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Actualité Education Littérature SociétéAprès «Échos et complaintes de ma terre» , le poète, Lamoussa TIAHO vient ajouter à ses productions « Les sillons du futur», une poésie pour enfants. L’œuvre est un condensé de préceptes qui redynamise la fibre patriotique de la jeunesse. « Les Sillons du futur» est préfacé par Pr Salaka Sanou et disponible au prix promotionnel de 7000 FCFA l’unité. A l’occasion de cette nouvelle parution, le Dr Lamoussa TIAHO a bien voulu accorder un entretien exclusif au journal faso-info.net le mardi 23 août 2023 à Ouagadougou.
Composé de 27 poèmes, tous illustrés d’images, « Les Sillons du futur» aborde une série de thèmes destinés à la formation des enfants.
«Les sillons du futur» c’est ce combat qui doit permettre au burkinabè de rentrer dans le futur.
A entendre le Dr Lamoussa TIAHO, « Les sillons du futur» est une littérature de jeunesse. Une poésie pour jeunes qui met l’accent sur un certain nombre de valeurs dont les valeurs civiques, patriotiques et le respect des aînés. Pour le Docteur en critique et littératures africaines, l’œuvre poétique commence par les couleurs nationales parce qu’elles doivent être inculquées dans le logiciel des jeunes pour les guider vers l’idéal patriotique.
« Parmi les principales thématiques, il y a le terrorisme qui montre que pour la patrie, il faut aller jusqu’au sacrifice suprême s’il le faut. C’est une poésie qui galvanise les jeunes et tous les burkinabè à être prêts pour défendre la partie. L’une des choses pour laquelle on peut donner sa vie c’est vraiment la patrie. Pour survivre, il faut accepter sacrifier nos vies. Il faut lutter pour pouvoir être là demain. Les martyrs ne devraient jamais être oubliés parce que c’est à cause d’eux que le futur sera possible. C’est une poésie de mobilisation de la jeuness», a laissé entendre Dr Lamoussa TIAHO.
Le préfacier de l’œuvre, Pr Salaka SANOU soutient que la littérature pour enfants et pour jeunes est une catégorie de production littéraire dont le destinataire est indiqué, précisé : les enfants et les jeunes. Il précise qu’en tant que catégorie sociale spécifique ayant des besoins et des attentes particulières, la création littéraire qui lui est consacrée devrait répondre justement à ces besoins. « Comptant sur cette volonté affichée de se mettre au service de l’enfance, Lamoussa Tiaho vient enrichir le patrimoine littéraire burkinabè consacré à l’enfance et la jeunesse. Avec I’espoir que « ces sillons du futur» seront bien guidés pour la jeunesse montante du Burkina Faso.
«Le recueil est écrit dans un langage sobre, un vocabulaire simple, des idées clairement exprimées. cela n’est pas surprenant de le voir faire de la poésie pour enfants son domaine de prédilection puisque Lamoussa Tiaho est formateur de profession. Son métier d’enseignant, donc de formateur ajouté à ce désir de mettre sa plume au service de l’enfance cette catégorie sociale qui a besoin d’être formée, éduquée dans le sens de préparer à assumer ses responsabilités dans la société. Quoi de plus normal dans ces conditions que de la guider dans ce qu’elle devrait être ?», questionne Pr Salaka SANOU.
Du reste, il convient de noter que Lamoussa TIAHO est titulaire d’un Doctorat unique en Lettres Modernes option : Critique et littératures africaines. Il est Enseignant-Chercheur à l’Université Joseph KI-ZERB0 à l’Unité de Formation et de Recherche en Lettres, Arts et Communication (UFR-LAC). Il est Maitre de Conférences CAMES. Il est membre du Laboratoire Littératures, Arts, Espaces et Sociétés. Il est aussi l’actuel Chef de Département de Lettres Modernes à l’UFR-LAC de l’Université Joseph KI-ZERBO. Il a publié en 2020 un essai intitulé «L’Esthétique littéraire de Jean-Marie Adiaffi», et un recueil de poésie, «Echos et complaintes de ma terre» en 2022.
