Ce jeudi 09 juin 2022, le Mouvement pour la culture de la paix et l’amour de la patrie (MPAP) a rencontré les hommes de médias pour rappeler la nature du mouvement dans ses objectifs et jetter les prémices de la 2e édition des Ambassadeurs de Paix Award. C’est sous le leadership du président du MPAP, Samuel KALKOUMDO que ladite conférence s’est tenue.
D’entrée de jeu, il s’est agi pour le conférencier du jour, le président du MPAP, Samuel KALKOUMDO de faire la présentation du Mouvement pour la culture de la paix et l’amour de la patrie.
En termes de présentation, il faut noter que le MPAP est un projet porté par des jeunes épris de paix et de patriotisme. La structure a été créée le 29 octobre 2017 et son siège se trouve à Koudougou. C’est une OSC qui a des coordinations dans les 13 régions du Burkina Faso. Selon les conférenciers, depuis sa création avec à sa tête le président national, Samuel KALKOUMDO, le MPAP a mené beaucoup d’activités allant dans le sens de la promotion de la paix et du patriotisme en collaboration avec les structures étatiques et les autres entités.
La principale mission que s’est engagée le MPAP est de promouvoir la tolérance , le civisme, la culture de la paix et l’amour de la patrie. Le mouvement a pour objectif de promouvoir la cohésion sociale et le vivre ensemble, la lutte contre l’extrémisme violent et de contribuer à faire de la paix un capital commun entre autres.
La conférence de presse a été une occasion pour me MPAP d’annonce les prémices de la 2e édition des Ambassadeurs de la Paix Awards et de donner l’historique de cette cérémonie de récompense.
Pour le président du MPAP, les burkinabè ne ménage aucun effort pour bâtir une nation forte et prospère dans un climat de paix et de sécurité. Il ajoute que s’est dans la logique de recherche et de promotion de paix que le MPAP a décidé de reconnaître, distinguer et récompenser le mérite de ces artisans de paix.
Du reste, la 2e édition des APA va s’intéresser à la situation de vulnérabilité des enfants des déplacés internes. Le MPAP fait un plaidoyer en faveur des enfants des déplacés internes pour leur réinsertion sociale et éducative pour les éloigner des couloirs d’enrôlement au bénéfice des ennemis du Burkina Faso.