La Fondation Amazone Zabré : Un soutien inébranlable aux soldats blessés de guerre Dans le cadre de son engagement en faveur de la paix, la Fondation Amazone Zabré a organisé une journée de solidarité avec les soldats blessés en opération. Ce dimanche 17 novembre 2024, […]
Actualité Sécurité SociétéOuagadougou Hosts, this Thursday, November 14, 2024, the Press Conference for the Arts and Culture Awards of the Kingdom of Eswatini scheduled for December 14 in Eswatini. This major event will take place on December 14, 2024, in honor of the traditional Incwala festival, […]
Actualité CultureEswatini et Burkina Faso Renforcent leurs Liens Culturels à Travers les Awards Incwala 2024. Ouagadougou Accueille, ce jeudi 14 novembre 2024, la Conférence de Presse pour les Awards des Arts et de la Culture du Royaume d’Eswatini prévus le 14 décembre prochain en Eswatini. Cet […]
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Actualité SociétéLe Syndicat National des Contrôleurs et Inspecteurs du Travail (SYNACIT) a tenu une conférence presse ce mardi 22 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif principal de cette était dénoncer la remise en cause des acquis syndicaux avec l’interdiction des sit-in et la répression de militants syndicaux. […]
Actualité SociétéLe Syndicat National des Contrôleurs et Inspecteurs du Travail (SYNACIT) a tenu une conférence presse ce mardi 22 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif principal de cette était dénoncer la remise en cause des acquis syndicaux avec l’interdiction des sit-in et la répression de militants syndicaux. La conférence a été présidée par le secrétaire Général du SYNACIT, Yacouba BOLOGO.
Le SYNACIT a indiqué que le Burkina Faso au-delà de la crise sécuritaire est confronté à de nombreux défis autres que celui de la bonne gouvernance, de la liberté démocratique et syndicale, de la justice sociale et de la promotion du dialogue social. Toute chose qui amène le syndicat à peindre la situation qui prévaut au sein du ministère en charge du travail qui n’est guère reluisante.
Selon le SYNACIT, sur le plan du dialogue social, le ministre Séni Mahamadou OUEDRAOGO depuis son arrivée à la tête du ministère en charge du dialogue social, s’est résolument engagé dans une voie de déni du dialogue social et un mépris des partenaires sociaux.
Sur le plan de gouvernance administrative, le syndicat assiste à la gestion chaotique jamais vue dans l’histoire de l’administration du travail entachant ainsi la cohésion et le rendement des directions. Pour eux, cette situation a mis l’administration du travail dans une certaines léthargie.
Sur le plan de la liberté syndicale, des actes discriminatoires et antisyndicaux ont été conçus et développé par le ministre Séni Mahamoudou OUEDRAOGO. Le syndicat soutient que certains responsables administratifs jugés ou soupçonnés d’être proche du SYNACIT sont identifiés et démis de leurs fonctions de directeurs où de chef de service. Il ajoute que cela remet en cause le droit à la promotion de certains agents malgré leurs compétences. A écouter le SYNATIC, il s’agit de réaffirmer et de garantir les principes et droits fondamentaux au travail tel que le droit de chaque travailleur de se syndiquer ou non.
Selon le SG du SYNACIT, Yacouba BOLOGO, le SYNACIT se donnera les moyens de bouter ces pratiques hors de l’administration du travail. « Le bureau national exécutif appelle les militants à rester mobiliser et à se tenir prêts pour toute action que la situation commanderait. En tout état de cause, le SYNACIT reste toujours ouvert au dialogue franc et sincère.
Le comité d’organisation de la 27e édition du Festival Panafricain du Cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) prévue se tenir du 16 au 23 octobre prochain, a présenté aux hommes de média, le visuel officiel du FESPACO 2021, ce lundi 21 juin 2021 […]
Actualité CultureLe comité d’organisation de la 27e édition du Festival Panafricain du Cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) prévue se tenir du 16 au 23 octobre prochain, a présenté aux hommes de média, le visuel officiel du FESPACO 2021, ce lundi 21 juin 2021 à Ouagadougou. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership du ministre de la culture, des arts et du tourisme, Dr Foniyama Elise THIOMBIANO et du Délégué Général, Moussa Alex SAWADOGO.
