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Actualité SociétéLutte contre la désinformation: L’ABB tient un panel pour sensibiliser l’opinion publique Ce mardi 30 juillet 2024 à Ouagadougou, l’Association des Blogueurs du Burkina dans le cadre du projet promotion de l’éducation citoyenne et numérique pour une meilleure expression de la démocratie et un renforcement […]
Actualité SociétéLutte contre la désinformation: L’ABB tient un panel pour sensibiliser l’opinion publique
Ce mardi 30 juillet 2024 à Ouagadougou, l’Association des Blogueurs du Burkina dans le cadre du projet promotion de l’éducation citoyenne et numérique pour une meilleure expression de la démocratie et un renforcement de la cohésion sociale, a organisé un panel autour du thème «Désinformation et stabilité des institutions». L’objectif étant de contribuer activement à la lutte contre la désinformation, un sujet d’actualité ces derniers jours. Ledit panel s’est tenu sous le leadership du Président de l’ABB, Gabriel Kambou, paneliste, du journaliste Moussa Sawadogo, paneliste et du journaliste d’investigation, Boukary Ouoba, modérateur.
La désinformation consiste à propager délibérément des informations fausses en les faisant apparaître comme venant de source neutre ou amie pour influencer une opinion et affaiblir un adversaire. Elle est l’une des préoccupations majeures des pays démocratiques. Derrière les fausses nouvelles, ou fake news, se cachent souvent des stratégies visant à manipuler l’opinion publique et à affaiblir les États et leurs institutions. Cette confusion accrue mène au cynisme et à une perte de confiance envers les institutions médiatiques, politiques ou sociales, entraînant par le fait même cynisme, désengagement et apathie. C’est dans ce contexte que l’ABB entend apporter sa touche dans lutte contre la désinformation.
Et selon le paneliste, Gabriel Kambou, beaucoup sont ignorant des réseaux sociaux. A lui d’ajouter que les gens sont sur les réseaux par le suivisme parce que des amis y étaient. «Le plus souvent c’est parce que nos amis y sont et en ont parlé. Il faut de l’éducation aux médias et à l’information. Une désinformation peut causer énormément de soucis. Le journalisme a encore du crédit et les journalistes doivent travailler pour rester dans la sacralité des faits et la déontologie. Dans cette lutte contre la désinformation, il faut une collaboration avec les plateformes comme Méta ou X pour permettre aux structures de lutte contre la désinformation de pouvoir être efficaces. Il faut des partenariats entre les réseaux sociaux. Il y a des profils qui sont actifs et qui revendiquent la diffusion des fausses informations. Avec une collaboration franche, les réseaux sociaux pourront faire ce travail de nettoyage de faux profils. C’est ensemble que nous devons combattre la désinformation sur les réseaux sociaux. Il faut des formations pour sensibiliser et signaler les fausses informations. Cela permet aux citoyens de pouvoir vérifier leurs informations», a-t-il indiqué.
A entendre, le modérateur, Boukari Ouoba, la désinformation est extrêmement complexe au regard des avancées technologiques. Il ajoute que de nos jours, on parle plus d’intelligence artificielle. «Entrer sur internet aujourd’hui c’est comme prendre la route et on imagine pas quelqu’un sans être muni de son permis de conduire. Pour aller surfer sur internet, il faut connaître ses codes de conduite», a confié le modérateur.
Pour le paneliste, Moussa Sawadogo, la désinformation est devenue quelque chose de banal où tout le monde produit de l’information. A lui de soutenir que Selon Philippe Dubois la désinformation est bouton fantastique sur lequel appuyer pour déstabiliser la démocratie, avant de laisser entendre qu’on ne peut pas dissocier démocratie et information. « La démocratie se construit sur l’accès à l’information. La démocratie n’est pas plus partagée dans le monde. Aujourd’hui 5,5 milliards de personnes vivent dans des régimes autocratiques soit 72% de la population mondiale. Un milliard de personnes vivent dans des démocraties libérales, seulement 13% de la population mondiale. Les médias et les journalistes ont perdu le monopole de la diffusion de l’information. Tout le monde produit et diffuse l’information. On attend même parler de journalisme citoyen. Tout le monde n’a pas la même technique de collecte et de traitement de l’information. Dans certains pays, on va contourner le journaliste pour produire l’information et la diffuser. Les activistes et influenceurs vont se charger de diffuser des informations sans connaître l’éthique et la déontologie. L’objectif final de la désinformation s’est d’influencer l’opinion publique en diffusant des informations fausses. C’est l’une des préoccupations majeures des pays démocratiques. Les fakenews ont toujours existé. Parfois, il arrive que certains médias se laissent avoir par ses fausses informations. La désinformation est sciemment conçue sur le faux.Tous les acteurs sont responsables des questions de la désinformation», dixit le paneliste, Moussa Sawadogo.
Du reste, il convient de noter qu’il faut des actions collectives et concertées pour lutter efficacement contre la désinformation.
Ismaël Kiekieta ✍🏼
Éducation à la Vie Familiale: L’ABBEF sonne l’urgence d’actions collectives et concertées autour d’un forum national «Selon l’Enquête Démographique et de Santé de l’année 2020, 12% des adolescentes de 15 à 19 ans sont déjà mères ou enceintes de leur premier enfant. Le taux de […]
Actualité santéÉducation à la Vie Familiale: L’ABBEF sonne l’urgence d’actions collectives et concertées autour d’un forum national
«Selon l’Enquête Démographique et de Santé de l’année 2020, 12% des adolescentes de 15 à 19 ans sont déjà mères ou enceintes de leur premier enfant. Le taux de prévalence contraceptive moderne chez les jeunes femmes de 15 à 24 ans n’est que de 21%.
