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Actualité CultureCe jeudi 11 Mai 2023, le Conseil Supérieur de la Communication a appelé jeudi les responsables des médias à ne plus diffuser la chanson “Safi” de l’artiste musicien Blem, à compter de ce jour. Cette décision intervient à la veille des Kundé, où l’artiste est nominé dans les catégories “Kundé de la révélation” et “Kundé de l’Espoir”, un véritable coup dur pour l’artiste.
Cette recommandation fait suite aux plaintes de trois structures de protection des droits humains au cours de la semaine, qui demandaient à examiner le contenu de la chanson.
Pour le Conseil, la chanson comporte des propos grossiers et obscènes, ainsi que d’autres manquements relatifs à la discrimination raciale ou basée sur le handicap.
En marge de ses 160 ème anniversaire, la croix rouge burkinabè et le croissant rouge ont animé une conférence de presse ce lundi 08 Mai 2023 à Ouagadougou. L’objectif de rencontre avec les hommes de médias avait pour but de de présenter le programme de […]
Actualité SociétéEn marge de ses 160 ème anniversaire, la croix rouge burkinabè et le croissant rouge ont animé une conférence de presse ce lundi 08 Mai 2023 à Ouagadougou. L’objectif de rencontre avec les hommes de médias avait pour but de de présenter le programme de cette commémoration et de faire de bilan annuel des faits net exercices de la croix rouge. Pour cette édition, le 160 ème anniversaire se tient sous le thème « Nous faisons tout avec le cœur». Ladite conférence se tient sous le leadership de Laurent Saugy, Chef de la délégation du CICR au Burkina Faso et du secrétaire général de la croix rouge burkinabè Lazare ZOUNGRANA.
« 5367 personnes ont bénéficié d’appui, 8 ouvrages hydrauliques, 114 assainissements, 84 200 kits scolaires distribués
4776 kits d’hygiènes distribué, plus de 3000 personnes formées et sensibilisées, des vivres distribués, plus enfants protégés des risques de malnutrition et 109 extrait de naissances etablis au profit des enfants», ce sont entre autres les exercices et faits de la croix rouge burkinabè de l’année 2022.
« Ce sont des milliers de volontaires qui se mobilisent pour sauver le monde. Le réseau de la croix rouge et du croissant rouge est le plus vaste du monde. Nous sommes préoccupés par la persistance des persécutions et des violences. Nous devons respecter le droit international humanitaire. La désinformation peut entraver la protection humanitaire. Nous exprimons notre solidarité avec le Burkina Faso», a laissé entendre Laurent Saugy, Chef de la délégation du CICR au Burkina Faso
« Faire avec le cœur est principe d’humanité de la croix rouge. La crise sécuritaire est marquée par l’accroissement des besoins humanitaires. Les faits et exercices marquent notre engagement pour l’urgence humanitaire. Les conséquences nous préoccupent et nos organisations travaillent dans des conditions de plus en plus difficiles. Cette commémoration sera marqué par un don de vivres aux pdi de Manga, le mardi prochain», a confié secrétaire général de la croix rouge, Lazare ZOUNGRANA.
A entendre, le SG Lazare ZOUNGRANA, la croix rouge burkinabè a décidé depuis un certain moment de faire des célébrations tournantes. «La croix rouge burkinabè n’est melé au drame de Karma. Nous avons publié un communiqué pour nous démarquer. La croix rouge ne témoigne pas. Elle ne donne pas d’information sur ce qu’elle voit sur le terrain. Au risque de ne plus avoir accès aux zones à fort défi humanitaire. La croix rouge est neutre. Il peut avoir des incompréhensions et il faut s’interroger sur la nécessité d’accepter les principes humanitaires de la croix rouge», soutient le SG.
Sur la question de la désinformation, Laurent Saugy précise que la meilleure manière de gérer les désinformations c’est insister sur l’action humanitaire et relayer les rôles de la croix rouge.
Du reste, il faut noter que la commémoration 2023 se tiendra à Manga, dans la cité de l’épervier.
Communiqué de presse 08 mai 2023 Ouagadougou – À l’occasion de la Journée mondiale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, la Croix-Rouge Burkinabè (CRBF) et le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) expriment leurs plus vives préoccupations face à la spirale de violence qui affecte toutes […]
Actualité SociétéOuagadougou – À l’occasion de la Journée mondiale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, la Croix-Rouge Burkinabè (CRBF) et le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) expriment leurs plus vives préoccupations face à la spirale de violence qui affecte toutes les régions du Burkina Faso et appellent tous les acteurs concernés à respecter le droit international humanitaire.
