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Actualité Politique SociétéL’Alliance des Nouvelles Consciences(ANC) a animé une conférence de presse ce lundi 20 juin 2022 à Ouagadougou. L’objectif de rencontre avec les hommes de médias était de donner une lecture de l’évolution de la situation sécuritaire et sociale depuis l’avènement du coup d’État du 24 janvier 2022. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership du président de l’ANC, Marc BONOGO.
La situation sécuritaire délétère n’a pas laissé indifférent l’ANC. Elle s’est donnée pour exercice de scruter les évènements qui se sont suivis depuis le coup d’état du 24 janvier 2022. A l’ANC de souligner que la prise du pouvoir était perçu comme une action salvatrice. Mais l’espoir d’une sortie de crise va vite tomber en syncope. Au président de préciser que les problématiques majeures se situent au niveau de l’insécurité, le social et l’économie.
– Gouvernance sécuritaire
Lors de sa lecture liminaire, le président de l’ANC, Marc BONOGO, a soutenu qu’il faut relever le manque d’équipements de l’armée en logistique, l’inefficacité des services de renseignements et la non diversification des partenaires. » La crise sécuritaire n’est pas que militaire. Il s’agit d’un manque de volonté de d’assumer devant l’histoire », précise le président.
– Situation Économique
Pour l’ANC, la situation sécuritaire a poussé les investisseurs loin du Burkina Faso et la fermeture de certaines mines d’or.
– Situation sociale
Sur cette question l’ANC a décrété la vie chère qui frappe les burkinabè et ceux malgré le maintien des salaires des fonctionnaires.
Face toutes ses problématiques, l’ANC exige entre autres:
– l’envoie de la chefferie militaire au front pour libérer le pays avec à leur tête le président du Faso et ils ne doivent revenir à Ouagadougou que lorsque le pays sera entièrement libéré et lorsque les déplacés internes retourneront dans leurs zones respectives.
– la libération du général Gilbert Dienderé, du lieutenant colonel Emmanuel Zoungrana et des autres ex RSP afin qu’ils contribuent à la lutte contre le terrorisme
– que les policiers, militaires et gendarmes radiés soient entendu
– que les populations soient formées au maniement des armes qu’elles soient armées pour les besoins de la circonstance à se défendre en cas d’attaque.
– la baisse sans condition et ce dans un bref délai des prix des denrées alimentaires sur la marché.
Du reste, l’ANC espère une réaction des autorités pour soulager les populations.
La communauté musulmane du Burkina Faso a procédé ce samedi 18 juin 2022 à Ouagadougou à l’installation officielle de son Président, El Hadji Moussa Kouanda. Les fidèles musulmans de plusieurs provinces du Burkina Faso, les leaders musulmans des pays de la sous région (Bénin, Mali, […]
Actualité SociétéLa communauté musulmane du Burkina Faso a procédé ce samedi 18 juin 2022 à Ouagadougou à l’installation officielle de son Président, El Hadji Moussa Kouanda. Les fidèles musulmans de plusieurs provinces du Burkina Faso, les leaders musulmans des pays de la sous région (Bénin, Mali, Côte d’Ivoire, Ghana, Sénégal,..), les autorités administratives et les leaders d’autres religions ont effectué le déplacement pour la cohésion sociale et honorer ce grand rassemblement de la communauté musulmane.
Le 13e congrès de la communauté musulmane avait élu El Hadji Moussa Kouanda pour un mandat de 05 ans. Ce jour marque la cérémonie officielle d’installation du nouveau président de la communauté musulmane.
D’entrée de jeu la cérémonie d’installation a été marquée par une lecture coranique.
, un doua d’ouverture de la part de Cheick Abdoul Rasmane Kassoum Sana.
