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Actualité EducationFaso stream, une application de streaming 100% burkinabè pour les artistes a remporté le jeu concours de la 3e édition de la quinzaine de l’innovation de l’IST. C’est au cours de la cérémonie officielle de clôture que les jurys ont bien voulus livrer les résultats ce vendredi 22 juillet 2022 à Ouagadougou.
Avec une moyenne de 15,43, le projet Faso stream a été sacré lauréat du jeu concours de la quinzaine de l’innovation de l’IST parmi 11 projets. Les lauréats, un duo repartent avec une somme de 400 000 FCFA pour tenter de renforcer leurs capacités dans le domaine et mûrir leur projet. Le RSA s’empare de la deuxième place avec. Une moyenne de 14, 86 récompensé à hauteur de 300 000 FCFA. La troisième et quatrième place reviennent respectivement à Super Plume 3 et Transformation de beurre de qualité avec une moyenne de 14,29 et 14,22 sur 20.
A en croire, les membres du jury, tous les candidats ont été gagnant au regard des moyennes obtenues par chaque projet. Il faut noter que pour une note d’ensemble les 11 projets en compétition ont obtenu une note de 14/20 et repartent chacun avec une enveloppe d’encouragement de 50 000 FCFA. Et selon la présidente, il y a de quoi encourager les différents projets jusqu’à concrétisation ou maturation.
Le directeur Académique de l’IST est revenu sur l’ensemble des activités de la quinzaine de l’innovation de l’IST. Et à lui de préciser qu’il n’y a pas de grandes œuvres humaines sans passion et la quinzaine est un exemple palpable. Il soutient que le but de la Quinzaine est d’aider les étudiants à accéder à une formation de qualité. « En initiant la quinzaine, nous avons voulu renforcer les capacités des savoir faire et réveiller les génies créateurs pour créer des employeurs. Pour cette édition, il s’est agi principalement d’accompagnement dans le processus d’innovation. Les jurys ont sélectionné les meilleurs incubateurs sur l’informatique, l’agriculture, l’agroalimentaire et bien d’autres. J’encourage les étudiants à concrétiser les actions de la quinzaine», a soutenu le directeur académique.
Pour le PDG de l’IST, Issouf Compaoré, c’est une occasion de remercier les différents partenaires qui ont œuvrés pour la réussite de la Quinzaine de l’innovation de l’IST.
Lors de son allocution, le PDG n’a pas manqué de soutenir que les projets présentés ont une importance capitale pour le développement du Burkina Faso. « L’IST est l’un des plus grands établissements du Burkina Faso. Je vous invite à croire en ces jeunes pour que leurs projets se concrétisent et deviennent des entreprises», a souhaité le PDG.
Le ministre de l’enseignement supérieur me charge de vous féliciter pour la réussite de cette édition, ce se sont les mots que le représentant du ministre a donné d’entrée de jeu. « Nous encourageons les jeunes à avoir l’espoir. Il faut éviter de choisir la voies de la facilité. L’effort et la consistance donnent des résultats. Je pense que tous les projets ont gagné. Je remercie l’IST pour l’esprit de collaboration. On n’est obligé d’innover si non on meurt», a t’il affirmé avant de déclarer clos la 3e édition de la quinzaine de l’innovation de l’IST.
La CODEL a dépeint la situation nationale dans son ensemble avant de soutenir qu’elle bénéficie d’un certain nombre de ses partenaires dont le NDI en vue de continuer son travail d’éducation électorale et pour contribuer à préparer le retour à une vie constitutionnelle normale. C’est […]
Actualité Politique SociétéLa CODEL a dépeint la situation nationale dans son ensemble avant de soutenir qu’elle bénéficie d’un certain nombre de ses partenaires dont le NDI en vue de continuer son travail d’éducation électorale et pour contribuer à préparer le retour à une vie constitutionnelle normale. C’est au cours d’une conférence de presse animée ce jeudi 21 juillet 2022 à Ouagadougou que la CODEL a livré ses informations aux hommes de médias.
