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Actualité SociétéCe mercredi 01 décembre 2021 a Ouagadougou, l’Organisation régionale africaine de la confédération syndicale internationale (CSI-Afrique) et les syndicats du Burkina Faso ont procédé à la cercérémo officielle douvd’ouver d’un atelier national de formation des dirigeants syndicaux sur le dialogue social et l’ODD 8. Cet atelier de 03 jours a pour objectif de mûrir les réflexion sur l’apport du mouvement syndicale dans le dialogue social.
« Favoriser le développement durable par le dialogue social dans les Etats fragiles d’Afrique », c’est autour de cette thématique que les leaders syndicaux durant 72h vont travailler pour sortir des résolutions concrète pour favoriser le dialogue social dans la sous région.
Selon Paul Kaboré, président de la réunion de Ouagadougou, 04 structures syndicales et une OSC prennent part à cet atelier auquel assortiment des propositions de soutien à l’emploi et du renforcement du dialogue social dans les pays africains. Il ajouté que les niveaux élevés de conflit d’arme et d’insécurité ont un impact destructeur sur le développement
dun pays, affectant la croissance économique et entrainant souvent des griefs de longue date. « Alors
que certains pays d’Afrique sont tombés dans des cycles apparemment sans fin de violence et de Conflit d’autres bénéficiant d’un niveau soutenu de paix de sécurité et de prospérité », a laissé entendre le président.
Pour Comrqde Akhator Joël Odigie, SGA CSI-Afrique, ils sont à cet atelier pour soutenir leurs structures sœurs. « Les pays africains en particulier ceux de la sous région, on pratiquement les même difficultés que sont entre autres le manque d’emploi et l’insécurité grandissant mettant en péril le dialogue social », affirme le SGA CSI-Afrique.
Il convient de retenir qu’au coeur de l’Agenda 2030 se trouve une compréhension claire que les droits de l’homme, la paix et la
sécurité, et le développement se sont profondément liés et se renforcent mutuellement.
Les organisateurs n’ont pas manqué de signifier que l’ensemble du programme reflète l’importance d’améliorer l’accès à la justice, de garantir la sûreté et la sécurité et de promouvoir les droits de l’homme pour le développement durable, tandis que l’objectif de
développement durable 16 marque l’intersection entre le maintien de la paix et le Programme 2030.
La CSI-Afrique a encouragé le dialogue social car il contribue à la stabilité institutionnelle en favorisant le consensus entre les partenaires sociaux sur les politiques socio-économique.
La formation des leaders syndicaux sur le dialogue social et l’ODD à pour objectif de développement, un environnement inclusif, pacifique, sur et favorable qui favorise le développement durable et le travail décent pour tous et pour objectif du projet la consolidation de la paix et au développement national par les travailleurs et les syndicats africains.
En termes de résultats attendus, il s’agit d’une meilleure connaissance du dialogue social, de la mise en place d’une plateforme syndicale nationale multipartite de promotion de la paix et de la sécurité et de générer le projet de revendications générales des travailleurs de Sierra Léone pour favoriser le développement durable, la paix et la sécurité.
Le regroupement du PDIS-LAAFIA invite la population à l’Union sacrée pour faire face aux difficultés sécuritaires. L’information a été donnée au cours d’une conférence de presse ce vendredi 26 novembre 2021 à Ouagadougou. La conférence s’est tenue sous le leadership du coordonnateur du regroupement du […]
Actualité PolitiqueLe regroupement du PDIS-LAAFIA invite la population à l’Union sacrée pour faire face aux difficultés sécuritaires. L’information a été donnée au cours d’une conférence de presse ce vendredi 26 novembre 2021 à Ouagadougou. La conférence s’est tenue sous le leadership du coordonnateur du regroupement du PDIS-LAAFIA, Combary Camille.
À entendre le regroupement du PDIS-LAAFIA, l’existence de notre pays est gravement menacée et ceux malgré les multiples sacrifices des vaillants FDS et des VDP qui contre vent et marée, le bout du tunnel demeure loin dans la mesure où les terroristes occupent et contrôlent une bonne partie du territoire national.
