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21e édition de la SNC : faire de la culture un socle pour bâtir le Burkina Faso nouveau
(Bobo-Dioulasso, 27 avril 2024). Dans une cuvette du stade Général-Aboubacar-Sangoulé-LAMIZANA pleine de monde, le Président de la Transition, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a procédé par trois coups de gong, ce samedi dans l’après-midi, à l’ouverture de la 21e édition de la Semaine […]
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Premier League : Leicester fait son RETOUR
🚨 OFFICIEL ! Leicester fait son RETOUR en Premier League seulement un an après avoir été relégué en Championship ! 👏🏴 Respect à Jamie Vardy (37 ans), qui est resté fidèle à Leicester malgré la relégation et qui a marqué 16 buts cette saison ! […]
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Vie associative : L’association Go paaga devient une Fondation
L’association Go Paga se donne une nouvelle mission désormais à travers la Fondation Go paaga. L’information a été officielle ce jeudi 25 avril 2024 à Ouagadougou, suivi du lancement de ses activités. Après de nombreuses réalisations de projets au profit des veuves et orphelins des […]
Actualité SociétéSECURITE ROUTIERE
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Actualité Société
3e édition du RAC-CI : Une mini SNC à Ouagadougou du 25 au 28 avril
Le RAC-CI bat son plein pour la 3e fois au palais de la jeunesse et de la culture Jean-Pierre Guingané. L’association Vinneem Puiré a procédé dans la soirée de ce jeudi 25 avril 2024 à Ouagadougou à la cérémonie officielle d’ouverture de la 3e édition […]
Actualité Culture SociétéHABITAT
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TCHEVA: Un duo Musical issu de la danse urbaine prêt à conquérir les mélomanes
En prélude à la sortie du single «C’est ça comme ça» le 1er juillet 2023, le groupe LES TCHEVA en collaboration avec le Label YONGONLON PRODUCTION a bien voulu accorder une interview exclusif à leurs médias partenaires le vendredi 23 juin 2023 à Ouagadougou. Interview […]
Actualité Culture SociétéEn prélude à la sortie du single «C’est ça comme ça» le 1er juillet 2023, le groupe LES TCHEVA en collaboration avec le Label YONGONLON PRODUCTION a bien voulu accorder une interview exclusif à leurs médias partenaires le vendredi 23 juin 2023 à Ouagadougou. Interview à laquelle, il était question de poser un regard biographique sur les artistes et d’annoncer les couleurs du Maxi de trois titres + un remix des TCHEVA et de lever le rideau sur la sortie officielle du single. Les TCHEVA étaient connu sous le pseudonyme « Les nouveaux nés» avec pour single «Bèlèlou».
Le projet du Maxi du Groupe LES TCHEVA par le biais de YONGONLON Production a été travaillé par un beatmaker AUREL recommandé depuis l’Allemagne. C’est un Maxi de trois titres qui porte des titres comme « C’est ça comme ça», «Tintin» et «Soyé». Le Maxi est enregistré dans un style d’ambiance. Le premier single sortira officiellement le 1er juillet prochain.
*COMMENT YONGONLON PRODUCTION DÉCOUVRE LES TCHEVA ?*
Selon le PDG de YONGONLON Production, Ahmed SOURA, Chorégraphe, c’est lors d’un atelier qu’il a découvert les TCHEVA. Il souligne que c’est sur proposition d’un chorégraphe qu’il a approché le duo. « Le groupe a fait un single avec ma marque de vêtements Power Gig’art et cela a favorisé la rencontre. Et c’est au vue de courage et de leur abnégation que YONGONLON PRODUCTION a décidé de tendre la perche à des jeunes talentueux. C’est un ainsi que nous avons mis en place un projet à long terme», a laissé entendre le PDG de YONGONLON PRODUCTION.
*QUI SONT LES TCHEVA?*
LES TCHEVA est un groupe de deux artistes musiciens Vacsaint et Wantché. Les deux artistes se sont rencontrés en 2017 dans la danse urbaine. Ils intègrent une école professionnelle de danse en 2019. La fibre musicale du groupe est née par le biais d’un artiste chanteur du nom de Designer. Il aide le groupe qui se nommait autrefois «Les Nouveaux nés» a mettre sur le marché discographique un single intitulé «Bèlèlou».