Une question principale se pose au sein de la CODEL, à savoir comment renouer avec l’Etat de droit Démocratique. En effet, pour les premiers responsables de la CODEL depuis le 24 janvier dernier le Burkina Faso vit dans un état d’exception. A les entendre, la consolidation de l’État de droit Démocratique issu des élections couplées présidentielles et législatives du 22 novembre 2015 et du 20 novembre 2020 n’a pas pu être tenu du fait d’énormes difficultés institutionnelles, économiques et sociales, accentuées par le terrorisme.
Pour le vice-président de la CODEL, Daniel Dah Hien, pour que les choses marchent, il faut une importante veille citoyenne et de l’engagement politique. Il ajoute que diriger un pays c’est prévoir et prévenir. « Nous allons continuer à apporter des critiques objectives. Le Burkina Faso doit tirer les enseignements des élections passées. On gouverne pas sous la base des amitiés personnelles. Nous devons travailler pour que cela n’arrive plus», soutient le vice-président.
Après avoir décortiquée la situation nationale de 2015 à nos jours la CODEL se pose la question de savoir si l’on n’a pu atteindre les objectifs définis et annoncés au lendemain du coup d’État et justifier cette rupture institutionnelles.
Selon le président de la CODEL, Me Alidou Ouedraogo, il faut respecter le calendrier que le MPSR s’est donné pour bouger les lignes. Pour lui, on ne peut pas se réconcilier avec la centaine de crise que connaît le Burkina Faso. « Je pense qu’il faut cultiver la démocratie au niveau des masses populaires pour avoir des élections crédibles et fiables», a conseillé Me Alidou Ouedraogo.
Pour un retour à une vie constitutionnelle normale, avec la collaboration de NDI et d’une partie de la société civile, la CODEL affirme que des actions ont été menées dans plusieurs domaines. Il s’est agi entre autres de:
– La contribution à l’élaboration de la charte de la transition à la demande ;
– L’animation du débat sur les réformes électorales et la consolidation de la gouvernance locale
– L’animation de débat sur la réconciliation nationale et le renforcement de la cohésion sociale
– La mise en place d’un projet de suivi citoyen sur les réformes électorales.
Besouc Soul quant à lui, a souligné que le coup d’état survenu est un gâchis. Il explique cela par les milliards dépensés pour les élections. « Le coup d’état a mis un frein à tous les projets et programmes. L’argent a trop de poids dans nos élections et c’est un tard qu’il faut corriger pour éviter une classe politique de clientélisme», est-il revenu à la charge.
La CODEL reste déterminer à jouer son rôle citoyen et ne ménagera aucun effort pour le retour à l’ordre constitutionnel normal et une gouvernance électorale vertueuse au Burkina Faso.
Le Mouvement la voix du Peuple pour la Bonne Gouvernance ( M-VPBG) a animé une conférence de presse ce jeudi 21 juillet 2022 à Ouagadougou. Cette rencontre avec les hommes de médias s’est déroulée autour de trois points majeurs. Il s’est agi de la situation […]
Actualité SociétéLe Mouvement la voix du Peuple pour la Bonne Gouvernance ( M-VPBG) a animé une conférence de presse ce jeudi 21 juillet 2022 à Ouagadougou. Cette rencontre avec les hommes de médias s’est déroulée autour de trois points majeurs. Il s’est agi de la situation sécuritaire, la réconciliation nationale et des propositions de solutions face à ses préoccupations. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership du coordonnateur du mouvement, Yonli D Raphaël, du président, Valea O François et de l’adhérent, Guimbou Salif.
La situation nationale continue de faire couler beaucoup d’encre au niveau des organisations de la société civile. Et c’est au tour du mouvement la voie du peuple pour la bonne gouvernance de donner sa lecture de la situation nationale. Il faut noter que le M-VPBG sur la situation nationale a senti un manque de patriotisme avant leur sortie de presse.
Sur le plan de la réconciliation nationale, le coordonnateur, Yonli D Raphaël, lors de sa déclaration liminaire n’a pas manqué de préciser que c’est avec un grand intérêt que le M-VPBG suit l’évolution des évènements. « La réconciliation est une des conditions incontournables pour le retour de la paix au Burkina Faso. Nous souhaitons plus une prise de conscience face à la gravité de la situation qui menace les fondements de la nation. Cette prise de conscience doit se traduire dans nos actions de tous les jours», a laissé entendre le président, Valea O François.