Ismaël Kiekieta ✍️
Le championnat national de handball juniors et seniors saison 2022 – 2023 s’est disputé ce samedi 19 août 2023, au palais des sports de OUAGA 2000. Et pour cette saison l’AS Douanes a été sacrée championne en menant au score 28 contre 26 face à […]
Actualité SportLe championnat national de handball juniors et seniors saison 2022 – 2023 s’est disputé ce samedi 19 août 2023, au palais des sports de OUAGA 2000. Et pour cette saison l’AS Douanes a été sacrée championne en menant au score 28 contre 26 face à l’AS POLICE. Elle remporte 1 millions de FCFA, des médailles plus un trophée 🏆pour les seniors et 400 000 FCFA plus un trophée 🏆 et des médailles 🏅 pour la catégorie junior. Au niveau des filles, le premier prix junior est revenu à l’équipe de la SONABHY qui remporte le trophée 🏆, plus 400 000 FCFA et des médailles 🏅. Tandis que le premier prix senior filles est revenu à l’équipe de la LONAB qui repart avec 1 millions de FCFA, des médailles 🏅 et un trophée.
Ce sont au total 58 matches qui se sont confrontées depuis le 13 août 2023 avec 36 équipes venues de Bobo-Dioulasso, Koudougou, Ouahigouya, Tenkodogo, Banfora et Ouagadougou. Et au sortir l’AS DOUANES a été une nouvelle fois de plus championne en juniors et en seniors hommes, comme la saison précédente.
Les finales ont opposé :
Au niveau senior
l’AS DOUANES 28 vs 26 l’AS POLICE
l’AS Sonabhy 41 vs 27 wendpanga
Au niveau junior
l’AS DOUANES 35 vs 18 Racing Club de Bobo-Dioulasso
l’As LONAB 37 vs 20 l’As Finances
Au titre des récompenses pour les seniors, il faut noter que les champions sont repartis avec le trophée, la médaille d’or et un million (1 000 000) FCFA et les vices champions 500 000 FCFA et la médaille d’argent. Pour les juniors, il s’agit d’un trophée 🏆, la médaille 🏅 d’or et 400 000 FCFA pour les vainqueurs et 300 000 FCFA pour les vices champions.
Selon la Présidente de la Fédération Burkinabè de Handball Stella TAPSOBA, c’est un sentiment de satisfaction qui s’installe non seulement au niveau du jeu mais aussi au niveau du jeu mais aussi au niveau de la qualité de l’organisation. Elle a profité de l’occasion pour remercier sincèrement le Ministère des Sports, de la Jeunesse et de l’Emploi, pour son accompagnement. « J’adresse ma gratitude à l’ensemble des partenaires pour leurs soutiens multiformes. Je lance un appel aux responsables des sports burkinabè afin que le handball burkinabè puisse être exporté à l’échelle africaine voire mondiale», a plaidé la présidente.
Pour le Gouverneur de la région du centre, Monsieur Abdoulaye BASSINGA au-delà de l’enjeu sportif, il faut voir le rassemblement, l’engouement, toutes choses qui est un facteur de cohésion sociale. «En marge de la Journée Internationale de la Jeunesse dont la commémoration régionale a eu lieu le 19 août à Komsilga, il a été demandé aux différents acteurs d’être des vecteurs de paix», a laissé entendre le Gouverneur.
Du reste, il convient de noter que c’est dans une ambiance conviviale que les finales handball saison 2022/2023 ce sont tenues. Rendez-vous est pris pour la saison 2023/2024.
Ismaël Kiekieta ✍️
Le comité d’organisation de la 1re édition des Jeux Nationaux de la Relève Sportive (JNRES) a organisé ce lundi 21 août 2023 à Ouagadougou une conférence de presse pour le lancement officiel des JNRES. La 1re édition se tiendra du 24 Août au 02 septembre […]
Actualité SportLe comité d’organisation de la 1re édition des Jeux Nationaux de la Relève Sportive (JNRES) a organisé ce lundi 21 août 2023 à Ouagadougou une conférence de presse pour le lancement officiel des JNRES. La 1re édition se tiendra du 24 Août au 02 septembre 2023 à Bobo Dioulasso. Et c’est le Secrétaire technique chargé de la relève, Abdallah Golo qui a procédé à la lecture de la déclaration liminaire.
L’Initiative est des premiers responsables en charge du sport qui attendent de ces pas, promouvoir la professionnalisation des minis athlètes, fois de leur attribuer des atouts d’assurance pour la relève dans toutes les disciplines sportives au pays des hommes intègres.
Et en cette rencontre de partage des informations y référant avec les journalistes sportifs, c’est le Directeur technique chargé de la relève, GOLO Abdallah représentant le ministre des sports de la jeunesse et de l’emploi, qui a donné les objectifs visés par une telle compétition d’envergure dont pour son déroulement attend se déporté dans la ville de SYA sous le haut patronage du président de l’ALT.