*COMMENT SE FAIT LA RENCONTRE AVEC YONGONLON PRODUCTION ?*
Il faut dire que c’est à partir du single «Bèlèlou» que le duo fait la rencontre de YONGONLON Production et opte pour le nom «TCHEVA» qui est une combinaison des noms Vacsaint et Wantché.
Avec la collaboration de YONGONLON PRODUCTION, LES TCHEVA met en place un Maxi de trois titres et espère conquérir le cœur de plusieurs mélomanes. Avec YONGONLON PRODUCTION, le groupe LES TCHEVA se dit rassuré.
*COMBIEN DE TEMPS LE PROJET DU MAXI A PRIS ?*
Le projet a pris pratiquement une année avant l’enregistrement qui s’est fait en une journée.
*COMMENT SE VEND VOTRE RYTHME MUSICAL ?*
TCHEVA évolue dans un rythme Afro Coupé Décalé. Nous venons à la base de la danse du Coupé Décalé. Le groupe essaie de faire un style pour pouvoir s’exprimer à la fois en tant que chanteurs et danseurs. La formation professionnelle des TCHEVA en danse urbaine et contemporaine a une plus value sur leur carrière musicale. C’est une formation qui invite à être danseur interprète et perfectionne la voix d’acteur. Cette formation permettra de faire la promotion de la musique à l’international. La danse est un atout dans la musique.
*COMMENT LES TCHEVA APPRECIE LE MILIEU DU SHOW BIZ BURKINABÈ ?*
Avec l’expérience du single des TCHEVA, le duo trouve que le milieu du show biz est très difficile surtout sans argent. Le talent seul ne suffit pas pour intégrer le show biz. Il faut de l’organisation, un staff et une maison de production. Il est souvent très difficile de gagner des opportunités pour s’exprimer sans rémunération.
*Qui est Vacsaint ?*
Vacsaint de son vrai nom, Moustaph Ulrich Kaboré, est membre du groupe, TCHEVA, natif de Ouagadougou. Il a un niveau d’étude de la classe de 4e. Après l’arrêt de ses études, il se lance dans la danse urbaine jusqu’en 2015 où il fait des scènes avec plusieurs artistes. Vacsaint a fait deux années de formation à l’INAFAC. Par la suite, il se lance dans une formation professionnelle en danse contemporaine en 2019.
Qui est WANTCHÉ ?
Guiro Haïdara est né en Côte d’Ivoire et mène sa d’artiste au Burkina Faso depuis 2015. Avec WANTCHÉ comme nom d’artiste, il forme duo du nom de LES TCHEVA. N’ayant pas été instruit, il s’est lancé très tôt dans la musique après avoir essayé la mécanique. WANTCHÉ a suivi beaucoup de formation professionnelle en danse contemporaine et urbaine. Aujourd’hui avec le groupe LES TCHEVA, il se lance dans le projet musical en collaboration avec YONGONLON PRODUCTION.
Du reste, il convient de noter que rendez vous est pris le 1er juillet pour la sortie officielle du groupe LES TCHEVA pour le bonheur des mélomanes.
Ismaël Kiekieta ✍️
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Burkina/Musique : A la rencontre du Groupe LES TCHEVA, deux artistes musiciens et danseurs
En prélude à la sortie du single «C’est ça comme ça» le 1er juillet 2023, le groupe LES TCHEVA en collaboration avec le Label YONGONLON PRODUCTION a bien voulu accorder une interview exclusif à leurs médias partenaires le vendredi 23 juin 2023 à Ouagadougou. Interview […]
Actualité CultureEn prélude à la sortie du single «C’est ça comme ça» le 1er juillet 2023, le groupe LES TCHEVA en collaboration avec le Label YONGONLON PRODUCTION a bien voulu accorder une interview exclusif à leurs médias partenaires le vendredi 23 juin 2023 à Ouagadougou. Interview à laquelle, il était question de poser un regard biographique sur les artistes et d’annoncer les couleurs du Maxi de trois titres + un remix des TCHEVA et de lever le rideau sur la sortie officielle du single. Les TCHEVA étaient connu sous le pseudonyme « Les nouveaux nés» avec pour single «Bèlèlou».
Le projet du Maxi du Groupe LES TCHEVA par le biais de YONGONLON Production a été travaillé par un beatmaker AUREL recommandé depuis l’Allemagne. C’est un Maxi de trois titres qui porte des titres comme « C’est ça comme ça», «Tintin» et «Soyé». Le Maxi est enregistré dans un style d’ambiance. Le premier single sortira officiellement le 1er juillet prochain.