Pour ce qui concerne la situation sécuritaire, a entendre le coordonnateur du M-VPBG, Yonli D Raphaël, les conséquences sont énormes sur la désarticulation de notre tissu social et l’économie. A lui d’ajouter que la montée des discours haineux sur fond de stigmatisations ethniques interpelle tous les burkinabè. « Nous n’avons aucune chance de gagner la guerre qu’ils nous imposent . Nos ennemis se montrent d’une cruauté, qui ne finit pas de nous surprendre», dixit le coordonnateur.
Face à la crise nationale, le M-VPBG a fait des propositions de sorties de crises. Il s’est agi de la mise en place de guichets spéciaux au niveau de la SONABEL et de l’ONEA ainsi que des institutions bancaires pour faciliter le traitement des requêtes en provenance des FDS. Mieux le M-VPBG met à la disposition des familles des FDS et des VDP tombés au front, 30 bourses d’études réparties en trois volets. 10 enfants au post primaire, 10 enfants au secondaire et 10 enfants au supérieur. Il faut noter que les bourses seront délivrées sur fond propre. Sur l’éducation, le M-VPBG suggère de transformer les conteneurs de 40 pieds en salle de classe pour garantir l’éducation des déplacés internes.
Du reste, il convient de retenir que la M-VPBG est mouvement créer en mars 2022 et compte en son sein 10 associations. Une création qui était plus que nécessaire au regard du contexte pour les membres fondateurs.
La cérémonie d’installation des membres de la Commission interministérielle chargée de donner un avis sur la cession des terres du domaine privé de l’Etat destinées à la promotion immobilière s’est tenue ce 18 juillet 2022 à Ouagadougou. Ladite cérémonie s’est tenue sous le leadership de […]
Actualité Habitat SociétéLa cérémonie d’installation des membres de la Commission interministérielle chargée de donner un avis sur la cession des terres du domaine privé de l’Etat destinées à la promotion immobilière s’est tenue ce 18 juillet 2022 à Ouagadougou. Ladite cérémonie s’est tenue sous le leadership de Son Excellence Monsieur le Premier ministre, Albert Ouedraogo, du ministre de l’urbanisme, Boukari Sawadogo et du ministre des Finances.
C’est au total 09 membres qui ont été installés au titre de la Commission interministérielle chargée de donner un avis sur la cession des terres du domaine privé de l’Etat destinées à la promotion immobilière. Le président de la commission a reçu des mains du premier ministre, Albert Ouedraogo, la charte des valeurs de la transition pour un mandat de 03 ans renouvelable.
La promotion immobilière a connu un essor considérable à la faveur des suspensions des opérations de lotissement par l’état suite aux crises sociopolitiques et économiques de 2012 et de 2014. Cependant, le constat sur le terrain montre de nombreux disfonctionnements et pour le gouvernement il était urgent de corriger ses disfonctionnements avec l’opérationnalisation de la commission interministérielle.
Selon le ministre de l’urbanisme, des affaires foncières et de l’habitat, Boukari Sawadogo, l’un des défis du ministère c’est de réussir la mise en œuvre des réformes pour trouver des réponses adaptées à la question foncière. Il ajoute que le nombre des promoteurs immobiliers agréés est passé de 09 en 2014 à 275 en 2020. « Il était urgent de corriger les imperfections sur les réformes. Les membres auront pour tâche de vérifier, d’organiser le secteur. Je voudrais voir cette commission réussir sa mission», a souhaité le ministre.
Pour le Premier ministre, Albert Ouedraogo, cette commission trouve son fondement dans les réalités foncières. A lui de préciser que c’est une occasion pour éviter les dérapages foncières. A titre d’exemple, le ministre a cité les différentes crises foncières, l’accaparement des terres, les litiges fonciers et les conflits communautaires. « Les promoteurs immobiliers ont enregistré 3000 hectares soit 600 000 parcelles. On déplore une absence de viabilisation des sites de promotion immobilière et la vente de parcelles nues. Tous les acteurs sont interpellés pour assainir le secteur foncier. Nous sommes dans un chantier majeur de la transition », a laissé entendre le ministre.