Selon Secrétaire technique chargé de la relève, Abdallah Golo, il convient d’inviter d’or et déjà les sponsors et les partenaires à associer leur image à cette première édition. « Toutes les dispositions sont prises pour qu’il y ait plus de visibilité autour de cette première édition des JNRES. Ce sont les minimes et les cadets qui seront pris en compte pour cette édition. Nous attendons 2000 athlètes et encadreurs. Les athlètes seront répartis sur deux sites d’hébergement. Nous travaillons en collaboration avec les fédérations. Toutes les dispositions ont été prises pour le bon déroulement des activités. Les équipes viendront des 13 régions du Burkina Faso. Cette compétition s’inscrit dans l’esprit des jeux de l’espoir. Le coût est estimé à plus de 500 000 000 FCFA», a confié Abdallah Golo.
Pour Dr SÉRÉ, l’aspect santé sera innové avec des prises en charge spécifique. Il ajoute qu’il y a une panoplie de bilan de santé seront fait pour les athlètes. « Instructions nous ait été donné par le ministre des sports pour délivrer des bilans de santé aux jeunes athlètes», a laissé entendre Dr SÉRÉ.
Rendez-vous est pris du 24 août au 2 septembre prochain à Bobo Dioulasso pour la 1re édition des JNRES.
A travers le projet Stream 2 « Jeune en action pour transformer les normes du genre », l’Association Burkinabè pour le Bien être familial Burkina Faso (ABBEF ) en collaboration avec International Planned Parenthood Fédération ( IPPF ) a procédé à la formation de 21 […]
Actualité santé SociétéA travers le projet Stream 2 « Jeune en action pour transformer les normes du genre », l’Association Burkinabè pour le Bien être familial Burkina Faso (ABBEF ) en collaboration avec International Planned Parenthood Fédération ( IPPF ) a procédé à la formation de 21 jeunes sur le leadership et les compétences de vie courante du programme Stream 2, ce mardi 21 Août 2023 à Ouagadougou. Trois jours durant, la formation portera essentiellement sur la confiance en soi, l’affirmation de soi, la prise de décision et les qualités de leader. L’objectif général de cet atelier est de renforcer les capacités des jeunes et des adolescents sur le leadership et les compétences de vie courante. Ladite formation s’est tenue sous le leadership du Directeur de Programme du projet, Jacques SARÉ, de la coordinatrice du projet et de la formatrice Hadissa Konaté.
Les jeunes ont besoin de renforcer leurs notions sur certaines thématique concernant la vie courante et le leadership et c’est sans nulle doute dans cette optique que l’ABBEF à travers le projet Stream 2 « Jeune en action pour transformer les normes du genre » a initié une session financé par la Fédération Internationale pour la Planification Familiale (IPPF).
D’entrée de jeu, il s’est agi pour Jacques SARÉ, Directeur des programmes du projet de définir le leadership comme étant la capacité d’un individu à mener ou conduire d’autres individus ou organisations dans le but d’atteindre certains objectifs. Pour lui, il est nécessaire d’avoir des compétences de vie qui sont celles que nous apprenons pour vivre en communauté pour un bon leadership.
« Pour un bon leadership, il est nécessaire de renforcer ses capacités. Cette session de formation à pour objectif de contribuer à la résolution des problématiques de la vie courante des jeunes. Chers jeunes nous comptons sur vous pour mettre à profit et en pratique les compétences que vous aurez reçu surtout sur les réseaux sociaux et les médias. Je voudrais dire merci à tous pour la disponibilité. Je souhaite plein succès aux travaux» a souhaité, Saré Jacques, Directeur des programmes du projet, avant de déclarer ouverte la session de formation.
A entendre la coordinatrice du projet Stream 2, Mariam Ouédraogo, cette session de formation de 72 heures vise à renforcer la capacité des jeunes. Elle ajoute que tout est parti d’un constat selon lequel les jeunes ont beaucoup de capacité mais ne s’intéresse pas vraiment aux thématiques qui les incombent dont la santé sexuelle et reproductive.
« Cette formation va susciter de l’engouement de la part des jeunes à s’intéresser aux problématiques qu’ils vivent. En l’occurrence les grossesses non désirées et le tabagisme. Les réseaux sociaux ont également plus d’influences sur la prise de décision des jeunes et cette formation va les permettre de prendre de bonnes décisions. Nous attendons que les jeunes formés aujourd’hui soient des relais au près de leur communauté» a laissé entendre la coordinatrice dudit projet.
Pour Flaubert Sam, Étudiant en Médecine, cette formation à tout son sens parce qu’elle vient renforcer leur capacité à analyser les choses et à mieux analyser les problématiques auxquelles les jeunes font face.
Au termes, de ses 72 heures de formation, les initiateurs attendent que les jeunes et les adolescents participent où réalisent des émissions radios, Facebook sur les sujets les concernant.
