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Actualité HabitatLe maire de la commune rurale de Komsilga et ses conseillers ont organisé une conférence avec les hommes de media ce mercredi 11 août 2021 dans la commune de Komsilga. Cette conférence est relative aux déguerpissement de 71 ménages de leur terrain d’habitation à Tingandogo.
En effet, tout est parti d’un projet de lotissement d’une trame d’accueil entrepris en 2009 par la SONATURE à la demande du ministère de la santé et ce, dans le de la construction du centre Hospitalier de Universitaire de Tingandogo. Après le morcellement et le bornage de la zone réservée à la trame d’accueil qui a abouti à l’attribution de terrains à usage d’habitation attribués à environ 3998 personnes.
Hamidou Tamboura, détenteur d’un arrêté d’attribution du 31 décembre 2007, s’est présenté auprès de l’ administration communale pour signifier qu’il détenait un titre de propriété sur une portion de ladite zone. Après plusieurs démarche, le problème demeurerait toujours.
Face à cela, pour protéger l’intérêt des 71 ménages qui occupaient le terrain de monsieur Tamboura, monsieur Issouf NIKIEMA, le maire de la commune de Komsilga lui a fait des propositions de dédommagement qui lui ont été transmise par lettre du 26 juin 2021à savoir, l’attribution d’un terrain destiné à un lieu de culte d’une superficie de 1300m2 ;
Attribution d’une réserve foncière d’une superficie de 2600 m2;
Attribution d’une réserve foncière à Kieryaoghin d’une superficie de 2000 m2;
Attribution de 5 zones commerciales à Kieryaoghin d’ une superficie d’environ 375 m2 chacune soit plus de 1500 m2.
« J’ai rassuré les 71 ménages qu’un compromis avait été trouvé et qui il ne devrait plus s’inquiéter », a affirmé le maire.
Quel ne fut son étonnement lorsque le 7 août 2021, contre toute attente, les ménages des 71 attributaires ont été réveillé par les bruits de bottes de la CRS leur signifiant par voie d’huissier la mise en exécution de l’intention dissimuler de monsieur Tamboura, intimant l’ordre à ceux-ci de déguerpir de leur logis dans un délai de huit jours. » Jusqu’à ce jour, mes services n’ ont reçu aucune réponse de monsieur Tamboura signalant son acceptation ou son refus des propositions à lui faites », a affirmé monsieur NIKIEMA.
Du reste, durant le déroulement de l’affaire, Issouf NIKIEMA, le maire de la commune de Komsilga, à fait des démarches pour privilégier le règlement du différents dans un climat d’apaisement. A titre illustratif on peut citer entre autres les échanges avec des représentants des habitants de Tingandogo concernés par la mesure de déguerpir dans le cadre de la résolution amiable de l’affaire, la rencontre avec le président de ‘ l AN, ainsi que le Ministre de l’État chargé de la réconciliation, la rencontre avec sa Majesté le Mogho Naaba Baongo.
Les membres de l’Ordre national des pharmaciens du Burkina Faso ont organisé ce mardi 10 août 2021 un déjeuner presse à Ouagadougou. L’ objectif de ce déjeuner était d’une part aborder le fonctionnement des officines de la ville de Ouagadougou et d’autres Part la contribution […]
Actualité santéLes membres de l’Ordre national des pharmaciens du Burkina Faso ont organisé ce mardi 10 août 2021 un déjeuner presse à Ouagadougou. L’ objectif de ce déjeuner était d’une part aborder le fonctionnement des officines de la ville de Ouagadougou et d’autres Part la contribution des pharmaciens de la région ordinale à la riposte contre la pandémie de la COVID-19. Ce déjeuner a été animée sous le leadership du président de l’ Ordre des pharmaciens, Docteur Nao Nébié.
L’officine est un lieu où l’on peut se procurer des médicaments et recevoir une information fiable sur la façon de les utiliser, c’est également un endroit facile d’accès où l’on peut demander conseil sur un problème de santé.