Il convient de retenir que concernant l’appel à marche de revendication du samedi 27 novembre 2021, le regroupement du PDIS-LAAFIA invite ses militants et militantes et lenl’ensem du peuple burkinabè à s’abstenir de ladite Marche.
Selon le coordonnateur du regroupement du PDIS-LAAFIA, Camille Firmin Combary, pour l’instant il faut converger et conjuguer les efforts pour la construction d’une nation unie, securissé et prospère. « Nous réaffirmons notre soutien au Président du Faso, tout en l’invitant à plus d’engagement dans les actions de bonnes gouvernances. Nous saluons le message du président du Faso et demandons le renforcement du maillage territorial par l’armée tout en faisant appel aux réservistes valides pour contribuer à la défense nationale.
Pour l’honorable Lompo, le Burkina Faso a son salut dans l’unité. Il ajoute que nous sommes dans un État de droit et tout doit se faire dans la légalité. » La marche du 27 novembre est une marche qui incite à un coup d’Etat », a laissé entendre l’honorable Lompo
Du reste, pour le regroupement du PDIS-LAAFIA constatant l’extrême gravité de la situation sécuritaire marquée par l’attaque d’INATA recommande dans l’urgence, la mise en place dund gouvernement de combat, constitué de technocrates aguerris en lieux et place des gouvernements successifs quu n’ont pu donner de réponse conséquente pour faire reculer l’Hydre terroriste.
Burkina Faso : 2è édition sur l’académie de l’employabilite des jeunes L’ Académie Syndicale des jeunes FES-Centrales Syndicales du Burkina Faso a tenu sa 2è édition avec l’Appui de la fondation Friedrich EBERT ce lundi 22 au 25 novembre 2021 à Ouagadougou. Placé sous le […]
Actualité SociétéBurkina Faso : 2è édition sur l’académie de l’employabilite des jeunes
L’ Académie Syndicale des jeunes FES-Centrales Syndicales du Burkina Faso a tenu sa 2è édition avec l’Appui de la fondation Friedrich EBERT ce lundi 22 au 25 novembre 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << L' emploi des jeunes sur fond de la COVID-19 : Qu'elles stratégies pour générer de nouveaux emplois décents >>, son objectif est d’ accompagner les jeunes leaders syndicaux dans l’analyse de la problématique de l’ employabilité et de l’emploi décent.
Au Burkina Faso, la problématique de l’emploi des jeunes demeure un grand défi de gouvernance dont le pays fait face dans la conception de la mise en œuvre de ses politiques de développement. C’est pour cela que les Syndicats se sont levés pour l’amélioration de conditions de vie de leur classe. Cette amélioration a permis de poser des base d’une classe moyenne dominante dans les pays industrialisés contribuant ainsi à la stabilité de la démocratie dans ses luttes.
« L’ employabilité des jeunes est dû à l’absence de travail économique. Elle est source d’un chômage massif des jeunes dont l’une des conséquences est l’instabilité politique dans les pays que font semblant de résoudre certains pays occidentaux et institutions internationales par des activices de gouvernance sans s’attaquer réellement au nœud du problème. C’est face à cette situation qui menace l’avenir de notre nation que le mouvement Syndical s’est mobilisé à travers des sensibilisation de l’opinion publique et l’interpellation du gouvernement afin que la question de l’emploi et surtout des jeunes soit au cœur de notre politique de développement », a laissé entendre le SG dans sa déclaration.
Il faut noter que le thème de cette académie est : << L' Emploi des jeunes sur fond de la COVID-19 : Quelles stratégies Syndicales pour générer de nouveaux emplois décents?>> et son objectif général est d’accompagner les jeunes leaders syndicaux dans l’analyse de la problématique de l’employabilité et de l’emploie décent des jeunes par la compréhension du rôle et l’implication des organismes Syndicales dans la construction de la résilience post COVID-19 au Burkina Faso.
