Vie chère au Burkina : Le SYNATIV-BF se desengagent
Les Syndicats National des Commerçants et Transporteurs (SYNATIV-BF) ont organisé une conférence de presse ce jeudi 16 septembre 2021 à Ouagadougou. L’objectif principal de cette conférence était de lutter contre l’implantation d’une vie chère au Burkina. Ladite conférence a été animée sous le leadership du président des syndicats Karim Compaoré, le 1er vice-président Marou OUEDRAOGO et de son secrétaire général Lassané DIPAMA.
Depuis fort longtemps, le Burkina fait face à des situations assez préoccupante a savoir la vitalité de son commerce de son économie et aussi des retombés négatives. Il faut noter que la nouvelle donne dans le transport des marchandises est imposé par l’Europe qui s’est débarrassé de ses anciens conteneur de 40 pieds pour servir à l’Afrique des conteneurs de 45 pieds dans le seul but d’augmenter leurs produits.
Selon les syndicats des commerçants, ils ne sont nullement complices quant à la remise en cause de l’avenir du citoyen lambda burkinabè. Avec la présence de vie chère dans les marchés et yaar et donc l’explication première la hausse du prix de pesage de marchandises. De nos jours, la vie chère est une réalité au Burkina Faso attestée par le ministre des transports et celui du commerce.
Par conséquent, les les syndicats des transporteurs routiers recommandent aux commerçants et transporteur burkinabè à ne plus transiter leur marchandises du port de Lomé qui a mis en exécution immédiate la demande du ministre burkinabè des transports. En plus, les commerçants et les transporteurs du Burkina exgent du CCVA une homologation de leurs cartes grises au même titre que celle des camions des autres pays de la zone UEMOA qui ont subis des modifications suite à l’avènement des nouveaux conteneurs imposé depuis l’Europe et également la levée des sanctions sur les poids excédant des marchandises suites à l’avènement des nouveaux conteneurs pour ne faire l’affaire de l’Europe. Aussi ils exigent une bascule uniforme entre celle de la chambre de commerce burkinabè et celle de la forme étrangère « Afrique Pesage ».
Pour le vice président du SYNATIV-BF, El Hadj Omar OUEDRAOGO, pour le moment ils sont entrain de chercher des solutions pour éviter la vie chère au Burkina. Il appel à tous les commerçants et transporteurs de se réunir pour trouver une solution ferme. Il affirme : » nous allons essayé de voir comment les autres pays ont fait et il n’y a pas de vie chère là-bas. Au Togo, se sont les étrangers qui sont impliqués dans l’article 14 et non les autochtones. Si au Togo nous n’ avons plus de solutions pour pouvoir travailler facilement pour amener les marchandises le plus favorable dans notre pays, c’est mieux qu’ont aille là où ont peut travailler pour mieux favoriser notre population en attendant qu’ont trouve des solutions. Nous aussi nous sommes entrain de chercher des solutions avec nos autorités s’ils peuvent trouver des solutions favorable », dit-il.
Du reste, l’ensemble des transporteurs routiers disent non à l’implantation d’une vie chère au Burkina Faso sur le dos du commerçant et transporteurs burkinabè des marchandises.