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Actualité CultureL’album » La grande Hémorragie » a été présenté officiellement aux mélomanes ce lundi 04 juillet 2022 à Ouagadougou. C’était au cours d’une conférence de presse, que l’artiste Ras Simposh a mis en exergue les couleurs de son nouvel album. Parents, amis et collègues sont venus soutenir l’artiste.
Artiste Auteur compositeur, Lead vocal reggae makers burkinabè, l’artise RAS SIMPOSH a présenté son nouvel album La grande Hémorragie.
C’est un album de 09 titres qui l’artiste Ras Simposh a présenté aux amoureux de la musique Reggae. Il s’est agi de « La grande Hémorragie», «Zambo national», « My life», «Martyrs africains», « Jah Preach», « My pains», « Environnement», « Theresa, l’amour mathématique» et «Martyrs africains remix». L’album fait une peinture de l’histoire africaine, de l’hydre terroriste. Ras Simposh est resté fidèle à sa philosophie, dans ses chansons, il s’insurge contre les injustices sociales.
Dans son album, il a su manier le mooré, le Bambara, le français et l’anglais dans un style reggae, musique d’engagement et conscientisation.
Sur le titre « La grande Hémorragie», l’artiste soutient que cette chanson est inspirée de l’attaque de Solhan. Pour lui, le titre, « Zambo national», c’est une extériorisation d’une injustice.« My life», 3e titre de l’album, est une biographie de l’artiste.
« Cet album est le reflet d’une indignation, une extériorisation d’une injustice, un résumé de mon parcours, un hommage aux martyrs africain, l’égocentrisme, la problématique de l’environnement et les profondes douleurs. L’album est une auto production. Là où il y a l’injustice, il n’y a pas de paix», a laissé entendre Ras Simposh.
Après le lancement officiel, des tournées sont prévues les jours à venir.
L’album est disponible dans les points de vente habituels au prix unitaire Ras 5 000 FCFA, un prix jugé raisonnable par l’artiste.
Du reste, il convient de retenir que l’artiste Ras Simposh de son vrai nom Ibrahim Simpore est né à Tema Bokin au nord du Burkina Faso. Il est caractérisé par sa vision panafricaniste.
L’artiste Prince Omar a animé une conférence de presse ce vendredi 1er juillet 2022 à Ouagadougou pour la sortie de son nouvel album intitulé » TIN TAANI ». 2e du genre, c’est un album de 8 titres riche en couleur qui a été présentée aux hommes […]
Actualité CultureL’artiste Prince Omar a animé une conférence de presse ce vendredi 1er juillet 2022 à Ouagadougou pour la sortie de son nouvel album intitulé » TIN TAANI ». 2e du genre, c’est un album de 8 titres riche en couleur qui a été présentée aux hommes de médias. Parents, amis et collègues sont venus soutenir l’artiste. Il s’est agi principalement de Maria Bissongo.
Après son premier album en 2016, Prince Omar revient en force avec son second album de 08 titres intitulé « Tin Taani »en langue gourmantchema qui signifie « Unissons-nous ». Chanté en français, gourmantchema et en mooré aux rythmes du terroir burkinabè, le 2e album reflète les réalités du moment et traite des thématiques de la paix, la cohésion sociale, le vivre ensemble et la réconciliation nationale. C’est un album qui comporte deux clips vidéos et un featuring avec l’artiste Maria Bissongo.
« L’album parle de l’union et de la cohésion sociale. J’ai rendu un hommage aux forces de défense et de sécurité dans l’album. Quand les gens se méfient les uns des autres, c’est un signe de désunion et cela est dangereux pour une nation. Vous savez, face au défi sécuritaire auquel nous faisons face actuellement et vu la dégradation du climat social, notre salut viendra de l’union et de la cohésion sociale », se justifie Prince Omar.
« Mitere », « Tin Taani », « O Gulmu Po », « Aventurier », « Kogoandi », « Po Thiothioly » « Kogoandi », entre autres sont les titres du 2e album de Prince Omar.