Depuis plusieurs années, le Burkina Faso fait face à de nombreux défis sécuritaires et humanitaires. Dans un contexte de violences armées récurrentes, avec une succession d’incidents tragiques, la CRBF et le CICR sont extrêmement préoccupés par les conséquences humanitaires sur les populations civiles.
Laurent Saugy, Chef de la délégation du CICR au Burkina Faso, a déclaré : « Nous sommes particulièrement préoccupés par le sort des populations civiles. Il est plus que jamais nécessaire de respecter et faire respecter le droit international humanitaire, qui sauvegarde le principe d’humanité. Il faut protéger les populations civiles et leurs biens, ainsi que les personnes hors de combat. »
La CRBF et le CICR expriment également leurs préoccupations quant aux fausses informations qui circulent dans la presse et sur les réseaux sociaux concernant la Croix-Rouge. « A l’ère du numérique, les informations circulent extrêmement vite et sont facilement manipulables. Il faut faire preuve de responsabilité quant à ce que l’on décide de partager, notamment sur les réseaux sociaux. La mésinformation et la désinformation peuvent avoir un impact majeur sur le travail humanitaire que nous menons, avec des conséquences néfastes pour les personnes que nous assistons. », estimeLazare Zoungrana, Secrétaire Général de la Croix-Rouge Burkinabè.
Il est important de rappeler que les principes fondamentaux de neutralité, d’impartialité et d’indépendance régissent toutes les actions du Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge. La Croix-Rouge ne soutient aucune partie à aucun conflit armé ni à toute autre situation de violence. Bien que ses principes humanitaires soient souvent remis en cause, ils demeurent au cœur de son action et n’ont qu’un seul but : garantir l’accès et le soutien aux personnes affectées. Les principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge sauvent des vies humaines.
A propos du CICR et de la CRBF
Depuis 160 ans, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) protège et assiste les victimes de conflits armés et d’autres situations de violence. Actuellement, il travaille dans plus de 100 pays à travers le monde, y compris au Burkina Faso.
La Croix-Rouge Burkinabè (CRBF) est un acteur humanitaire national de premier plan. Avec un réseau de plus de 13’000 volontaires Croix-Rouge actifs dans 45 comités provinciaux à travers le pays, la CRBF intervient aussi bien dans les situations de crises et de catastrophes que dans les programmes de développement.
Ensemble, le CICR et la CRBF restent déterminés à répondre aux besoins humanitaires des communautés affectées par les violences armées, aujourd’hui comme à l’avenir.
Contacts Médias:
Ouabo Nombré, Croix-Rouge Burkinabè,
nombreouabo@yahoo.fr, +226 70 27 06 22
Nathalie Perroud, CICR Burkina Faso,
nperroud@icrc.org, +226 02 05 31 73
La coordination nationale des OSC du Burkina Faso a animé une conférence de presse ce vendredi 05 Mai 2023 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était d’affirmer leur soutien indéfectible au président Ibrahim Traoré, d’informer l’opinion publique de la nature […]
Actualité SociétéLa coordination nationale des OSC du Burkina Faso a animé une conférence de presse ce vendredi 05 Mai 2023 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était d’affirmer leur soutien indéfectible au président Ibrahim Traoré, d’informer l’opinion publique de la nature de la mobilisation du 06 Mai et de rassurer les uns et les autres de la garantie de la sécurité. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership des portes paroles, Mohamed ZOUNGRANA et Lassané SAWADOGO.
La coordination des OSC du Burkina par la voix de son Premier vice-président, Lassané Sawadogo vient de lancer un appel aux Burkinabés pour une mobilisation générale demain samedi 06 mai 2023 fois de témoigner aux yeux du monde entier, leur soutien indéfectible aux autorités de la transition et au président Capitaine Ibrahim Traoré aussi qu’aux FDS face aux affres du terrorisme. « Nous préférons mourir que d’accepter la honte…», a déclaré le vice-président de ladite coordination
Ce jeudi 04 Mai 2023, Faso Lagam Taaba Zaka a animé une conférence de presse sur la situation nationale et internationale. De la situation nationale, il invite les autorités à rester dans la dynamique révolutionnaire et de la situation internationale, il invite la CEDEAO à […]
Actualité SociétéCe jeudi 04 Mai 2023, Faso Lagam Taaba Zaka a animé une conférence de presse sur la situation nationale et internationale. De la situation nationale, il invite les autorités à rester dans la dynamique révolutionnaire et de la situation internationale, il invite la CEDEAO à mettre fin aux accusations sans fondement. Ladite conférence de presse s’est tenue sous le leadership, de Ousmane Ouédraogo, SG de Faso Lagam Taaba Zaka.