*COMMENT YONGONLON PRODUCTION DÉCOUVRE LES TCHEVA ?*
Selon le PDG de YONGONLON Production, Ahmed SOURA, Chorégraphe, c’est lors d’un atelier qu’il a découvert les TCHEVA. Il souligne que c’est sur proposition d’un chorégraphe qu’il a approché le duo. « Le groupe a fait un single avec ma marque de vêtements Power Gig’art et cela a favorisé la rencontre. Et c’est au vue de courage et de leur abnégation que YONGONLON PRODUCTION a décidé de tendre la perche à des jeunes talentueux. C’est un ainsi que nous avons mis en place un projet à long terme», a laissé entendre le PDG de YONGONLON PRODUCTION.
*QUI SONT LES TCHEVA?*
LES TCHEVA est un groupe de deux artistes musiciens Vacsaint et Wantché. Les deux artistes se sont rencontrés en 2017 dans la danse urbaine. Ils intègrent une école professionnelle de danse en 2019. La fibre musicale du groupe est née par le biais d’un artiste chanteur du nom de Designer. Il aide le groupe qui se nommait autrefois «Les Nouveaux nés» a mettre sur le marché discographique un single intitulé «Bèlèlou».
*COMMENT SE FAIT LA RENCONTRE AVEC YONGONLON PRODUCTION ?*
Il faut dire que c’est à partir du single «Bèlèlou» que le duo fait la rencontre de YONGONLON Production et opte pour le nom «TCHEVA» qui est une combinaison des noms Vacsaint et Wantché.
Avec la collaboration de YONGONLON PRODUCTION, LES TCHEVA met en place un Maxi de trois titres et espère conquérir le cœur de plusieurs mélomanes. Avec YONGONLON PRODUCTION, le groupe LES TCHEVA se dit rassuré.
*COMBIEN DE TEMPS LE PROJET DU MAXI A PRIS ?*
Le projet a pris pratiquement une année avant l’enregistrement qui s’est fait en une journée.
*COMMENT SE VEND VOTRE RYTHME MUSICAL ?*
TCHEVA évolue dans un rythme Afro Coupé Décalé. Nous venons à la base de la danse du Coupé Décalé. Le groupe essaie de faire un style pour pouvoir s’exprimer à la fois en tant que chanteurs et danseurs. La formation professionnelle des TCHEVA en danse urbaine et contemporaine a une plus value sur leur carrière musicale. C’est une formation qui invite à être danseur interprète et perfectionne la voix d’acteur. Cette formation permettra de faire la promotion de la musique à l’international. La danse est un atout dans la musique.
*COMMENT LES TCHEVA APPRECIE LE MILIEU DU SHOW BIZ BURKINABÈ ?*
Avec l’expérience du single des TCHEVA, le duo trouve que le milieu du show biz est très difficile surtout sans argent. Le talent seul ne suffit pas pour intégrer le show biz. Il faut de l’organisation, un staff et une maison de production. Il est souvent très difficile de gagner des opportunités pour s’exprimer sans rémunération.
*Qui est Vacsaint ?*
Vacsaint de son vrai nom, Moustaph Ulrich Kaboré, est membre du groupe, TCHEVA, natif de Ouagadougou. Il a un niveau d’étude de la classe de 4e. Après l’arrêt de ses études, il se lance dans la danse urbaine jusqu’en 2015 où il fait des scènes avec plusieurs artistes. Vacsaint a fait deux années de formation à l’INAFAC. Par la suite, il se lance dans une formation professionnelle en danse contemporaine en 2019.
Qui est WANTCHÉ ?
Guiro Haïdara est né en Côte d’Ivoire et mène sa d’artiste au Burkina Faso depuis 2015. Avec WANTCHÉ comme nom d’artiste, il forme duo du nom de LES TCHEVA. N’ayant pas été instruit, il s’est lancé très tôt dans la musique après avoir essayé la mécanique. WANTCHÉ a suivi beaucoup de formation professionnelle en danse contemporaine et urbaine. Aujourd’hui avec le groupe LES TCHEVA, il se lance dans le projet musical en collaboration avec YONGONLON PRODUCTION.