Selon l’artiste Prince Oumar, le 2e album a pris du temps à sortir parce que le premier n’a pas eu assez de visibilité. A lui d’ajouter que l’album sera présenté à l’Est à cause de son appel à l’Union. » Le deuxième album a débuté en 2019. Le thème que j’aborde le plus c’est l’insécurité et la cohésion sociale. J’ai voulu apporter ma contribution pour le retour de la paix au Burkina Faso. La stratégie de communication est basée sur la maturité pour promouvoir l’album », a laissé entendre l’artiste.
Il convient de noter que Prince Omar sera dans les prochains jours une tournée nationale dans les différentes régions et une tournée internationale.
L’album est disponible à Afrik Image et à Kemite Empreinte au prix unitaire de 10.000 F CFA et sur toutes les plateformes légales de téléchargement.
CDP: Achille Tapsoba et 6 autres militants suspendus pour 6 mois Le congrès pour la démocratie et le progrès ( CDP) a clos ce samedi 2 juillet 2022 dans l’après midi les activités de son 72e session ordinaire du Bureau Politique nationale ( BPN). Ladite […]
PolitiqueCDP: Achille Tapsoba et 6 autres militants suspendus pour 6 mois
Le congrès pour la démocratie et le progrès ( CDP) a clos ce samedi 2 juillet 2022 dans l’après midi les activités de son 72e session ordinaire du Bureau Politique nationale ( BPN). Ladite session été tenue sous le leadership du président du parti, Eddie Comboïgo.
La question du récépissé non encore délivré depuis le 8e congrès ordinaires s’est invité au débat lors de cette session. Le président du parti Eddie Komboïgo réélu lors de ce congrès a assuré que « tôt ou tard » le récépissé sera récupéré.
« Cela peut laisser croire que y a une volonté ( de ne pas donner le récépissé) mais nous sommes sereins. Nous sommes confiants parce que les autorités nous ont interpellés pour qu’il y ait une unité dans le parti mais vous savez on décrète pas l’unité. Le parti a un statut et règlement intérieur qu’il faut respecter. Si on ne respecte pas ce statut et règlement intérieur, on décide et on avance. Le récépissé ne saurait rester dans les mains de l’administration territoriale et nous connaissons les voies et recours pour avoir ce récépissé. Nous nous battrons pour que le récépissé soit récupéré », a-t-il assuré à son BPN.
Lors de cette rencontre, des membres du partis ont été suspendus pour six mois. Il s’agit de Achille Topsoba, Salifou Sawadogo, Yaya Zougrana, Blaise sawadogo, Segda Gerrad, sawadogo Blandine, Topan Sané, Jean Couldiati.
En rappel, les travaux de cette session ont également été sanctionné par une motions de soutien au président Eddie Comboïgo à la direction du parti et une motion de soutien aux FDS et au VDP. Le BPN du CDP a appelé au rejet de toute sorte de stigmatisation à l’emploi des communautés.
L’ aille historique a organisé une conférence en présence des hommes de médias ce 29 juin 2022 à Ouagadougou. Cette conférence avait pour objectif d’informer l’opinion publique sur la vie du parti et la tenue d’un congrès pour relancer les activités du parti les jours […]
PolitiqueL’ aille historique a organisé une conférence en présence des hommes de médias ce 29 juin 2022 à Ouagadougou. Cette conférence avait pour objectif d’informer l’opinion publique sur la vie du parti et la tenue d’un congrès pour relancer les activités du parti les jours à venir. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership de Achille Marie Joseph Tapsoba.
A la suite de cette conférence, pour les conférenciers l’heure de la vérité a sonné.
« Aujourd’hui, l’heure de la vérité a sonné. Par lettre en date du 21 juin 2022 (REF CAB 008/22/PRESI portant en objet Mesure de sortie de crise, adressée à tous les participants à la rencontre de concertation des 24 et 25 juin 2022, le Président d’honneur a fait les constats suivants :
1. « Les manquements graves dans le respect de nos textes statutaires…
2. Les divergences de nature à compromettre l’existence du parti.
Et pris la décision ci- après… En raison de la difficulté à concilier les positions, j’ai décidé en application de mes prérogatives statutaires définies au Congrès de Mai 2018 de la convocation prochaine du huitième Congrès ordinaire du CDP.
Le Congrès sera l’occasion de rassembler tous les militants actifs et tous ceux qui se sont mis en réserve afin de relancer les activités du parti », a cité Achille Tapsoba.