Une enquête menée au cours de l’année 2021 par l’ABBEF a révélé que seulement 30% des adolescents et jeunes de 15 à 24 ans ont des connaissances adéquates en matière de santé sexuelle et reproductive», a confié le Président du Conseil d’Administration de l’ABBEF, Saïbou Kaboré. D’où tout le bien fondé du forum national de l’Education à la Vie Familiale (EVF) initié par l’ Association Burkinabè pour Bien être Familial (ABBEF), ce mardi 06 Août 2024 à Ouagadougou sur le thème «Enjeux et éducation à la vie familiale et les pratiques socioculturelles qui affectent la santé reproductive des adolescents et des jeunes ». L’objectif étant de trouver une action collective et concertée pour améliorer l’éducation à la vie familiale et les services de santé sexuelle et reproductive. Ledit forum s’est tenue sous le leadership du Président du conseil d’administration, Saïbou Kaboré et du représentant de la directrice de la santé et de la famille, Dr Albert Hien, responsable du bureau des adolescents et des jeunes au Ministère de la santé.
Le forum national sur l’éducation à la vie familiale se veut un cadre précieux de dialogue et de réflexion sur des questions essentielles qui touchent la société, en particulier la santé sexuelle et reproductive des adolescents et des jeunes. Il a pour but d’identifier les préoccupations spécifiques des adolescents et des jeunes, comprendre leurs besoins et leur offrir un accès facile aux services de santé sexuelle et reproductive gage d’un bien-être social.
Et selon le représentant de la directrice de la santé et de la famille, Dr Albert Hien, c’est sans nulle doute dans ce sens que les différents acteurs pourront répondre non seulement à une exigence de santé publique, mais également au renforcement des fondements d’une société plus juste et équitable. A lui d’ajouter qu’aujourd’hui, l’objectif est ambitieux mais crucial. Il soutient qu’il vise à identifier les pratiques socioculturelles qui affectent la santé des adolescents, susciter un débat constructif, proposer des solutions concrètes et établir une feuille de route pour l’amélioration de la santé sexuelle et reproductive des jeunes au Burkina Faso.
« Ce forum est aussi une plateforme pour plaider en faveur de l’intégration ou de l’insertion des thématiques de l’Éducation à la Vie Familiale dans les curricula nationaux. Une telle intégration permettra de sensibiliser et d’éduquer les jeunes dès le plus jeune âge, leur offrant ainsi les connaissances et les outils nécessaires pour prendre des décisions éclairées et responsables concernant leur santé et leur vie. Nous sommes réunis ici pour aborder les questions de croyances, des pratiques socioculturelles et les tabous qui influencent et souvent limitent les choix et les opportunités de nos jeunes. Également, nous savons tous que des pratiques telles que les mariages précoces et les grossesses non désirées ont des répercussions profondes et durables sur la vie des jeunes. Ces défis ne peuvent être relevés sans une compréhension profonde des croyances et des tabous qui les sous-tendent. C’est pourquoi il est vital d’impliquer tous les acteurs : membres de la communauté, jeunes, leaders coutumiers et religieux, parents et représentants d’institutions», a-t-il laissé entendre.
Pour le Président du conseil d’administration de l’ABBEF, Saïbou Kaboré, les jeunes représentent 60% de la population burkinabè et leur épanouissement, leur santé et leur bien-être sont donc une priorité pour tous. Il a soutenu que malheureusement Malheureusement, les statistiques sur la santé sexuelle et reproductive de cette tranche de la population sont préoccupantes.
Quelles peuvent être les statistiques préoccupantes?
Selon l’Enquête Démographique et de Santé de l’année 2020, 12% des adolescentes de 15 à 19 ans sont déjà mères ou enceintes de leur premier enfant.
Le taux de prévalence contraceptive moderne chez les jeunes femmes de 15 à 24 ans n’est que de 21%.
Une enquête menée au cours de l’année 2021 par l’ABBEF a révélé que seulement 30% des adolescents et jeunes de 15 à 24 ans ont des connaissances adéquates en matière de santé sexuelle et reproductive.
Selon une étude récente :
Environ 15% des adolescentes âgées de 15 à 19 ans au Burkina Faso sont déjà mères ou enceintes de leur premier enfant ;
Le taux de prévalence des infections sexuellement transmissibles (IST) chez les jeunes de 15 à 24 ans est alarmant, atteignant 6%.
Toute situation qui explique l’urgence une action collective et concertée pour améliorer l’éducation à la vie familiale et les services de santé sexuelle et reproductive.
Dans son allocution, le PCA de l’ABBEF, Saïbou Kaboré a affirmé qu’il s’agira au cours de ce forum d’explorer les croyances, les tabous et les pratiques socioculturelles qui influencent la santé sexuelle et reproductive de nos jeunes. Pour lui, il sera question des débats constructifs, d’identification des besoins spécifiques des jeunes, et de travailler ensemble pour déterminer le rôle de chaque acteur dans l’amélioration de la santé sexuelle et reproductive des adolescents et des jeunes.
«Notre objectif est d’élaborer une feuille de route pragmatique et efficace qui guidera nos actions futures, afin de garantir à chaque jeune l’accès à une éducation complète à la vie familiale et à des services de santé adaptés à leurs besoins. Notre rassemblement aujourd’hui est une preuve concrète de notre volonté collective de créer un environnement où chaque adolescent et jeune peut s’épanouir, en pleine conscience de ses droits et de ses responsabilités en matière de santé sexuelle et reproductive. Les enjeux que nous abordons touchent au cœur de notre société, affectant non seulement la santé de nos jeunes mais aussi leur avenir et celui de notre nation», a confié le PCA de l’ABBEF.