Pour le représentant de sa Majesté le Moogho Naaba Baongo, Salif Kaboré, c’est avec un honneur que sa Majesté le Moogho Naaba Baongo a accepté d’être le président d’honneur. Il ajoute que cette cérémonie témoigne de la grandeur d’esprit des leaders de la communauté musulmane. » Cette cérémonie montre que malgré les contradictions le dialogue est primordial pour une sortie de crise. C’est l’occasion d’exprimer notre gratitude pour les 60 ans d’existence de la communauté musulmane. Il faut renforcer la cohésion sociale et promouvoir le vivre ensemble. Que dieu étende sa main sur les nouveaux dirigeants de la communauté musulmane », a soutenu le représentant du Moogho Naaba Baongo.
Selon le parrain de la cérémonie, El Hadji Mohammadi Sawadogo, il convient de saluer cette mobilisation et je prie dieu qu’il ait la force de conduire à bien sa mission. » Les musulmans ont besoin de la paix pour adorer Dieu et je voudrais inviter les imams à insister sur la cohésion sociale et le vivre ensemble. J’invite le président à se comporter comme le prophète Mahomet SAW. Mes vœux de succès au président Kouanda et à son bureau », a souhaité le parrain.
Quant aux représentants des délégations étrangères, El Hadji Ousmane Diakité,
c’était une occasion pour lui de rappeler que c’est toujours un honneur d’être invité à cette cérémonie. » Nous exprimons notre solidarité pour tous les efforts consentis dans la lutte contre le terrorisme. Nos vœux de succès au président Moussa Kouanda. 60 ans de vie pour la communauté musulmane c’est à la fois beaucoup et peu parce que c’est une organisation destiné à durer dans le temps », a laissé entendre le Cheikh Ousmane Diakité.
Lors de son allocution, le ministre en charge des cultes, Issaka Sourwema n’a pas manqué de soutenir que l’installation officielle est une occasion de rendre hommage à la communauté musulmane qui souffle ses 60 ans d’existence. » Nous sommes des humains, nous avons des forces et des faiblesses.Le mérite revient à la communauté musulmane d’apporter des résolutions dans la cohésion sociale et la crise sécuritaire. J’encourage la communauté à s’investir pour accompagner les efforts du gouvernement. La lutte contre le terrorisme doit être le combat de tout les temps. Le ministère est disponible pour accompagner la communauté musulmane. Je souhaite plein succès au nouveau bureau de la communauté musulmane », a renchéri le ministre en charge des cultes.
A entendre le nouveau président, de la communauté musulmane, El Hadji Moussa Kouanda, ils sont là à disposition de la communauté musulmane. » Notre mission c’est de renforcer la cohésion sociale entre les différentes structures et penser la question sécuritaire. C’est notre devoir de rassembler et d’enseigner sur la base des fondements de l’islam. J’ai une pensée pieuse pour la population de Syétenga » dixit le Nouveau président de la communauté musulmane.
Du reste, il convient de noter que la cérémonie officielle d’installation s’est soldée par doua de clôture marquant ainsi le début des travaux du nouveau bureau exécutif de la communauté musulmane conduit par El Hadji Moussa Kouanda.
L’appel de Manega a animé une conférence de presse ce mercredi 15 juin 2022 au centre Lorette à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était de dérouler le chronogramme de la commémoration des trois années d’existence de L’appel de Manega et […]
Actualité Culture SociétéL’appel de Manega a animé une conférence de presse ce mercredi 15 juin 2022 au centre Lorette à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était de dérouler le chronogramme de la commémoration des trois années d’existence de L’appel de Manega et de faire un bref bilan. Pour l’heure, les conférenciers du jour estiment que la crise persiste.
D’entrée de jeu, le secrétaire général de l’appel de Manega, Louckman Sanfo, a tenu à rappeler qu’en juin 2019 l’engagement de L’appel de Manega se répond à trois images. Il s’agissait d’un avion en plein vol avec ses passagers preuve que les burkinabè ont un destin commun, de la tour de contrôle des aéroports qui situe la responsabilité individuelle et collective et de l’arc-en-ciel symbole de la diversité, la conjugaison et l’acceptation des différences.