D’entrée de jeu, le message de Faso Lagam Taaba Zaka se veut clair, mettre l’accent sur la révolution pour se développer et se booster. Et pour se faire, le mouvement invite la population burkinabè a une mobilisation générale le 06 Mai prochain pour barrer la route contre l’impérialisme. Le mouvement est revenu sur la nécessité d’éviter les questions d’élections parce que le Burkina Faso n’est pas encore sorti des joutes du terrorisme et de l’extrémisme violent.
Sur la situation nationale, Faso Lagam Taaba Zaka a comparé la position du Burkina Faso avec d’autres pays. Il s’est agi de la France qui a connu sa révolution de 1789 à 1799, des Etats-Unis d’ Amérique, de l’Iran et de la Corée du Nord. Le mouvement estime que le MPRS2 depuis son avènement au pouvoir s’inscrit dans la dynamique de la révolution et par ricochet dans la même veine que les autres pays émergents.
«Nous demandons humblement aux politiciens d’accorder un maximum de temps nécessaire pour surmonter les dures épreuves, et conduire finalement la patrie dans le monde des pays émergents. Le MPRS2 est dans un état embryonnaire. Il faut parler l’existence d’un territoire avant de parler de projets politiques et de développement», a laissé entendre Ousmane Ouédraogo, SG de Faso Lagam Taaba Zaka.
Sur le plan international, le mouvement invite le peuple burkinabè ay redoubler d’efforts pour ne pas transformer le burkina Faso et le Mali en un champ de bataille comme l’Ukraine.
«On est riche et cette richesse doit forcement être au profit des burkinabè et des
maliens. A la CEDEAO de mettre fin à des provocations au coup des propos sans
fondement», invité Le SG Ousmane Ouédraogo.
Du reste, il faut noter que la conférence de presse a pris fin par des slogans tel que
A Bas la CEDEAO marginalisée,
A bas les complots déstabilisateurs de l’OTAN,
A bas la politique française en Afrique.
Rendre vous est pris devant l’histoire le samedi 06 Mai 2023 à 8h à la place de la Nation pour barrer la route à l’impérialisme et ses alliés.
Le ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation a effectué une visite de courtoisie au sein de l’Institut Supérieur et de la Technologie campus Goughin à Ouagadougou, ce jeudi 04 Mai 2023. Cette visite s’inscrit dans le cadre du partenariat qui existe […]
Actualité EducationLe ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation a effectué une visite de courtoisie au sein de l’Institut Supérieur et de la Technologie campus Goughin à Ouagadougou, ce jeudi 04 Mai 2023. Cette visite s’inscrit dans le cadre du partenariat qui existe entre ledit ministère et les institutions privées supérieur (IPS). Il s’est agi principalement de venir s’imprégner des réalités et des études qui se font à l’IST. C’est au côté du DG de l’IST, Issa Compaoré que le ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation a effectué sa visite.
De la salle d’informatique à l’atelier Tavaux pratiques et en passant par la salle d’exportation des créations, le Ministre Pr Adjima Thiombiano a pu constater de fait les systèmes éducatifs mise en place par l’Institut Supérieur de Technologie (IST).
Et selon lui, le Ministre, cette visite se situe dans le cadre du soutien du gouvernement à toutes les institutions du privée. A lui d’ajouter que le ministère a rencontré les différentes faîtières de l’IPS et il était question d’effectuer des visites sur un semaine aux instituts privée supérieur pour toucher la réalité sur tout ce qui se fait comme étude.
« Nous sommes à l’IST pour savoir ce qui se fait et partager avec les premiers responsables la vision du gouvernement et définir les meilleurs créneaux de partenariat. Véritablement je tient à féliciter toutes l’équipe de l’IST pour le travail abattu. C’est l’un des instituts qui occupe une place importante au sein du ministère. Ce que l’IST abat au quotidien rentre en droite ligne avec la vision du ministère de l’enseignement supérieur qui est d’accroitre l’employabilité au niveau estudiantin. Nous sommes satisfaits des réalisations des étudiants et des ateliers que nous avons visité. Il convient de les féliciter et de les encourager», a laissé entendre le ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, Pr Adjima Thiombiano.