En effet, de façon générale, les officines pharmaceutiques sont au nombre de 220 et 180 dans la ville de Ouagadougou. Il faut retenir que le Conseil Régional a reparti ces officines en 11 onze zones officinales selon des critères géographiques de proximité dirigé par un bureau de trois personnes qui assurent un suivi de proximité.
« Sachez qu’une officine n’est pas un commerce comme les autres, son fonctionnement est encadré par des textes réglementaires et déontologiques. Elles sont ouvertes généralement de 8h à 20h en continue avec un service de garde organisé en tenant compte du maillage officinale de la ville de Ouagadougou ». << Nous avons en moyenne 45 à 50 officines par groupe de garde, a affirmé le président de l’ordre des pharmaciens, Nao Nébié.
En ce qui concerne la région ordinale du centre, c’est une des trois régions qui compte l’ordre national des pharmaciens du Burkina. Elle s’étend sur cinq régions à savoir, le région du Centre,du Centre Ouest, du Centre Sud, du Plateau Centrale et du Nord. Cette région regroupe près de 60% des pharmaciens inscrits à l’ ordre et des structures pharmaceutiques du pays.
D’ ailleurs, l’année 2020 a été marquée par la pandémie de la COVID-19 qui a touché tous les secteurs en particulier le secteur pharmaceutique. Face à cela, pour contribuer à la riposte contre la COVID-19 les pharmaciens de la région ordinale ont rencontrés des difficultés et des contraintes. Cette contribution à porté sur tous les domaines a savoir la coordination de la riposte, la communication, la surveillance et point d’entrée, la prise en charge des cas et la gestion logistique.
Au niveau de la coordination de la riposte, l’ordre des pharmaciens a mis en place une cellule de gestion de la crise dès les premières heures, ils élaboraient des notes et directives à l’attention des pharmaciens d’officines. Il faut noter que tout ces contributions ne s’est pas passé sans difficultés.
Le président de l’ordre des pharmaciens à affirmé : » Nous avons été confrontés à une rupture massives des consommables pour la lutte contre la COVID-19 avec pour effet collatéral une surenchère des prix auprès des fournisseurs et occasionnait des plaintes, des critiques même des ressentiments anti pharmaciens au sein d’une partie de la communauté ».
En rappel, l’ Ordre national des pharmaciens célèbre du 30 septembre au 2 octobre 2021 son 20 eme anniversaire à une haute idée de son rôle de régulateur de l’exercice de la profession de pharmacien.
Ziniare, chef lieu de la région du plateau central a abrité samedi 7 Août, la célébration nationale de l’édition 2021 de la JNA. Après avoir planté un baobab, le Président du Faso Roch Marc Christian KABORE, a engagé chaque région, les institutions et les […]
Actualité Environnement
Ziniare, chef lieu de la région du plateau central a abrité samedi 7 Août, la célébration nationale de l’édition 2021 de la JNA. Après avoir planté un baobab, le Président du Faso Roch Marc Christian KABORE, a engagé chaque région, les institutions et les populations à suivre son exemple.
Cet appel du Chef de l’État est immédiatement suivi. Les différentes régions du Burkina avec à leurs têtes les gouverneurs de régions, sont en action. Sous la direction technique des Directeurs régionaux du Ministère de l’environnement de l’économie verte et du changement climatique, chaque région met en terre au moins 3000 plants.
C’est le cas des régions du Centre-Ouest, du Nord, des Cascades, du Sahel et des Hauts-Bassins qui ont déjà organisé la journée nationale de l’arbre dans leurs régions.
En rappel, pour la présente campagne de reforestation, l’objectif ‘est de planter 10 millions de plants.
