copie du récépissé pour les associations, un formulaire d’inscription et le dossier relatif au plan d’affaire.
<<Le concours palme d’or est l’une des innovations du Burkin’daaga. Pour cette année nous avons mis des prix pour permettre aux gens de participer. En plus de la foire Burkin’daaga, il y’a d’autres activités que l’association mène. Il y a un jury qui est déjà élaboré avec des spécialistes pour faire une présentation et pour montrer l’opportunité d’exporter à nos différents exposition>>, a laissé entendre la présidente.
Les différents catégorie de prix sont le premier grand prix de l’UEMOA, le deuxième et le troisième prix de l’UEMOA. Aussi, dix prix par catégorie seront attribués, au catégorie 1″ exploitations, transformation, production agroalimentaire », catégorie 2 » Innovation technologique et technique », catégorie 3, prix » sociale business », catégorie 4, Agro business et économie verte, et la catégorie 5, entrepreneuriat culturelle et créatif.
Pour la présidente du comité d’organisation, Maïmouna Touré Tanya, ils ont mis l’accent sur le financement pour la quatrième édition du Burkin’daaga.
En rappel, situé en face de la caisse populaire de Zab daaga, l’association « Burkin’daaga » signifie en langue locale moiré << viens nous construire >>. C’est une association de regroupement des acteurs économiques dont l’objectif majeur est de contribuer au développement socio-économique du Burkina Faso.
Le gouvernement du Burkina Faso a procédé à la remise officielle d’un matériel logistique aux forces de défense et de la sécurité ce jeudi 22 juillet 2021 à Ouagadougou. Ce don d’une valeur de 1 900 000 000 francs CFA va permettre aux FDS de […]
Actualité SociétéLe gouvernement du Burkina Faso a procédé à la remise officielle d’un matériel logistique aux forces de défense et de la sécurité ce jeudi 22 juillet 2021 à Ouagadougou. Ce don d’une valeur de 1 900 000 000 francs CFA va permettre aux FDS de mieux se protéger et protéger la population. Cette remise a été animée sous le leadership du ministre de la sécurité, Maxime Lomboza Koné.
Le gouvernement a offert des de matériels logistiques à la police nationale dans l’ objectif de mieux protéger la population du Burkina Faso. Ce matériel est composé de deux véhicules blindés, de gilets par balles et de casques.
Pour le ministre de la sécurité, Maxime Lomboza Koné, « nous sommes dans un contexte difficile et il est tout à fait normal que l’État accompagne les FDS qui sont sur le terrain. Il ajoute que : << c’est une action qui se situe dans l’engagement du président du Faso, Roch Marc Christian KABORE >>. La situation sécuritaire du Burkina oblige le gouvernement à une prise de décision globale qui tient compte de tout les éléments, a t-il souligné.
En se qui concerne le DG de la police nationale, Jean Bosco LIENOU, il a remercié le gouvernement pour cette remise de matériels et ajoute que ce don va permettre d’accroître les capacités opérationnelles des FDS sur le terrain.
Du reste, le ministre de la sécurité souhaite l’apport stratégique de la population pour le retour de la sécurité au Burkina Faso.
La cérémonie de fin de formation de la 50 ème promotion de l’Ecole Nationale de police a eu lieu ce vendredi 23 juillet 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << La formation du policier à l’aune de la réconciliation nationale et de la […]
Actualité SociétéLa cérémonie de fin de formation de la 50 ème promotion de l’Ecole Nationale de police a eu lieu ce vendredi 23 juillet 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << La formation du policier à l’aune de la réconciliation nationale et de la cohésion sociale>>, ce sont au total 639 policiers sous officiers qui sont officiellement aptes à servir. ladite cérémonie a été marquée par la présence de nombreux autorités.
La formation de six cents trente -neuf (639) policiers dont quatre cents cinquante- trois (453) de la police nationale et cent quatre- vingt-six (186) de la police municipale sortant de l ‘Ecole nationale de police s’inscrit dans le dynamisme de servir et défendre la nation. La cérémonie de cette 50eme sortie est placé sous le thème : << La formation du policier à l’aune de la réconciliation nationale et de la cohésion sociale >>, a pour parrain le Ministre de l’État auprès de la Présidence du Faso, chargé de la réconciliation nationale et de la cohésion sociale, Monsieur Zéphirin Diabré.