Du reste, il convient de noter que rendez vous est pris le 1er juillet pour la sortie officielle du groupe LES TCHEVA pour le bonheur des mélomanes.
Ismaël Kiekieta ✍️
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BURKINA/Lutte contre la drogue: 240,985 tonnes de drogues incinérés pour la 36e journée internationale
Le comité national de la lutte contre la drogue en collaboration avec ses partenaires a procédé à la commémoration de la 36e journée internationale contre l’abus et le trafic illicite de drogues, ce lundi 26 juin 2023 à Ouagadougou. Cette journée qui suivie d’une incinération […]
Actualité SociétéLe comité national de la lutte contre la drogue en collaboration avec ses partenaires a procédé à la commémoration de la 36e journée internationale contre l’abus et le trafic illicite de drogues, ce lundi 26 juin 2023 à Ouagadougou. Cette journée qui suivie d’une incinération de drogue saisie, se tient sous le thème « Défis liés à la lutte contre la drogue dans un contexte de crise sécuritaire et humanitaire». La présente activité s’est tenue sous le leadership du Ministre délégué de l’administration territoriale et de décentralisation, Mahamadou SANA.
Chaque 26 juin la communauté internationale célèbre la journée contre l’abus et le trafic illicite de drogues et le Burkina Faso n’est pas en reste.
D’entrée de jeu, il s’est agi pour le ministre délégué de l’administration territoriale et de la décentralisation, Mahamadou SANA, de soutenir que la commémoration de la journée internationale contre l’abus et le trafic illicite de drogues est un tremplin pour les Etats de leur réaffirmer leur engagement et détermination à lutter efficacement contre le fléau de l’abus et du trafic de la drogue. Il précise que cette journée internationale renrésente une occasion d’iniormer l’opinion sur des questions d’intérêts majeurs en lien avec les réalités internes des Etats, telle que la question sécuritaire qui est une préoccupation dans notre pays.
«Dans notre contexte marqué par le terrorisme, la lutte contre la drogue revêt un intérêt particulier d’autant plus que le trafic illicite de drogues contribue au financement des activités terroristes et leur usage exacerbe la violence. La lutte contre la drogue revêt une importance particulière. Cette situation constitue un défis supplémentaire dans la lutte contre la drogue. La drogue est phénomène qui sert de financement au terrorisme. La consommation de la drogue exacerbe le niveau de violence. Il y a 33, 26 tonnes de drogues qui sera incinéré. Les réserves forestières sont des lieux favorables au trafic illicite de drogues», a confié le ministre.
Pour le Secrétaire du comité national de lutte contre la drogue Permanent( CNLD), Jean Noël KABORÉ beaucoup d’actions sont entreprises dans le cadre de la lutte.
« Nous avons initié des campagnes de sensibilisation à Tenkodogo et à Ziniaré autour de la consommation de la drogue. La zone de Pô et de Fada sont des lieux à fort taux de prolifération de la drogue. Il arrive même qu’on constate des champs de canabis. Comparativement à l’année antérieure, il y a une hausse dans le trafic illicite de drogues», a laissé entendre jean Noël KABORÉ.
En termes de chiffres, il faut noter que 25000 personnes ont été touchées lors des campagnes de sensibilisation, 240985 tonnes de drogues ont été saisies par les services opérationnel et 279 personnes ont été interpellées et déférées devant le parquet.
Du reste, il convient de retenir que cette conférence de presse donnant lieu au cérémonie officielle de commémoration, 33 tonnes 263 de kilogrammes de drogues saisies ont été incinérées.
Ismaël Kiekieta
Journée Caritative : La Fondation Bertrand Traoré vient en aide à la population de Bobo Dioulasso
La 2e édition de la journée caritative de la Fondation Bertrand Traoré a officiellement ouvert ses portes ce samedi 24 juin 2023 à l’école Colsama de Bobo Dioulasso. Au programme des toutes premières activités, des dons de vivres aux associations, aux personnes vulnérables, et des […]
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Journée Caritative : Bertrand Traoré avec ses béquilles vient d’atterrir à l’aéroport de Bobo Dioulasso
Malgré sa blessure lors du match Cap Vert vs Burkina Faso, le footballeur international, natif de Bobo, Bertrand Traoré Isidore a foulé le sol des Hauts Bassins à l’aéroport international de Bobo Dioulasso ce samedi 24 juin 2024. C’est en fanfare que le prodige de […]
Actualité SociétéMalgré sa blessure lors du match Cap Vert vs Burkina Faso, le footballeur international, natif de Bobo, Bertrand Traoré Isidore a foulé le sol des Hauts Bassins à l’aéroport international de Bobo Dioulasso ce samedi 24 juin 2024. C’est en fanfare que le prodige de Bobo a été accueilli par les volontaires de la fondation Bertrand Traoré et les fans.