DCPM/ MEEVCC
Le Maire de la ville de Ouagadougou Monsieur #Armand_Roland_Pierre_BEOUINDÉ a procédé ce 09 août au lancement des travaux du Projet d’Aménagement et de Bitumage des Voies Urbaines dans la ville de Ouagadougou (PAVO). Ce projet va énormément contribuer à l’amélioration de la fluidité du trafic […]
Actualité Sécurité routièreLe Maire de la ville de Ouagadougou Monsieur #Armand_Roland_Pierre_BEOUINDÉ a procédé ce 09 août au lancement des travaux du Projet d’Aménagement et de Bitumage des Voies Urbaines dans la ville de Ouagadougou (PAVO). Ce projet va énormément contribuer à l’amélioration de la fluidité du trafic urbain, du confort et de la sécurité des usagers dans la ville, à travers le renforcement des infrastructures routières.
Les travaux vont permettre de réaliser 2,5 km de voie bitumée à l’arrondissement N°6 et 5,5 km à l’arrondissement N°5. Des trottoirs, des caniveaux, des aires de stationnement et des exutoires seront réalisés de part et d’autre des voies avec de l’éclaire public. Ces travaux interviennent après les études sur la réalisation de 145 km de voiries et de 340 km d’assainissement.
D’un coût global de 21 milliards de FCFA, les travaux seront exécuté par la commune de Ouagadougou à travers l’Agence Municipale des Grands Travaux (AMGT). Le financement est assuré par la commune de Ouagadougou, le gouvernement du Burkina Faso et la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD).
Le délai d’exécution des travaux est de 18 mois.
DCRP/CO
La Fédération des Associations Islamique du Burkina (FAIB) a lancé officiellement son 2e congrès ordinaire ce samedi 07 août 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << Quelles réformes organisationnelles et institutionnelles pour une FAIB plus forte ?>>, Ce congrès a été placé sous […]
Actualité SociétéLa Fédération des Associations Islamique du Burkina (FAIB) a lancé officiellement son 2e congrès ordinaire ce samedi 07 août 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << Quelles réformes organisationnelles et institutionnelles pour une FAIB plus forte ?>>, Ce congrès a été placé sous le haut patronage de son excellence le président du Faso, Roch Marc Christian KABORE.
Ce 2e congrès ordinaire de la FAIB lancé officiellement du 6 au 8 août à Ouagadougou, a pour but de faire le bilan de ses 4 années d’exercice et tracer les lignes pour les 4 années à venir. Il faut noter, que lors de la cérémonie d’ouverture de ces deux jours de congés, le secrétaire exécutif national de la Fédération des Associations Islamique du Burkina, Cheik Sidi Mohamed Koné à cité les différentes articulations de la rencontre. Il affirme, << C’est le moment pour nous de faire une halte pour faire le bilan des 4 années et en même temps réfléchir sur les perspectives et défis des années à venir>>.
En ce qui concerne le président de la FAIB, EL Hadj Oumarou Zoungrana, le bilan des 4 années est satisfaisant au regard de la participation de la fédération sur un certain nombre de questions importantes du pays.
Il ajoute que la FAIB a participé à l’ organisation des élections apaisées au Burkina Faso. » Nous avons mis en place une stratégie de lutte contre la radicalisation, le COVID-19. En plus, nous avons lutté pour la prise en compte des préoccupations musulmanes dans les grandes lignes gouvernementale, la FAIB est devenu un lien principal entre le gouvernement et la communauté islamique », a-t-il soutenu.
Cependant, il ajoute que des difficultés restes à relever et au cours de ces 48 h, environ 600 congressistes seront en réflexion pour trouver des propositions concrètes à ces insuffisances et réfléchir à comment organiser leur faîtière afin d’essayer de la décentraliser et trouver comment devenir financièrement indépendante.
<< La présente cérémonie est l’occasion pour nous de condamner les attaques terroristes. L’ islam est une religion de paix et de la vie humaine, donc contraire à ces agissements. J’aimerais ajouter que la paix ne saurait être une réalité au Burkina sans un dialogue franc et une réconciliation sincère. C’est pourquoi nous exhortons les autorités à en faire un cheval de bataille >>, a-t-il affirmé.