3 Ans après, L’appel de Manega soutient que malheureusement ils ne peuvent que constater avec consternation que ces images transposées dans notre réalité nationale montrent qu’elles sont toutes en crise. » Ce que nous redoutons aujourd’hui ce n’est plus le terrorisme, nous redoutons le pire et l’irréparable, la guerre civile. Je voudrais appeler tous les burkinabè à la réconciliation urgente car leur est grave et il n’y a que la réconciliation qui soit notre réel salut.
L’appel de Manega garde bon espoir que notre pays regagnera la paix », a soutenu Louckman Sawadogo.
La commémoration des trois ans d’existence de L’appel de Manega sera célébrée à Pô dans le Nahouri. Cette commémoration sera un moment de bilan, d’introspection et renouvellement d’engagement pour de nouvelles perspectives.
A entendre, Evariste Bilgo, pour l’an 3, il y a une innovation dans la commémoration de L’appel de Manega. A lui de préciser qu’il y aura au programme :
– Cross populaire pour la paix
– Football parenté à plaisanterie pour la paix et la réconciliation
– Café Manega, rencontre avec les jeunes pour échanger sur le retour de la paix
– Une opération Mana Mana pour promouvoir la salubrité et l’hygiène
– Remise de prix Manega de la paix à 9 personnalités qui oeuvrent pour le retour de la paix.
Les prix Manega de la paix sont attribués à des personnalités qui se sont illustrés par leurs actes , leurs contributions à bâtir des infrastructures de paix et à promouvoir la réconciliation au sein des communautés. Pour cette année dix personnalités ont été désignés de commun accord.
Selon Denise Oulon, cette année, les lauréats sont entre autres le Chef de Pô, l’Emire du Liptako, le Chef Guenon, le chef Gan de Loropeni, famille Lilliou, association Bayiri Meebo de Kaya, le Pasteur Flavien Tapsoba, l’Imam Alidou Ilboudo, Roch Marc Christian Kaboré et Blaise Compaoré.
Du reste, pour la commémoration des trois ans d’existence à Pô dans la province du Nahouri de L’appel de Manega, tous les citoyens du Burkina Faso qui oeuvrent pour la cause de la paix et de la réconciliation sont invités à prendre part à ces activités commémorative.
Le consortium centre pour la gouvernance démocratique (CGD) a organisé un dialogue démocratique ce samedi 11 juin 2022 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << pourquoi les burkinabè prennent-il les âmes contre des burkinabè ? >>, Ce dialogue a été animée sous le leadership […]
Actualité Politique SociétéLe consortium centre pour la gouvernance démocratique (CGD) a organisé un dialogue démocratique ce samedi 11 juin 2022 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << pourquoi les burkinabè prennent-il les âmes contre des burkinabè ? >>, Ce dialogue a été animée sous le leadership de l’enseignant chercheur, Pr Augustin LOADA.
Depuis un certain temps, le Burkina Faso fait face à des attaques meurtrières qui en deuil chaque jours les familles. Face à celà le consortium centre pour la gouvernance a organisé un dialogue démocratique qui est placé sous le thème :<< Pourquoi les burkinabè prennent-il les âmes contre des burkinabè ?>>, Afin de trouver des solutions pour éradiquer à ce phénomène.
Pour l’un des 4 intervenants, les causes du terrorisme sont due au facteur international qui est une lutte fondé sur les faits religieux. Dans le pays, on a l’état qui crée un ressentiment, le sentiment de re-possession des ressources.
Les réponses pour endiguer le phénomène terrorisme, les loi 060 et 61 sont créées pour lutter contre le terrorisme.
L’administration pénitentiaire à un programme de radicalisation qui permet de détecter les faits.