Il sera question de remise de vivre aux personnes vulnérables et de récompense des éducateurs des écoles Colsama.
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Conseil des ministres du 21 juin 2023 : plus de 8 milliards d’économie après la première phase de contrôle des éléments de rémunérations des agents publics
(Ouagadougou, 21 juin 2023). Le Président de la Transition, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORE a présidé ce mercredi le Conseil des ministres qui a examiné plusieurs dossiers soumis à son ordre du jour et pris des décisions importantes sur la conduite de […]
Actualité Société
(Ouagadougou, 21 juin 2023). Le Président de la Transition, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORE a présidé ce mercredi le Conseil des ministres qui a examiné plusieurs dossiers soumis à son ordre du jour et pris des décisions importantes sur la conduite de la Transition, selon le ministre Porte-parole du gouvernement, Jean-Emmanuel OUEDRAOGO.
Au titre du ministère de l’Économie, des Finances et de la Prospective, une communication orale a été faite au Conseil sur le rapport partiel de l’opération de contrôle de présence et des éléments de rémunération des fonctionnaires de l’État. Pour le ministre en charge des finances, AboubaKar NACANABO, il s’agit de la première phase de cette opération qui a permis de faire quelques corrections qui s’élèvent à plus de 8 milliards et demi de FCFA. « Cela veut dire que c’était des rémunérations indues qui étaient payées et qui ont été corrigées à la suite de cette opération de contrôle. Après cette première phase, il y aura une deuxième phase qui va concerner les agents de santé et une troisième phase qui concernera l’armée », a indiqué le ministre NACANABO.
Pour le compte du ministère de l’Energie, des Mines et des Carrières, le Conseil a validé deux demandes de permis d’exploitation industrielle. Il s’agit de la mine de manganèse de Tambao par la Société AFRO Turc Tambao SA et de la mine d’or d’Inata par la société AFRO Turc Inata SA. Selon le ministre en charge des mines, Simon Pierre BOUSSIM, après le retrait des permis d’exploitation de ces deux mines, les actifs miniers revenaient de droit à l’État. C’est ainsi qu’au Conseil des ministres du 1er mars dernier, le gouvernement a autorisé la cession de ces actifs miniers à AFRO Turc Inata pour la mine d’Inata et les actifs de Tambao à AFRO Turc Tambao. Une signature de contrat matérialisant la cession des actifs miniers a permis à la société AFRO Turc Tambao SA et AFRO Turc Inata SA de déposer des demandes de permis d’exploitation qui ont été validées.
Selon le ministre BOUSSIM, la mine exploitée par AFRO Turc Inata couvre une superficie de 39 km² pour une durée d’exploitation de quatre ans. Elle présente une potentialité de production de 5,700 tonnes de minerais pour une teneur de 1,55 grammes par tonne, avec des retombées financières de plus de 51 milliards de FCFA attendus. La mine qui sera exploitée par AFRO Turc Tambao SA couvre une superficie de plus de 26 km² pour une durée de vie de 22 ans. Il est attendu de cette mine plus 770 milliards de FCFA en termes d’investissement notamment la construction du chemin de fer pour le transport du minerai ainsi que de l’érection et l’équipement d’une base militaire en vue de sécuriser cette zone.
Au titre du ministère de la Justice et des Droits humains, le Conseil a adopté deux projets de rapports à savoir le projet de deuxième rapport périodique de la mise en œuvre du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, et le projet sur le rapport périodique de mise en œuvre de la convention internationale pour l’élimination de toute forme de discrimination raciale. Ces deux rapports ont été élaborés dans un esprit d’inclusion de tous les acteurs, selon la ministre en charge des droits humains, Bibata NEBIE/OUEDRAOGO.
Au titre du ministère du Développement industriel, du Commerce, de l’Artisanat et des Petites et Moyennes entreprises, le Conseil a adopté le bilan de la campagne cotonnière 2022-2023 et les projections de la prochaine campagne 2023-2024.