Pour le DG de l’IST, Issa Compaoré, c’est un honneur et un encouragement pour l’IST de recevoir le ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, Pr Adjima Thiombiano. Il précise que la satisfaction du ministre après la visite est un motif d’encouragement à mieux faire. «Nous sommes dans un partenariat de longue durée avec le ministère qui nous accompagne et nous fait des observations. Nous espérons que la visite du ministre va faciliter les décisions parce que nous avons de grandes ambitions et de grands projets», a confié le DG de l’IST, Issa Compaoré.
Du reste, il convient de retenir que l’IST a ouvert ses portes en octobre 2000 à Ouagadougou avec 64 étudiants. Au 31 mars 2023, IST compte 5052 étudiants, reparti à IST Tanghin, Goughin, Ouaga2000, Tampouy, Wayalgin et Tenkodogo. C’est un établissement qui évolue dans les sciences technologiques et les sciences de gestion. IST forme des jeunes directement employables.
L’écrivain Soungalo Appolinaire Ouattara a procédé à la dédicace de son nouveau ouvrage intitulé « Plaidoyer Pour l’Etat» ce mardi 25 avril 2023 à Ouagadougou. L’auteur du haut de ses expériences expose sans faux fuyant, ni langue de bois, les dangers qui menacent l’Etat et […]
Actualité EducationL’écrivain Soungalo Appolinaire Ouattara a procédé à la dédicace de son nouveau ouvrage intitulé « Plaidoyer Pour l’Etat» ce mardi 25 avril 2023 à Ouagadougou. L’auteur du haut de ses expériences expose sans faux fuyant, ni langue de bois, les dangers qui menacent l’Etat et explore les pistes pour son relèvement social, institutionnel et économique. Parents, amis et collègues sont venus soutenir l’écrivain. Il s’agit principalement du Président de l’assemblée nationale, Dr Ousmane Bougouma, du Pr Laurent Bado, du Dr Alain Sanou, du Pr Joseph Paré, de Melegué Traoré, les anciens ministres et bien d’autres.
Selon l’éditeur, Thierry Milogo, il convient de saluer la présence des différents invités. Pour lui, cet ouvrage va apporter de la lumière à la lanterne des dirigeants. « Ce livre entend faire de notre pays un modèle de gouvernance vertueuse. C’est un ouvrage de 114 pages subdivisé en trois parties. L’ouvrage coûte 7000 FCFA et disponible à la librairie Mercury», a laissé entendre l’éditeur de l’ouvrage du jour.
L’auteur de l’ouvrage, Soungalo Appolinaire Ouattara, après les salutations d’usage, n’a pas manqué de soutenir que cet essai est un devoir de redevabilité. Il ajoute qu’il s’est interrogé sur les acteurs de changement dans un État, sur les niches de l’État et sur les réformes refoulées. « Aucun peuple ne peut se développer sur les savoir faire d’un autre peuple. Il faut des réformes au niveau du système éducatif. Nous ne faisons pas l’apologie de l’État. L’Etat c’est la communauté de citoyenneté et il faut des comportements civiques», a confié Soungalo Appolinaire Ouattara.
A entendre, Baba Hama, il convient de féliciter l’auteur pour le devoir de mémoire. A lui de préciser que selon l’auteur l’Etat s’affaisse et cet essai se présente comme une interpellation. « je voudrais que cet ouvrage crée le déclic pour un sursaut salvateur», a souhaité Baba Hama.
Pour Melegué Traoré, la force du Burkina c’est la qualité de son élite. Et sur l’auteur, il a salué l’écriture et invité ses collègues à emboîter davantage ses pas.
Lors de son allocution, Abdoul Karim Sango, a soutenu qu’il partage beaucoup de points de l’auteur. Il est revenu sur les qualités du multipartisme. « Avec plus de 200 partis politiques au Burkina Faso, on peut se demander si nous sommes dans le multipartisme. Soungalo Appolinaire Ouattara a eu le courage d’abord ce sujet», a avoué Abdoul Karim Sango.
« Cet ouvrage plaide pour un État reformé. Il a invité les gouvernants et la société civile à changer de comportement. Il y a un effort à faire en terme d’assainissement. Dans l’ouvrage, il est dit que l’état burkinabé ne connait pas le nombre de ses véhicules. C’est un ouvrage qui va accompagner la transition dans le cadre de ses réformes», conclut le président de l’assemblée législative de la transition.
Du reste, l’ouvrage est disponible au prix unitaire de 7000 FCFA à la librairie Mercury et bientôt dans d’autres librairies de la place.