« En ce qui concerne le choix de ce thème, il vient à point nommé en ce sens que la réconciliation nationale et la cohésion sociale constitue désormais le principal résultats attendus dans la formation des policiers et de tous les FDS » a déclaré le ministre de la sécurité, Maxime Lomboza Koné.
En effet, un policier bien formé fera preuve de professionnalisme sur le terrain, de respect pour les droits humains et d’une intégrité sans faille qui rassurent le citoyen tout en lui inspirant une franche collaboration dans l’intérêt nationale. Il faut noter que la qualité de la formation du policier est l’un des leviers de la transformation du secteur de la sécurité.
« La 50 ème promotion a pris l’engagement qu’elle ne reculera jamais devant l’appel du devoir et promet contribuer efficacement à relever le défi sécuritaire avec honneur et détermination dans le professionnalisme » a affirmé le Délégué général de la promotion, Boubou Emmanuel Daïla.
Il faut retenir que les conditions d’obtention d’un titre à l’ Ecole nationale de police sont déterminés par une décision portant règlement intérieur de l’ École nationale de police. Au terme des dispositions de ce texte, la moyenne générale requise en fin de cycle est fixée à 12/20. Peuvent être autorisés à redoubler, les élèves ayant obtenu un résultat scolaire inférieur à 12/20 et supérieur ou égal à 10/20. Les résultats scolaires inférieur à 10/20 sont exclus pour insuffisances de résultats. La note de direction sanctionne la conduite de l’élève durant tout le cycle de formation. Concernant l’examen unique ( ETU ), il s’agit d’une évaluation sommative et essentiellement pratique de la scolarité. A l’issue des différentes évaluations il faut noter que les délibérations des résultats scolaires ont permis de déclarer 639 élèves dignes d’un titre de l’ École nationale de police parmi lesquels on dénombre, au niveau de la Police nationale 453 sous-officiers avec des moyennes allant de 14,10 à 16,53sur 20.
186 fonctionnaires de la Police municipale parmi lesquels 05 contrôleur, 04 assistants et 141 agents de Police municipale dont les moyennes sont compris entre 14,13 et 16,52 sur 20.
En rappel, la 50e promotion sortant est baptisée << Union Sacrée >> de l’ École nationale de la police. Le parrain de la cérémonie, Zépherin DIABRE à associé ses remerciements et pleins hommages à la Direction de l’Ecole nationale de Police et à l’ensemble du corps enseignant.
La cérémonie de sortie de la 5e promotion des officiers de l’Académie de police a eu lieu ce mardi 27 juillet 2021 dans la commune de Pabré. Cette cérémonie est placé sous le thème : » La dynamique de la formation des forces de sécurité […]
Actualité SociétéLa cérémonie de sortie de la 5e promotion des officiers de l’Académie de police a eu lieu ce mardi 27 juillet 2021 dans la commune de Pabré. Cette cérémonie est placé sous le thème : » La dynamique de la formation des forces de sécurité à l’aune des mutations de la crise sécuritaire au Burkina Faso ». Cette promotion compte dix Commissaires de police et 100 officiers de police. Ladite cérémonie a été animée sous le leadership du président du Faso, Roch Marc Christian KABORE, le parrain, Alasane Bala SAKANDE et d’autres autorités compétentes.
La cérémonie de fin de formation d’élèves de l’Académie de police a pour objectif de reconnaître le mérite des élèves qui ont satisfait aux exigences de la formation, matérialisé notamment par le port des épaulettes. En effet, cette 5e promotion de l’Académie de police sont au nombre de cent dix (110) composé de 10 élèves Commissaires de police et de 100 élèves officiers de police.