Le représentant de la directrice de la santé et de la famille, Dr Albert Hien dans son discours a soutenu que cet évènement est une opportunité de rassembler la communauté, les leaders coutumiers et religieux, les parents, les jeunes et les institutions autour de ces enjeux cruciaux. « C’est ensemble que nous pourrons identifier les solutions les plus adaptées et durables pour améliorer la santé sexuelle et reproductive de nos adolescents et de nos jeunes. Les leaders coutumiers et religieux peuvent apporter leur sagesse et leur influence pour promouvoir des changements positifs dans les comportements et les attitudes. Les parents et les éducateurs peuvent offrir un soutien et une guidance essentiels pour les jeunes. Les représentants des institutions peuvent œuvrer pour des politiques et des programmes qui répondent aux besoins réels des adolescents et des jeunes», a t’il indiqué avant de déclarer ouvert le forum national sur l’éducation à la vie familiale.
A l’issu de ce forum, les recommandations sont entres autres:
-Poursuivre les efforts d’intégration de
I’EVF dans les curricula
-Renforcer les actions de prévention contre le VIH dans les activités quotidiennes
-Sensibiliser les communautés à dénoncer les pratiques néfastes
-Documenter les pratiques socioculturelles néfastes
-Faire une étude sur les besoins actuels des jeunes au Burkina
Faso
Ismaël Kiekieta ✍🏼
« La voix des peuples AES»: un nouvel album du Général TTY pour soutenir le Capitaine Ibrahim TRAORÉ Ce dimanche 04 août 2024 à Ouagadougou, l’artiste, le Général TTY a procédé à la sortie officielle de son nouvel album reggae intitulé «La voix des peuples […]
Actualité Culture« La voix des peuples AES»: un nouvel album du Général TTY pour soutenir le Capitaine Ibrahim TRAORÉ
Ce dimanche 04 août 2024 à Ouagadougou, l’artiste, le Général TTY a procédé à la sortie officielle de son nouvel album reggae intitulé «La voix des peuples AES».
C’est un album de 06 titres majoritairement axés sur la recherche de la paix, la lutte contre l’insécurité, le soutien aux FDS, au Capitaine Ibrahim TRAORE et son équipe, I’AES qui a été présenté aux mélomanes. L’album s’inscrit dans un style reggae et tradi-moderne. Parents, amis et collègues sont venus soutenir l’artiste. Il s’est agi entre autres du parrain artistique, Grand Docteur et du Chargé de Mission de l’ouest, Florent Neya.
Artiste engagé pour le soutien au FDS depuis le début de la crise sécuritaire au Burkina Faso, Le Général TTY fait des voix qui se font entendre pour la reconquête, la libération totale, la souveraineté et le développement des pays africains. Après des titres comme FDS, Marchands d’armes, Militaires de mon pays en 2019, 2020 et 2021, Le Général TTY présente en 2024 l’album «La voix des peuples AES» composé essentiellement de six titres, chantés dans un style reggae et tradi-moderne. Il s’agit de «La voix des peuples AES», «Capitaine Ibrahim TRAORÉ », «FDS», «Marchands d’armes», «Enrôler/voter feat Ramdes», «Corona collectif» et «Unité/Lagmentaare bis».
Le titre fard, « La voix des peuples AES» est un récit, une épopée des peuples de l’Alliance des États du Sahel. Il retrace l’arrivée tragique du terrorisme, au milieu de l’émergence des états sahéliens. C’est un titre qui retrace l’arrivée tragique du terrorisme, au milieu de l’émergence des états sahéliens. L’objectif étant de participer activement à la marche triomphale des peuples de l’AES.
A entendre, Le Général TTY, le titre Ibrahim s’inscrit en hommage au Président du Faso. A lui d’ajouter que le titre soutient aux FDS est inspiré de la crise sécuritaire que connait le Burkina Faso. Sur le titre Marchand d’armes, l’artiste affirme que la crise sécuritaire est la faute des marchands d’armes et des trafiquants d’armes. « C’est mon ras le bol contre les marchand d’armes. Le titre enrôler/voter est une sensibilisation pour les jeunes à s’enrôler et à voter pendant les élections. Si vous aimez IB vous devez voter. Il faut aller voter pour changer les choses. L’objectif de l’album c’est de participer à la communication de l’AES. Il faut tout le monde doit produire des œuvres pour l’AES. Nous devons communiquer pour accompagner nos présidents. Ce sont des titres d’actualité qui sensibilisent. Nous allons travailler à faire voyager l’album dans la sous région et à l’international. Nous avons un projet de tournée nationale et il ne manque que le financement. Je suis engagé pour la Patrie», a laissé entendre Le Général TTY.
Selon le parrain artistique, Grand Docteur, c’est une même ligne de combat qui le lie au Général TTY. « Je suis parrain artistique parce que l’artiste est dans la lutte pour la libération de l’Afrique. Nous avons le même combat le développement et l’avenir du pays», a confié Grand Docteur.
L’album est disponible en clé USB au prix unitaire de 5000 FCFA et disponible dans les discothèques habituels et sur les différentes plateformes de téléchargement. La clé USB d’Or numéro 001 a été vendu à 50 000 FCFA
Le Général TTY ou Tond Tenga Yiinga de son vrai nom Josué Daïla est né en 1983 à Tiyilé est fils de pasteur et professeur certifié de l’enseignement technique. Le Général TTY est le promoteur de la marque vestimentaire Tond Tenga Yiinga.