Pour le secrétaire général de la confédération syndicale burkinabè, Guy Olivier OUEDRAOGO, par ailleurs porte parole des centrales syndicales qui ont organisé cette Académie. Ce qui les réuni aujourd’hui est une académie des jeunes organisé par les centrales syndicales avec le soutien de la fondation Friedrich EBERT. C’est surtout sur l’ employabilité des jeunes car dans le pays, les jeunes représente le plus grand proportion. » Le problème d’emploi de ses jeunes est très important parce que ça conditionne aussi la stabilité de nos pays. Il faut noter que les objectifs sont surtout définit certains concepts avec eux , avec des échanges sur les problématiques et après ils seront à mesure de construire un plaidoyer qu’ils vont adressé au niveau du gouvernement pour soutenir sur l’emploi des jeunes », dit-il.
<< Les participants sont les syndicats professionnels, les centrales syndicales membres de la CSI/ Afrique >>, a laissé entendre le SG Général.
En ce qui concerne la coordonnatrice de projet Nouratou ZATTO, ce projet est basé à Cotonou pour le compte de la fondation Friedrich EBERT, qui est une fondation politique Allemande et qui travaille beaucoup avec les syndicats dans la perspective de renforcement de la démocratie dans les différents pays. Aussi pour que leur partenaire les syndicats puissent apporter les alternatives crédibles aux politiques publiques qui sont mis en œuvre dans les différents pays. Pour elle, ce qui a motivé leur appui, c’est d’abord qu’ils sont partenaire avec des syndicats mais que par rapport à cette académie spécialement le thème qui est consacré à l’emploi des jeunes sur fond de COVID-19, a amené certaines entreprises à faire des restructurations, a appelé et a procéder à des licenciements.
Elle affirme que La question de l’ employabilité des jeunes est une question très crutiale , une question d’actualité et une question sur la quelle on est obligé de se pencher quand on regarde le potentiel que constitue les jeunes dans les différents pays. Elle a ajouté qu’au Burkina environ 68% de la fiche de travail est jeune et leur attente en temps que fondation est de réussir à attirer beaucoup plus de jeune à se positionner sur ses thématiques d’enjeux et transversaux comme la question de l’emploi des jeunes, c’est d’arriver aussi à interpeller les leaders syndicaux pour
ce qui les associe de plus en plus dans l’élaboration des différents programmes de formation faite pour les jeunes.
En rappel, la 1ère édition s’est axé sur la protection sociale dans le mois de mai et cette fois ci sur l’emploi des jeunes.
Burkina Faso : 2è édition sur l’académie de l’employabilite des jeunes L’Académie Syndicale des jeunes FES-Centrales Syndicales du Burkina Faso a tenue sa 2è édition avec l’Appui de la fondation Friedrich EBERT ce lundi 22 au 25 novembre 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème […]
Actualité EnvironnementBurkina Faso : 2è édition sur l’académie de l’employabilite des jeunes
L’Académie Syndicale des jeunes FES-Centrales Syndicales du Burkina Faso a tenue sa 2è édition avec l’Appui de la fondation Friedrich EBERT ce lundi 22 au 25 novembre 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << L' emploi des jeunes sur fond de la COVID-19 : Qu'elles stratégies pour générer de nouveaux emplois décents >>, son objectif est d’ accompagner les jeunes leaders syndicaux dans l’analyse de la problématique de l’ employabilité et de l’emploi décent.
Au Burkina Faso, la problématique de l’emploi des jeunes demeure un grand défi de gouvernance dont le pays fait face dans la conception de la mise en œuvre de ses politiques de développement. C’est pour cela que les Syndicats se sont levés pour l’amélioration de conditions de vie de leur classe. Cette amélioration a permis de poser des base d’une classe moyenne dominante dans les pays industrialisés contribuant ainsi à la stabilité de la démocratie dans ses luttes.