Pour le directeur exécutif du CGD, Thomas Ouédraogo, c’est une problématique majeure qu’ils ont posé sur la situation sécuritaire. Pour lui, la question Pourquoi les burkinabè attaque d’autres burkinabè ? a tout son sens, parce que la question terroriste a été conçue comme une question exogène et aujourd’hui c’est une affaire beaucoup plus interne. D’où la raison de la présence des enseignants chercheurs pour mener une réflexion sur la question en lieu et place des insurrections communautaires. A lui d’ajouter qu’ils ont également fait recours à quelqu’un qui vie au quotidien le problème et à un journaliste qui a rapporté avec des récits à l’appui sur la question afin qu’ils viennent en parler.
<< En dernier ressort, nous nous sommes rattaché au service de quelqu’un pour prendre des actes et reculer sur ces questions là. Notre objectif de donner suffisamment d’informations pour mieux cerner, mieux comprendre et mieux adresser le problème du terrorisme au Burkina Faso car on ne sait pas par quel coup le tenir. C’est une affaire de tous et le CGD et ses partenaires entendent apporter des contributions à ce débat. Après cette conférence nous allons transmettre les recommandations à qui de droit et nous allons organisé suffisamment de publicité pour engager les burkinabè sur la lutte contre le phénomène>>, a t’il laissé entendre.
Il est ressorti dans les communications que ceux qui sèment la la terreur et la désolation au sein des populations sont majoritairement des burkinabè, d’où la pertinence du thème.
Selon le pr LOADA, la dissolution du Régiment de sécurité présidentielle (RSP) a affaibli la capacité de riposte militaire du gouvernement à faire face aux armées terroristes,selon lui la crise sécuritaire au Burkina Faso n’est pas surprenante et ne devrait pas être vue uniquement sous l’angle militaire.
Quand au directeur exécutif du CGD Thomas OUEDRAOGO, cette problématique a été posé sur la situation sécuritaire parce que des burkinabè attaquent d’autres burkinabè parce que initialement la question terroriste a été conçu comme une question exogène, aujourd’hui on se rend compte que c’est une affaire beaucoup plus interne.
<<Notre objectif est de donner suffisamment d’informations pour mieux cerner, mieux comprendre et mieux adresser le problème du terrorisme au Burkina Faso qui est comme un serpent de mer; on ne sait pas par quel bout le tenir>> a déclaré le directeur exécutif du CGD qui ajoute que des recommandations seront adressées à qui de droit et organiserons suffisamment de publicités pour engager les burkinabè sur la lutte contre le phénomène.
Le consortium centre pour la gouvernance démocratique (CGD) a organisé un dialogue démocratique ce samedi 11 juin 2022 à Ouagadougou. Placé sous le thème : >, Ce dialogue a été animée sous le leadership de l’enseignement chercheur, Pr Augustin LOADA. Depuis un certain temps, le […]
Actualité PolitiqueLe consortium centre pour la gouvernance démocratique (CGD) a organisé un dialogue démocratique ce samedi 11 juin 2022 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << pourquoi les burkinabè prennent-il les âmes contre des burkinabè ? >>, Ce dialogue a été animée sous le leadership de l’enseignement chercheur, Pr Augustin LOADA.
Depuis un certain temps, le Burkina Faso fait face à des attaques meurtrières qui endeuil chaque jours les familles. Face à celà le consortium centre pour la gouvernance démocratique aorganisé un dialogue démocratique qui est placé sous le thème :<< Pourquoi les burkinabè prennent-il les âmes contre des burkinabè ?>>, Afin de trouver connaître les causes du terrorisme et de trouver des solutions pour éradiquer à ce phénomène.
Pour l’un des 4 intervenants, les causes du terrorisme sont due au facteur international qui est une lutte fondé sur les faits religieux. Dans le pays on a l’état qui crée un ressentiment, le resentiment de reposession des ressources, aussi l’exploitation des ressources forestières et en l’eau.
Les réponses pour endiguer le phénomène terrorisme, est que les loi 060 et 61 sont créé pour lutter contre le terrorisme.
L’administration pénitentiaire à un programme de radicalisation qui permet de détecter les faits.