Habitué aux visuels photographiques, c’est avec une grande surprise que le grand public a découvert le visuel du FESPACO 2021 en art plastique. Des artistes plasticiens ont été associés à la 27e édition du FESPACO, c’est l’information qui a retenti lorsque le visuel a été présenté au grand public. En effet, selon le DG du FESPACO, Moussa Alex SAWADOGO, les artistes plasticiens sont à l’origine de la conception du visuel de cette 27e édition du FESPACO. Il faut noter que c’est l’artiste plasticien, Christophe SAWADOGO, qui a eu l’honneur de concevoir cette œuvre figurative.
Pour l’artiste, Christophe SAWADOGO, à travers son œuvre, on peut y percevoir une guerrière sur un cheval avec une lance à la main gauche et indiquant de la main droite une destination devant elle. Il soutient que l’œuvre est inspiré de l’épopée la princesse Yennega qui incarne une figure emblématique de l’histoire des « moosé » et de la princesse Guimbi Ouattara. « L’œuvre a un rapport avec le thème de la 27e édition du FESPACO », a affirmé l’artiste.
La célébration de la biennale du FESPACO se tient sous le thème « Cinéma d’Afrique et de la diaspora : Nouveaux regards, nouveaux défis » et avec pays invité d’honneur le Sénégal. Pour le ministre de la culture, Dr Elise THOMBIANO, le Sénégal a été le premier pays à apporter son soutien financier pour l’organisation du FESPACO dès sa nomination. Elle ajoute que l’expertise du Sénégal est également la bienvenue.
Du reste, le DG du FESPACO a expliqué que les activités au programme sont entre autres, des projections de films en compétition et en panorama, des rencontres professionnelles, la rue marchande. Il faut retenir que ce sont au total 1132 films qui ont été enregistrés et qui sont en cours de sélection pour la biennale. Rendez-vous est pris pour du 16 au 23 octobre prochain.
La police nationale du commissariat de Nongr-Maasom en collaboration avec la Douane a organisé une conférence de presse ce lundi 21 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de présenter des présumés délinquants dont la somme de leur opération est estimé à une […]
Actualité SociétéLa police nationale du commissariat de Nongr-Maasom en collaboration avec la Douane a organisé une conférence de presse ce lundi 21 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de présenter des présumés délinquants dont la somme de leur opération est estimé à une valeur de 1 337 277 000f CFA. Ladite conférence a été animée sous le leadership du DG de la lutte contre la fraude, Oumarou OUEDRAOGO et du commissaire principal de la police, Natacha ZOUNGRANA.
Les investigations de la police nationale de l’arrondissement de Nongr-Maasom ont permis de démanteler six individus d’une même bande de présumés délinquants spécialisés dans le cas de bris de scellé, des vols et altération de balise de transit, de câbles électriques, de fraude, de marchandises, usage de faux en écriture publique et contrefaçons des sceaux de l’État.
Il faut noter que plusieurs objets ont été saisis à la suite de l’enquête. A savoir, cinq balises de transit, un lot de documents composé des États de chargement, des bordereaux de sortie de la chambre de commerce, des acquis donnés, des documents du conseil Burkinabè des Chargeurs contrefait, un cachet avec la formule » payé en espèce » , un dateur, un encreur rouge et divers documents de la Douane.
Selon la commissaire principale de la police Nationale de l’arrondissement de Nongr-Massom, c’est suite à des plaintes reçu du bureau de suivi de transit de la direction générale des douanes et de la société COTECNA que la brigade de recherches et d’intervention du commissariat de la police de l’arrondissement de Nongr-Massom a mené une enquête le 29 mai dernier. Elle ajoute que : <<cette bande menait ses activités depuis les zones d’importation jusqu’à la ville de Ouagadougou >>, affirme commissaire ZOUNGRANA.
Il faut noter que ces présumés délinquants ont envoyé plus de cinq conteneurs de marchandises sans remplir les formalités douanières et la bande percevait de l’argent pour le transit dont les montants varient entre 3 500 000f CFA et 9 000 000f CFA qu’ils se distribuent.