Du reste, le premier ministre est convaincu de la bonne marche de cette commission au regard des attentes.
La Convention Nationale pour le Progrès a tenu sa première convention nationale ce dimanche 17 juillet 2022 à Ouagadougou. Placée autour du thème « Transition politique et réconciliation nationale quelle contribution de la CNP?», cette convention a eu pour but de rappeler le caractère essentiel […]
Actualité Politique SociétéLa Convention Nationale pour le Progrès a tenu sa première convention nationale ce dimanche 17 juillet 2022 à Ouagadougou. Placée autour du thème « Transition politique et réconciliation nationale quelle contribution de la CNP?», cette convention a eu pour but de rappeler le caractère essentiel de la réconciliation nationale. C’est sous le leadership des responsables du CNP, Théodore Zambedé Sawadogo, Daniel Sawadogo que Militants, sympathisants et partis politiques sont venus soutenir le CNP.
« La réconciliation est l’apanage de tous les burkinabè. On ne vient pas sur la table de la réconciliation avec un couteau tranchant mais avec une aiguille qui coup» d’entrée de jeu ce sont des mots qui ont attirés l’attention de l’assistance.
La question de la réconciliation nationale a été la principale question qui a été mise en exergue au cours de la 1ere convention nationale du CNP. A entendre les premiers responsables du CNP, c’était une occasion d’attirer l’attention des militants du CNP sur l’urgence de leur engagement dans le processus de la réconciliation nationale, vecteur de paix pour le Burkina Faso.
Selon l’honorable Daniel Sawadogo, président du conseil d’orientation du CNP, c’est 1ere convention témoigne de la volonté du CNP pour la réconciliation nationale. Il ajoute que le choix du thème à tout son sens avant de souhaiter une bonne écoute.
Pour le représentant des jeunes du CNP, Idrissa Ouedraogo, le Burkina Faso est confronté à une crise multidimensionnelle qui menace les fondements de notre nation. A lui d’ajouter que la jeunesse a intérêt à oeuvrer pour la sauvegarde du Burkina Faso. « Nous, jeunes du CNP marquons notre entière disponibilité pour une sortie de crise», a laissé entendre le responsable des jeunes du CNP.
Lors de son allocution, la représentante de la gente féminine, Salamata Lallogo a soutenu c’est difficile de gérer un pays dans un moment de crise. Elle invite tous à se mobiliser pour la défense de la patrie. « J’invite les femmes à s’engager pour la réconciliation nationale et le retour de la paix», sollicite Salamata Lallogo.
Du reste lors du discours d’ouverture de la 1ere convention Nationale du CNP, le président du CNP, Théodore Zambedé Sawadogo, n’a pas manqué de préciser que le Burkina Faso est en voix de déliquescence. Pour lui, la cohésion sociale est aussi mise à rude épreuve. « Notre parti a voulu apporter sa modeste contribution pour la réconciliation nationale. Nos réflexions devrons parvenir à des propositions concrètes pour une réconciliation nationale sincère. Nous devons savoir nous mettre ensemble pour l’intérêt national. Je rends un vibrant hommage aux FDS et aux VDP. Que Dieu bénisse le Burkina Faso», a conclu Théodore Zambedé Sawadogo.
Ce jeudi 14 Juillet 2022 à Ouagadougou, la Coalition Burkina-Russie a animé une conférence de presse sur la situation nationale,la réconciliation et la question de justice. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership du porte parole de la coalition Burkina Russie, Barthélémy Zaongo. C’est autour […]
Actualité SociétéCe jeudi 14 Juillet 2022 à Ouagadougou, la Coalition Burkina-Russie a animé une conférence de presse sur la situation nationale,la réconciliation et la question de justice. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership du porte parole de la coalition Burkina Russie, Barthélémy Zaongo.
C’est autour de trois points majeurs que la conférence de presse de la coalition Burkina Russie s’est tenue.
Sur le plan de la justice, les conférenciers du jour ont soutenu qu’ils qualifient la justice actuelle de justice capitaliste. Pour le conférencier principal, la grande majorité de ceux qui sont entrain de crier doivent être jugé pour crime économique et haute trahison envers le peuple. « Nous devons dépasser certains faits pour sauver le Burkina. Les hommes politiques doivent faire preuve de retenue», a laissé entendre le porte parole.