Pour le directeur exécutif du (CGD), Thomas Ouédraogo, l’événement est une problématique qu’ils ont posé sur la situation sécuritaire. Pourquoi les burkinabè attaque d’autres burkinabè ?, Parce que la question terroriste a été conçu comme une question exogène et aujourd’hui qu’il se rend compte que c’est une affaire beaucoup plus interne c’est la raison pour laquelle ils ont convié sur ce plateau une forme de triptyque chercheur qui a posé cette problématique d’internalisation du phénomène qui pourrait faire penser à autres choses que des actes purementose fort d’insurrection communautaire. Il a ajouté qu’ils ont également fait recours à quelqu’un qui vie au quotidien le problème, un journaliste qui a rapporté avec des récits à l’appui pour être même un auteur d’un ouvrage sur la question et nous avions voulu qu’il vienne en parler. Dit-il.
<< En dernier ressort, nous nous sommes rattaché au service de quelqu'un pour prendre des actes et reculer sur ces questions là. Notre objectif est de donner suffisamment d'informations pour mieux cerner mieux comprendre et mieux adresser le problème du terrorisme au Burkina Faso car on ne sait pas par quel goût le tenir. C'est une affaire de tous et le CGD et ses partenaires ont entendu apporter des contributions à ce débat. Après cette conférence nous allons transmettre les recommandations à qui de droit et nous allons organiser suffisamment de publicité pour engager les burkinabè sur la lutte contre le phénomène>>, a t’il laisser entendre.
La coalition des chefs coutumiers ont organisé une assemblée générale ce vendredi 10 juin 2022 à Ouagadougou. L’objectif de cette assemblée était de donner leur avis sur la situation nationale. Ladite assemblée s’est tenue en présence de nombreux chefs coutumiers. Depuis quelques années, le Burkina […]
ActualitéLa coalition des chefs coutumiers ont organisé une assemblée générale ce vendredi 10 juin 2022 à Ouagadougou. L’objectif de cette assemblée était de donner leur avis sur la situation nationale. Ladite assemblée s’est tenue en présence de nombreux chefs coutumiers.
Depuis quelques années, le Burkina Faso fait face à de nombreuses difficultés sur le plan sécuritaire. C’est face à celà que les chefs coutumiers ont tenue une assemblée générale pour donner leur point de vue afin que la paix revienne au Faso.
Pour le chargé de mission représentant du ministre au ministère des affaires coutumière et religieux, le Baloum Naaba de Boundré, dans un premier temps il a traduit les félicitations de monsieur le ministre à la coalition des chefs coutumiers du kadiogo pour l’initiative qu’ils ont eu pour le retour de la paix au Burkina Faso. << C'est une initiative qui est louable apprécié par les autorités du pays>>, dit-il le représentant du ministre.
Il a ajouté que : << Nous allons transmettre à qui de droit les doléances qui ont été formulées par la coalition des chefs coutumiers aux plus hautes autorités.
FASO BIM Group a annoncé ce vendredi 10 juin 2022 à Ouagadougou la tenue de la 1ere édition du Salon de l’innovation de l’industrie du BTP en Afrique. C’est autour d’une conférence de presse animée par Fabrice YANGANE que l’annonce a été rendue publique. Ouagadougou […]
Actualité Culture Education HabitatFASO BIM Group a annoncé ce vendredi 10 juin 2022 à Ouagadougou la tenue de la 1ere édition du Salon de l’innovation de l’industrie du BTP en Afrique. C’est autour d’une conférence de presse animée par Fabrice YANGANE que l’annonce a été rendue publique.
Ouagadougou abritera du 24 au 25 juin 2022 à Ouagadougou la 1ère édition du Salon de l’Innovation de l’Industrie du BTP en Afrique ou festival BIM AFRICA. D’entré de jeu, les conférenciers du jour ont fait une brève présentation de la structure qui a eu l’initiative de ce salon, avant d’expliquer la situation qui a prévalu à la création du salon et de dérouler le chronogramme du salon. A eux de soutenir que le salon aura pour thème « Amorcer la transformation digitale de l’industrie du BTP en Afrique grâce au BIM ».