Sanfo Aminata ✍🏼
CICR/Concours National de plaidoirie en droit international humanitaire acte 5: L’équipe du centre universitaire de Banfora sacrée championne En marge de la commémoration des 75 ans des Conventions de Genève du 12 Aout 1949, la 5e édition du concours national de plaidoirie en droit international […]
Actualité SociétéCICR/Concours National de plaidoirie en droit international humanitaire acte 5: L’équipe du centre universitaire de Banfora sacrée championne
En marge de la commémoration des 75 ans des Conventions de Genève du 12 Aout 1949, la 5e édition du concours national de plaidoirie en droit international humanitaire a tenu ses promesses. La finale a opposé l’équipe du CERPAMAD à celle du centre universitaire de Banfora. Et pour cette édition, le groupe de la défense, l’équipe du centre universitaire de Banfora a remporté la première place dudit concours ce jeudi 1er août 2024 à Ouagadougou. La finale a été précédée d’une conférence inaugurale sur le thème « les quatre conventions de Genève : actualités et défis », animée par Dr Zakaria Daboné, Enseignant chercheur à l’Université Nazi Boni de Bobo-Dioulasso et ancien Secrétaire permanent du CIMDH.
Le trophée 🏆, trois ordinateurs portables, des gadgets CICR et de la documentation sur le droit international humanitaire, voici ceux à quoi l’équipe victorieuse a eu droit. Le groupe classé deuxième remporte trois téléphones portables, des gadgets CICR et des ouvrages sur le droit international humanitaire. L’équipe du CERPAMAD a décroché le prix du meilleur plaideur par l’entremise de Urielle SANOGO.
Dans un procès fictif tenu devant un jury représentant la Cour Pénale Internationale, la finale a opposé l’équipe du Centre de Recherche Panafricain en Management pour le Développement (CERPAMAD) qui a incarné le rôle du Bureau du Procureur et l’équipe du Centre universitaire polytechnique de Banfora qui a incarné le rôle de la défense.
Selon le président du jury, Jean Jacques Ouédraogo, il convient de saluer l’initiative du CICR et saluer le niveau des étudiants. A lui d’ajouter qu’il y a eu des imperfections parce que les prévenus n’ont pas été représentés. « Pour la prochaine fois, nous
allons les approcher pour améliorer ces
incohérences. Les gens ont peur de parler en public et on a senti ça avec le groupe de l’accusation. Le jury a salué dans l’ensemble les efforts des deux parties», a laissé entendre le Président du jury.
L’équipe victorieuse par la voix de Nourredine Ouédraogo a exprimé sa joie et sa satisfaction pour ce sacré. Pour lui, il n’y a pas eu une stratégie particulière. «C’est notre première fois également de participer à ce genre de compétition. Je dirais qu’on a été nous-mêmes. Savoir qu’on a représenté toute une université est une satisfaction en soi et vous devez savoir aussi que le droit international humanitaire passionne beaucoup de personnes. Nous envisageons continuer les études en droit international public. Pour nous, ça va nous aider pour la suite de notre cursus. Par rapport au concours du CICR, on peut dire que c’est une bonne initiative à réitérer parce qu’on nous met face à des situations et nous demande d’appliquer de façon concrète ce qu’on apprend en classe», a t’il expliqué.
Le chef de la délégation du CICR au Burkina Faso n’a pas manqué de soutenir que c’est l’occasion extraordinaire de mettre en avant le droit international humanitaire. A l’entendre, c’est une interaction que l’on a avec le monde universitaire et académique pour mettre en avant les compétences à travers un exercice de plaidoirie. « L’impact de ce concours se mesure dans la durée lorsque les étudiants seront appelés à occuper des fonctions qui sont associés au droit international humanitaire », dixit ‘e chef de la délégation du CICR/Burkina Faso.
Rendez-vous est pris en 2026 pour la prochaine édition du concours de plaidoirie en droit international humanitaire.
Ismaël Kiekieta ✍🏼
Burkina Faso : François-Xavier Salambanga est candidat au poste de DG de l’ASECNA François-Xavier Salambanga, Expert régional de la Communication navigation et surveillance (CNS) au Bureau régional de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) a rencontré les hommes de médias ce mercredi 31 juillet 2024 […]
Actualité SociétéBurkina Faso : François-Xavier Salambanga est candidat au poste de DG de l’ASECNA
François-Xavier Salambanga, Expert régional de la Communication navigation et surveillance (CNS) au Bureau régional de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) a rencontré les hommes de médias ce mercredi 31 juillet 2024 à Ouagadougou. L’objectif était d’ annoncer officiellement sa candidature au poste de Directeur Général de l’ASECNA.
L’Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar est créé depuis le 12 décembre 1959. Le Burkina Faso est à sa première participation à l’élection au poste de Directeur général de l’ASECNA qui regroupe 18 pays africains et 1 pays européen. Il faut noter que cette année, 6 candidats de différents Etats sont en lice à ce poste à savoir le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, l’Union des Comores, le Gabon, et le Tchad. A entendre le candidat du Burkina Faso, François-Xavier Salambanga, sa vision est de faire de l’ASECNA un organisme leader dans la fourniture d’un service de navigation aérienne continue, sécurisé, fiable contribuant au développement économique et social pour le progrès et la prospérité des populations africaines.
Pour ce faire, il entend rassembler les énergies et intelligences, tirer profit du passé s’appuyer sur le présent pour bâtir autour des valeurs de dignité, d’intégrité et de partage. Son objectif stratégique est de consolider et renforcer l’ASECNA en tant qu’outil d’une réelle intégration des Etats membres à travers une véritable solidarité authentiquement africaine mettant en partage les ressources disponibles et posant les bases d’une fondation solide et durable pour l’unité effective de l’Afrique.