Pour ce qui concerne la situation sécuritaire, la coalition Burkina Russie, estime qu’elle est toujours préoccupante. « Nous avons appris la nomination d’un ambassadeur de Russie au Burkina Faso avec résidence à Abidjan et nous saluons vivement cette démarche tout en rappelant au gouvernement d’accélérer le processus de diversification des partenariats pas seulement avec la Russie, mais l’ensemble des pays qui sont dans une dynamique de gagnant gagnant», précise la coalition Burkina Russie.
Les questions de panafricanisme et de réconciliation nationale ont été égrenées. A la coalition d’ajouter que le Burkina Faso ne peut pas gagner cette guerre étant désunie. « Nos mouvements ont pour objectif majeur l’éducation des masses populaires en vue d’une libération mentale, culturelle, économique et militaire du Burkina Faso et de l’Afrique», soutient le porte parole de la coalition, Barthélémy Zaongo.
Du reste, la coalition Burkina Russie a mis fin à la conférence de presse en soulignant que l’union des burkinabè est d’abord un signe de victoire contre le terrorisme.
L’Institut Supérieur de Technologies en partenariat avec l’Agence Nationale de Valorisation des Résultats de la Recherche et des Innovations a procédé au lancement officiel de la 3e édition de la Quinzaine de l’Innovation de l’IST, ce jeudi 07 juillet 2022 à Ouagadougou. L’objectif général de […]
Actualité EducationL’Institut Supérieur de Technologies en partenariat avec l’Agence Nationale de Valorisation des Résultats de la Recherche et des Innovations a procédé au lancement officiel de la 3e édition de la Quinzaine de l’Innovation de l’IST, ce jeudi 07 juillet 2022 à Ouagadougou. L’objectif général de la Quinzaine de l’Innovation est de favoriser l’auto emploi des étudiants en fin de formation au travers de l’entrepreneuriat. La conférence inaugurale de cette 3e édition s’est tenue sous le leadership du PDG de l’IST, Issa Compaoré, de la marraine, DG du FONER, Marie Thérèse SOME, du représentant du ministère de l’enseignement supérieur, Josué Houé et du DG de l’ANVAR.
C’est sous le thème « Études et entrepreneuriat : transformer le cursus universitaire en opportunité de création d’entreprises» que la 3e édition de la Quinzaine de l’Innovation de l’IST, prévu du 07 au 21 juillet 2022 à IST Goughin, se tient.
Une 3e édition qui a pour mission de former, sensibiliser, inciter impulser et incuber les étudiants sur les projets innovants incluant le développement personnel et l’auto emploi.
Et selon, le premier responsable de l’IST, PDG Issa Compaoré, il convient de remercier tous les partenaires. A lui d’ajouter que cette présente conférence à pour but d’annoncer la 3e édition de la Quinzaine de l’Innovation de l’IST. « Cette édition s’explique par le fait que le Burkina Faso doit repenser le système éducatif pour donner plus de place à la formation professionnelle et de technique afin de répondre aux besoins de développement durable. La Quinzaine de l’Innovation de l’IST permet aux étudiants de surpasser leurs limites en s’investissant dans les innovations technologiques, les start-up et dans l’entrepreneuriat. A travers le thème, l’IST entend donner l’opportunité aux étudiants de se réaliser», a laissé entendre le PDG de l’IST.
Pour Joël Haoué, représentant du ministre de l’enseignement supérieur, c’est un honneur d’avoir associé le département de l’enseignement supérieur. Il soutient que la Quinzaine de l’Innovation de l’IST est un cadre de brassage en matière de formation et d’emploi. » Le ministère réaffirme son engagement à accompagner l’IST dans l’atteinte de ses objectifs », a éclairé le Joël Haoué.