En plus, il a ajouté les membres du parti à rester mobilier pour faire de ce congrès un grand moment de cohésion pour un nouveau départ.
L’Observatoire National Indépendant pour une Transition Réussie (ONI-TR) a animé une conférence de presse ce samedi 2 juillet 2022 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était de s’adresser à la CEDEAO et faire un deuxième bilan mensuel de la Transition. […]
Actualité Politique SociétéL’Observatoire National Indépendant pour une Transition Réussie (ONI-TR) a animé une conférence de presse ce samedi 2 juillet 2022 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était de s’adresser à la CEDEAO et faire un deuxième bilan mensuel de la Transition. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership de la présidente, Mme yvette BELEM, Kadidiatou NACANABO, Madi COMPAORE et de Issa LINGANE.
L’Observatoire National Indépendant pour une Transition Réussie (ONI-TR) a donné sa lecture autour de quatre points majeurs. Il s’est agi de la crise sécuritaire et humanitaire et ses pendants ; la réconciliation nationale ;
la Médiation de la CEDEAO et le bilan de ses actions et ses perspectives.
Les conférenciers du jour d’entré de jeu ont soutenu que sur la question sécuritaire, le drame du Burkina Faso est aussi cette fracture sociale qui remet en cause un vivre ensemble de plusieurs décennies avec en prime de sérieux risques d’une implosion aux conséquences inimaginables. Ils prennent à témoin, la montée des discours haineux sur fond de stigmatisations ethniques qui interpelle tout un chacun. Toute chose que l’ONI-TR suit avec une réelle consternation et un profond dégoût et les condamnent avec la dernière énergie.
« Nous invitons les autorités à tout mettre en œuvre pour retrouver leurs auteurs et les traduire devant nos tribunaux. Il est clair qu’il y a des liens évidents entre ces individus et certaines chapelles politiques qui veulent en découdre», invite Mahamadi Ilboudo.
Il faut note que l’ONI-TR dans son exposé interpelle chacun à choisir son camp : être avec le peuple et suer avec lui pour vaincre ou faire le jeu de l’ennemi en se complaisant dans des critiques oiseuses et des commentaires aux desseins inavoués.
« C’est le pouvoir déçu qui veut en découdre avec les nouvelles autorités. Chacun est assis dans un maquis, il boit sa bière et demande des résultats de la part des autorités. Les gens ne sont pas dans l’esprit de guerre. Je suis même étonné que le président n’a pas encore fermé les maquis quand je vois le parking des maquis plein de véhicules et d’engins à deux roues», a déclaré Ilboudo Mohamadi .
Selon le secrétaire général de l’ONI-TR, Mohamadi Ilboudo, leur organisation exprime son soutien et sa solidarité sans faille avec tous les acteurs du combat. A lui d’ajouter qu’ils sont convaincus l’inéluctable victoire et ont espoir que très bientôt la terreur va changer de camp. « L’ONI-TR s’offusque devant la mauvaise foi évidente de tous ceux qui exigent ici et maintenant à la Transition la victoire sur les terroristes en seulement 5 mois de gestion. Nous fustigeons sans réserve le zèle excessif, des manifestants qui défient les stratégies de lutte. Nous lançons un appel à la raison et au patriotisme pour l’intérêt supérieur de la nation. Dans la même veine nous nous réjouissons de la réelle montée en puissance de nos combattants et saluons fièrement leurs victoires sur le terrain», dixit le SG.
Retenons que l’ONI-TR soutient le gouvernement dans sa démarche d’un compromis dynamique qui ne fait pas de fixation sur la durée de la Transition en se plaçant dans « une logique de rejoindre les préoccupations de la CEDEAO qui estime que la durée de 36 mois n’est pas acceptable. ». Les conférenciers espèrent que la CEDEAO sera dans de bonnes dispositions d’esprit et aura à cœur de continuer à être réceptive et soucieuse d’aider réellement le Burkina à sortir de l’impasse dans lequel il est.
Du reste, sur le point des activités et des perspectives de l’ONI-TR, Mme Yvette BELEM cité la Lettre plaidoyer CEDEAO, la Création des Brigades opération Mana Mana dans les 12 arrondissements de Ouagadougou, la Formation des femmes et jeunes des membres en création et gestion d’entreprises. En VBG et en marketing digital et bien d’autres.