La production cotonnière pour la campagne 2022-2023 s’est élevée à 410 mille tonnes de coton graines, a indiqué le ministre en charge du commerce, Serge PODA. Comparativement à la campagne précédente, le ministre dit constater une baisse d’environ 22% qui s’explique essentiellement par des attaques de parasites et la situation sécuritaire. En termes de projection pour la prochaine campagne, les acteurs entendent emblaver 710 mille hectares avec une prévision de production de coton graines d’environ 610 mille tonnes.
Pour soutenir ces prévisions, le Conseil a adopté des propositions de prix d’achat aux producteurs à 325 FCFA le kilogramme pour le premier choix et 300 FCFA le kilogramme pour le deuxième choix. En outre, le gouvernement a aussi décidé d’une subvention de 10 milliards de FCFA pour soutenir l’accessibilité aux intrants agricoles.
Direction de la communication de la présidence du Faso
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«L’ARBRE À PROBLÈME et autres nouvelles»: Un recueil de nouvelles de Lancina TEGUERA sur le marché littéraire
Ce samedi 17 juin 2023 à Ouagadougou, l’écrivain Lancina TEGUERA a procédé à la dédicace de son recueil de nouvelles intitulé «L’ARBRE À PROBLÈME et autres nouvelles». L’œuvre traite de la problématique de la responsabilité et de la déresponsabilisation qui plonge les pays africains dans […]
Actualité EducationCe samedi 17 juin 2023 à Ouagadougou, l’écrivain Lancina TEGUERA a procédé à la dédicace de son recueil de nouvelles intitulé «L’ARBRE À PROBLÈME et autres nouvelles». L’œuvre traite de la problématique de la responsabilité et de la déresponsabilisation qui plonge les pays africains dans un gouffre. La présente dédicace s’est tenue sous le leadership Jean Marie Kafando et en présence des parents, collègues et amis de l’écrivain.
119 pages reparties en 15 nouvelles, voici la substance du recueil de nouvelles présenté par l’écrivain Lancina TEGUERA.
Selon l’écrivain Lancina TEGUERA, c’est un moment solennel où il convient de saluer toutes les personnes qui ont apportées leur touche particulière pour la réalisation de l’œuvre. Il ajoute que dans le processus de l’écriture, il y a des doutes et il faut l’accompagnement pour la réaliser.
« Il n’y a pas de secret pour écrire. Il suffit d’aimer ce qu’on le fait. Mon inspiration vient des faits de société. Apporter ma part de contribution à l’éducation. Avec la condition sécuritaire, il était important de promouvoir la culture de la résistance à travers le livre. Les jours à venir, je serai au BBDA pour protéger le recueil de nouvelles. Je traité de l’emploi des jeunes et des problèmes de chefferie. », a laissé entendre l’écrivain Lancina TEGUERA.
A entendre le PDG de Plum’Afrik, Youssouf Ouédraogo, le numérique n’est pas encore ancré dans les habitudes des maisons. Pour lui, la raison c’est que la garantie n’est pas 100% fiable au niveau national. « Il suffit d’avoir l’œuvre en PDF pour le partager et pour barrer la route au potentiel acheteur», affirme le PDG Plum’Afrik.
Pour le présentateur de l’œuvre Oumarou Ouédraogo, en parcourant l’œuvre nous constatons des mots simples et adaptés à tous le public, un langage courant, des phrases simples et courtes, des phrases complexes aussi. « C’est Vraiment un outil didactique car on peut utiliser pour l’éducation et la formation de nos apprenants du primaire au supérieur», confie le présentateur.
Il convient de retenir que l’œuvre coûte 3000 FCFA et disponible dans les points de vente habituel.
Du reste, il faut retenir que Lacina TEGUERA, né le 31 mai 1970 à Adjamé (RCI) est un instituteur de formation, après une année
académique réussie à l’université de Ouagadougou dans la filière Lettres Modernes en 1993. Ce natif de Koho dans la province des Balés est actuellement Attaché
d’Administration Scolaire et Universitaire au service de la Gestion des ressources humaines de la DPEPPNF Bazèga. Lancina TEGUERA est par ailleurs le correspondant de la RTB/radio et du journal « le
Pays » dans la province du Bazèga. Depuis 2022, Lacina TEGUERA est le président du réseau des communicateurs du Bazèga dénommé Communicateurs Associés pour le Développement du Bazèga (CADB).