En ce qui concerne le président d’honneur, Alasane Bala SAKANDE, président de l’Assemblée nationale, il a tenu à clarifier en ses termes la situation sur les bruits qui courent autour de l’implication du gouvernement dans les actions de la FAIB. Il soutient : « Nous sommes en État laïc mais cela ne signifie pas que nous sommes un État en absence de religion, ce n’est pas la première fois que des autorités se déplacent chez des coutumiers ou chez d’autres religions. Nous voulons que la population se ressaisisse. Nous sommes un peuple composé de plusieurs religion et nous devions travailler pour partager ce vivre ensemble », dit t’il.
L’Union pour la Renaissance/ Parti Sankariste (UNIR/PS) a organisé une conférence de presse ce mercredi 04 août 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de signer un protocole de fusion entre le Mouvement Patriotique pour le Salut (MPS) de Isac Zida et l’UNIR /PS […]
Actualité PolitiqueL’Union pour la Renaissance/ Parti Sankariste (UNIR/PS) a organisé une conférence de presse ce mercredi 04 août 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de signer un protocole de fusion entre le Mouvement Patriotique pour le Salut (MPS) de Isac Zida et l’UNIR /PS de Me Bénéwendé Sankara. Ladite cérémonie a été animée sous le leadership du président de l’ Union pour la Renaissance/Parti Sankariste, maître Benewendé Stanislas SANKARA.
Le Mouvement Patriotique pour le Salut (MPS) et l’ Union pour la Renaissance/Parti Sankariste (UNIR/PS), sont tous deux des partis progressistes d’obédience Sankariste et leur fusion permettra de renforcer les forces Sankaristes en général. Ces deux partis sont encore tous des partis membres de la majorité présidentielle et soutiennent le programme du président Roch Marc Christian KABORE.
En effet, les partis politiques MPS et UNIR/PS ont convenu après la signature de ce protocole s’engager à la fusion de leur parti pour créer un nouveau parti. Il faut noter qu’un congrès constitutif consacrera judiciairement la fusion des partis et scellera la création du nouveau parti.
La vice président du Mouvement Patriotique pour le Salut ( MPS), Dr Rosa Drabo à recommander que chaque parti politique s’engage au respect strict des dispositions du protocole accepté dans le cadre de la présente démarche de fusion.
Il faut retenir que la commission est composé de dix (10) membres soient 05 membres par parti, sous la supervision des deux présidents de partis.
Du reste, le président de l’ UNIR/PS a affirmé qu’ils ont décidé de fédérer leur force et qu’ils appellent les forces progressistes à les rejoindre. » A partir d’aujourd’hui, l’UNIR/PS et le MPS s’unissent pour le meilleur et pour le pire », dixit Me Bénéwendé Sankara.
Le ministère de l’industrie du commerce et de l’artisanat a procédé à la cérémonie du dévoilement du label beurre de karité ce mardi 03 août 2021 à Ouagadougou. Ce label vient garantir et assurer la qualité du beurre de karité made in Burkina. Ladite cérémonie […]
Actualité SociétéLe ministère de l’industrie du commerce et de l’artisanat a procédé à la cérémonie du dévoilement du label beurre de karité ce mardi 03 août 2021 à Ouagadougou. Ce label vient garantir et assurer la qualité du beurre de karité made in Burkina. Ladite cérémonie a été animée sous le leadership du ministre de l’industrie du commerce et de l’artisanat, Harouna Kaboré et le président de la filière karité, Stéphane Guigma.
La filière karité joue un rôle important dans l’économie des ménages et dans l’économie nationale. En effet, selon les statistiques, elle constitue le quatrième produits d’exportations après l’or le coton et la filière bétail/ viande. Elle constitue un grand pourvoyeur d’emplois et de richesse.
Il faut noter que cette filière a été identifiée comme une filière porteuse par différents référentiels nationaux de développement du pays tels que l’Etude Diagnostique d’Intégration au commerce (EDIC),la Stratégie Nationale d’ Exportations, la Stratégie de Développement des produits Forestiers Non Ligneux (SDPFNL) ainsi que le nouveau Référentiel National de Développement (RDN).