La 2e édition du forum d’échange sur l’industrie et le commerce Tunisie-Burkina a officiellement refermé ses portes le jeudi 30 juin 2022 à Ouagadougou. Organisé par la Compagnie d’équipements et d’industrie de Management (CEIM) et ses partenaires, cette 2e édition s’est voulu un cadre de […]
Actualité Culture ÉconomieLa 2e édition du forum d’échange sur l’industrie et le commerce Tunisie-Burkina a officiellement refermé ses portes le jeudi 30 juin 2022 à Ouagadougou. Organisé par la Compagnie d’équipements et d’industrie de Management (CEIM) et ses partenaires, cette 2e édition s’est voulu un cadre de partage d’expérience entre le Burkina Faso et la Tunisie.
Créer un cadre de dialogue entre les acteurs de l’industrie et du commerce de la Tunisie et du Burkina Faso c’est là tout le sens de la 2e édition du forum d’échange sur l’industrie et le commerce Tunisie-Burkina.
– Le Bilan est-il satisfaisant ?
Selon le président du comité d’organisation, Josias Sawadogo, la deuxième édition du forum Tunisie Burkina Faso qui vient de s’achever a été le lieu de présenter des opportunités d’investissement et d’accompagnement du côté Burkinabè et Tunisien. Et ceux, grâce aux panels et au ateliers, les différents acteurs ont pu échanger avec les participants sur plusieurs points à savoir, le commerce, le développement industriel, les formations et l’entrepreneuriat des jeunes.
« Un merci particulier à SEM le Chef de l’état Paul Henri Damiba patron de la Cérémonie et représenté par M le Ministre du Développement industriel, du commerce, de l’artisanat et des PME, que nous remercions également. Notre parrain qui n’a ménagé aucun effort pour nous accompagné, les ambassades des deux pays et toute les institutions qui nous appuyer sont également remerciée», a laissé entendre le président du comité d’organisation.
Quelle leçon peut-on retenir de l’organisation ?
Pour le comité d’organisation, il convient de relever qu’il y a eu quelques manquements et nous allons travailler à mieux préparer la prochaine édition pour un succès total.
Quel sont les acquis de cette 2e édition ?
La 2e édition du forum d’échange et de commerce Tunisie-Burkina a été marquée par des ateliers, des formations, des rencontres B to B. Le but est de permettre aux acteurs du commerce et de l’industrie de nouer des partenariats gagnant gagnant.
Il faut retenir que des attestations d’honneur ont été attribuées à des personnalités pour leur engagement dans le secteur de l’industrie et du commerce au Burkina Faso.
Du reste, la CEIM Burkina a affirmé rester ouverte pour vous accompagner toute démarche de partenariat, de mise en relation , d’études et de prospection.
CEIM Burkina entend être le partenaire idéal pour débuter un business.
L’ex APMP a animé une conférence de presse ce vendredi 1er juillet 2022 à Ouagadougou. Cette rencontre avec les hommes de Médias était axée sur deux axes, la situation nationale et la rencontre sur la feuille de route de la transition. C’est en présence des […]
Actualité PolitiqueL’ex APMP a animé une conférence de presse ce vendredi 1er juillet 2022 à Ouagadougou. Cette rencontre avec les hommes de Médias était axée sur deux axes, la situation nationale et la rencontre sur la feuille de route de la transition. C’est en présence des leadership politiques de l’ex APMP que cette rencontre s’est tenue.
La conférence de presse animée par l’ex APMP se résume sur deux volets : la situation nationale et la rencontre d’information initiée par le Premier ministre sur la feuille de route de la transition.
Sur la situation nationale, les conférenciers du jour ont laissé entendre que le contexte national est marqué par la récrudescence des attaques terroristes, l’accroissement continu du nombre des personnes déplacées internes qui franchit la barre de 2 millions de nos jours, des écoles et centres de santé fermés, le drame humanitaire etc … Pour eux, Face à cette dégradation continue de la situation sécuritaire, le renchérissement du coût de la vie et le spectre de la famille qui menace le Pays, les autorités de la transition ont choisi de verser dans une communication qui cache des réalités criardes et de notoriété publique.