Le comité d’organisation de la 2e édition du programme «Un étudiant une formation en informatique» a procédé ce samedi 15 avril au lancement officiel au profit des bénéficiaires. Cette 2e édition avait pour but de former les bénéficiaires en informatique afin qu’ils puissent mieux utiliser […]
Actualité EducationLe comité d’organisation de la 2e édition du programme «Un étudiant une formation en informatique» a procédé ce samedi 15 avril au lancement officiel au profit des bénéficiaires. Cette 2e édition avait pour but de former les bénéficiaires en informatique afin qu’ils puissent mieux utiliser leurs ordinateurs dans le cadre de leur étude. Ladite formation s’est tenue sous le leadership du Président dudit programme, Raouf Ouédraogo, président du Mouvement Je protège mon voisin (JPV).
Le programme un étudiant une formation en informatique vient en appuie au programme présidentiel un étudiant un ordinateur.
Initié par Raouf OUEDRAOGO, président du Mouvement Je protège mon voisin, le lancement effectif de cette deuxième édition du programme « Un étudiant, une formation en informatique » s’inscrit dans le cadre des activités annuelles.
Et selon le premier responsable, Raouf Ouédraogo, il s’agit de former les étudiants en Word, Excel et PowerPoint, toute chose qui indispensable dans leur cursus universitaire.
« Nous avons pour ambition de subventionner la formation en informatique au profit de 100 000 étudiants dont 20 000 par session de formation annuelle sur 5 universités du Burkina Faso. Et les universités cibles sont entre autres, l’Université Joseph Ki-Zerbo, de l’Université Thomas Sankara, de l’Université Nazi Boni de Bobo Dioulasso, de l’Université de Dédougou, de l’Université de Norbert Zongo de Koudougou ainsi que les différents centres universitaires.La suite du projet sera axée sur une grande campagne de formation en entrepreneuriat. Et nos prochaines ambitions c’est d’orienter déjà ces participants afin qu’ils puissent pouvoir utiliser les moyens qu’ils ont appris pour se faire de l’emploi ou en faire un projet pour se rendre indépendant », a confié le président.
Il convient de noter que le programme est subventionnée à 7000 franc en lieu et place de 25 000 francs par le Mouvement.
Pour l’adhésion des candidats, le comité d’organisation a laissé entendre qu’il invitait ceux qui se sont inscrits au programme présidentiel un étudiant un ordinateur et les étudiants désireux de se faire former en informatique.
Pour le comité c’est une chance pour les étudiants de se perfectionner en informatique.
La cérémonie officielle de lancement a donné droit à une séance de remise d’attestation aux bénéficiaires de cette session de formation.
A entendre un des bénéficiaires de la première édition, Ouattara Albert soutient que c’est avec satisfaction qu’il est présent pour le retrait de son attestation. «Nous avons beaucoup appris lors de la formation, surtout sur les différents modules qui ont été dispensés. Après avoir suivi la formation, je peux faire un document sur Word, je peux faire une présentation sur PowerPoint, et aussi faire des calculs sur Excel », affirme t’il avec satisfaction.
En rappel, le mouvement je protège mon voisin est une association qui rassemble un peu la communauté burkinabè avec l’ensemble de ces voisins. Ce mouvement est là pour la cohésion sociale, le vivre ensemble entre peuple et entre voisins d’à côté.
Ce mardi 11 avril 2023 à Ouagadougou, Les premiers responsables du Collectif des Leaders Panafricains (CLP) ont animé une conférence de presse autour de deux points essentiels, le soutien à la transition actuelle et la rumeur de détournement de fond par un leader d’OSC. L’objectif […]
SociétéCe mardi 11 avril 2023 à Ouagadougou, Les premiers responsables du Collectif des Leaders Panafricains (CLP) ont animé une conférence de presse autour de deux points essentiels, le soutien à la transition actuelle et la rumeur de détournement de fond par un leader d’OSC. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était d’apporter un démenti formel aux différentes allégations et de réaffirmer leur soutien à la transition actuelle. Ladite conférence de presse s’est tenue sous le leadership de Moussa Sanfo, SG du CLP, de Sebgo Alpha, SG Adjoint et du président Maïga.
Le CLP affirme par ses écrits qu’aucuns des leaders d’OSC n’a été constaté par qui ce soit et tient à rassurer ses militants et sympathisants que tout se passe bien au sein du collectif. Selon le collectif, le meeting a été organisé par les femmes et les cotisations a été faite entre OSC et aucune d’entre elles n’a reçu de l’argent.