Salambanga a fait savoir que sa mission va se centrer sur les activités de l’ASECNA, sur ses missions premières définies dans la convention de Dakar révisée et adoptée à Ouagadougou et signée à Libreville, tout en tirant partie des évolutions technologiques pour moderniser et transformer à travers l’innovation, ses forces productives. « Après bientôt 65 ans d’existence dans l’aviation, un domaine aussi technique que pointu, l’ASECNA devrait être capable d’amorcer la maitrise de certaines technologies de base pour développer les outils de production de ses services » dit-il car de son point de vue, le Transfert effectif de technologie(TET) est un point central pour l’avenir de l’ASECNA.
Il a ajouté que que l’ASECNA dispose d’expertise pertinente et il est temps d’assumer cette pertinence par des réalisations qui soulagent les forces productives ainsi que les ressources financières, et valorisent le capital humain.
En ce qui concerne la question de la promotion du genre et de la jeunesse, il a laissé entendre que la promotion du genre sera formellement initiée et renforcée au niveau de l’ASECNA pour permettre à la femme ASECNA d’occuper pleinement la place qui lui revient selon ses compétences. De même, « les jeunes feront l’objet d’une attention particulière. Une politique attractive devrait permettre d’encourager les jeunes talents à embrasser le métier de l’aviation », dit-il. « L’ASECNA s’engagera résolument vers la promotion de l’Ethique qui est le socle de la pérennisation des meilleures pratiques sociales dans une entreprise », a-t-il affirmé.
En rappel, le candidat, Français Xavier Salambanga, est un natif du Burkina Faso titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’école nationale de l’Aviation Civile (ENAC) de Toulouse, option électronique et un Diplôme d’Etudes Approfondies (DEA), option Télécommunications par satellites de l’école Nationale Supérieure de l’Aéronautique et de l’Espace (ENSAE-Sup’Aero) de Toulouse.
Sanfo Minata ✍🏼
Burkina/Hadji 2024: Le SYNGAVT demande un audit Ce jeudi 1er août 2024 à Ouagadougou, le Syndicat National des Gérants des Agences de Voyage et de Tourisme (SYNGAVT) a animé un point de presse sur l’état des lieux du Hadji 2024. Ce bilan du syndicat sur […]
Actualité SociétéBurkina/Hadji 2024: Le SYNGAVT demande un audit
Ce jeudi 1er août 2024 à Ouagadougou, le Syndicat National des Gérants des Agences de Voyage et de Tourisme (SYNGAVT) a animé un point de presse sur l’état des lieux du Hadji 2024. Ce bilan du syndicat sur le déroulement du Hadji 2024 a pour but d’interpeller le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ sur les actes maladroits posés le comité national de suivi du pèlerinage à la Mecque et de proposer des recommandations en vue d’améliorer les éditions à venir. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership du SG du SYNGAVT, El Hadji Oumarou Dianda.
Le SYNGAVT a pour objectif principal la défense des intérêts moraux et matériels des agences de voyages et ses membres, le renforcement des capacités opérationnelles pour l’organisation de la Oumrah et du Hadji.
116 agences de voyages et de tourisme se sont inscrites sur la plateforme numérique et autorisées à recruter les candidats, ont pu prendre part au Hadji 2024. 8143 personnes ont effectué le Hadji 2024 pour 17 vols allés.
Quels sont les problèmes rencontrés au Hadj 2024 selon le SYNGAVT ?
*Problème de délivrance des bracelets des pèlerins de la société SAUVIE
*Problème de place et de confort dans l’attente de l’embarquement des pèlerins
*Interdiction du syndicat de prendre la parole devant les pèlerins dans la salle d’attente
*Problème de l’insuffisance des produits médicaux et pharmaceutiques
*Problème de l’hygiène et de l’assainissement avec l’insuffisance des toilettes
*Problème de gestion du Rihilat et du Rifad à Mouzallifah
*Problème du poids des bagages
Quelles sont les améliorations notées par le syndicat pour le Hadji 2024?
*Amélioration des conditions de séjour sur les lieux par rapport aux éditions précédentes en nourriture, eau, matelas et bus.
*Le rôle important de la gendarmerie et de la police en matière de sécurisation des lieux, des biens et des personnes présentes à l’aérogare du pèlerin
Quelles sont les recommandations proposées par le SYNGAVT ?
*Remettre de façon active et définitive l’organisation pratique du Hadj aux agences de voyages et de tourisme
*Remettre tous les visas stickers aux agences de voyages et aux organisateurs
*Réduire le séjour ou le temps d’attente
*Prévoir une compagnie nationale de transport pour le convoi des pèlerins de Bobo Dioulasso
*Prendre attache avec le Ministère de la santé pour revoir le carnet de vaccination et les frais d’examens médicaux
*Impliquer le SYNGAVT dans toutes les étapes de l’organisation du Hadji
*Sensibiliser les responsables des agences de voyages sur le paiement très tôt des frais du pèlerin
A entendre le Secrétaire Général du SYNGAVT, El Hadji Oumarou Dianda, il faut un audit par les services compétents à travers des enquêtes ou des auditions sur la gestion du Hadji 2024 en vue de situer les responsabilités et sanctionner les les individus de mauvaise foi.