Il convient de noter que le salon a pour objectifs de faire entrer le secteur du BTP Burkinabé et Africain dans l’ère du numérique et innover dans ce secteur ;
amorcer la digitalisation de l’industrie du BTP au Burkina ;
conduire à un développement industriel et économique ambitieux des entreprises.
Selon le Président du comité d’organisation, Fabrice YANGANE, il est prévu à ce salon des ateliers et des conférences sur plusieurs thématiques. Il ajoute que ce salon vise à enseigner des nouvelles méthodes de travail qui sont peu connues en Afrique.
» ce salon contribuera à améliorer la condition de travail dans le secteur du BTP. Nous attendons à ce selon environ 300 participants professionnels. Au fil des années Bim Africa entend délocaliser l’événement dans d’autres pays de la sous région », a soutenu le président du comité d’organisation.
A entendre Alix Zoytenga, l’inscription gratuite se fait en ligne et donne droit à un badge qui conditionne la participation aux différents ateliers.
Dénommé BIM AFRICA, selon Fabrice YANGANE Ing. Génie Civil – Spécialiste BIM par ailleurs
Président du Comité d’Organisation, le salon de l’Innovation de l’Industrie du BTP en Afrique a pour objectifs de faire entrer le secteur du BTP Burkinabé et Africain dans l’ère du numérique et innover dans ce secteur ; amorcer la digitalisation de l’industrie du BTP au Burkina ; conduire à un développement industriel et économique ambitieux des entreprises, etc. Pour Ismaël Ouandaogo, c’est le lieu d’inviter tous les acteurs du BTP à s’approprier ce salon pour mieux s’outiller et apprendre les nouvelles technologies dans les domaines du BTP.
Partenaires et acteurs du monde du BTP, cette rencontre est la vôtre.
Pour tout besoin de renseignements utiles merci de contacter
Secrétaire général :
70 88 74 55
P.C.O:
72 58 43 85
Ce jeudi 09 juin 2022, le Mouvement pour la culture de la paix et l’amour de la patrie (MPAP) a rencontré les hommes de médias pour rappeler la nature du mouvement dans ses objectifs et jetter les prémices de la 2e édition des Ambassadeurs de […]
Actualité Culture SociétéCe jeudi 09 juin 2022, le Mouvement pour la culture de la paix et l’amour de la patrie (MPAP) a rencontré les hommes de médias pour rappeler la nature du mouvement dans ses objectifs et jetter les prémices de la 2e édition des Ambassadeurs de Paix Award. C’est sous le leadership du président du MPAP, Samuel KALKOUMDO que ladite conférence s’est tenue.
D’entrée de jeu, il s’est agi pour le conférencier du jour, le président du MPAP, Samuel KALKOUMDO de faire la présentation du Mouvement pour la culture de la paix et l’amour de la patrie.
En termes de présentation, il faut noter que le MPAP est un projet porté par des jeunes épris de paix et de patriotisme. La structure a été créée le 29 octobre 2017 et son siège se trouve à Koudougou. C’est une OSC qui a des coordinations dans les 13 régions du Burkina Faso. Selon les conférenciers, depuis sa création avec à sa tête le président national, Samuel KALKOUMDO, le MPAP a mené beaucoup d’activités allant dans le sens de la promotion de la paix et du patriotisme en collaboration avec les structures étatiques et les autres entités.
La principale mission que s’est engagée le MPAP est de promouvoir la tolérance , le civisme, la culture de la paix et l’amour de la patrie. Le mouvement a pour objectif de promouvoir la cohésion sociale et le vivre ensemble, la lutte contre l’extrémisme violent et de contribuer à faire de la paix un capital commun entre autres.
La conférence de presse a été une occasion pour me MPAP d’annonce les prémices de la 2e édition des Ambassadeurs de la Paix Awards et de donner l’historique de cette cérémonie de récompense.