Ismaël Kiekieta
Burkina/Soutien à la Transition : La FAIB Mobilise près d’un demi milliard
La Fédération des associations islamiques du Burkina a animé une conférence de presse e mardi 13 juin 2023 à Ouagadougou. L’objectif de leur rencontre avec les hommes de médias était de procéder à la remise de don de la campagne nationale de collecte aux autorités […]
Actualité ReligionLa Fédération des associations islamiques du Burkina a animé une conférence de presse e mardi 13 juin 2023 à Ouagadougou. L’objectif de leur rencontre avec les hommes de médias était de procéder à la remise de don de la campagne nationale de collecte aux autorités de la transition burkinabè de près d’un demi milliard. Ladite conférence a connu la présence des grandes figures musulmanes du Burkina Faso et des autorités administratives. Il s’est agi du Ministre de l’administration territoriale, Boukaré ZOUNGRANA, du Président de la communauté musulmane, Moussa Kouanda, du Président de La FAIB, Oumarou ZOUNGRANA et de Dr Kindo.
Ce sont au 400 325 000 FCFA qui ont été réunis en espèce pour soutenir les autorités de la transition à relever les défis du moment. Avec les contributions en nature et en espèce, il faut noter une somme global 530 129 000 FCFA.
la FAIB a mobilisé près d’un demi milliard de francs CFA.
Les contributions en espèces se chiffrent quatre cent millions (400 000 000) et d’environ Cent millions en nature (100 000 000). La FAIB a pris en charges toutes les dépenses liées à la collecte pour un montant d’environ trente millions de francs CFA dont trois millions comme contribution.
Selon le conférencier du jour de la FAIB, Mohamed Sana, le 25 janvier dernier, une opération de collecte de donna été lancé en réponse à l’appel du président de la transition, Ibrahim Traoré. Il ajoute que l’appel était une invite aux citoyens à contribuer pour relever les défis du moment. « L’opération de collecte a couvert tout le territoire national et la diaspora dont la Côte d’Ivoire et le Mali. L’opération a été animée par les mosquées de vendredi et les fidèles musulmans ont répondu favorablement à l’appel de collecte. La FAIB a mobilisé 400 000 000 FCFA en espèce et dans l’ensemble près d’un demi milliard de FCFA. La campagne est un succès», a laissé entendre Mohamed SANA.
A entendre, le trésorier de la FAIB, Bougma Moussa, il y avait un compte bancaire coris, orange money et Mobicash pour la collecte des dons par espèce et la date du 08 juin, il faut noter 20 000 000 FCFA dans le compte de Coris Bank soit 55% des dons en espèce. « Il y a également des vivres qui ont été reçus et évalués à plus de 4 millions. Les contributions en nature ont été transmis à la CONASUR», a confié le trésorier de la FAIB.
Pour le président de la FAIB, Oumarou ZOUNGRANA, l’appel du Président Faso a été entendu par la FAIB. Il soutient qu’à travers cette campagne, il s’agissait aussi de sensibiliser les citoyens et stimuler la flamme patriotique. « Ce collecte de don est la preuve que les citoyens partagent les difficultés que connaissent les autorités dans la lutte contre l’hydre terroriste. Nous continuons dans nos mosquées la sensibilisation sur les valeurs patriotiques pour venir à bout du terrorisme», dixit le Président de la FAIB.
Et c’est le Ministre de l’administration territoriale, Boukaré ZOUNGRANA qui a reçu au nom des autorités de la transition, le don de la FAIB. Lors de son allocution, le Ministre de l’administration territoriale, Boukaré ZOUNGRANA, n’a pas manqué de traduire aux musulmans burkinabè, la reconnaissance du Président de la transition. Il ajoute que cela fait honneur à tous les musulmans du Burkina Faso pour soutenir les PDI, les FDS et les VDP. « Je voudrais dire merci à la FAIB pour le leadership et l’exemple. L’argent sera reversé au trésor public. Merci, merci et merci », a-t-il déclaré.
Du reste, il convient de noter que la cérémonie officielle de don a pris fin avec des bénédictions et invocations du Dr Kindo.