A entendre, la DG du FONER, Marie Thérèse SOME, marraine de la 3e édition de la Quinzaine de l’Innovation de l’IST, c’est un honneur d’accompagner cette 3e édition de la Quinzaine. Elle ajoute que ce qui manque au Burkina Faso c’est l’innovation sociale. « On ne sait plus faire confiance aux autres. Il faut qu’on s’exerce à l’innovation sociale. On a des valeurs communes qui nous permettent de travailler ensemble et de vivre ensemble. Cette Quinzaine est la bienvenue pour inculquer les différentes formes d’innovations. L’IST a la capacité de briser les obstacles auxquels les étudiants font face», a soutenu la marraine.
Quant au Parrain, DG FONRID, Dr Inoussa Zongo, il n’a pas manqué de préciser que c’est un plaisir de parrainer la Quinzaine parce que le PDG de l’IST est un exemple à suivre. Pour lui, la Quinzaine permettra à tous les étudiants de libérer leur génie créateur. « Il faut mettre l’accent sur la technologie pour permettre de créer des emplois et de commercialiser quelque chose pour développer l’économie du Burkina Faso. Je réaffirme mon engagement à soutenir la Quinzaine 2022 avec des prix », encourage le DG FONRID.
Au terme des activités de la Quinzaine de l’Innovation, le comité d’organisation attend des projets incubés créés en start-up, des lauréats primés, l’élaboration des prototypes des réalisations et des lauréats du 13e FRSIT mises en exergue.
Du reste, le partenaire de l’ Agence Nationale de Valorisation des Résultats de la Recherche et des Innovations, par le biais de son DG, Dr Brice Sawadogo a affirmé que leur mission est de faire en sorte que les résultats des recherches soient transférés au niveau des entreprises, des industries et des populations pour mieux impacter le développement socioéconomique. « Nous on met le zoom sur les travaux de recherche et d’innovation pour cela soit connu et puisse être adopté. On avait prévu une animation du 14 au 16 juillet et cela a coïncidé avec la Quinzaine de l’Innovation. C’est ainsi que nous avons décidé de fédérer les actions», conclu le DG.
Les étudiants et les chercheurs sont invités s’approprier cette 3e édition de la Quinzaine de l’Innovation de l’IST.
La cérémonie de restitution des résultats définitifs du 5e RGPH a eu lieu, ce vendredi 1er juillet 2022 à Ouagadougou, sous les regards du ministre de l’économie des finances et de la prospective, Dr Seglaro Abel SOME représentant le 1er ministre de la transition Burkinabè, […]
Actualité SociétéLa cérémonie de restitution des résultats définitifs du 5e RGPH a eu lieu, ce vendredi 1er juillet 2022 à Ouagadougou, sous les regards du ministre de l’économie des finances et de la prospective, Dr Seglaro Abel SOME représentant le 1er ministre de la transition Burkinabè, de Mme la coordonnatrice du système des Nations-Unies, Barabara Manzi en présence des journalistes.
Et selon ce 5e RGPH de 2019, le
Burkina Faso compte 20 505 155 habitants, 3 908 847 de ménages soit 5, 2 personnes par ménage. Une population totale quadruplée en 44 ans (1975-2019), soit une augmentation de 2, 94% par an.
Et pour ce qui est important dans les détails, Mme BAYALA Lore. L, présentera une population extrêmement jeune composée de 45,3% d’enfants de moins de 15 ans, 32,6% de jeunes de 15 à 34 ans, 18,7% d’adultes de 35 à 64 ans et 3,4% de 65 ans et plus.
Il faut noté que cette population est majoritairement féminine parce qu’elle est composée de 10 604 308 femmes soit 51,7% et 9 900 847, soit 48,3% d’hommes. Avec une espérance de vie de 5,2 ans, c’est à dire revue à la hausse, dont 61,9 ans de ce RGPH-2019 contre 56,7 pour celui de 2006.
Par contre, le Taux de chômage BIT est de 7,1% , celui de dépendance économique de 325,2% avec une population majoritairement rurale dont 15 145 043 vivants en zone rurale contre 5 360 112 habitants en zone urbaine.
Quant a la fécondité ( ISF), elle est restée toujours en baisse depuis 1985. Il ressort également de ces résultats l’importante possession de portable cellulaire par les populations burkinabè.
Des résultats appréciés dans l’ensemble par les autorités et les PTF qui ayant oeuvrer pour la réalisation de ce dernier recensement générale de la population Burkinabé.