Il faut noter que cette 5e promotion de l’ Académie de police est baptisée » Unité » par le président du Faso Roch Marc Christian KABORE. Le thème de la présente cérémonie est » La dynamique de la formation des forces de sécurité à l’aune des mutations de la crise sécuritaire au Burkina Faso », est en premier lieu une réflexion sur la question de la formation en lien avec la mutation de la crise sécuritaire qui permet de montrer en quoi la formation du capital humain est l’essence de tout succès. En second lieu, ce thème invite à accompagner davantage les structures de formation des forces de sécurité dans l’accomplissement de leur mission.
Le palmarès général de cette cérémonie marquant la fin de formation de la 5e promotion de l’Académie de police est que la formation dure deux ans. Elle est organisée suivant un système d’enseignement modulaire à travers la décision portant organisation des enseignants à l’Académie de police. Cette formation est organisée au tour de cinq modules et se déroule sur un volume horaire. L’obtention d’un diplôme est conditionnée par la validation de l’ensemble des modules. Tout élèves dont la moyenne est inférieure à 10/20 est exclus pour insuffisances de résultat à l’Académie de police. Pour le cycle des élèves Commissaires de police, tout les dix sont admis et les cent officiers de police sont tous admis. Le major des commissaires est Siébou Kambiré avec 16,01/20 de moyenne. Celui des élèves officiers de police est Issouf Tagawendé avec une moyenne de 15,85/20 mention bien.
En ce qui concerne le parrain de la cérémonie, président de l’Assemblée Nationale, Alasane Bala SAKANDE, il a souhaité plein succès à cette 5e promotion et aussi à fait des promesses donc ils ont besoins pour le bon fonctionnement de leur activité.
En définitive, l’Académie de police est une école supérieure de la Police Nationale basée dans la commune rurale de Pabré. Elle se veut un pôle d’excellence en matière de formation conformément à sa devise qui est: » Érudits pour la Nation, l’Excellence et le Droit ».
Le ministère du commerce à travers ses organes de contrôle a animé un point de presse ce jeudi 22 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de faire le point des opérations de contrôle des prix des produits de première consommation. Ladite conférence […]
Actualité SociétéLe ministère du commerce à travers ses organes de contrôle a animé un point de presse ce jeudi 22 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de faire le point des opérations de contrôle des prix des produits de première consommation. Ladite conférence a été animée sous le leadership du coordonnateur général de la Brigade Mobile de Contrôle économique et de la répression des fraudes ( BMCRF), Yacouba BILA.
Les jours passés, le ministère du commerce à travers ses organes a initié une opération de contrôle de prix des produits de grandes consommations pour inviter les commerçants au strict respect des normes. Mieux après cette opération de contrôle, il était temps de dresser le bilan des activités
Selon le coordinateur de la Brigade Mobile de contrôle Économique et de la Répression des Fraudes (BMCRF), Yacouba Bila, de janvier à mi-juillet 2021, les opérations de contrôles et de lutte contre les produits de contrefaçon, ont permis de toucher 18.428 commerçants dont 13.147 pour le contrôle spécial Ramadan et 1.154 tonnes de fer à bétons, 103.371 feuilles de tôle, 2,25 tonnes de produits alimentaires périmés ont été saisis au cours de ces opérations.
« Ces opérations ont été possibles grâce aux multiples mesures mises en place par le département. A savoir, la suspension de la délivrance des autorisations spéciales d’exportation des céréales locales, les relevés hebdomadaires des prix et des stocks et surtout l’intensification des opérations de contrôle durant cette période de soudure », a laissé entendre Yacouba Bila.
Il faut préciser que la BMCRF, relève le renforcement du dispositif réglementaire au vue d’assainir les secteurs des boissons alcoolisées et des produits du tabac et un combat acharné contre le commerce illicite basé sur un système de suivi de traçabilité fiscale.
Au niveau des fraudes, des contrebandes et des contrefaçons, la BMCRF fait cas de plusieurs saisies. Il s’agit entre autres de 690 bidons de 20L d’huile alimentaire de contrebande saisis, 389.995 litres de carburant frauduleux, 10.760 pagnes contrefaits, 986 cartouches de cigarettes de la fraude, 690 bidon de 20L d’huile alimentaire de contrebande et 78L de liqueur frelatée.