« Notre regroupement saisit une fois de plus cette opportunité pour manifester d’une part son soutien et ses encouragements à toutes les forces combattantes engagées dans la lutte pour la libération de notre Pays,et d’autre part, témoigner sa solidarité et sa compassion à l’endroit de toutes les victimes de cette guerre injuste et perfide », a soutenu le président du MPP avant de dire que c’est le lieu d’appeler l’ensemble des fils et filles du Burkina à œuvrer pour l’unité nationale et une réconciliation véritable et sincère afin que de faire bloc autour de la mère patrie en vue de relever sa dignité.
Les conférenciers ont invité les autorités de la transition à s’inscrire dans cette dynamique en impulsant une volonté politique plus affirmée en lien avec le vivre ensemble et la cohésion nationale dont l’un des premiers actes de ce processus consiste à la libération totale et sans conditions du Président Roch Marc Christian Kabore.
De la rencontre d’information initiée par le Premier ministre, l’ex APMP soutient qu’il s’est agi d’une simple et superficielle rencontre d’informations. ils ont de ce fait élevé la voix pour dénoncer cette manœuvre et exprimer leur désolation face à cette posture aussi désinvolte de traiter des questions aussi cruciales et d’intérêt national pour lesquelles de larges et inclusives concertations devraient être requises.
Selon Me Benewendé Sankara c’était une rencontre d’information sur l’agenda de la transition qui n’honore pas la classe politique. « C’est irrespectueux », a-t-il martelé.
«Nous invitons le facilitateur de la CEDEAO à élargir sa base de discussions afin de prendre toutes les composantes de notre Pays en compte dans le cadre de sa mission de bons offices et encourageons les institutions communautaires et internationales,les partenaires techniques et financiers ainsi que les amis du Burkina Faso à poursuivre le dialogue avec les autorités de la transition en vue d’une issue de crise bénéfique surtout pour nos vaillantes et laborieuses populations », a demandé Alassane Bala Sakandé.
Du reste, l’Alliance exprime son désaccord sur les méthodes utilisées et exige une concertation franche, sincère , inclusive et féconde avec l’ensemble des composantes de la Nation en vue d’arrêter des modalités consensuelles acceptées de tous.
Créative Associates International en collaboration avec USAID et ses partenaires a procédé au lancement officiel du projet de Gouvernance Inclusive pour la Résilience (IGR) ce jeudi 30 juin 2022 à Ouagadougou. C’était une occasion pour les acteurs de présenter le projet IGR dans le fond […]
Actualité SociétéCréative Associates International en collaboration avec USAID et ses partenaires a procédé au lancement officiel du projet de Gouvernance Inclusive pour la Résilience (IGR) ce jeudi 30 juin 2022 à Ouagadougou. C’était une occasion pour les acteurs de présenter le projet IGR dans le fond et dans la forme. Cette cérémonie officielle de lancement s’est tenue sous le leadership du chef de projet adjoint de IGR, Siaka Ouedraogo et du représentant pays de USAID, Alison McFarland et du conseiller technique, représentant le ministre de l’administration territoriale, Diallo Alahni et des différents partenaires techniques.
Le projet IGR est un projet financé par USAID dont la mise en œuvre a commencé en juillet 2021. C’est un programme quinquennal qui a pour objectif de modifier le paradigme de la gouvernance en passant par un modèle d’offre et de demande à un modèle de responsabilité et de réussite partagées. En collaboration avec les institutions étatiques, le projet soutiendra les acteurs locaux pour qu’ils co-créent des feuilles de route au niveau communale pour la résilience.
Selon le chef de projet adjoint de IGR, Siaka Ouedraogo, représentant la cheffe de projet, l’objectif de ce projet est d’aider la gouvernance locale au Burkina Faso à passer d’un système transactionnel d’offre et de demande à un système de responsabilité partagée pour construire la résilience. A lui d’ajouter que le projet IGR va ainsi contribuer à appuyer la gouvernance locale à travers le renforcement de la capacité des municipalités et la création d’un dialogue franc, productif et constructif entre gouvernants et citoyens. « Le projet IGR est présent dans 19 communes et 4 régions du Burkina Faso ( Nord, centre nord, Sahel et l’Est). Il est financé par USAID pour plus 11 milliards de FCFA», a précisé le chef de projet adjoint.