Du reste, il convient de noter que le projet Youth in Action contribue à agir sur les communautés afin de créer un environnement favorable, garantir un accès universel aux services de santé sexuelle reproductive (SSR) centrés sur les jeunes par des stratégies à haut impact, en améliorant les législations par le plaidoyer.
Ismaël Kiekieta ✍️
Le Coordonnateur national A Son Excellence Monsieur le Président de la République française -PARIS, FRANCE- Objet : suspension de l’aide au développement et de l’appui budgétaire au Burkina Faso. Ouagadougou, le 18 août 2023. Excellence Monsieur le Président, Par la présente lettre ouverte, je vous […]
Actualité SociétéLe Coordonnateur national
A
Son Excellence Monsieur le Président de la République française
-PARIS, FRANCE-
Objet : suspension de l’aide au développement et de l’appui
budgétaire au Burkina Faso.
Ouagadougou, le 18 août 2023.
Excellence Monsieur le Président,
Par la présente lettre ouverte, je vous adresse les salutations fraternelles de l’ensemble des organisations patriotiques de veille citoyenne et de l’ensemble des vaillants Hommes intègres.
Je m’adresse à vous à la suite de votre annonce de suspension de l’aide au développement et de l’appui budgétaire à notre cher pays, le Burkina Faso. Cette suspension intervient à un tournant décisif de la marche triomphale des Burkinabè vers l’indépendance pleine, totale et entière, laquelle commande à l’ensemble du peuple avec à sa tête, Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORÉE, Président de la Transition, Chef de l’État, des choix stratégiques hardis.
C’est dans cette optique qu’il faut appréhender le discours patriotique de son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, Président de la Transition, Chef de l’État à Saint-Pétersbourg et la déclaration conjointe du Mali et du Burkina Faso en soutien au peuple frère du Niger.
Pourtant, loin de réinventer la politique étrangère française pour la conformer au droit international, lequel impose le respect strict de la souveraineté des États en l’espèce, celle de notre mère Patrie le Faso et de l’ensemble des ex-colonies françaises, vous avez fait l’option de pérenniser la tradition française de vassalisation et d’exploitation de nos États.
En effet, l’annonce de la suspension de l’aide au développement et de l’appui budgétaire au Burkina Faso démontre à souhait tout le mépris, la condescendance et les velléités de domination perpétuelle et permanente que vous et votre gouvernement réservez à nos États, un sordide dessein que vous tentez en vain de dissimuler à travers ce fameux concept d’Aide Publique au Développement (APD), lequel n’est qu’un moyen de domination déguisé. Cette conduite de la diplomatie française suscite quelques interrogations :
comment peut-on prétendre apporter de l’aide en faveur du développement d’un pays tout en l’utilisant comme un instrument de pression ?
quelle est cette aide qui miraculeusement maintient ses bénéficiaires au banc des éternels assistés ?
en quoi sommes-nous des pays nécessiteux, un lourd fardeau, sinon un boulet que vous devez trainer, alors même que l’idée que nous puissions exercer totalement notre souveraineté vous fait perdre toute raison ?
Si vous et vos institutions impérialistes ne l’avez pas encore intégré, sachez que le temps de néocolonialisme est révolu ! Nos peuples, conscients de la communauté de destin que vous nous avez réservée ont choisi d’assumer leur révolte. C’est pourquoi la maxime révolutionnaire du Camarade président, le Capitaine Thomas SANKARA est plus que jamais une réalité : « Oser lutter, savoir vaincre ! ».
Monsieur le Président
Il est de bon ton de vous rappeler que quand votre pays, la France était sous domination nazie, le peuple français dans un instinct de survie avait pris son destin en main.
Nul besoin de vous dire, que l’exploitation à laquelle vous souhaitez soumettre notre pays est contestée par le vaillant peuple du Burkina Faso qui a décidé d’assumer son destin et de marcher courageusement vers un avenir radieux.
Monsieur le Président, le discours patriotique du Président de la Transition livré à la faveur du sommet Russie-Afrique est l’expression de la jeunesse burkinabè qui veut désormais s’assumer entièrement et refuser de mourir dans les océans à la recherche d’un eldorado construit, faut-il le rappeler, avec les fruits de l’exploitation de nos peuples.
L’aide au développement est l’un de vos instruments de soumission de nos États. Elle contribue à perpétuer votre système de prédation de nos ressources en tout genre. C’est bien sous ce manteau que vous maintenez sous votre contrôle nos dirigeants et nos institutions.