En rappel, la direction général de l’Agence Burkinabè de la Normalisation de la Métrologie et de la Qualité (ABNORM), rassure l’opinion publique car plusieurs actions sont en cours d’exécution dans le but de résoudre de façon drastique cette problématique de hausse de prix.
Le Syndicat National des Agents du Ministère de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat (SYNAMICA) a organisé une conférence avec les hommes du média ce lundi 19 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de dénoncer les maux qui minent au sein du […]
Actualité SociétéLe Syndicat National des Agents du Ministère de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat (SYNAMICA) a organisé une conférence avec les hommes du média ce lundi 19 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de dénoncer les maux qui minent au sein du ministère. Ladite conférence a été animée sous le leadership du Secrétaire Général du SYNAMICA, Nifabèbé Arthime KAMBIRE.
Il ressort de cette conférence que depuis l’arrivée de Harouna Kaboré à la tête du ministère de l’industrie du commerce et de l’artisanat en 2018, le mal est profond. Pour le syndicat, il convient de noter que les agents du ministère souffrent de réformes hasardeuses et de la qualité de gestion des compétences par les autorités du département qui amplifié par le clientélisme, le populisme, la gabegie et l’arrogance. Dans ce secteur, il ajoute qu’il assiste également à des atteintes graves et récurrentes aux intérêts des consommateurs. Pour eux, Sur le plan industriel, on assiste à des mesures de saupoudrage, de populisme consistant plus à faire semblant et à tromper l’opinion.
En ce qui concerne la flambée des prix des produits de consommation, les visites sous le ministère Kaboré a pris une connotation politique et publicitaire, loin de la réalité du terrain. Il soutient que les structures de contrôle manquent de ressources nécessaires aussi bien financières qu’en matière d’équipements alors qu’il existe un fond d’équipements dont seuls les premiers responsables connaissent le contenu.
« Il faut noter que les postes de responsabilité au MICA comptent 12 bureau régionaux de contrôle et chaque bureau n’a reçu que la somme de 50 000f comme frais de carburant par an avec un problème de véhicules et de chauffeur. En outre, il faut noter une mauvaise orientation des fonds du ministère ainsi que son personnel avec 121 postes de responsabilité vacants », a ajouté le SG. Selon le SYNAMICA, en ce qui concerne la gestion du ministère, Harouna Kaboré fait du populisme sur les réseaux sociaux et que la réalité est tout autre que ce qu’il fait croire à l’opinion publique.
Du reste, le département en charge du commerce du Burkina Faso est très mal géré selon les responsables du SYNAMICA et si rien n’est fait, dans les jours à venir, ils passeront par d’autres voies pour mieux se faire entendre.
L’Alliance pour la Démocratie et la Fédération/ Rassemblement Démocratique Africain (ADF/RDA) a rencontré les membres de la structure du Kadiogo ce dimanche 18 juillet 2021 à son siège à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre était de démentir les propos de Jules Rasmané Ilboudo qui affirme […]
Actualité PolitiqueL’Alliance pour la Démocratie et la Fédération/ Rassemblement Démocratique Africain (ADF/RDA) a rencontré les membres de la structure du Kadiogo ce dimanche 18 juillet 2021 à son siège à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre était de démentir les propos de Jules Rasmané Ilboudo qui affirme avoir quitté le parti avec 600 membres. Ladite rencontre a été animée sous le leadership du président dudit parti, Gilbert Noël OUEDRAOGO.
Le parti de l’éléphant est un parti tolérant depuis sa création, ce sont là les mots d’entrés à la rencontre avec les membres de la structure du Kadiogo. Au cours de la rencontre avec les structures du Kadiogo ont démenti les propos de Jules Rasmané Ilboudo. Les propos selon lesquels il aurait quitté le parti avec six cent (600) militants. Selon le président, après avoir fait les points avec les responsables des secteurs, ces 600 personnes sont inconnues au niveau du parti.