Le Directeur Général de lutte contre la fraude , Oumarou OUEDRAOGO, a interpellé les commerçants à bien surveiller les documents de la douane qu’on leur rapporte. Il affirme << La Douane remet des documents composés de quittance et une déclaration en douane. Que si les commerçants ont une importation, qu’ils se rassurent que les formalités ont été bien faite au bureau concerné >>.
En rappel, commissaire ZOUNGRANA, invité tout le monde à rester vigilant et aussi à dénoncer tout cas suspects au FDS au numéro vert le 17 pour la Police Nationale, au 16 pour la gendarmerie nationale, et au 1010 pour le centre national de veille et d’alerte.
« Un repas équilibré par jour, pour chaque enfant en âge d’aller à l’école ne doit plus être un luxe mais une nécessité » a déclaré le Président du Faso, Roch Kaboré ce jeudi à Lemnogo dans le département de Zitenga lors de la cérémonie […]
Actualité Société« Un repas équilibré par jour, pour chaque enfant en âge d’aller à l’école ne doit plus être un luxe mais une nécessité » a déclaré le Président du Faso, Roch Kaboré ce jeudi à Lemnogo dans le département de Zitenga lors de la cérémonie de lancement de l’initiative du programme.
Pour tenir cet engagement, le Président Kaboré compte développer des chaînes de valeurs dans chaque zone du pays en associant les cantines et les producteurs locaux. « Ce rapprochement va renforcer la capacité de production en matière agricole, en matière de légumes et de lait dans les différentes régions « , a indiqué le Président du Faso. Selon lui, c’est une initiative stratégique en termes de renforcement de capacités du capital humain parce que les enfants c’est l’avenir ».
Ce projet présidentiel devrait soulager les cantines scolaires qui sont en souffrance. « Il y’avait déjà une cantine, que l’Etat approvisionnait chaque année. Mais ça ne couvrait pas tous les 9 mois. Les parents cotisaient alors des vivres pour continuer avec la cantine endogène. Je crois que le lancement de cette initiative va davantage aider les enfants à acquérir les connaissances dans la gaieté », s’est prononcée Eulalie Pouya, Directrice de l’école primaire publique Lemnogo.
« Nous nous engageons à améliorer nos performances à l’école avec cette initiative qui nous permettra de rester à l’école pour mieux apprendre », a promis la porte-parole des bénéficiaires, Absata, élève à l’école primaire publique de Lemnogo.
l’Union Nationale des Coopératives d’Habitat du Burkina Faso (U.NA.C.H.A/BF) a tenu rencontré les hommes de médias pour le lancement officiel de leurs activités ce vendredi 19 juin 2021 à Ouagadougou. La conférence de presse a été dirigée par le président de la faitière, Fousseni KINDO. […]
Actualité Habitatl’Union Nationale des Coopératives d’Habitat du Burkina Faso (U.NA.C.H.A/BF) a tenu rencontré les hommes de médias pour le lancement officiel de leurs activités ce vendredi 19 juin 2021 à Ouagadougou. La conférence de presse a été dirigée par le président de la faitière, Fousseni KINDO.
L’U.N.A.C.HA/BF se donne pour mission d’accompagner les autorités du Burkina Faso dans la promotion du logement décent à travers la formulation de propositions concrètes pour réussir la politique de l’urbanisme et de l’habitat et aussi participer du point de vue matériel à la réalisation de 40 000 logements visés dans le programme national de construction de logement. La faitière entend travailler ainsi pour faciliter l’accès à un logement décent et à moindre coût au Burkina Faso. C’est également une plateforme de plaidoyer et d’expertise en matière foncière et de promotion de l’habitat au Faso.
Il faut noter que la faitière est une organisation autonome qui regroupe 5 sociétés coopératives qui interviennent dans le domaine de l’habitat. Il s’agit de :
-La société coopérative simplifiée d’habitation des journalistes et communicateurs du Burkina Faso ;
-La société coopérative de l’habitat du Goulmou ;
-La société coopérative simplifiée d’habitation du personnel de l’éducation ;
-La coopérative d’habitat de Saaba ;
-La coopérative d’habitat du Faso.