Réitérer son soutien indéfectible à la transition actuelle, malgré les multiples accusations dont les OSC font l’objet et inviter les membres et les sympathisants à rester mobilisés. Ce sont là toute la quintessence de l’acte 1 de la conférence de presse du jour.
Et pour le SG du CLP, Moussa Sanfo de soutenir qu’il y a des personnes mal intentionnées qui veulent salir l’image des OSC. « Des individus tentent de déstabiliser la transition et n’ayant pas d’issue, ils veulent à tout prix ternir l’image des leaders qui se sont donnés corps et âmes pour la Souveraineté de notre nation. Les acteurs qui sont contre le départ de l’armée française, ce sont les mêmes qui accusent sans fondement notre armée auteurs de bavures…», a déclaré Moussa Sanfo, SG du collectif des leaders panafricains.
Pour ce qui concerne, le 2e volet, le Collectif des Leaders Panafricains se dit surpris de voir des informations qui circulent faisant cas d’une affaire d’argent soit la somme de 18 millions reçu de l’autorité par notre délégation féminine. Archi faux, le collectif dément et condamne formellement les accusations qu’elles jugent infondées selon son Secrétaire Général. « nous allons poursuivre nos activités de soutien à la transition actuelle. Une plainte sera déposée contre les auteurs de ces allégations qui ont pour but de saper l’image du CLP » , a laissé entendre le SG Sanfo.
Du reste, à entendre le SG Adjoint, Alpha Sebgo, le collectif vit grâce aux cotisations des membres et aux dons des sympathisants.
« Les membres et sympathisants du collectif sont nombreux. Nous sommes plus de 600 personnes reparties en une soixantaine d’association. Nous exerçons nos activités grâce à nos cotisations et sur fond propre des sympathisants. Les Membres du collectif ont l’amour de la patrie. Il y a des opérateurs économiques qui sont avec nous et qui sont prêts à mettre la main dans la poche pour la patrie», a soutenu Alpha Sebgo, SG Adjoint du CLP.
Le comité d’organisation de Reggae City festival a animé ce vendredi 07 avril 2023 à Ouagadougou, une conférence de presse pour annoncer l’édition 2023 de Reggae City festival. L’esplanade du palais des sports Ouaga 2000 va accueillir du 28 au 30 avril prochain, Reggae City […]
Actualité CultureLe comité d’organisation de Reggae City festival a animé ce vendredi 07 avril 2023 à Ouagadougou, une conférence de presse pour annoncer l’édition 2023 de Reggae City festival. L’esplanade du palais des sports Ouaga 2000 va accueillir du 28 au 30 avril prochain, Reggae City festival. Cette édition se tient en marge des 35 ans de carrière de Ismaël Isaac. Parents, amis et collègues sont venus soutenir l’initiative de Samsk le Jah. Il s’est agi de Martin Thierry, Grand docteur, Freeman Tarpily, Iron Bender, Madess et bien d’autres.
Suspendu depuis la 5e édition, le Festival « reggae city acte 6» est de retour. SamsK le Jah, promoteur dudit festival entend commémorer les 35 ans de carrière de Ismaël Isaac, le Gangaba de Treichville. Pour lui, c’est du 100% live avec des artistes comme Ismaël Isaac, Rikson Dolex, Jahkassa, Nana Sabari, Martin Tery et plein d’autres reggae makers.
« Des jeux donnant droit à des cadeaux, une rue marchande des produits locaux, des bars restaurants, des stands pour permettre aux partenaires d’être en contact direct avec leurs partenaires puisque le reggae, c’est aussi une question d’identité. Aussi, nous travaillons à relever le niveau du reggae qui a une base africaine», a détaillé SamsK Le Jah.
Comme innovations majeures, c’est la délocalisation du site dû à une coïncidence d’une de ses dates avec un autre événement devant se dérouler également sur son ancien site qui est Jean-Pierre Guingané. Aussi, le palais des sports Ouaga-2000 est bien propice pour les lives, a-t-il entre autres justifié.
Pour ce qui est des quelques années de pose connus par le festival, le promoteur a indiqué qu’en 2019 à quelques semaines de sa tenue est survenue l’attaque de l’état-major ce qui a fait de cette édition une édition avortée. La dernière édition fut un grand succès a révélé SamsK Le Jah.
Le budget pour l’organisation de la présente édition tourne autour de 29 millions de Francs CFA que l’organisateur attend bouclé très bientôt.