Le président du parti, Gilbert Noel OUEDRAOGO affirme que Jules Abdoul Rasmané Ilboudo, porte-parole des démissionnaires a été nommé Secrétaire Général à titre provisoire. « Il est parti comme il est venu, il y a aussi une autre personne du nom de Bibata Derra qui a déposé sa démission », a soutenu le président du parti. Il ajoute qu’il fait le point et pense qu’il serait judicieux que Abdoul Rasmané Ilboudo fasse des déclarations vraies. « Toute autre personne qui voudrait jeter le discrédit sur le parti en faisant des fausses déclarations, nous porterons plainte devant le procureur pour usurpation d’identité et usage de faux », a laissé entendre Gilbert Noel Ouédraogo
Selon le coordonnateur du comité, Zoromé Assane, c’est après la publication des résultats des élections législatives que Jules Rasmané Ilboudo a décidé de démissionner. Il ajoute que c’est une démission personnelle et cela est possible dans un parti.
D’ailleurs pour démentir les propos de Jules, ils ont vérifié le nom de certaines personnes qui n’étaient pas reconnues par les militants de ADF/ RDA. Du reste, il faut noter que c’est à travers une lettre de démission signé le vendredi 21 mai, adressée au président du parti, Gilbert Noël OUEDRAOGO par Jules Rasmané Ilboudo.
Le Conseil Economique et Social a procédé à la clôture de sa 1re session extraordinaire ce lundi 19 juillet 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème « La problématique de la gestion actuelle des terres du Burkina Faso : Quelles solutions pour un développement durable ? », le CES […]
Actualité SociétéLe Conseil Economique et Social a procédé à la clôture de sa 1re session extraordinaire ce lundi 19 juillet 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème « La problématique de la gestion actuelle des terres du Burkina Faso : Quelles solutions pour un développement durable ? », le CES a mis en place des recommandations qui seront transmises aux autorités compétentes afin qu’elles s’investissent davantage dans la gestion de terre qui devait être un bien collectif.
Depuis un certain temps, la problématique du foncier au Burkina fait l’objet de la une des médias. En effet, il faut dire que la terre a toujours constitué une problématique transversale qui touche à la fois des enjeux de sécurité alimentaire, de gestion durable des ressources naturelles, de croissance économique, etc. D’un point de vue général, la terre est considérée comme une ressource fondamentale pour le développement. Le phénomène des acquisitions de terres est en pleine expansion en milieu rural et urbain et cela s’explique par le fait de la promotion de l’agrobusiness enclenchée depuis 1999 ainsi que l’émergence de nouveaux acteurs que sont entre autres, les sociétés minières et les promoteurs immobiliers.
Au regard de cette situation, le Conseil Economique et Social a tenu sa première session extraordinaire de l’année 2021 du 22 juin au 19 juillet et a procédé à des recommandations. Lors du discours de clôture, la première vice-présidente du CES, Fatoumata LEGMA a soutenu que la prolifération des sociétés immobilières entraine l’accaparement des terres et cela maintient les populations dans l’extrême précarité. Elle ajoute qu’il s’ensuit des conflits résultant des sentiments d’iniquité et des suspicions de corruption autour des actes de cession des terrains mettant ainsi à rude épreuve la cohésion sociale et le vivre ensemble. « Le constat global qui se dégage durant cette session est que la gestion actuelle des terres au Burkina Faso n’est pas du reluisante. La conviction est que si nous continuons dans cette dynamique, les générations futures seront sacrifiées et nous serons tous responsable », a-t-elle souligné.
Il convient de retenir que les réflexions ont été menées autour de la terre comme bien collectif, la réduction de la spéculation foncière, la réforme du cadre juridique sur le foncier et l’instauration d’une gouvernance vertueuse du foncier.
Selon le reporter général adjoint, Aly Badra OUEDRAOGO, il faut l’Etat s’invite davantage avec toute son autorité pour recadrer la question foncière. « La question foncière est une bombe en retardement et on ne prend pas garde, il y a une génération à venir que nous sommes en train de biaiser du fait d’une mauvaise gestion des terres au niveau rural et urbain. Nous pensons que le CES selon ses attributions a fait œuvre utile et ce rapport sera remis à qui de droit afin de considérer les recommandations pour trouver une solution adéquate à la crise foncière », a laissé entendre Aly Badra OUEDRAOGO.