VIBES-TEKRE: Une nouvelle plateforme digitale culturelle voit le jour
Les porteurs du projet VIBES TEKRE a procédé ce vendredi 09 juin 2023 à Ouagadougou au lancement officiel d’une nouvelle plateforme digitale culturelle dénommée VIBES-TEKRE. C’est un projet financé par le fond de développement culturel et touristique. Ladite conférence presse s’est tenue sous le leadership […]
Actualité Culture
Santé sexuelle et reproductive des jeunes : L’ABBEF s’engage à travers le projet Stream 2
Ce jeudi 08 juin 2023 à Ouagadougou, l’Association Burkinabè pour le Bien-être Familial à travers son projet «Jeunes en action pour transformer les normes de genre» a tenu un atelier d’information et de réseautage des mouvements et acteurs de promotion des DSSR au Burkina Faso […]
Actualité santé SociétéCe jeudi 08 juin 2023 à Ouagadougou, l’Association Burkinabè pour le Bien-être Familial à travers son projet «Jeunes en action pour transformer les normes de genre» a tenu un atelier d’information et de réseautage des mouvements et acteurs de promotion des DSSR au Burkina Faso au programme Stream 2 panel sur les DSRAJ. Cet atelier a pour objectif global est de contribuer à agir sur les communautés afin de créer un environnement favorable, garantir un accès universel aux services SSR centrés sur les jeunes par des stratégies à haut impact, en améliorant les législations par le plaidoyer. Ledit atelier se tient sous le leadership du directeur exécutif du projet, Hamdy Mohmed Kouanda et du représentant de la directrice de la santé de la famille, Dr Mathieu Bougma.
Financé par l’IPPF à travers le fonds stratégique subvention du consortium Stream 2, le projet « Jeunes en action pour transformer les normes de genre» a une durée d’exécution de 2ans et est mis en œuvre par un consortium de pays dont le Burkina Faso à travers l’ABBEF comme chef de file. Le projet regroupe le Burkina Faso, le Mali, la Tunisie, l’Inde, le Togo, le Niger et AfriYan en tant que réseau des jeunes actifs sur la thématique des droits en santé sexuelle et reproductive.
D’entrée de jeu, il s’est agi pour le directeur exécutif de l’ABBEF, Hamdy Mohmed Kouanda, de présenter le projet Stream 2 dans le fond et dans la forme. A cet effet, il soutient que le projet « Jeunes en action pour transformer les normes de genres» est financé par l’IPPF et a une durée de 2 ans.
«Le projet vise à agir sur les communautés afin de créer un environnement favorable, garantir un accès universel aux services de la SSR centrés sur les jeunes par des stratégies à haut impact, en améliorant les législations par le plaidoyer. Je reste convaincu que c’est grâce à la synergie de nos actions que nous parviendrons à créer un environnement habilitant à la jouissance à des droits des jeunes en matière de santé sexuelle et reproductive. Je vous rassure de notre engagement. Nous attendons des propositions innovantes de technologie pour porter le projet. L’idée du réseautage c’est inviter tout un chacun à faire des propositions dans son domaine», a laissé entendre le directeur exécutif, Hamdy Mohmed Kouanda.
« La santé sexuelle et reproductive des jeunes est une problématique d’actualité au Burkina Faso. En effet, les adolescents de moins de 15 ans représentent 45,3% de la population générale, et les jeunes de 15 à 34 ans représentent 32,6 % de la population selon les données du 5e RGPH. Au Burkina Faso, la sexualité des jeunes est précoce avec une fécondité», ce sont là les mots du représentant de la directrice de la santé de la famille, Dr Mathieu Bougma, sur la problématique de la santé sexuelle et reproductive des jeunes.
Lors de son allocution, Dr Bougma soutient que la sexualité des jeunes au Burkina Faso est précoce avec une fécondité élevée. Pour lui, le nombre total de cas de grossesse non désirée en milieu scolaire scolaire est passé de 7050 au cours de l’année scolaire 2016/2017 à 7861 pour 2018/2019. « Je voudrais féliciter l’ABBEF et ses partenaires techniques et financiers. Le ministère vous rassure de son engagement à accompagner la mise en œuvre du projet. C’est sur une note d’espoir que je souhaite pleins succès aux travaux», a souhaité Dr Bougma avant de déclarer ouvert l’atelier d’information et de réseautage des mouvements et acteurs de promotion des DSSR au Burkina Faso du programme Stream 2 panel sur les DSRAJ.
Au cours de cet atelier, il a surtout été de communications et d’échanges avec les participants sur la santé sexuelle et reproductive des jeunes.