« L’employabilité des jeunes est dû à l’absence de travail économique.Elle est source d’un chômage massif des jeunes dont l’une des conséquences est l’instabilité politique dans les pays que font semblant de résoudre certains pays occidentaux et institutions internationales par des activices de gouvernance sans s’attaquer réellement au nœud du problème. C’est face à cette situation qui menace l’avenir de notre nation que le mouvement Syndical s’est mobilisé à travers des sensibilisation de l’opinion publique et l’interpellation du gouvernement afin que la question de l’emploi et surtout des jeunes soit au cœur de notre politique de développement », a laissé entendre le SG dans sa déclaration.
Il faut noter que le thème de cette académie est : << L' Emploi des jeunes sur fond de la COVID-19 : Quelles stratégies Syndicales pour générer de nouveaux emplois décents?>> et son objectif général est d’accompagner les jeunes leaders syndicaux dans l’analyse de la problématique de l’employabilité et de l’emploie décent des jeunes par la compréhension du rôle et l’implication des organismes Syndicales dans la construction de la résilience post COVID-19 au Burkina Faso.
Pour le secrétaire général de la confédération syndicale burkinabè, Guy Olivier OUEDRAOGO, par ailleurs porte parole des centrales syndicales qui ont organisé cette Académie. Ce qui les réuni aujourd’hui est une académie des jeunes organisé par les centrales syndicales avec le soutien de la fondation Friedrich EBERT. C’est surtout sur l’ employabilité des jeunes car dans le pays, les jeunes représente le plus grand proportion. » Le problème d’emploi de ses jeunes est très important parce que ça conditionne aussi la stabilité de nos pays. Il faut noter que les objectifs sont surtout définit certains concepts avec eux , avec des échanges sur les problématiques et après ils seront à mesure de construire un plaidoyer qu’ils vont adressé au niveau du gouvernement pour soutenir sur l’emploi des jeunes », dit-il.
<< Les participants sont les syndicats professionnels, les centrales syndicales membres de la CSI/ Afrique >>, a laissé entendre le SG Général.
En ce qui concerne la coordonnatrice de projet Nouratou ZATTO, ce projet est basé à Cotonou pour le compte de la fondation Friedrich EBERT, qui est une fondation politique Allemande et qui travaille beaucoup avec les syndicats dans la perspective de renforcement de la démocratie dans les différents pays. Aussi pour que leur partenaire les syndicats puissent apporter les alternatives crédibles aux politiques publiques qui sont mis en œuvre dans les différents pays. Pour elle, ce qui a motivé leur appui, c’est d’abord qu’ils sont partenaire avec des syndicats mais que par rapport à cette académie spécialement le thème qui est consacré à l’emploi des jeunes sur fond de COVID-19, a amené certaines entreprises à faire des restructurations, a appelé et a procéder à des licenciements.
Elle affirme que La question de l’ employabilité des jeunes est une question très crutiale, une question d’actualité et une question sur la quelle on est obligé de se pencher quand on regarde le potentiel que constitue les jeunes dans les différents pays. Elle a ajouté qu’au Burkina environ 68% de la fiche de travail est jeune et leur attente en temps que fondation est de réussir à attirer beaucoup plus de jeune à se positionner sur ses thématiques d’enjeux et transversaux comme la question de l’emploi des jeunes, c’est d’arriver aussi à interpeller les leaders syndicaux pour
ce qui les associe de plus en plus dans l’élaboration des différents programmes de formation faite pour les jeunes.
En rappel, la 1ère édition s’est axé sur la protection sociale dans le mois de mai et cette fois ci sur l’emploi des jeunes.
Ouagadougou/Politique : le Parti Indépendant du Burkina soutien les Forces de Défense et de Sécurité Le Parti Indépendant du Burkina (PIB) a organisé un point de presse ce jeudi 25 novembre 2021 à Ouagadougou. L’ objectif de ce point de presse était de soutenir le […]
Non classéOuagadougou/Politique : le Parti Indépendant du Burkina soutien les Forces de Défense et de Sécurité
Le Parti Indépendant du Burkina (PIB) a organisé un point de presse ce jeudi 25 novembre 2021 à Ouagadougou. L’ objectif de ce point de presse était de soutenir le président Roch Marc Christian KABORE. Ce point de presse a été animé sous le leadership du président du parti, Maxime KABORE.