Pour Mme la coordonnatrice du système des Nations-Unies Barabara Manzi il y’a de quoi félicité l’UNFPA, l’ISND et l’ensemble des acteurs pour le qualité de ces résultats tant attendus. « Merci à l’UNFPA pour son expertise technique apporter dans la réalisation des résultats qui met le Burkina dans de bonnes conditions pour la réalisation des ODD et ou des politiques durables. Des résultats très parlent notamment la croissance de l’espérance de vie..», a dit Mme Barabara. Après elle, c’est le ministre de l’économie des finances et de la prospective, Dr Seglaro Abel SOME qui s’est réjoui du rendu, bien que cela soit réalisé dans un contexte d’insécurité. Il en sa qualité de représentant du 1er ministre réitérer l’engagement de son gouvernement a faire de ces résultats un levier pour l’élaboration des plans de politique durable au plaisir des populations du Burkina Faso.
Bon à savoir sur la population du Burkina Faso
✍️Population totale : 20.505.155
✍️Population masculine : 9.900.847
✍️Population féminine : 10.604.308.
✍️Population urbaine : 5.360.112
✍️Population rurale : 15.145.043
✍️Population de la commune de OUAGADOUGOU : 2.415.266
✍️Population de la commune de BOBO DIOULASSO : 984.603
✍️Pourcentage de célibataires ( Hommes+Femmes) : 38,3/100
✍️Pourcentage de célibataires hommes : 46,9/100.
✍️Pourcentage de célibataires femmes : 30,6/100.
👉 Source : Synthèse des résultats définitifs du cinquième recensement général de la population et de l’habitation du BF JUIN 2022.
Les habitants du quartier Yaoghin Boulmiougou arrondissement n°³ de Ouagadougou sont menacées de déguerpissement. Ils l’ont dénoncé face à la presse, ce mardi 05 juillet 2022 à Ouagadougou. «Le 12 octobre 2020 nous avons été étonner de constater des topographes devant nos porte envoyés par […]
Actualité HabitatLes habitants du quartier Yaoghin Boulmiougou arrondissement n°³ de Ouagadougou sont menacées de déguerpissement. Ils l’ont dénoncé face à la presse, ce mardi 05 juillet 2022 à Ouagadougou.
«Le 12 octobre 2020 nous avons été étonner de constater des topographes devant nos porte envoyés par M. Soudré Mahamoudou le propriétaire du Lycée polytechnique de Ouagadougou, pour le bornage de nos logements pour extension de son Lycée à une superficie de 16119 m². Chose au qu’elle nous nous sommes farouchement opposer.
Et quand nous nous sommes rendus chez le chef, M. Soudré a avoué devant le chef que nos logements ne m’appartient pas mais pour pouvoir entendre la superficie de son école, il nous promet des terrains ailleurs.
Puis, le 26 mars 2022 nous avons été assaillis par des gendarmes accompagné d’une équipe qui a fait le bornage avec force. Après leur départ, nous avions par mécontentement déterrer lesdites bornes. C’est ainsi que la même gendarmerie est revenu nous gazés avec des lacrymogènes et arrêté certains de nos éléments. Nous nous sommes rendus par manifestation devant la gendarmerie en question et ils fut libérés..», a relaté Kalidou Traoré, président du comité ODJ Yaoghin, ce mardi 05 juillet aux journalistes.
Pour lui, le propriétaire du Lycée polytechnique du Kadiogo, Soudré Mahamoudou veut s’accaparer de leurs logements pour ces propres bénéfices, ce qu’ils ne vont jamais accepté.
Situé dans l’arrondissement n°³, les protestataires ont fait savoir que 69 foyers de Yaoghin sont concernés par cette menace de déguerpissement. Toujours selon eux, une fois à la mairie, le maire a eut a déclaré que, le propriétaire du Lycée en question detient des papiers, mais que ces documents ont été délivrés par le ministère de l’économie et des finances et non pas par la mairie dudit arrondissement.