Pour le président du MPAP, les burkinabè ne ménage aucun effort pour bâtir une nation forte et prospère dans un climat de paix et de sécurité. Il ajoute que s’est dans la logique de recherche et de promotion de paix que le MPAP a décidé de reconnaître, distinguer et récompenser le mérite de ces artisans de paix.
Du reste, la 2e édition des APA va s’intéresser à la situation de vulnérabilité des enfants des déplacés internes. Le MPAP fait un plaidoyer en faveur des enfants des déplacés internes pour leur réinsertion sociale et éducative pour les éloigner des couloirs d’enrôlement au bénéfice des ennemis du Burkina Faso.
La start-up Teco2 a été la principale cible de la 7e édition du Café des Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) ce jeudi 09 Mai 2022 à Ouagadougou au sein du 2iE. Ce café RSE qui se tient autour de la thématique » Eco innovation – […]
Actualité Culture Environnement SociétéLa start-up Teco2 a été la principale cible de la 7e édition du Café des Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) ce jeudi 09 Mai 2022 à Ouagadougou au sein du 2iE. Ce café RSE qui se tient autour de la thématique » Eco innovation – Eco produits – Promotion du contenu local », a permis à la start-up Teco2 de présenter sa politique RSE aux différents acteurs.
Pour le vice président du forum RSE, Giraude ADOESSI, le Café RSE est une initiative de l’institut 2iE qui date de 2016 qui vise à être un espace de bonne pratique en faveur du développement durable, un espace de réseautage entre les acteurs du RSE et un espace de mise en lumière des organisations du RSE. A la question de savoir pourquoi le choix de la start-up Teco², le vice président soutient que Teco² a eu le leadership de se positionner pour 7e édition de ce café RSE parce que c’est une entreprise qui est issu de l’institut 2iE et œuvre dans la valorisation des déchets plastiques.
A entendre le PDG, de Teco², Calvin TIAM, ce café RSE était une occasion pour eux de démontrer que l’ensemble de leurs actions sont des bonnes pratiques en lien avec le RSE. A lui d’ajouter qu’ayant la politique RSE, il était question de venir le présenter devant le forum RSE Burkina afin de tisser des collaborations, d’augmenter les différents indices en terme d’actions en RSE et de voir des pistes de collaboration avec d’autres structures locales pour mieux valoriser les déchets plastiques. » Au sortir de ce café nous sommes très heureux et très satisfait au vue des différents partenaires qui se sont noués au cours des échanges. Il faut noter que c’est un processus qui date depuis janvier et le plus dur reste la concrétisation des partenariats en cours. Nous travaillons davantage à suivre les cahiers de charges pour rester en synergie avec les différents objectifs afin de susciter d’autres collaborations », a soutenu Calvin TIAM.
Selon le président du forum RSE, Kalil KERE, cette 7e édition du café RSE s’est très bien déroulée au sortir des travaux. Il précise qu’ils ont eu l’occasion de découvrir l’entreprise Teco² qui valorise les déchets plastiques. » Nous avons été édifiés par l’ensemble des procédures et la démarche RSE de l’entreprise Teco². Les résultats des travaux sont concluants parce que les différents partenaires traduisent toutes leur satisfaction et il y a eu un certain nombre de recommandation en vue de pousser l’entreprise à être mieux valoriser et à avoir plus d’impact », a laissé entendre le président du forum RSE.
Pour les participants, la start-up Teco² est venue pour résoudre la problématique des tables bancs au niveau des écoles. Ils ont d’ailleurs demandé qu’une opération de collecte soit faites dans les écoles suivi de sensibilisation. A eux d’ajouter que TECO² a embrassé toute une chaîne de valeur.
A titre de recommandation, le forum RSE invite la start-up Teco² a s’approcher de structures Étatiques et des sociétés minières qui ont une politique communautaire avec la construction des écoles et qui sous entend un besoin de tables bancs.
Le café RSE s’est soldé par des remises d’attestations aux personnels de l’entreprise Teco²
Du reste au sortir des échanges, l’école en situation d’urgence a promis offrir 40% d’une commande de 9000 tables bancs écologiques à la start-up Teco².