Depuis un certain temps, le Burkina Faso fait face à une dégradation sécuritaire. Face à cette situation barbare que mène les terroriste et endeuille cache jour les familles le PIB vous prend aujourd’hui à témoin pour informer l’opinion nationale que maintenant plus que jamais à l’unisson. En effet, « l’ histoire nous enseigne qu’un peuple Uni a toujours été un peuple vainqueur » a laissé entendre le président, Maxime KABORE dans sa déclaration.
Pour le PIB « Peuple uni, peuple vainqueur, la problématique sécuritaire actuelle questionne cette histoire qui dit que tous unis derrière les FDS, tous unis derrière le chef suprême des Armées, ils peuvent prendre le dessus sur les groupes terroristes. Cela pour dire que l’on a une seule nation, le Burkina Faso, une seule arme, l’unité nationale avec la contribution effective de tout les segments de la société burkinabè.
En ses moments difficiles, le PIB à travers sa conférence a lancé un appel <
En ce qui concerne la marche du 27 novembre 2021, les militants du PIB se démarque de cette marche. Pour le président l’heure n’est pas à une marche. <
En définitive, le PIB lance un appel de s’unir en frère pour vraincre le terrorisme au Burkina Faso.
Politique : l’APMP se démarque de la marche du 27 novembre L’Alliance des Parties et Formation Politique de la Majorité Présidentiel (APMP) a organisé une conférence avec les hommes de médias ce jeudi 27 novembre 2021 à Ouagadougou. L’ objectif de cette conférence était de […]
PolitiquePolitique : l’APMP se démarque de la marche du 27 novembre
L’Alliance des Parties et Formation Politique de la Majorité Présidentiel (APMP) a organisé une conférence avec les hommes de médias ce jeudi 27 novembre 2021 à Ouagadougou. L’ objectif de cette conférence était de se déplacer un appel à leur militants de ne pas aller marché et aussi proposer certaines solution sur la situation actuelle du pays. Ladite conférence a été animée sous le leadership du président de l’ APMP, par ailleurs président de l’Assemblée nationale, Alassane Bala SAKANDE.
Depuis un certain temps le Burkina Faso fait face à une crise sécuritaire qui prend de plus en plus de l’empleur. De Foulbé et à Inata, a Essakane , ainsi que dans les régions du Nord, du Centre-Nort, de la Boucle du Mouhoun , des Cascades, de l’Est et dans le Grand Ouest, les groupes terroristes multiplient les incursion meurtrière sur le territoire burkinabè faisant ainsi de nombreuses victimes aussi bien au sein des populations civiles que dans les rangs des forces de Défense et de Sécurité (FDS) et de ceux des volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP).
En ce qui concerne le drame d’Inata, il a plongé la nation toute entière dans l’indignation, l’émotion et interrogation. Face à celà l’APMP a présenté ses condoléances aux familles éplorées et a souhaité un prompt rétablissement aux blessés.
En plus de cela, << L' APMP a félicité et à encourager les FDS ainsi que les VDP pour le travail abattu et les efforts considérables qu'ils continuent de consentir souvent au péril de leurs vies pour préserver l'intégrité du territoire et sécuriser les populations>>, a affirmé le président de l’APMP, Alassane Bala SAKANDE.
Pour ce qui est la question de l’ordinaire, la nourriture a un moment à fait défaut au sein du détachement de la gendarmerie malgré les alertes de son commandant. L’ APMP exige toute la lumière sur ce grave manquement pour d’une part en situer les responsabilités et d’autres part tirer tout les enseignements afin d’éviter pour toujours pareil situation.
Pour la marche du 27 novembre, le président du parti affirme :<< L'heure n'est plus à la marche>>. Il a d’ailleurs lancé en appel à tous les burkinabè de s’unir main dans la main pour vaincre le terrorisme.