Selon le président de l’U.N.A.C.HA/BF, Fousseni KINDO, en dépit de quelques progrès réalisés par le gouvernement burkinabè pour permettre à chaque burkinabè d’avoir une maison d’habitation, l’accès à un logement décent reste aujourd’hui encore pour les populations à faibles revenus et surtout pour les jeunes travailleurs du privé ou du public une préoccupation majeure. IL ajoute que le diagnostic sur le terrain laisse apercevoir, une insuffisance de financement du secteur, le prix exorbitant des parcelles, la spéculation foncière et l’explosion d’habitats spontanés et de quartiers précaires. Au regard de cette situation, la faitière propose entre autres une refonte des textes y afférent, la constitution de l’urbanisme et de l’habitat en secteur clef dans le nouvel référentiel national de développement et la dynamisation des coopératives et leur implication.
Du reste, , l’U.N.A.C.HA/BF est régie par les dispositions de l’Acte Uniforme de l’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA) relatif au droit des sociétés coopératives et par les lois nationales du Burkina Faso. Elle est apolitique, laïque et ouverte aux coopératives qui adhèrent aux idéaux et aux objectifs de l’union.
Ce vendredi 18 juin 2021 à Ouagadougou, l’Amicale des Anciens Stagiaires et Boursiers Burkinabè de la JICA (ASB/JICA) a manifesté sa compassion envers les personnes déplacées internes. C’est un lot de vêtements d’une valeur d’environ 400 000FCFA qui a été donné au Conseil National de Secours […]
Actualité SociétéCe vendredi 18 juin 2021 à Ouagadougou, l’Amicale des Anciens Stagiaires et Boursiers Burkinabè de la JICA (ASB/JICA) a manifesté sa compassion envers les personnes déplacées internes. C’est un lot de vêtements d’une valeur d’environ 400 000FCFA qui a été donné au Conseil National de Secours d’Urgence et de Réhabilitation (CONASUR). La remise officielle a eu lieu en présence du président de l’ASB/JICA, Idrissa SEMDE et du chef logistique du Conseil National de Secours d’Urgence et de Réhabilitation (CONASUR).
Venir en aide aux déplacées internes, telle est l’initiative qui a prévalu à la collecte de dons de l’ASB/JICA. En effet, depuis un certain temps le pays des hommes intègres connait une crise sécuritaire qui entrain des déplacements massifs de la population. Toute chose qui a des répercussions sur la vie des personnes déplacées internes. Il s’agit notamment du besoin de se nourrir, de se vêtir et de l’éducation.
Ces déplacés internes ont besoin des gestes de bonnes volontés pouvant faire preuve d’actions humanitaires pour pouvoir sauver leurs dignités. C’est dans cette perspective que l’ASB/JICA a fait un don de vêtement d’une valeur approximative pour combler le besoin au sein des déplacés internes. Il convient de noter que c’est le CONSUR qui récupérer ces dons pour les transmettre aux personnes concernées.
Le chef logistique du Conseil National de Secours d’Urgence et de Réhabilitation (CONASUR), Zakaria GANSSANE, a tenu remercier l’ASB/JICA pour leur geste de compassion à l’égard des personnes déplacées internes qui sont dans le besoin. Il a rassuré également les donateurs sur l’acheminement effectif des dons aux personnes identifiées pour la circonstance. « Nous remercions l’ASB/JICA pour la compassion qu’ils adressent à l’endroit des déplacés et nous les assurons que les dons seront remis aux personnes concernées dans un bref délai », a laissé entendre le chef logistique du CONASUR.
Selon le président de l’ASB/JICA, Idrissa SEMDE, l’amical existe depuis 2001 et l’objectif est de garder un certain réseautage entre anciens stagiaires et partager des expériences. Il ajoute que l’amical entend contribuer au bien-être des déplacés internes. « Nous avons reçu des dons en nature et en espèce de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso. Les dons en espèce ont servi à payer des vêtements pour compléter le lot », affirme un membre de l’ASB/JICA, Dramane BATIONO.
En rappel, l’Amical des Anciens stagiaires et Boursiers Burkinabè a pour objectif maintenir et développer les relations amicales et culturelles entre le Japon et le Burkina Faso ; favoriser les échanges d’expériences avec amicales sœurs des autres pays.