In fine, le CES recommande d’interdire la promotion foncière dans la loi N°057-2008, réviser les conditions d’obtention de l’agrément en augmentant le montant du compte séquestre et interdire les projets immobiliers dans les localités ne disposant pas de schéma directeur d’aménagement urbain et de plan d’occupation des sols.
Ce vendredi 16 juillet 2021 à Ouagadougou, les leaders de la Confédération Paysanne du Faso (CPF) ont organisé une conférence de presse. Placé sous le thème : << Sécurisation foncière et accaparement des terres au Burkina Faso >>, Ladite conférence a été animée sous le […]
HabitatCe vendredi 16 juillet 2021 à Ouagadougou, les leaders de la Confédération Paysanne du Faso (CPF) ont organisé une conférence de presse. Placé sous le thème : << Sécurisation foncière et accaparement des terres au Burkina Faso >>, Ladite conférence a été animée sous le leadership du Secrétaire Général du (FEPAB), Marc GANSONRÉ.
Depuis quelques années, les Burkinabè font face à une course effrénée vers la terre, marquée par les acquisitions foncières à grande échelle et favorisée par des fins de promotion immobilière, d’agrobusiness ou d’exploitation minière.
Il faut noter que ces phénomènes sont porteurs de risques socio-économiques majeurs dues à des risques d’exclusion foncière avec à la clef, les conflits, les menaces sur la sécurité nutritionnelle, les menaces sur la cohésion sociale et la paix au regard des conflits fonciers qui devient de plus en plus récurent.
D’après le Secrétaire Général, Marc GANSONRÉ, il faut sécuriser le foncier rural pour sa mise en valeur et non sécuriser la vente du foncier. En effet, l’évaluation quinquennale de la loi portant régime foncier rural sensée permettre la sécurisation foncière montre clairement l’inachèvement institutionnel.
D’ailleurs, les instances locale de gestion foncière sont absents à savoir les communes touchées pour la mise en place de sécurisation foncières en milieu rural (SFR) sont au nombre de 267 soit 76,06% des communes du territoire national. En plus, le nombre des Commissions foncières Villageoises existantes est de 353 839, 74% de l’ensemble de 8902 villages du pays et le nombre des Commissaires de conciliation foncière Villageoises est de 3507 soit 39,4% de l’ensemble des 8902 villages. Il faut retenir qu’à peu près 7000 est estimé pour le nombre d’APFR délivré sur environ 25 000 demande exprimées. Pour le CPF, ce nombre n’est qu’une goutte d’eau comparativement au besoin de sécurisation foncière en milieu rural ainsi où l’on dénombre plus de 3 000 000 d’exploitation agricole.
Au regard, de tout ce qui se précède, la confédération paysanne du Faso qui a fait de l’agriculture familiale et de la sécurisation foncière des exploitations familiales son cheval de bataille, a décidé de porter la voix des exploitations familiaux auprès du Gouvernement et de ses partenaires pour l’amélioration de la gestion foncière au Burkina Faso. En prenant compte cet aspects, le CPF interpelle le Gouvernement porter plus d’attention à la sécurisation foncière des exploitations familiales pour promouvoir les investigations afin d’assurer la sécurité alimentaire nutritionnelle et aussi améliorer les conditions de vie des populations.
Il convient de noter que des recommandations ont été formulées. Ce sont entre autres, la réalisation d’un audite du foncier rural suivi du rétablissement du droit des ruraux floués par les différents accapareurs de la terre, la mise en œuvre de l’article 218 du code général des collectivités territoriales qui stipule que la commune rurale comprends un espace d’habitation, un espace de production et un espace de conservation, mettre fin à la confusion et au chao et mettre en place des opérations spéciales subventionnées de délivrance d’APFR au profit des populations rurales.
Du reste, le CPF souhaite une bonne campagne agricole 2021/2022 et invite le Gouvernement à considérer les acteurs du monde rural à travers leurs différentes faîtières, comme des partenaires sûrs dans le cadre des concertations nationales sur la gouvernance foncière.