Ismaël Kiekieta ✍🏼
Plateforme PMA/BF: Présentation du rapport et plaidoyer de financement au rendez-vous 10e du genre, l’Institut Supérieur des Sciences de la Population (ISSP) a tenu ce mardi 30 juillet 2024 à Ouagadougou, un atelier national de dissémination des résultats du round 10, phase 4 de la […]
Actualité SociétéPlateforme PMA/BF: Présentation du rapport et plaidoyer de financement au rendez-vous
10e du genre, l’Institut Supérieur des Sciences de la Population (ISSP) a tenu ce mardi 30 juillet 2024 à Ouagadougou, un atelier national de dissémination des résultats du round 10, phase 4 de la recherche Performance Monitoring for Action (PMA). Cet atelier a essentiellement porté sur les événements de la vie reproductive, l’utilisation et la demande contraceptive, la qualité du service de la PF et counseling, la dynamique contraceptive et la disponibilité des méthodes contraceptives. Ledit atelier s’est tenu sous le leadership du Directeur adjoint de l’ISSP, Georges Gueilla, de la chargée de mission du Ministère de la santé, Adjami Barry et du directeur pays de l’ONG JHPEIGO, Mathurin Bonzi.
Le projet PMA-Burkina Faso vient de boucler le 10ème round de collecte de données qui s’est déroulé de décembre 2023 à février 2024, suivi de la phase d’analyse qui a pris fin en juin 2024. D’où le bien fondé de cet atelier de dissémination des résultats du round 10 de la phase 4 de la plateforme de recherche PMA. Les résultats de cette plateforme ont démontré que le taux de prévalence contraceptive moderne a chuté de 32 à 28%. Une baisse qui s’explique par le contexte sécuritaire, l’inaccessibilité de certaines zones, la fermeture de certains districts sanitaires, les ruptures de stock et la situation délétère des personnes déplacées internes.
Et à Dr Georges Gueilla, Directeur adjoint de l’ISSP, d’ajouter que pendant 10 ans, PMA, plus qu’un projet de recherche, a servi d’outil national d’aide à la prise de décision en matière de santé de la reproduction au Burkina Faso. A lui d’énumérer entre autres, l’utilisation des données de PMA pour la fixation des cibles et le suivi des indicateurs de deux générations de plans nationaux de PF (PNAPF 2017-2020 et PNPF 2021-2025); la fixation des cibles dans les engagements du Burkina Faso dans le cadre de FP2030 et l’utilisation de la prévalence contraceptive moderne mesurée par PMA comme niveau de référence dans le Plan national de développement économique et social (PNDES-II) du Burkina Faso.
« Malheureusement, la subvention de la Fondation Bill et Melinda Gates arrive à termes en septembre 2024 et marquera la clôture de cette plateforme. Ce 10ème round est donc le dernier. En l’absence d’autres sources de financement, la plateforme ne pourra donc plus collecter de données. Une telle situation créera une rupture dans la cadence de production des données et impactera sans doute le suivi des indicateurs clés qui se faisait annuellement avec les données de PMA depuis 2014. C’est pourquoi je voudrais profiter de ces instants pour lancer un cri de cœur à tous les partenaires afin qu’ils usent de leurs attributions et pouvoirs pour faire un plaidoyer au plus haut niveau pour la poursuite de cette plateforme», a t’il plaidé avant de remercier les partenaires techniques et financiers.
Selon le directeur pays de l’ONG JHPEIGO, Mathurin Bonzi, cet atelier se tient à l’issue de la rencontre bilan organisée à Bruxelles en Belgique entre Jhpiego et l’ensemble des instituts et écoles engagées dans la collecte des données de la Ptateforme PMA au niveau mondial. A lui de soutenir qu’à travers les recommandations formulées lors de ces rencontres et qui sont mises en œuvre par l’ensemble des parties prenantes, le CCS de PMA-Burkina Faso est devenu une boussole pour la plateforme, assurant ainsi la prise en compte des besoins et des questions d’intérêt national dans les outils de collecte de données de chaque round de PMA.
« A Jhpiego, notre satisfaction réside dans la confiance faite à l’équipe de recherche de la plateforme PMA et surtout de l’utilisation faite de ces données par le Ministère de la santé et les autres acteurs de la SR/PF au Burkina Faso. En effet, les données de PMA sont utilisées dans l’élaboration de documents techniques et programmatiques d’importance capitale pour le pays, comme le plan National PF 2021-2025, le PNDES II et bien d’autres. Les données de PMA sont régulièrement intégrées à l’annuaire statistique du Ministère de la santé et utilisées année après années pour le suivi de la prévalence contraceptive et d’autres indicateurs clés de SR/PF», a laissé entendre le directeur pays de l’ONG JHPEIGO.
Pour la chargée de mission du ministère de la santé, Adjami Barry, les résultats de ce round ont déjà été présentés au Comité Consultatif et de Suivi (CCS) de la plateforme au cours de sa huitième session ordinaire le mardi 23 juillet 2024. A l’entendre, l’objectif de cette dissémination est de permettre aux différents acteurs de s’approprier les résultats clés du round 10 de la plateforme.
«Mes remerciements à l’Institut Bill &Mélinda Gates pour la population et la santé de la reproduction de l’Université Johns Hopkins aux Etats-Unis, l’Institut supérieur des sciences de la population et l’ONG Jhpiego dont la franche collaboration permet au Burkina Faso de disposer régulièrement d’indicateurs de suivi du programme de santé de la reproduction. Je fonde l’espoir que le projet sera reconduit à l’issue de sa quatrième phase qui couvre la période de 2023-2024», a-t-elle espéré.
Les participants à cet atelier de dissémination des résultats du round 10, phase 4 de la PMA ont nourri l’espoir de voir un renouvellement de financement pour la plateforme au regard des données qualitatives et quantitatives qu’elle procure.