A l’occasion du 73e anniversaire de la chambre du commerce du Burkina Faso, Paul Balkouma a procédé à la dédicace de son ouvrage biographique ce vendredi 11 juin 2021 à Ouagadougou. Un brillant parcours depuis 73 ans de l’institution et la biographie d’un homme qui […]
ActualitéA l’occasion du 73e anniversaire de la chambre du commerce du Burkina Faso, Paul Balkouma a procédé à la dédicace de son ouvrage biographique ce vendredi 11 juin 2021 à Ouagadougou. Un brillant parcours depuis 73 ans de l’institution et la biographie d’un homme qui a marqué la vie de la chambre du commerce, ce sont là, les principales idées que l’opinion publique a retenu de la commémoration du 73e anniversaire de la chambre du commerce du Burkina Faso. Ladite commémoration s’est tenue sous le leadership du ministre du commerce, Harouna Kabore.
Depuis sa création la chambre du commerce a toujours été dirigée par des hommes qualité qui ont une vision de développement du Burkina Faso. Ils avaient à cœur la promotion du secteur privé et n’ont eu cesse de faire des propositions aux pouvoirs publics sur les moyens d’accroitre la prospérité économique. Pour le ministre du commerce, ils ont su mettre en place et développer un réseau de partenariat pour faire valoir les points de vue des milieux d’affaires burkinabè aussi bien sur le plan national qu’à l’international. Il ajoute que le président Paul Balkouma a permis grâce à son dynamisme de consolider les bases de l’émergence d’un secteur privé qui, au fil des années, a acquis ses lettres de noblesses. « Je voudrais remercier le président Paul Balkouma pour tout le travail abattu et réaffirmer la fierté du gouvernement vis-à-vis de la chambre du commerce et d’industrie pour le rôle, combien important, qu’elle joue dans la dynamisation et le renforcement du dialogue Etat-Secteur privé », a affirmé le ministre.
Il convient de retenir que c’est au total 11ans que le président Paul Balkouma a travaillé avec abnégation pour améliorer et consolider les services offert aux opérateurs économiques. Selon le président de la chambre du commerce, Mahamadi Savadogo, après 73 ans d’existence, le patrimoine de la chambre du commerce et sa riche expérience font d’elle l’une des chambres de commerce les plus performantes d’Afrique. Il a salué l’ouvrage biographique du Dr Paul Balkouma porté à la chambre du commerce en 1983.
Du reste, c’est sur un air festif que la commémoration du 73e anniversaire de la chambre du commerce et de l’industrie et la dédicace de l’ouvrage biographique du Dr Paul Balkouma ont pris fin
Le comité d’organisation de la quatrième édition du Festival Gastronomique Ouest Africaine (FEGOA) a organisé une conférence de presse ce mardi 15 juin 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << Gastronomie ouest africaine, un atout touristique à promouvoir >>, ce festival se veut […]
Actualité CultureLe comité d’organisation de la quatrième édition du Festival Gastronomique Ouest Africaine (FEGOA) a organisé une conférence de presse ce mardi 15 juin 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << Gastronomie ouest africaine, un atout touristique à promouvoir >>, ce festival se veut un cadre d’échange et dégustation des mets de l’Afrique de l’ouest. Ladite cérémonie a été animée sous la présidence du président du FEGOA, Dabiré Sié ABEl.
L’alimentation est ancrée dans un système de représentation socio culturelle. Les rituels alimentaires réaffirment l’appartenance identitaire et assurent l’héritage culturel en remplissant des fonctions symboliques dans la vie d’un peuple. Le Festival Gastronomique Ouest Africaine est une initiative d’int8tion d’une agence de création audio numérique. Mise en place depuis 2015, l’agence de création audio numérique est la première agence de création de contenu audio au Burkina et compte de nos jours des milliers de productions audio avec différents partenaires du public et du privé.
Le » FEGOA » se veut être un festival gastronomique de la zone de l’UEMOA pour promouvoir, faire goûter et découvrir l’Afrique de l’Ouest à travers ses valeurs culinaires. Le premier festival Ouest Africaine mêlant l’identité, solidarité et gastronomie. Il faut noter que, le FEGOA est à sa 4e édition et compte s’ouvrir dans les autres pays de la zone UEMOA. Il souhaite ainsi insuffler un vent de valorisation du patrimoine touristique de l’Afrique de l’Ouest par les traditions culinaires, et un plaidoyer pour la promotion des produits bio, notamment en milieu urbain. Ce festival se veut être l’occasion de consommer africain avec la volonté de promouvoir l’intégration africaine par la gastronomie.