A la représentante pays de USAID, Alison McFarland, d’affirmer que le projet IGR sera une solution aux problèmes de bonnes gouvernances qui minent la société, avant de dire que le projet est en droite ligne avec les missions de USAID qui a été créé pour la promotion des droits humains.
Quant au conseiller technique, représentant le ministre de l’administration territoriale, Ilahni Diallo, il n’a pas manqué de signifier que le projet IGR va renforcer les capacités des citoyens, des organisations Locales et communautaires ainsi que des groupes pour défendre leurs besoins et communiquer de manière constructive avec les représentants du gouvernement. Pour lui, le projet vise trois objectifs majeurs qui se résument au renforcement des capacités et la création d’un cadre de dialogue entre les gouvernés et les gouvernants. » Le projet IGR s’inscrit dans les axes du gouvernement. Ce projet nécessite l’accompagnement de tous et permettra de restaurer la confiance entre les gouvernants et les gouvernés. L’ensemble des parties prenantes est invité à travailler en symbiose. Le gouvernement remercie l’USAID pour l’accompagnement du projet », a décliné le conseiller technique avant de déclarer ouvert l’atelier.
En rappel, il faut noter que le projet de gouvernance inclusive pour la résilience est financé par l’Agence américaine pour le développement international, USAID et mis en œuvre par l’ONG CRÉATIVE ASSOCIATES INTERNATIONAL et son partenaire de mise en œuvre LUTHERAN WORLD RELIEF.
📌𝐌𝐞𝐬𝐬𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐡𝐞𝐟𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐬 𝐝𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑝𝑎𝑡𝑟𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒́𝑔𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑒́𝑑𝑒𝑟 𝑎𝑣𝑒𝑐 ℎ𝑜𝑛𝑛𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑖𝑔𝑛𝑖𝑡𝑒́ 𝑎𝑢𝑥 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑓𝑢𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 Autorités politiques et administratives, Autorités religieuses, Forces de Défense et de […]
Actualité Culture Société📌𝐌𝐞𝐬𝐬𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐡𝐞𝐟𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐬 𝐝𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨
𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑝𝑎𝑡𝑟𝑖𝑒 𝑒𝑡 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒́𝑔𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑒́𝑑𝑒𝑟 𝑎𝑣𝑒𝑐 ℎ𝑜𝑛𝑛𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑡 𝑑𝑖𝑔𝑛𝑖𝑡𝑒́ 𝑎𝑢𝑥 𝑔𝑒́𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑓𝑢𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠
Autorités politiques et administratives, Autorités religieuses,
Forces de Défense et de Sécurité, Acteurs de la société civile,
Acteurs de développement,
Intellectuels de tout rang,
Hommes de médias,
Anciens, femmes et jeunes des villes et des campagnes ; Populations du Burkina Faso ;
Les chefs supérieurs coutumiers et traditionnels du Burkina Faso vous parlent :
𝐍𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐚𝐲𝐬, 𝐥𝐞 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨, 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐞𝐫𝐬𝐞 𝐮𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐦𝐨𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐨𝐧 𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞.
Aujourd’hui, notre peuple fait face à une crise multidimensionnelle grave et le désespoir s’empare des populations.
Le quotidien et le vivre-ensemble sont mis à rude épreuve par les affres de l’insécurité et des conflits intra et inter communautaires.
Investis des hautes missions coutumières et traditionnelles tirées de nos sources ancestrales, les chefs supérieurs coutumiers et traditionnels du Burkina Faso se sentent fortement interpelés par la situation nationale. Notre responsabilité nous impose de rompre le silence.
𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐦𝐚𝐧𝐢𝐟𝐞𝐬𝐭𝐨𝐧𝐬 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐭𝐢𝐞𝐧 𝐚𝐮𝐱 𝐟𝐨𝐫𝐜𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐝𝐞́𝐟𝐞𝐧𝐬𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐬𝐞́𝐜𝐮𝐫𝐢𝐭𝐞́, aux auxiliaires de défense, aux familles éplorées, à toutes les victimes et personnes affectées par les actes d’insécurité et de violence.
L’insécurité est une réalité qui affecte les familles et la Nation. On enregistre de nombreux déplacés dans plusieurs régions du pays. La situation est préoccupante. Malgré les actions entreprises, les résultats restent en deçà des attentes des populations.