Il faut noter que des dispositions urgentes ont été déjà prise par le Chef de l’état , Son Excellence Roch Marc Christian KABORE, à savoir la mise en place d’une commission d’enquête administrative pour situé les responsables et à souhaiter que les travaux de cette commission soit diligenté.
Ouagadougou/Politique : le Mouvement pour la Démocratie et le Vivre Ensemble soutien Roch Marc Christian KABORE Le Mouvement pour la Démocratie et le Vivre en Ensemble (MDVE) à organisé une cérémonie ce jeudi 25 novembre 2021 à Ouagadougou. L’ objectif principal de cette cérémonie est […]
PolitiqueOuagadougou/Politique : le Mouvement pour la Démocratie et le Vivre Ensemble soutien Roch Marc Christian KABORE
Le Mouvement pour la Démocratie et le Vivre en Ensemble (MDVE) à organisé une cérémonie ce jeudi 25 novembre 2021 à Ouagadougou. L’ objectif principal de cette cérémonie est de soutenir le président du Faso Roch Marc Christian KABORE et aussi sensibiliser leur compatriote à rester vigilants sur la situation actuelle. Ladite cérémonie a été animée sous le leadership du président du parti, Ousseini Faisal NANEMA.
Depuis longtemps, le Burkina Faso est confronté à des problèmes sécuritaire. La violence aveuglé perpétrée par des hommes sans foi ni loi montre en puissance. De nombreux jeunes militaires, gendarmes, policiers et de braves VDP ont été arraché très tôt à l’affectation de leurs familles et de leurs collègues laissant des veuves et des orphelins inconsolable.
« Les burkinabè sont stressés et fatigués par ce désastre sécuritaire au point que les manifestations ont eu lieu ces derniers temps. Certains de nos compatriotes vont jusqu’à demandé la démission du président du Faso, son Excellence Roch Marc Christian KABORE », a laissé entendre le président Faisal NANEMA dans sa déclaration.
Il faut retenir que les objectifs des groupes armés sont non seulement de semer la peur et la panique au sein de la population mais aussi mettre en mal la cohésion sociale.
C’est face à la dégradation sécuritaire que le Mouvement pour la Démocratie et le Vivre Ensemble ( MDVE ) a initié une cérémonie pour d’une part sensibiliser leur compatriotes à rester vigilant et à ne pas céder aux démons de la division en mettant en péril leur vivre ensemble et d’autre part lancer un message à soutenir le chef de l’état.
En ce qui concerne le président du Mouvement pour la Démocratie et le Vivre Ensemble, il a organisé cette cérémonie pour soutenir le président de Faso dans tous ses activités. Dans un pays où ya le terrorisme la solution n’est pas la démission du président. D’après Ousseini Faisal NANEMA, notre pays est devenu ‘un des rare pays democrate en Afrique. Il affirme qu’il appelle tout les Burkinabè à l’union sacrée, à s’unir au côté du président Roch Marc Christian KABORE pour vaincre le terrorisme et que notre democratie puisse avancer pour que la paix revienne au Burkina>> dit-il.
En ce qui concerne la marche du 27 novembre, Faisal NANEMA souteint que nous sommes dans un pays démocrate et tout le monde a le droit de s’exprimer mais qu’il demande de s’exprimer dans les règles de l’art car nous sommes dans un pays de démocratie. Il demande en plus de suivre les principes de la démocratie. » Nous on a organisé notre cérémonie pour soutenir le président mais d’autres peuvent ne pas soutenir le président mais ils peuvent organisé sans violence. Aucun sang d’un burkinabè ne doit plus coulé pour des faits politique » a t’il souligné.
En rappel, le MDVE lance un appel à toute la classe politique à l’armée dans toute sa composante aux organisations religieux et coutumiers à la jeunesse à faire une lecture sans passion et sans complaisance de la situation nationale afin de ne pas tomber dans l’hydre terroriste.