À défaut d’amener la cuisine africaine à l’étranger, méthode qui fait perdre une plus-value au continent, il semble qu’il serait plus judicieux de faire de l’Afrique une destination culinaire de premier choix. Une stratégie qui serait bénéfique aussi bien pour le tourisme national que continental.
En termes d’objectifs, il faut préciser que qui dit forte présence touristique attirée par la cuisine locale dit forte demande en produits locaux de qualité. Le tourisme culinaire en Afrique a le pouvoir de contribuer au développement de l’agro-business sur le continent, lui permettant d’aller bien au-delà du trillion de dollars US de revenus que la Banque Mondiale estime qu’il générera d’ici à 2030.
Pour cette édition le FEGOA en plus de la dimension culturelle et identitaire, se veut être une plateforme de promotion du tourisme ouest africain par sa gastronomie. L’Organisation Internationale du Tourisme ( OMT ) révèle que la gastronomie est la troisième raison des voyages dans le monde après la culture et la nature. Mais dans ce tourisme culinaire, l’organisation révèle que l’ Afrique demeure quasi- inexistante.
Son objectifs est de valoriser les cultures ouest africaine à travers la gastronomie, labellisé l’art culinaire ouest africaine, promouvoir la santé par une alimentation bio et saine, fedérer tous les évènements africaine de promotion culinaire.
D’ailleurs, la banque mondiale estime qu’il gagnera d’ici 2030 à valoriser les cultures ouest africaine à travers la gastronomie, labellisé l’art culinaire, intégrer le FEGOA dans la sphère des grands événements. Par ailleurs, les résultats entendu sont 1 780 000 personnes informées, 20 000 visiteurs sur les trois jours du festival, 30 restauratrices venue des capitales ouest africaine, une couverture par 50 médias ouest africaine, des influenceurs des médias sociaux primés pour la promotion de la gastronomie.
Retenez que deux indications majeures sont prévus à savoir une œuvre caritative au profit des personnes et une formation aux méthodes HACCP en vu de garantir une sécurité alimentaire. Le FEGOA 2021 offre un espace premium à ses festivaliers les plus exigeants amateurs de plat exotiques.
Du reste, retenez que le TOGO sera à l’honneur pour faire découvrir aux festivaliers ses potentialités culinaire à savoir la pâte akoumé au donkounou, le futu, le gboma dessi, le ablo, le fromage à croûte rouge frit.
Rendez-vous est donc pris du 29 au 31 octobre prochain au palais de la culture Jean Pierre Guingané pour vivre la 4e édition du FEGOA.
Ce lundi 14 juin 2021 à Ouagadougou, le ministère de la jeunesse, de la promotion de l’entreprenariat et de l’emploi a procédé au lancement de l’Opération Permis de Conduire. L’opération Permis de conduire de l’édition 2021 prendra en compte 1280 jeunes sur 18000 inscrits issus […]
Sécurité routièreCe lundi 14 juin 2021 à Ouagadougou, le ministère de la jeunesse, de la promotion de l’entreprenariat et de l’emploi a procédé au lancement de l’Opération Permis de Conduire. L’opération Permis de conduire de l’édition 2021 prendra en compte 1280 jeunes sur 18000 inscrits issus des 13 régions du Burkina Faso. Ladite cérémonie s’est tenue sous le parrainage du ministre des transports, de la mobilité urbaine et de la sécurité urbaine, Vincent T DABILGOU et la présidence du ministre de la jeunesse, Salifo TIEMTORE.
Ce sont au total 1280 jeunes qui vont bénéficier des cours du code de la route et de conduite en vue de l’obtention d’un permis de conduire. Pour le parrain, le ministre des transports, Vincent Dabilgou, cette opération de permis de conduire est va contribuer à enseigner le code de la route afin de permettre aux jeunes non seulement de se protéger mais aussi de protéger les autres en circulation. Il ajoute que le permis de conduire avant d’être un gage d’emploi est un diplôme de la vie. « Je veillerai personnellement au bon déroulement de cette opération de permis de conduire afin que le code de la route soit bien assimilé par les apprenants », a laissé entendre le ministre des transports.