Chez nous au Burkina Faso il existe une plante qui ne doit sa vie qu’à la sève d’une autre. À force d’être exploitée la plante nourricière finit par mourir et l’autre aussi. Nous n’avons pas connaissance de l’existence d’une telle plante en Europe. C’est pour nous l’image de la France à l’égard de l’Afrique dont l’exploitation barbare n’a d’autres fins que sa disparition.
Nous, jeunesse burkinabè, dénonçons, rejetons et condamnons ce système de prédation déguisé en aide publique au développement et d’appui budgétaire que vous faites passer pour des faveurs. Nous n’en voulons plus et nous nous battrons de concert avec nos autorités pour la souveraineté totale de notre pays.
Que cela soit bien clair Monsieur le Président : nous n’en voulons plus.
Nous souhaitons par ailleurs le retrait des experts français de notre administration et la fin de la mise sous tutelle française de nos finances publiques. Notre lutte pour la dignité de nos États ne sera un succès que si nous parvenons à mettre un terme à toutes ces formes avilissantes de coopération.
Le peuple du Burkina Faso et les peuples africains ne veulent plus que des faits ou évènements s’ajoutent à l’histoire odieuse que nous avons déjà vécu. Cette histoire est faite d’horreurs, de terreurs, de crimes de tous ordres dont, vous nous permettrez, de rappeler quelques-uns.
le massacre des tirailleurs ouest-africains à Thiaroye le 1er décembre 1944;
les assassinats en série des indépendantistes et hommes politiques africains D’Ali Boumendjel d’Agérie en 1957 à Mouammar Kadhafi en Lybie en 2011, en passant par Barthélémy Boganda en 1959 en République Centrafricaine, Um Nyobè en 1958 et Félix Moumié du Cameroun en 1960, Sylvanus Olympio du Togo en 1963, François Tombalbaye du Tchad en 1975, Thomas Sankara du Burkina Faso en 1987 ;
l’imposition d’une monnaie coloniale qui enrichit le trésor français.
C’est là une infime partie de la mission civilisatrice de la « patrie des droits de l’homme » en Afrique.
C’est un combat que les peuples souverains du sahel mènent inlassablement pour la souveraineté et la reconquête des territoires infestés par des terroristes que vous recrutez, formez et équipez contre les paisibles populations du Sahel qui aspirent à vivre dignement dans leur authenticité.
Le Burkina Faso a de quoi vivre dignement et c’est ce chemin que le peuple a osé emprunter et qui s’écarte de l’assistanat que vous lui proposer !
Recevez, Excellence Monsieur le Président, l’expression de ma Très haute considération.
La Patrie ou la mort, nous vaincrons !
Richard Ouango
Les femmes du Mouvement Faso Lagam Taaba Zaka et des associations sœurs ont organisé dans la soirée du samedi 19 août 2023 à Ouagadougou une conférence publique pour réaffirmer leur soutien au Capitaine Ibrahim TRAORÉ, Président de la Transition du Burkina Faso. La conférence publique […]
Actualité SociétéLes femmes du Mouvement Faso Lagam Taaba Zaka et des associations sœurs ont organisé dans la soirée du samedi 19 août 2023 à Ouagadougou une conférence publique pour réaffirmer leur soutien au Capitaine Ibrahim TRAORÉ, Président de la Transition du Burkina Faso. La conférence publique a porté essentiellement sur quatre points majeurs, Apporter leur soutien aux initiatives de la transition ; Exhorter toutes les femmes à rejoindre la lutte pour la libération de du continent du côté des Hommes; Faire une proposition aux autorités pour une transition réussie ; et Clarifier leur position sur la question du Niger. C’est sous le contrôle du président du Mouvement Faso Lagam Taaba Zaka, Adama Compaoré et les chefs coutumiers que Mariam Compaoré a procédé à la lecture de ladite déclaration liminaire.
D’entrée de jeu, il s’est agi à la conférencière du jour, Mariam Compaoré de demander une minute de silence avec de réaffirmer publiquement que les femmes de Faso Lagam Taaba Zaka et ses associations sœurs soutiennent les initiatives de la transition. Elle ajoute que personne n’ignore que le Burkina Faso traverse une période sombre de son histoire ou les femmes sont majoritairement victimes. « Nombreuses sont les mères qui ont pleuré et pleurent encore à l’arme chaude la perte de leurs tendres fils, maris, frères, sœurs, l’unique plier de sa famille, ont été objets de viole. Constatant son engament, sa détermination, le patriotisme qui l’animent, et aussi et surtout observant les résultats positifs engrangés sur le terrain ; nous,femmes engagées de Faso Lagam Taaba Zaka, appelons tous les Burkinabè et les femmes en particulier, à rester constamment solidaires pour soutenir les initiatives de cette transition», a t’elle précisé.