Au Burkina Faso et en Afrique, bon nombre de personnes ignorent que le premier Musée de l’eau se trouve à Ouagadougou. Pour les membres et les sympathisants du Parlement National de la Jeunesse pour l’Eau, la découverte et l’existence du premier Musée de l’eau, n’est […]
Actualité Culture EnvironnementAu Burkina Faso et en Afrique, bon nombre de personnes ignorent que le premier Musée de l’eau se trouve à Ouagadougou. Pour les membres et les sympathisants du Parlement National de la Jeunesse pour l’Eau, la découverte et l’existence du premier Musée de l’eau, n’est plus un secret pour personne. En effet, le Parlement National de la Jeunesse pour l’Eau (PNJE) a initié une sortie détente au Musée de l’Eau, le samedi 04 juin 2022. Cette visite détente qui tient lieu de découverte et d’enseignement sur la culture immatérielle et matérielle de l’eau, s’est tenue sous le leadership du fondateur du Musée de l’Eau, Alassane Samoura.
C’est sous le thème » Eau (vie), jeunesse (espoir) » que la journée détente du Parlement National de la Jeunesse pour l’Eau au musée de l’eau s’est tenue. L’eau source de toutes vies et la jeunesse, espoir et avenir de l’humanité garant de la protection des patrimoines.
D’entrée de jeu, le président de la PNJE, René BAYILI, a pris la parole devant la quarantaine de membres et sympathisants du PNJE pour dérouler le chronogramme de la visite du musée de l’eau. Il s’est agi principalement de l’historique du musée, de la rencontre avec le fondateur du musée, des jeux de sociétés, d’une visite guidée, des exercices pratiques, des anecdotes sur l’eau, de la technique de recherche d’une nappe d’eau et un reboisement.
« Cette visite tient lieu de renforcement des capacités afin d’insister sur les valeurs de l’eau et la nécessité de sa préservation. Le but c’est de travailler à toujours interpeler les décideurs politiques et à insister sur le contrôle environnemental », a précisé le président.
A entendre le fondateur du musée de l’eau, Alassane Samoura, c’est un véritable plaisir d’accueillir les membres du PNJE au musée. Il soutient que le musée de l’eau n’est pas uniquement un musée d’exposition, c’est aussi un musée d’éveil de conscience sur la nécessité de préserver la ressource en eau. Pour Alassane Samoura, le musée entend valoriser l’eau en tant que ressource culturelle, anthropologique, politique et existentielle. » Le musée de l’eau, c’est le musée de la Jeunesse. Son avenir appartient à la jeunesse. Nous manquons de ressources financières et d’accompagnement pour mieux donner une image de qualité au musée. C’est le premier Musée de l’Eau du monde et c’est dommage qu’il ne soit pas trop connu. Nous faisons face à des difficultés d’ordre financier, foncier et de visibilité », a laissé entendre le fondateur du musée de l’eau.
Il convient de retenir que pour certains membres et sympathisants du PNJE, c’était une première de découvrir Un musée de l’eau. Selon Taryam Ouili, membre du PNJE, chef d’équipe de travail plaidoyer et communication du PNJE, au musée de l’eau, elle a le sentiment d’avoir beaucoup appris sur les mécanismes et la culture de l’eau, les relations de l’eau avec les autres entités. » Nous avons appris ici au musée de l’eau les différents types de forage, de pompes à eau et la corvée d’eau. Nous avons fait également des jeux de société pour créer des liens de familiarité. J’ai également appris comme trouver l’eau avec le bâton du sourcier », a ajouté Taryam Ouili.
Du reste, il convient de noter que c’est sûr des partages d’expérience, un repas communautaire et des reboisements dans la joie et le vivre ensemble que le PNJE a passé sa journée détente au Musée de l’Eau. En rappel, le PNJE a mis à la disposition du musée de l’eau environ 300 arbres pour la postérité.