Selon le ministre de la jeunesse, de la promotion de l’entreprenariat et de l’emploi, Salifo TIEMTORE, opération permis de conduire permettra de renforcer l’employabilité des jeunes et le civisme routier. « En plus du permis C, cette édition a inclus le permis D. Ils seront au nombre de 40 à bénéficier pour la formation catégorie D du permis de conduire », souligne le ministre de la jeunesse. Il a par ailleurs demandé aux auto-écoles engagées à faire preuve de rigueur et de professionnalisme afin que les formations se déroulent dans les délais raisonnables conformément aux engagements pris afin que nous puissions aboutir à de meilleurs résultats.
Il faut noter que l’incivisme routier est la principale cause des accidents, beaucoup d’usagers de la route dont les jeunes ignorent les règles de la circulation. Ainsi, il était plus que nécessaire de multiplier les actions de sensibilisation et d’éducation au code de la route. Il convient de retenir que l’opération permis de conduire concerne tous les jeunes burkinabè de 18 à 35ans et la sélection des bénéficiaires se fait par tirage.
Ce mercredi 16 juin 2021 à Ouagadougou, African Women Leaders (AWL) a rencontré les hommes de médias autour d’une conférence pour échanger sur la commémoration de ses 5 ans d’existences en termes de bilan et de perspective. Placée sous le thème « repenser la stratégies », […]
SociétéCe mercredi 16 juin 2021 à Ouagadougou, African Women Leaders (AWL) a rencontré les hommes de médias autour d’une conférence pour échanger sur la commémoration de ses 5 ans d’existences en termes de bilan et de perspective. Placée sous le thème « repenser la stratégies », cette rencontre avait pour but de mettre en lumière l’engagement d’AWL. Les échanges avec la presse se sont tenues sour le leadership de la présidente d’AWL, Marie Herman COULIBALY.
Reconnue depuis 2016, African Women Leaders a pour mission d’offrir des plateformes éducatives aux associations de femmes et de jeunes, afin qu’elles puissent créer de la valeur ajoutée dans leurs différentes initiatives entrepreneuriales. En effet, dans son cadre général de 2017/2020, AWL s’est fixé des objectifs visant à s’impliquer auprès des structures associatives des groupes cibles des milieux ruraux et urbains pour leur offrir des cadres d’apprentissage et de partage d’expérience. Une démarche qui permet de développer leurs capacités de leadership pour une autonomisation véritable.
Il convient de retenir que la structure associative African Women Leaders a gagné en maturité. Une maturité dans la durée et dans la mise en œuvre de stratégies innovantes pour mieux accompagner les associations de femmes et de jeunes dans le renforcement de leurs capacités. African Women Leaders commémore ce mois de juin 2021 ses 5 années d’existences au profit des associations de femmes et de jeunes.
Selon la présidente d’AWL, Marie Herman COULIBALY, en termes de bilan, il faut noter que plus de 200 associations ont été touchées directement et indirectement par l’action d’AWL. Elle affirme que 03 projets ont été réalisés à savoir le projet d’implantation des femmes dans le développement à travers les communes, le projet « MOUSSORO » et les activités culturelles et sportives. En termes de difficultés, elle note le manque de partenaire financier et le manque de capitaux pour élargir leurs champs d’actions. « Nous sommes à la recherche de partenaires pour nous accompagner dans nos actions et élargir notre vision. Au niveau national, nous n’avons que des partenaires techniques à savoir le ministère de la femme, de la culture et celui de la jeunesse mais à l’international nous n’avons pas de partenaire », a laissé entendre la présidente.
En rappel, plusieurs activités seront à l’ordre du jour pour la commémoration des 5 années d’existence. Il s’agira des panels, des renforcements de capacités pour les femmes et les jeunes et une soirée d’hommage aux anciens membres du bureau exécutif. Un appel à partenaire a été lancé pour permettre African Women Leaders d’étendre son domaine d’intervention dans les régions du Burkina Faso.
Compte rendu de : Minata SANFO (journaliste)