«Cependant, nous avons été recensée en 2008 par la mairie de Boulmiougou. Nous sommes contre un déguerpissement sans dédommagement. Nous allons jamais nous laissez déguerpir de cette façons. Nous dénonçons cette manière de faire et lançons un appel à l’autorité d’ouvrir l’oeil sur cette situation et également sur toutes les questions foncières dans notre pays. Nous avions confié le problème a Mme Farama et sommes prêts a aller devant les juridictions pour défendre nos logements.. », a informé le président Kalidou Traoré.
Et avant de clore ladite conférence, les conférenciers du jours ce sont attardés sur ces mots : «Nous interpellons les autorités à se pencher suffisamment sur la gestion foncière dont les administrations publiques ont la charge afin d’assainir le milieu. En tout état de cause nous sommes assis avec nos papillons de recensement et nous attendons qu’une solution adéquate soit trouvée à nos problèmes, sans quoi nous sommes prêts à consentir tous les sacrifices nécessaires pour défendre nos concessions.
Nous lançons un appel à l’ensemble de la population à s’organiser pour défendre leurs intérêts mais aussi à se solidariser de toute lutte noble notamment les luttes que mènent les habitants des non-lotis, pour défendre leur droit au logement».
✍️S.M
Au cours d’une conférence de presse animée ce mardi 05 Juillet 2022 à Ouagadougou, l’Association Afrique Contre le Tabac ( ACONTA) a procédé à la remise officielle du prix OMS 2022 de la journée mondiale de lutte contre le tabagisme au lauréat, Harouna Kaboré. Le […]
Actualité SociétéAu cours d’une conférence de presse animée ce mardi 05 Juillet 2022 à Ouagadougou, l’Association Afrique Contre le Tabac ( ACONTA) a procédé à la remise officielle du prix OMS 2022 de la journée mondiale de lutte contre le tabagisme au lauréat, Harouna Kaboré.
Le sacrifice consentie par l’ancien ministre du commerce, Harouna Kaboré pour la lutte anti-tabac n’a pas été vain, il a été récompensé par l’Organisation Mondiale de la Santé par proposition de ACONTA. En effet, le 31 Mai dernier, il a été lauréat du Prix OMS pour la journée mondiale sans tabac.
Encourager et galvaniser les acteurs dans la lutte anti-tabac, c’est là tout le sens du prix OMS pour la journée mondiale sans tabac, attribué à l’ancien ministre Harouna Kaboré.
Ce prix est composé d’un certificat de reconnaissance et d’une médaille représentant la récompense spéciale du Directeur général de l’OMS. Pour le conférencier principal du jour, Salif Nikiema, ces prix ont été décernés à 5 pays. Il s’est agi de 01 prix au Burkina Faso, de 02 prix au Kenya, de 01 prix au Madagascar, de 01 prix au Mali et de 01 au Nigeria.
«Harouna Kaboré mérite ce prix parce qu’il a beaucoup travailler dans le sens de la protection de la santé des populations. Il a réussi à appliquer le décret n° 2011-1051 portant conditionnement et étiquetage des produits du tabac. Harouna Kaboré a joué un rôle déterminant dans l’augmentation du prix du tabac au Burkina Faso. Cette distinction le galvanisera sans doute à poursuivre son engagement dans la lutte anti-tabac», a laissé entendre Salif Nikiema.
A entendre, les premiers responsables de ACONTA, ce prix est la résultante d’un travail d’acharnement dans la lutte contre le Tabagisme au Burkina Faso. Selon eux, c’était une première de voir un ministre dévoué et engagé dans la lutte anti-tabac.
Pour le lauréat, Harouna Kaboré, c’est l’occasion de remercier l’association ACONTA et les premiers responsables de l’OMS.
« Ce prix est un travail collectif avec les différents agents du ministère du commerce et celui de la santé pour que la consommation de tabac puisse reculer dans notre pays. Nous avons réussi à mettre sur les paquets des images répulsives sur les paquets de cigarettes. C’est ensemble que nous allons continuer à lutter contre le tabagisme. Ce prix est collectif et je suis juste le porte parole. Je voudrais m’engager définitivement et durablement au côté de ACONTA parce qu’il y a beaucoup à faire», a ajouté le lauréat.
Du reste, il convient de noter que ACONTA et ses partenaires restent déterminer dans la lutte contre le tabagisme au Burkina Faso.