Selon les statistiques de l’ITC et de l’ APEX-BF, le marché mondial du beurre de karité toute catégorie confondues représente environ 28,4 milliards de dollars pour un volume d’environ deux millions de tonnes. Le Burkina Faso exporte en moyenne 15 000 tonnes de beurre de karité par an soit une part de marché au niveau international estimé à moins de 1 % . Il faut aussi noter que le Burkina Faso importe des produits cosmétiques à plus de 04 milliards de francs CFA par an.
C’est dans cette dynamique que le gouvernement du Burkina Faso à travers le ministère de l’industrie du commerce et de l’artisanat ont entrepris la labellisation des produits du beurre de karité dénommé : << or blanc des femmes >>, afin de rassurer au consommateur sur la qualité que sur le volume des produits. Aussi pour améliorer la compétitivité et des entreprises intervenant dans la filière de karité afin d’assurer leur suivie voire accroitre leurs parts de marché dans les échanges mondiaux.
Cette initiative entre dans un cadre global de promotion et de valorisation des produits du terroir à travers la mise en œuvre du projet pilote de labellisation de produits du terroir Burkinabè que sont le pagne tissé Faso Dan Fani (FDF), le Chapeau de Saponé, les produits de cuirs et peaux de Kaya et le beurre de karité, le Koko Dunda. D’ ailleurs, la mise en place d’ un label qui est un gage de qualité et de confiance permettra d’ accroître la demande en produits du karité, favorisant ainsi la création d’emplois.
Pour le ministre en charge du commerce, la question de l’exportation des produits, la question de valorisation des produits, la question de la qualité des produits et la question des filières porteuses, sont des éléments essentiels sur lesquels ils vont s’appuyé pour montrer que les produits sont de qualités. Il affirme : » un label est un outil de démarcation de notre produit. Quand on impose un label, c’est pour que les gens voient une certaine forme de qualité qui est contrôlé régulièrement ».
Du reste, le président de filière karité et le ministre en charge du commerce ont remercié et féliciter tous les acteurs qui se sont impliqués pour que ce projet connaisse une avancée significative.
L’ association des résidents de Ouaga 2000 Sud a organisé une conférence avec les hommes de médias ce samedi 31 juillet 2021 à Ouagadougou. L’ objectif de cette conférence était d’interpeller les autorités compétentes sur le non respect des cahiers de charges dans la partie […]
Actualité HabitatL’ association des résidents de Ouaga 2000 Sud a organisé une conférence avec les hommes de médias ce samedi 31 juillet 2021 à Ouagadougou. L’ objectif de cette conférence était d’interpeller les autorités compétentes sur le non respect des cahiers de charges dans la partie extension Sud de Ouaga 2000. Ladite conférence a été animée sous le leadership du vice président de ADO 55, Constant Kaboré et en présence des membres résidents de l’ extension Sud de Ouaga 2000.
Les résidents de l’ extension Sud de Ouaga 2000 rencontrent quelques difficultés avec la SONATURE avec qui ils ont acquérir des parcelles vendus sur documents et comme étant des parcelles viabilisés depuis 2009. Et jusqu’à ce jour, ils ont constaté que le volet électrification n’est toujours pas d’actualité.
Cependant, c’est avec une profonde déception qu’ils ce sont rendu compte lors de la mise en valeur de leur parcelles qu’aucune des conditions générales de vente à savoir : l’électricité, l’eau courante et l’assainissement de ladite zone à travers notamment la construction des caniveaux, n’avaient été respecté. En outre, les routes en terre réalisées dans cette zone sont à une côte inférieur à ce qui devrait être exécuté, rendant une partie de la zone inondable en période de pluie et dégradant par ailleurs une partie des voies et des parcelles mise en valeur.