LeschefssupérieurscoutumiersettraditionnelsduBurkinaFasoconstatent des propos haineux et d’incitation à l’intolérance et à la violence véhiculés à travers certains canaux de communication. Cela est contraire à l’esprit de fraternité séculaire qui a toujours prévalu dans notre pays et que nous avons hérité de nos parents.
En tant que dépositaires et garants des pouvoirs coutumiers et traditionnels, incarnation de nos valeurs ancestrales, acteurs de l’histoire de notre pays, nous, chefs supérieurs coutumiers et traditionnels du Burkina Faso condamnons :
– toute atteinte à la vie, à l’intégrité physique, morale et psychique de toute personne quelque soit sa race, son ethnie, sa religion, son appartenance politique et idéologique.
– les propos haineux et d’incitation à l’intolérance et à la violence véhiculés à travers certains canaux de communication.
Interpelons :
• – 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐫𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐝𝐮 𝐩𝐚𝐲𝐬, 𝐚̀ 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐫 𝐭𝐨𝐮𝐭𝐞𝐬 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐞́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐢𝐞𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐥𝐮𝐭𝐭𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐨𝐫𝐢𝐬𝐦𝐞, 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐮𝐯𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐥’𝐢𝐧𝐭𝐞́𝐠𝐫𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐝𝐮 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐢𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞;
• – les acteurs politiques, administratifs, religieux et coutumiers, à quelque niveau qu’ils soient, sur le devoir de veiller au respect de l’intégrité de chaque communauté en utilisant leur leadership pour contribuer à apaiser les tensions et à réconcilier les Burkinabè ;
• – les filles et fils du Burkina qui, pour des raisons diverses ont des visions ou intérêts divergents avec la nation à déposer les armes, à revenir à la raison et à la «maison» pour qu’ensemble, nous bâtissions notre pays dans la paix et la quiétude ;
• – le peuple Burkinabè, à manifester sa compassion et sa solidarité par son soutien actif aux déplacés internes, aux veuves, aux orphelins et à l’ensemble des personnes vulnérables du fait de la crise ;
• – les Burkinabé à cultiver et renforcer : l’union, la solidarité, l’amour, le patriotisme, la tolérance, l’acceptation de la différence, la fraternité, l’humilité, le dialogue, le pardon, la cohésion sociale et l’unité nationale.
𝐋𝐞𝐬 𝐜𝐡𝐞𝐟𝐬 𝐬𝐮𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐜𝐨𝐮𝐭𝐮𝐦𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐞𝐭 𝐭𝐫𝐚𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐬 𝐝𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐞𝐥𝐥𝐞𝐧𝐭 : • – à l’ensemble des Burkinabè, la nécessité de cultiver le sentiment d’appartenance à une même nation, la volonté de vivre ensemble et de bâtir à l’unisson, une nation forte et prospère ;
• – qu’au-delà de nos différences ethniques, religieuses idéologiques, philosophiques, politiques, nous avons une même patrie et nous avons le devoir de la protéger et de la céder avec honneur et dignité aux générations futures.
Populations du Burkina Faso,
En ce qui concerne les chefs supérieurs coutumiers et traditionnels du Burkina
Faso, ils réitèrent leur disponibilité et leur ferme engagement à jouer pleinement et entièrement leur partition, à poursuivre leur contribution à la paix.
𝐈𝐥𝐬 𝐢𝐦𝐩𝐥𝐨𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐚 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐧𝐨𝐮𝐫𝐫𝐢𝐜𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐞𝐜𝐭𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐝𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚, 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐚̂𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐬 𝐚𝐧𝐜𝐞̂𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐓𝐨𝐮𝐭 𝐏𝐮𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐪𝐮’𝐢𝐥𝐬 𝐯𝐞𝐢𝐥𝐥𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚.
𝐃𝐢𝐞𝐮 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐚̂𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐬 𝐚𝐧𝐜𝐞̂𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐛𝐞́𝐧𝐢𝐬𝐬𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 !