Le Congrès pour la Renaissance et le Progrès se démarque de la marche illégale du 27 novembre. C’est au cours d’une rencontre du Bureau exécutif National du CRP que Valentin Ouedraogo, 1er vice président chargé des questions politiques et El Hadji Koala Madi Lawal, 9e […]
Actualité PolitiqueLe Congrès pour la Renaissance et le Progrès se démarque de la marche illégale du 27 novembre. C’est au cours d’une rencontre du Bureau exécutif National du CRP que Valentin Ouedraogo, 1er vice président chargé des questions politiques et El Hadji Koala Madi Lawal, 9e vice président chargé des questions religieuses et coutumières ont bien voulu porter le message à ses militants.
Le CRP lors de la rencontre de son bureau exécutif a exprimé une pensée à toutes les familles endeuillées par la crise sécuritaire. Le bureau exécutif du CRP au regard de la situation Nationale a bien voulu se réunir pour donner l’information aux responsables qui doivent relayer ses informations au niveau des bases.
Pour le 1er vice président du CRP, Valentin Ouedraogo, face à la crise sécuritaire nous devons être serein. « Nous sommes un parti de la majorité présidentielle et nous avons notre attitude à adopter au regard des manifestations à l’horizon. Le CRP a soutenu le programme de Roch Marc Christian Kaboré et il est légitime de soutenir les FDS. Nous devons être unis dans la crise sécuritaire », a laissé entendre le 1er vice président du CRP.
Selon le 3e vice président chargé des questions religieuses et coutumières, El Hadji Koala Madi Lawal, concernant la marche du 27 novembre, il faut que les militants du CRP sache que nous soutenons le président du Faso.
» Nous invitons nos militants à se démarquer de la marche parce que nous jugeons que le moment n’est pas propice nous pleurons la mort de nos FDS », affirme El Hadji Koala Madi Lawal.
Du reste, le CRP dans sa démarche républicaine invite ses militants à rester en marge de la marche du 27, jugé illégale.
Compte rendu de Sanfo Minata
Le Syndicat national des agents des Finances (SYNAFI) a procédé à la cérémonie officielle d’ouverture du deuxième congrès Ordinaire ce vendredi 19 novembre 2021 à Ouagadougou. C’est un congrès qui tiendra jusqu’au 20 novembre prochain. L’objectif de ce congrès est le renouvellement du bureau dudit […]
Non classéLe Syndicat national des agents des Finances (SYNAFI) a procédé à la cérémonie officielle d’ouverture du deuxième congrès Ordinaire ce vendredi 19 novembre 2021 à Ouagadougou. C’est un congrès qui tiendra jusqu’au 20 novembre prochain. L’objectif de ce congrès est le renouvellement du bureau dudit syndicat. Ladite cérémonie d’ouverture s’est tenue sous le leadership du président sortant du Syndicat, Mohamed SAVADOGO et du SG de la CGT-B, Bassolma BAZIE.
Le deuxième congrès du SYNAFI se tient dans un contexte marqué par l’insécurité. Pour, le secrétaire général du SYNAFI, Mohamed Savadogo, le pays est assiégé au regard des nombreuses attaques qui sévissent le Burkina Faso. Il ajoute que le thème de ce congrès, «Face à la remise en cause des acquis démocratiques et syndicaux, à l’aggravation de la crise sociale et de la sécuritaire au Burkina Faso, travailleurs du ministère de l’économie, des finances et du développement, organisons-nous et renforçons le SYNAFI pour : contribuer à l’amélioration de nos conditions de vie et de travail ; perfectionner notre expertise dans le domaine des finances publiques ; apporter notre soutien à toute lutte de libération définitive de notre pays ; renforcer le pôle du syndicalisme révolutionnaire. Ensemble dans la solidarité et dans l’unité d’action pour la défense des intérêts matériels et moraux, armons-nous dans la détermination dans la lutte pour la bonne gouvernance et l’avènement d’une démocratie véritable», au-delà de sa pertinence, est d’actualité. Pour lui, il intervient dans un contexte international marqué par l’aggravation de la crise du système capitaliste «oppresseur des masses populaires». « Sur le plan international, la faillite de ce système se caractérise par la montée des forces radicales fascistes dans les métropoles impérialistes, des guerres de rapine et des guerres réactionnaires d’occupation de territoire ou de pays. Toute chose qui entraîne, un état de misère de la classe ouvrière et des peuples du monde », a laissé entendre le SG.