Ismaël Kiekieta ✍🏼
Rencontre avec les forces vives de la nation: L’Association Burkindamba Yiki Tignagtaaba Mind Tinga est visiblement satisfaite Dans la matinée de ce samedi 13 juillet 2024 à Ouagadougou, l’association Burkindamba Yiki Tignagtaaba Mind Tinga a animé un point de presse sur la situation nationale qui […]
Actualité SociétéRencontre avec les forces vives de la nation: L’Association Burkindamba Yiki Tignagtaaba Mind Tinga est visiblement satisfaite
Dans la matinée de ce samedi 13 juillet 2024 à Ouagadougou, l’association Burkindamba Yiki Tignagtaaba Mind Tinga a animé un point de presse sur la situation nationale qui prévaut ces dernières heures. Au cours de cette rencontre avec les hommes de médias, il a été principalement question de la rencontre du chef de l’État, Ibrahim TRAORÉ avec les forces vives de la nation, le soutien au programme du Président du Faso et sur la décision de créer une banque d’investigation.
D’entrée de jeu, les premiers responsables de l’association Burkindamba Yiki Tignagtaaba Mind Tinga, ont demandé une minute de silence en la mémoire des vaillants FDS, VDP et toutes les personnes qui ont payé de leur vie dans le processus de la reconquête du territoire.
SUR LA RENCONTRE AVEC LES FORCES VIVES DE LA NATION, L’Association BURKINDAMBA YIKI TIDNAGTAABA MIND TINGA exprime sa satisfaction de la rencontre entre Le chef de I’Etat le capitaine Ibrahim TRAORE et les forces vives de la nation le jeudi 11 juillet 2024 au Palais de sport Ouaga 2000.
Pour les conférenciers du jour, c’est à l’issue des assises qui s’est tenu le 25 et 26 mai dernier que le peuple a accordé sa confiance en donnant une période de 5 ans pour la refondation d’un Burkina Faso pétri de patriotisme, de paix, de justice, de développement et de cohésion sociale. « Nous sommes fiers d’avoir participer à ces assises.
Après une allocution de près 2 heures le capitaine a rappelé l’importance de l’union dans le processus de la lutte. Le programme ainsi déroulé reflète le diagnostic fait pour répondre aux différents maux qui gangrènent le Burkina Faso dans son volet sécuritaire», a laissé entendre le conférencier principal du jour.
Il faut noter que l’Association BURKINDAMBA YIKI TIDNAGTAABA MIND TINGA tient à rassurer le capitaine Ibrahim TRAORE et toute son équipe de leur soutien indéfectible et leur disponibilité pour la mise en œuvre de ce programme. Elle ajoute qu’elle sera toujours prêtes aux côtés des
FDS, VDP, DOZOS et KOGL WEOGO avec à sa tête le capitaine Ibrahim Traoré pour la reconquête et la refondation de notre nation.
«Nous profitons lancer un appel à l’unité, a l’engagement patriotique à tous les forces vives de la nation autour du capitaine Ibrahim TRAORE, chef de l’Etat,chef suprême des armées, Président du Faso.
Sur le Premier sommet de l’AES tenu à NIAMEY LE 06 JUILLET 2024, L’Association BURKINDAMBA YIKI TIDNAGTAABA MIND TINGA est très satisfaite de la tenue de la première rencontre des États de l’AES à Niamey.Pour elle, cette rencontre est la preuve que nos trois chefs ont définitivement tournée le dos à une CEDEAO dominée et contrôlée par l’impérialisme. Toute chose qui pousse l’association à saluer la décision de créer une banque d’investigation.
« Nous tenons à rassurer nos chefs d’État que leur population reste et restera derrière ces initiatives dans cette dynamique prise pour une indépendance totale.
Nous recommandons à nos chefs d’Etat de l’AES d’emmètre au plus vite possible une monnaie commune qui va regrouper l’espace AES afin de nous débarrasser de la monnaie coloniale qui entrave le développement de nos pays.Vive le capitaine Ibrahim TRAORE
Vive nos FDS et VDP
Vive le Burkina Faso», dixit le conférencier principal du jour.
Ismaël Kiekieta ✍🏼
Litige foncier à Koumdayonré: Bras de fer entre la population et la société immobilière ATTP Les populations de Koumdayonré dans l’arrondissement 8 de la ville de Ouagadougou a animé un point de presse ce samedi 13 juillet 2024. L’objectif de rencontre avec les hommes de […]
Actualité SociétéLitige foncier à Koumdayonré: Bras de fer entre la population et la société immobilière ATTP
Les populations de Koumdayonré dans l’arrondissement 8 de la ville de Ouagadougou a animé un point de presse ce samedi 13 juillet 2024. L’objectif de rencontre avec les hommes de médias était de demander l’aide de l’État pour résoudre le litige foncier qui lie la société immobilière ATTP à la population de Koumdayonré depuis 2018». Ladite conférence de presse s’est tenue sous le leadership de la porte-parole, Zida/Ouédraogo Bibata.
En effet, c’est en 2018 que l’ex-promoteur immobilier ATTP a procédé à un recensement des propriétaires de terrains de la zone non lotie de Koumdayonré. Et suite à ce recensement, des conventions individuelles et une convention collective ont été établies pour régulariser la situation foncière. Toute chose qui a connu des manquements et de nombreux dysfonctionnements, exacerbant la situation des propriétaires légitimes. Pour les conférenciers du jour, il faut noter des dysfonctionnements dans l’attribution des parcelles, la vente injustifiée des parcelles, des délocalisations forcées et des contributions financières injustifiées.