𝐅𝐚𝐢𝐭 𝐚̀ 𝐎𝐮𝐚𝐠𝐚𝐝𝐨𝐮𝐠𝐨𝐮, 𝐥𝐞 𝟐𝟗 𝐣𝐮𝐢𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟐
Les chefs supérieurs coutumiers et traditionnels du Burkina Faso
Sa Majesté Naaba DJIGUIMPOLE, Roi de ZOUNGRANTENGA, TENKODOGO
Sa Majesté Naaba KIBA, Roi du YATENGA, OUAHIGOUYA
Sa Majesté Moogho Naaba BAONGO, Roi de l’OUBRITENGA, OUAGADOUGOU
Sa Majesté Naaba SIGRI, Roi du BOUSSOUMA
Sa Majesté l’Emir du Liptako DORI
Sa Majesté l’Emir de DJIBO
Le chef suprême des BOBO Mandarè, chef du canton de BOBO DIOULASSO
Le POPE, chef du canton de PÔ
Le chef du canton de DEDOUGOU
Le chef du canton de GAOUA
La Compagnie d’équipements et d’industrie de Management (CEIM) en collaboration avec ses partenaires a procédé à la cérémonie officielle de lancement de la 2e édition du forum d’échange sur l’industrie et le commerce Tunisie-Burkina ce mercredi 29 juin 2022 à Ouagadougou. Durant 72 heures, les […]
Actualité Culture ÉconomieLa Compagnie d’équipements et d’industrie de Management (CEIM) en collaboration avec ses partenaires a procédé à la cérémonie officielle de lancement de la 2e édition du forum d’échange sur l’industrie et le commerce Tunisie-Burkina ce mercredi 29 juin 2022 à Ouagadougou. Durant 72 heures, les différents acteurs du commerce et de l’industrie du Burkina et de la Tunisie échangeront autour du thème » Partenariat gagnant-gagnant, capitalisation et pérennisation des acquis ». Ladite cérémonie de lancement se tient sous le leadership du ministre de l’industrie, Abdoulaye TALL, du chargé des affaires de l’ambassade de la Tunisie, du parrain Roch Donatien Nagalo, du président du comité d’organisation, Josias Sawadogo et de Lancina KY.
C’est dans le but de créer un cadre de dialogue entre les acteurs de l’industrie et du commerce de la Tunisie et du Burkina Faso que la 2e édition du forum d’échange sur l’industrie et le commerce Tunisie-Burkina se tient.
Selon le directeur de CEIM et président du comité d’organisation, Josias Sawadogo, ce forum se veut un cadre d’échange entre les deux pays. Pour lui le Burkina Faso est un pays en phase de développement industriel. » C’est une 2e édition et on attend une collaboration pour développer l’Afrique. Nous voulons inviter les acteurs à travailler ensemble pour le développement des deux pays. J’espère que les différents acteurs nouerront des partenariats gagnant gagnant au sortir de ce forum », précise le directeur.
Pour le chargé des affaires de la Tunisie au Burkina Faso, Farez Nahali c’est une initiative qui permet le brassage culturel entre des pays frères. A lui d’ajouter que c’est une aubaine de jouer carte sur table pour trouver des solutions de sorties de crise.
A entendre le parrain, Roch Donatien Nagalo, aucun pays ne peut se développer sans industries. Pour lui, cette jeunesse qui a initiée ce forum est une jeunesse qui a de l’avenir. » Je n’ai pas hésité à parrainer ce forum parce qu’il entend promouvoir l’industrie au Burkina Faso et favoriser la collaboration avec la Tunisie. Je félicite le comité d’organisation », a t’il laissé entendre.
Lors de son discours, le ministre de l’industrie, Abdoulaye TALL, n’a pas manqué de saluer cette initiative et encourager la jeunesse qui malgré les difficultés a pu organiser cette 2e édition du forum d’échange sur l’industrie et le commerce Tunisie-Burkina. Il ajoute qu’il convient de saluer la coopération Sud Sud, Tunisie Burkina Faso. » Il faut dire que la Tunisie est un excellent partenaire, c’est un pays modèle qui c’est basé sur la qualité de ses ressources humaines et la qualité de ses formations. De ce forum, nous entendons des recommandations qui peuvent aider à améliorer l’industrie et le commerce au Burkina. Nous sommes disposés à accompagner ce forum pour le développement de l’industrie et du commerce », rassure le ministre de l’industrie.
Il convient de retenir le forum s’articule autour des panels, des formations, des expositions-et des opportunités d’affaires. Tous les acteurs des PME PMI sont invités à prendre part à la 2e édition du forum d’échange sur l’industrie et le commerce Tunisie-Burkina.