Il convient de noter que c’est autour de ce thème que se tiendra pendant 72h, les travaux du 2e congrès Ordinaire du SYNAFI qui regroupe plus d’une centaine de participants venus de toutes les régions du pays.
Au Ministère de l’Economie des Finances et du Développement (MINEFID), le SG du SYNAFI a dit relever une accalmie depuis l’arrivée du ministre Lassané KABORE et qui est selon lui, la résultante de l’instauration d’un dialogue permanent avec la coordination des syndicats du ministère en charge de l’économie et des finances (CS-MEF).
« Nous profitons de cette tribune pour une fois de plus exhorter le Ministre à toujours entretenir ce dialogue afin de nous éviter les périodes sombres sous l’ère de « l’oiseau rare » dont je ferai l’économie de citer le nom» a-t-il souhaité avant de demandé que les activités du présent congrès aboutissent à des meilleurs conclusions pour l’avancée du syndicat et la préservation des acquis de la lutte.
Le secrétaire général de la Confédération générale des Travailleurs du Burkina (CGT-B), Bassolma Bazié, présent aux côtés des congressistes, a tenu à saluer la détermination et l’engagement de tous les syndicalistes luttant pour de meilleures conditions de vie en faveur du peuple. » Je vous invite à accentuer davantage cette lutte salvatrice, seule alternative d’un véritable changement en faveur du peuple », a soutenu Bassolma Bazié.
Crise sécuritaire : L’ Association Citoyen du Faso se prononce sur la situation actuelle L’association des citoyen du Faso ont organisé un déjeuner de presse ce jeudi 18 novembre 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème :
ActualitéCrise sécuritaire : L’ Association Citoyen du Faso se prononce sur la situation actuelle
L’association des citoyen du Faso ont organisé un déjeuner de presse ce jeudi 18 novembre 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << Terrorisme et chômage" Crise sécuritaire : contribution de l'association Citoyen du Faso dans la résolution", ce déjeuner a été animée sous le leadership du président de l'association Abdoul M RABO. Depuis 2016, le Burkina Faso est confronté à une crise sévère et multiformes d'une grande complexité due aux activités croissante de groupe armés. En effet, la crise sécuritaire a atteint la quasi-totalité du territoire burkinabè occasionnant une vague importante de déplacé internes. Les besoins humanitaires des personnes déplacées internes restent une préoccupation pour les autorités du pays. La problématique du chômage est cruciale dans notre pays le taux ne fait qu'augmenter d'année en année. << Pour nous, le manque d'emploi est une des principales causes du terrorisme au Burkina Faso. Le chômage est un phénomène social qui augmente sans cesse notamment dans la population jeune et touche toutes les catégories de la société sans exception aussi bien chez les universitaires, que ceux dépourvus de diplôme et les jeunes ruraux >> laissé entendre le président/ CIFA Abdoul M. RABO dans sa déclaration.
Par ailleurs, il ajoute que depuis quelques jours qu’il assiste à des marches dans certaines villes du pays demandant le départ de l’armée française et celui du président Roch Marc Christian KABORE. En cela, le président a rappelé que le Burkina Faso est un pays de droit et de liberté, que tout citoyen a donc droit de montrer son mécontentement. » Les burkinabè ne ne doivent pas se tromper de cible et demander le départ du président Roch car nous serons toujours dans un perpétuel recommencement » a t-il dit.
Par ailleurs, l’association citoyen du Faso interpelle sur sa mission régalienne qui est de sécuriser tout les Burkinabè et d’avoir un peut d’audace dans les prises de décisions au niveau de la hiérarchie militaire afin de venir à bout du terrorisme. En plus, il demande à l’Etat la création des aérodromes dans toute les zones touchées par le terrorisme.
Du reste, l’association Citoyen du Faso est une organisation de la société civile qui se bat contre le chômage des jeunes.