Lors de sa déclaration liminaire, Mariam Compaoré a exhorté toutes les femmes à rejoindre la lutte pour la libération avant de paraphraser le capitaine Thomas Isidore Noël SANKARA: « Des femmes qui luttent et proclament avec nous, qu’un esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte ne mérite pas que l’on s’apitoie sur son sort».
«Vu ce qui précède, nous rappelons aux femmes de l’Afrique en générale et du Burkina Faso en particulier que les femmes ont toujours vivement participé aux luttes de libération des peuples et nous les femmes du Burkina n’en faisons pas l’exception. Dans cette même optique, nous appelons davantage tous les Burkinabè de tous lieux de faire preuve de vigilance. A partir de cet instant, chaque Burkinabè et spécifiquement, nous les femmes devons jouer chacune le rôle du renseignement dans nos villes quartiers et villages. Car le terrorisme est en train de prendre autre forme», ajoute Mme Mariam Compaoré.
En termes de proposition, les femmes de Faso Lagam Taaba Zaka après avoir saluer les initiatives en faveur des orphelins et veuves victimes du terrorisme, ont invité le gouvernement de la transition à recruter les femmes victimes d’agressions sexuelles pour des sensibilisations et des prises en charge de leurs soins et en les aidant avec une autonomisation économique.
Du reste, il convient de noter que sur la situation du Niger les femmes s’indignent de l’attitude de la CEDEAO et restent mobilisées derrière le peuple du Niger.
Ismaël Kiekieta ✍️
L’Association des Menuisiers et Tapissiers de Nongr-Masom (AMTN) a organisé dans la matinée de ce samedi 19 août 2023 à Ouagadougou au CSPS de Tanghin, une campagne de reboisement et de nettoyage et un don de support de moustiquaires. C’est une campagne qui entre dans […]
Actualité Environnement SociétéL’Association des Menuisiers et Tapissiers de Nongr-Masom (AMTN) a organisé dans la matinée de ce samedi 19 août 2023 à Ouagadougou au CSPS de Tanghin, une campagne de reboisement et de nettoyage et un don de support de moustiquaires. C’est une campagne qui entre dans le cadre des objectifs de l’AMTN, à savoir promouvoir la protection de l’environnement et l’assainissement des cadres de vie. Ladite Campagne de reboisement était placée sous le leadership de la marraine, Mme Adja Maimouna Sawadogo, du Major du CSPS du secteur 17, Issaka Kouanda, du Nakoms Naaba de Tanghin et du président de l’AMTN, Gombré Bernard.
S’investir dans la promotion de la protection de l’environnement et de l’assainissement des cadres de vie, voici ici toute la quintessence qui a prévalu à une campagne de reboisement de nettoyage et de reboisement par l’Association des menuisiers et tapissiers de Nongr-Masom. Et pour cette campagne ce sont au total 100 arbres fruitiers et sauvages qui ont mis en terre. Il s’agit principalement de manguier, de goyavier, de baobab, de Nîme et de tamarinier.
A entendre le premier responsable de l’AMTN, Bernard Gombré, il était important de commencer cette campagne de nettoyage et de reboisement au niveau du CSPS du secteur 17 parce que c’est un lieu de référence pour les habitants du secteur. Il ajoute que si les hommes vivent c’est parce qu’il y a la santé.
« Nous avons pensé qu’il était important de nettoyer le CSPS et de planter quelques arbres pour le bonheur des patients et du personnel soignant. L’AMTN a l’issue du reboisement a offert des supports de Moustiquaires au CSPS parce que nous sommes en période de paludisme», a confié Gombré Bernard, président de l’AMTN.
Lors de son allocution le Major du CSPS, Issaka Kouanda a tenue à remercier les membres de l’association pour leur initiative et leur sens de la protection de l’environnement.
« Je voudrais remercier toutes les personnes qui ont effectué le déplacement au CSPS du secteur 17. Nous avons reçu des supports pour porter nos moustiquaires et des arbres. Le CSPS travaille avec certains tapisiers de l’AMTN pour l’entretien de nos lits. C’est un honneur pour le CSPS d’être choisi par l’association pour un reboisement. Nul n’ignore l’importance d’un arbre. Je voudrais féliciter l’association pour l’initiative et le choix du CSPS. Nous sommes en période de paludisme et cette action est à saluer à sa juste valeur», a laissé entendre le Major du CSPS du secteur 17, Issaka Kouanda.
Pour la marraine du jour, Mme Adja Maimouna Sawadogo, c’est un honneur qui l’anime. Elle précise au regard de la nature de l’activité, elle n’a pas hésité un seul instant à accepter le parrainage.