Selon la porte-parole des populations de Koumdayonré, sur soixante douze (72) hectares, sept cent soixante cinq (765) concessions recensées et seulement quatre cent cinquante (450) concessions ont eu gain de cause. A elle d’ajouter qu’après de nombreuses démarches entreprises, la société ATTP propose des logements à Gouma à Tanghin Dassouri pour compenser le manque. « Il n’est pas question qu’on soit délocalisé à Gouma situé à plus de 20 km. Les propriétaires de terrains non lotis se voient contraints de céder leurs propriétés aux nouveaux acheteurs et d’être relocalisés sur un nouveau site à Gouma, dans la commune de Tanghin Dassouri. Il est à noter que le site de Gouma ne figure dans aucune des conventions. Cette situation est inacceptable et constitue une violation flagrante de nos droits», a t’elle laissé entendre.
Les conférenciers du jour disent avoir pris des recours judiciaires et administratifs pour la résolution de leur problème. Pour un représentant des propriétaires terriens victimes, Tiemtoré Bilal, soutient que des plaintes ont été déposées auprès de la justice ; une saisine a été déposée auprès du Ministère de l’Urbanisme, des affaires Foncières et de l’Habitat ; la Direction Générale du Contrôle des Opérations d’Aménagement et de Construction a été aussi saisie. « Nous, victimes, restons dans l’attente d’une résolution, notre situation ne cessant de se détériorer car le promoteur immobilier ATTP continue de vendre frauduleusement les parcelles malgré la loi d’interdiction votée par l’Assemblée Législative de la Transition (ALT) en 2023», a confié Bilal Tiemtoré.
Au cours de cette conférence de presse, les populations de Koumdayonré ont demandé ouvertement l’intervention des autorités compétentes.
«Nos questions demeurent sans réponse : pourquoi des personnes n’ayant même pas de lopins de terre dans la zone sont-elles désormais attributaires de parcelles, tandis que les véritables propriétaires doivent être délogés ? Pourquoi devons-nous être dépossédés de nos terrains chèrement acquis à la sueur de nos fronts et être relocalisés à Gouma qui est situé à environ 20 km de Koumdayonré?
Ces pratiques injustes et discriminatoires menacent la cohésion sociale et risquent de provoquer des conflits violents. Nous ne voulons pas de violence, mais à l’impossible nul n’est tenu. Nous avons acquis nos terrains honnêtement, au prix d’énormes sacrifices et de durs labeurs, et nous ne sommes pas du tout prêts à les céder au profit des acheteurs», dixit la porte-parole, Zida/Ouédraogo Bibata.
Sanfo Mina ✍🏼
Vie associative: Fasokooz élève Le président Traoré en « ANGe en chef » du Burkina Dans la matinée de ce samedi 06 juillet à Ouagadougou, le mouvement Fasokooz a effectué sa toute première rentrée patriotique 2024-2025. Une occasion pour le mouvement de faire du Président du Faso, […]
Actualité SociétéVie associative: Fasokooz élève Le président Traoré en « ANGe en chef » du Burkina
Dans la matinée de ce samedi 06 juillet à Ouagadougou, le mouvement Fasokooz a effectué sa toute première rentrée patriotique 2024-2025. Une occasion pour le mouvement de faire du Président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, chef des Alliés de la nouvelle génération (ANGe) du Burkina Faso. Ladite rentrée patriotique s’est tenue sous le leadership du Président de Fasokooz, Moussa Serge Dao, du Porte-parole de Fasokooz, Labidi Naba et sous le parrainage du Ministre en charge de la Jeunesse, Dr Boubakar Savadogo.
La jeunesse du Burkina Faso a répondu à l’appel de la rentrée patriotique de Fasokooz. En effet, plus de 1500 participants ont effectué le déplacement pour communier avec le mouvement Fasokooz et percevoir le sens du patriotisme dans son ensemble.
Il convient de noter que FASOKOOZ est un mouvement citoyen de soutien patriotique au processus de libération et de refondation nationale qui est en cours au Burkina Faso, sous le leadership du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ.
A entendre le Ministre en charge de la jeunesse, Dr Boubakar SAVADOGO, cette initiative du mouvement FASOKOOZ est une œuvre grandiose car il faut que la jeunesse puisse s’éduquer et c’est ce qui fera sans nul doute avancer l’esprit patriotique au Burkina Faso.
Au cours de cette rentrée patriotique le Bureau national et le comité d’organisation de la rentrée patriotique, ont élevé le Président Capitaine Ibrahim TRAORE au rang de « Ange en Chef du Burkina Faso« , en présence de son représentant, Dr Boubakar SAVADOGO, Ministre en charge de la jeunesse.
« Je suis là pour les rassurer que le gouvernement est mobilisé autour de toute la jeunesse Burkinabè et de tous les mouvements patriotiques. Le gouvernement est encré profondément avec les Wayiyan qui sont actuellement les portes voix du patriotisme au Burkina Faso. Être Wayiyan c’est être celui qui a compris le mouvement qui est en marche au Faso », a laissé entendre le Ministre.
Selon le Porte-parole du Mouvement Fasokooz, Labidi Naba, le capitaine Ibrahim Traoré incarne le leadership générationnel tant attendu par le peuple burkinabè par son orientation politique, son discours franc et direct, sa détermination à mettre fin au terrorisme et sa politique de rupture. A lui d’ajouter que Fasokooz entend, par des actions sur le terrain, apporter son soutien au capitaine Traoré à qui les Forces vives de la nation ont renouvelé le 25 mai 2024 leur confiance en prolongeant son mandat de 5 ans.
« Cet événement est une occasion pour conscientiser les plus jeunes aux valeurs de dignité, d’intégrité, de travail, de solidarité et de patriotisme, prônées par Fasokooz. Au cours de cette rentrée, des jeunes burkinabè seront formés à des métiers» a confié Labidi Naba.
Du reste, rendez-vous est pris les jours à venir pour des activités concrètes de Fasokooz.
Sanfo Minata ✍🏼