Au regard de l’inaction de la SONATURE, un collectif s’est créé en 2018 et a décidé d’intenter une action de masse afin de rentrer dans leur droit. A l’issue de cette rencontre, les dispositions d’urgence portaient sur l’électrification de la zone, et le raccordement au réseau en eau potable. Il faut noter que jusqu’à présent l’électrification de la zone qui était censé se faire rapidement ne l’est pas encore. Les divers interpellation ont permis d’adjuger les marchés à deux entreprises à savoir, COGEA INTERNATIONAL et SOCORITRA. C’est d’ailleurs lors d’une rencontre tenue en début juin 2020 avec association des résidents ( ADO, 55) que la SONATURE avait informé les résidents des attributions. Il faut retenir que, le délai d’exécution était de 8 mois. En d’autres termes, la zone était censé être branché au plus tard en fin février 2021.
Pour le PDG de COGEA INTERNATIONAL, Lamine
YAOLIRE, ils ont constaté jusqu’au 02 septembre qu’il y’avait des documents qui ne validait pas. Dont qu’ils étaient obligé d’interpeller la SONATURE pour voir. Parce que si le dossier n’est pas validé il est difficile de travailler.
« Le contrat étant suspendu le 03 septembre, pour la validation du dossier d’exécution c’est jusqu’au 03 août qu’ils ont donné l’autorisation pour redémarrer les travaux c’est à dire un ans. Le travail consistait à trouver des potos disponibles les implémenter sur le terrain et tiré les câbles et après la sonabel fera les branchements à leur niveau. La deuxième difficultés est le redémarrage des potos béton qui demande que la sonabel fasse chaque fois des validation avant l’autorisation du travail », a affirmé le PDG de COGEA.
En ce qui concerne un résident de ce lieu, Harouna Kindo, cette conférence de ce matin, c’est pour attirer l’attention des dirigeants sur le minimum pour pouvoir favoriser la vie des populations. Il affirme : << Vous imaginez que nous sommes dans une zone dite Ouaga 2000, les parcelles sont très coûteux. Nous avons acquis nos parcelles depuis 2009 et plus de 10 ans après il n’ y a pas le minimum ( eau, électricité, voix d’accès). A travers nos cris de cœur, nos interpellation nos rencontres rien n’est fait . Si dans les meilleurs délais nous n’avons pas de solution nous allons prendre des mesures très forte pour nous faire entendre. Si une structure comme la SONATURE ne peut pas faire son travail, nous allons l’ amené à faire son travail >>.
Du reste, la situation devient insoutenable, l’association des résidents de Ouaga 2000, extension Sud, interpelle les différents acteurs, l’autorité de tutelle, la présidence du Faso, la SONATURE et la SONABEL de prendre en main leur problème afin qu’une solution rapide soit trouvée.
L’ Association des Professionnels de Musée du Burkina Faso (APMBF) a clôturé son atelier de renforcement des capacités des acteurs et actrices de Musée ce vendredi 30 juillet 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << Quels musée pour le Burkina Faso>>, a été […]
Actualité CultureL’ Association des Professionnels de Musée du Burkina Faso (APMBF) a clôturé son atelier de renforcement des capacités des acteurs et actrices de Musée ce vendredi 30 juillet 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << Quels musée pour le Burkina Faso>>, a été organisé du 29 au 30 juillet sous le parrainage de l’ Honorable depuis, Juliette CONGO.
Les deux jours consacrés à la réflexion sur quel musée pour le Burkina Faso à été une occasion de renforcement des capacités des acteurs /actrices des musées du Burkina Faso organisé par l’association des professionnels du musée.
Pour le Directeur Général du tourisme, Abdoulaye Diomi, c’est vraiment une occasion à féliciter les musées constitue une institution très important pour la sauvegarde du patrimoine culturel. Il ya eu un certain nombre de recommandation qui ont été formulée et qu’ils ont pris bon note et qu’ils ont promis à l’association que ces doléances seront transmises à l’autorité et à qui de droit pour trouver des solutions.