« je voudrais remercier l’association AMTN pour le choix de ma modeste personne. Je vous invite à plus d’union et de cohésion pour la réussite de vos activités. J’invite les responsables communales à soutenir l’AMTN parce que planter un arbre c’est préparer un avenir radieux pour les générations futures», souligne Marraine Adja Maimouna Sawadogo.
Selon Nakoms Naaba de Tanghin, il est là pour représenter et apporter le soutien du Tanghin Naaba. Pour lui, les bienfaits du reboisement sont innombrables parce qu’il y a l’ombre, les fruits, le bois et sa capacité à soigner certaines maladies. « Une telle activité dans un centre de santé, va contribuer au bien être des patients et des accompagnants», soutient le représentant du Tanghin Naaba.
Du reste, il convient de noter que l’association existe depuis 2001 et compte plus de 70 membres. Elle a contribué à l’effort de guerre avec une enveloppe financière de 100 000 FCFA.
Ismaël Kiekieta ✍️
Silkcoat Burkina a procédé au lancement officiel de la gamme de peinture Silkcoat suivi de formation des peintres venus des régions Burkina Faso ce dimanche 13 août 2023 à Ouagadougou.Silkcoat est une marque turque spécialisée dans la production de la peinture murale, des revêtements décoratifs, […]
Actualité SociétéSilkcoat Burkina a procédé au lancement officiel de la gamme de peinture Silkcoat suivi de formation des peintres venus des régions Burkina Faso ce dimanche 13 août 2023 à Ouagadougou.Silkcoat est une marque turque spécialisée dans la production de la peinture murale, des revêtements décoratifs, et des solutions de peinture à étanchéité et isolation thermique. Silkcoat est fabriqué dans 11 pays et distribué dans 67 pays à travers le monde dont 35 en Afrique. Ledit lancement s’est tenu sous le leadership des premiers responsables de Silkcoat et du DG de Silkcoat Burkina, Souleymane Yarga.
Montrer aux peintres burkinabè la marque de peinture Silkcoat et les apprendre à les appliquer, voici là la quintessence de présentation officielle de Silkcoat. Peinture intérieure et extérieure maison, décorative et murale ce sont ici les gammes de peintures de Silkcoat.
A entendre, le DG de Silkcoat Burkina, Souleymane Yarga, Silkcoat est une marque de peinture de Turquie représentée dans 67 pays du monde. « Cette formation nous permet de montrer Silkcoat et ses produits. Il s’agit fondamentalement de montrer l’application et les modes d’utilisation de la peinture aux peintres afin qu’ils puissent faire le promotion auprès des potentiels clients. Silkcoat Burkina propose des peintures décoratives, anti insectes, intérieur et extérieur maison. La formation est gratuite et a pour but de présenter les produits Silkcoat aux peintres. Les peintres ont été retenus par le biais d’un appel à formation pour les peintres de tous les régions du Burkina Faso. Il y a des peintres qui sont venus de Bobo Dioulasso, de Dedougou et de bien d’autres régions. Dans les jours à venir une autre formation est prévue pour les amateurs et les amoureux de la peinture maison. Avec les peintres nous avons un partenariat gagnant-gagnant», a confié Souleymane Yarga.
Les prochaines formations auront une durée de un peu responsable pour permettre aux apprenants de mieux se perfectionner et seront sanctionnées d’une attestation.
Du reste, il convient de noter que les jours à venir Silkcoat Burkina aura des représentations un peu partout sur le territoire national. Notamment à Bobo, Dedougou, Fada et bien d’autres.
Ismaël Kiekieta ✍️
Dans le cadre de la lutte contre la déforestation, l’Association pour la Préservation de la Nature (APRN) a procédé au lancement de la 4e édition de sa campagne de reboisement, ce samedi 12 août 2023 à Ouagadougou dans le bosquet de la centrale photovoltaïque de […]
Actualité EnvironnementDans le cadre de la lutte contre la déforestation, l’Association pour la Préservation de la Nature (APRN) a procédé au lancement de la 4e édition de sa campagne de reboisement, ce samedi 12 août 2023 à Ouagadougou dans le bosquet de la centrale photovoltaïque de Zagtouli. Cette action a connu la participation active des membres de l’association, des agents de la SONABEL et du Ministère en charge de l’énergie. Cette campagne de reboisement va sans nul doute contribuer à freiner l’avancée du désert. Ladite Campagne de reboisement s’est tenue sous le leadership de la présidente de l’APRN, Ouattara Chantal, du DG de la SONABEL, Ouédraogo Souleymane et du DIRCAB du Ministère en charge de l’énergie, Sankara Yaya
Accroître le potentiel productif des forêts pour contribuer à la résilience des communautés et à la séquestration du carbone tel est l’esprit qui anime les membres de l’APRN en initiant cette campagne de reboisement.
Et pour la Présidente de l’APRN, Ouattara Chantal, la SONABEL dans ses activités contribue au déboisement et elle a le devoir de mener des activités pour compenser ce qu’elle a enlevé à la nature. Elle ajoute que les ouvrages de la SONABEL sont importantes pour le bien être de l’homme et qu’il était temps que la SONABEL mette l’accent sur l’action environnementale à travers l’APRN.
« Depuis trois ans, nous organisons chaque année des reboisements en faveur de la journée nationale de l’arbre. Après Zagtouli nous prévoyons d’autres sites pour le reboisement. L’objectif de la Journée de l’arbre c’est de mettre en terre 5 millions de plants et la contribution de l’APRN s’élève à 1091 plants. D’ici octobre, des plants seront mis en terre sur d’autres sites. Nous avons des espèces comme des manguiers, des baobabs, des tamariniers et bien d’autres», a confié la présidente.
A entendre le DG de la SONABEL, Ouédraogo Souleymane, les éditions passées ont permis de mettre des plants en terre qui sont toujours vivants. « Nous avons un taux de survie acceptable parce qu’on ne se préoccupe pas seulement de planter. Nous avons également un dispositif qui permet de prendre soin des plants. Pour la SONABEL, la préservation de la nature est importante», soutient le DG.
Selon le DIRCAB du ministère en charge de l’énergie, Yaya Sankara pour une activité aussi noble, il fallait que le ministère puisse marquer de sa présence pour encourager et saluer les acteurs. A lui de préciser qu’il arrive que les travaux de la SONABEL impactent l’environnement et cette activité vient compenser.
Du reste, il convient de noter que c’est dans une ambiance festive que cette activité de reboisement a pris fin
Ismaël Kiekieta ✍️
Le Mouvement « Le Faso, Ma Patrie » a suivi avec grand intérêt le ministère français des affaires étrangères qui a annoncé le dimanche 6 aout 2023 la suspension par la France, jusqu’à nouvel ordre, de toutes ses aides au développement et d’appui budgétaire au […]
Actualité SociétéLe Mouvement « Le Faso, Ma Patrie » a suivi avec grand intérêt le ministère français des affaires étrangères qui a annoncé le dimanche 6 aout 2023 la suspension par la France, jusqu’à nouvel ordre, de toutes ses aides au développement et d’appui budgétaire au Burkina Faso.
Tout porte à croire que le discours patriotique de Son Excellence Monsieur le Président de la Transition à la faveur du sommet Russie-Afrique et le fenne engagement du Burkina Faso et du Mali à soutenir les élites militaires patriotes du Niger, qui sonnent le glas de la politique française au sahel, tourmentent sévèrement la France. Le Mouvement « Le Faso, Ma Patrie » soutient fermement le Capitaine Traoré et le Gouvernement dans leurs engagements de décolonisation du Burkina Faso et partant de toute l’Afrique.
Cette attitude de la France, vient confirmer à n’en point douter que son aide est un de ses instruments impérialistes qui visent à maintenir les pays africains dans la dépendance.
Au demeurant, l’aide dite ‘ aide au développement’ ne sert que les intérêts de la France au détriment des paisibles populations burkinabè et est la source des revers économiques conduisant à la paupérisation. Du reste, A l’occasion de l’Assemblée Générale de l’ONU du 4 octobre 1984, feu le Président Thomas Sankara annonça avec véhémence : « Nous encourageons l’aide qui nous aide à nous passer de l’aide. Mais en général, la politique d’assistance et d’aide n’a abouti qu’à nous désorganiser, à nous asservir, et à nous déresponsabiliser dans notre espace économique, politique et culturel. Nous avons choisi de risquer de nouvelles voies pour être plus heureux. »
Le Mouvement Le Faso, Ma Patrie invite donc le gouvernement de la Transition à se passer de l’aide de France et à :
dénoncer les accords de coopération économiques et financiers entre la France et le Burkina
Faso • mettre fin aux interventions des experts français dans l’administration ; mettre fin aux accords relatif à la culture, la santé et l’éducation entre l’État français et le Burina Faso.
En tout état de cause, la souveraineté étant une quête non négociable, le vaillant peuple du Burkina Faso est prêt en toute circonstance à payer le prix fort.
La Patrie ou la mort, nous vaincrons !
✍️Le coordonnateur national