En ce qui concerne la marraine de cet atelier elle affirme : << les doivent s’intéresser au musée, l’objet en tant que tel a de la valeur. Il faut tenir compte de l’action mondialisation car nous sommes dans un monde très ouverts aujourd’hui. Nous devons travailler à rendre les musées pour que les gens aient envie de les visiter >>.
Cet atelier a été aussi une occasion pour plusieurs experts venus des musées du public et du privé pour partager des expériences et réfléchir beaucoup sur le thème cité. Il faut noter qu’une table ronde a été organisé pour planter le décor et à issue de cette table ronde ils ont eu une conférence sur le thème du processus de définition de musée proposé par la présidente de cette décision. A la suite de cette table ronde il ya eu panel pour le titre muséal au Burkina Faso.
L’écrivain Touwindé Simon TARNAGDA a procédé à la dédicace de son œuvre intitulée « Noms et prénoms bissa, Un patrimoine culturel précieux menacé », ce vendredi 30 juillet 2021 à Ouagadougou. Une œuvre publiée aux éditions Céprodif qui se veut un guide pour choisir des prénoms […]
Actualité Culture
L’écrivain Touwindé Simon TARNAGDA a procédé à la dédicace de son œuvre intitulée « Noms et prénoms bissa, Un patrimoine culturel précieux menacé », ce vendredi 30 juillet 2021 à Ouagadougou. Une œuvre publiée aux éditions Céprodif qui se veut un guide pour choisir des prénoms bissa. La cérémonie dédicace s’est tenue en présence des autorités administratives et coutumières.
Penser la culture bissa à travers ses noms et ses prénoms, telle est la mission que s’est assignée l’écrivain Simon Touwindé TARNAGDA. En effet, l’œuvre est un condensé d’un certain nombre d’éléments qui fondent la culture ou l’identité du peuple bissa à partir des patronymes et les pronoms.
L’œuvre dans sa généralité est constituée de trois grandes parties: le bissa dans le paysage ethnique au Burkina Faso, noms de famille bissa et répertoire de prénoms bissa.
Selon le représentant du parrain, cette œuvre est une valeur sociologique inestimable. Il a félicité l’auteur avant d’ajouter que ce document est la preuve d’un retour en force vers les valeurs traditionnelles au Burkina Faso.
« L’œuvre est un essaie anthropologique. Ce sont des noms et prénoms du terroir bissa qui sont mis en valeur. Cette œuvre est un corpus scientifique qui peut être enrichit afin de nourrir les réflexions sur les noms et prénoms endogènes. L’introduction de cette œuvre est en réalité une interpellation », dixit le présentateur, Dr Dramane KONATE. Pour lui, le nom endogène qualifié de non-civilisé est un complexe identitaire qui résulte des chocs de l’histoire africaine.
L’auteur, Simon Touwindé TARNAGDA dans son allocution à affirmé que l’idée d’écrire cette œuvre est venue de son épouse. Il ajoute que ce n’est qu’un début pour solliciter la contribution de tous pour une autre œuvre beaucoup plus enrechie pour les futures générations. « J’ai écrit cette œuvre pour donner la chance aux uns et aux autres pour garder nos valeurs traditionnelles et culturelles. Quant on donne un nom à un enfant, on le donne avec tout son cœur avec un sens », a laissé entendre l’auteur.
À la question de savoir si les religions révélées ne constituent pas une barrière pour les noms endogènes, l’auteur répond que les choses sont en train d’évoluer parce que de plus en plus on accepte les noms moosé avec wendé.
En rappel, Simon Touwindé TARNAGDA, né le 28 février 1959 est est originaire de Soumagou. C’est un passionné de la culture et depuis son admission à la retraite, il s’intéresse davantage à l’écriture.
L’œuvre est disponible aux différents points de vente au prix unitaire de 5000FCFA. Pour connaître la culture bissa à travers ses noms et prénoms, cette œuvre est indispensable.