La 9e édition du FEMULIG: un événement à ne pas manquer à partir du 29 novembre Le comité d’organisation de la 9e édition du Festival de la Musique Live de Gounghin (FEMULIG) a rencontré la presse ce vendredi 22 novembre 2024 à Ouagadougou pour dévoiler […]
Actualité CultureCélébration des 125 ans d’Évangélisation du Burkina Faso : Un Nouveau Souffle pour l’Église Famille de Dieu Le Comité de Pilotage du Jubilé des 125 ans d’évangélisation du Burkina Faso, en collaboration avec la Conférence Épiscopale Burkina-Niger, a organisé une conférence de presse ce vendredi […]
Actualité Religion SociétéLa Fondation Amazone Zabré : Un soutien inébranlable aux soldats blessés de guerre Dans le cadre de son engagement en faveur de la paix, la Fondation Amazone Zabré a organisé une journée de solidarité avec les soldats blessés en opération. Ce dimanche 17 novembre 2024, […]
Actualité Sécurité SociétéLa 9e édition du FEMULIG: un événement à ne pas manquer à partir du 29 novembre Le comité d’organisation de la 9e édition du Festival de la Musique Live de Gounghin (FEMULIG) a rencontré la presse ce vendredi 22 novembre 2024 à Ouagadougou pour dévoiler […]
Actualité CultureCélébration des 125 ans d’Évangélisation du Burkina Faso : Un Nouveau Souffle pour l’Église Famille de Dieu Le Comité de Pilotage du Jubilé des 125 ans d’évangélisation du Burkina Faso, en collaboration avec la Conférence Épiscopale Burkina-Niger, a organisé une conférence de presse ce vendredi […]
Actualité Religion SociétéLa Fondation Amazone Zabré : Un soutien inébranlable aux soldats blessés de guerre Dans le cadre de son engagement en faveur de la paix, la Fondation Amazone Zabré a organisé une journée de solidarité avec les soldats blessés en opération. Ce dimanche 17 novembre 2024, […]
Actualité Sécurité SociétéOuagadougou Hosts, this Thursday, November 14, 2024, the Press Conference for the Arts and Culture Awards of the Kingdom of Eswatini scheduled for December 14 in Eswatini. This major event will take place on December 14, 2024, in honor of the traditional Incwala festival, […]
Actualité CultureLa Cellule des étudiants de la région du Centre de Burkina Remparts a initié dans la matinée de ce jeudi 02 octobre 2023 à Ouagadougou, une conférence de presse. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était de présenter à l’opinion publique leur […]
Actualité SociétéLa Cellule des étudiants de la région du Centre de Burkina Remparts a initié dans la matinée de ce jeudi 02 octobre 2023 à Ouagadougou, une conférence de presse. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était de présenter à l’opinion publique leur souhait de prolongation de la transition burkinabè jusqu’à novembre 2025. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership, Jean jacques Seny, Président de la Cellule estudiantine du Centre et de Tindambiga, Vice Président.
Les membres de la coordination estudiantine de la Fédération Burkina Rempart du centre, apprécient positivement les actions déjà entreprises par le Président Ibrahim TRAORÉ à l’endroit de la jeunesse burkinabe.
Pour le premier responsable, la cellule des Etudiants souhaite la prolongation de la Transition jusqu’en
novembre 2025. « Cela permettra au Gouvernement de la Transition de mieux sécuriser tout le territoire burkinabè en boutant le terrorisme hors de nos frontières.
Nous saluons la concrétisation du programme d’entreprenariat communautaire par l’actionnariat populaire porté par l’APEC. C’est un projet qui prend en compte les aspirations profondes de la majeure partie de la jeunesse burkinabè. Nous saluons aussi à sa juste valeur la révision des taxes fiscales sur les entreprises françaises, la suppression de l’accord d’exonération fiscale avec la France et la révision du statut de la SOSUCO.
Au regard de toutes ces actions salvatrices et au vu de l’engagement patriotique de nos vaillants FDS et VDP qui ont encore besoin d’un temps précieux pour la libération totale du pays des mains des terroristes. Nous suggérons vivement au peuple burkinabè la prolongation de la Transition jusqu’en 2025 pour le retour réel de la sécurité et de la paix au Burkina », a confié le conférencier principal du jour.
La cercle d’études, de recherches et de formation islamique de la coordination régionale du centre en collaboration avec la Fédération des Associations Islamique du Burkina a tenu dans la matinée de ce dimanche 29 octobre 2023 à Ouagadougou une conférence publique autour du thème « […]
Actualité SociétéLa cercle d’études, de recherches et de formation islamique de la coordination régionale du centre en collaboration avec la Fédération des Associations Islamique du Burkina a tenu dans la matinée de ce dimanche 29 octobre 2023 à Ouagadougou une conférence publique autour du thème « La gestion des crises sociopolitiques à la lumière des références islamiques. L’objectif étant d’éclairer les lanternes des fidèles musulmans sur la conduite à tenir dans la gestion des crises sociopolitiques. Imam Alidou Ilboudo a été le conférencier principal du jour.
D’entré de jeu, il a été question pour le conférencier principal du Jour, Imam Alidou Ilboudo, de souligner que dans le cadre de l’islam, il y a deux positions. Il cite la position de principe liée à la croyance et la position de circonstance liée à la condition humaine.
« Au delà des divergences et des valeurs, nous sommes du même origine et nous avons la même volonté de vivre. Il faut toujours faire le bien à son prochain. Seule la recherche de la justice et de l’équité sont des fonctions qui vont rester. La vie humaine est sacrée et il faut la préserver. Il ne faut pas nuire à autrui. Il y a le pardon et la réconciliation dans le fondamentaux des crises. On parle de la réconciliation sociale et non politique. Nous devons prôner le dialogue social.
Pour le coordonnateur du Cerfi Région du Centre, cette conférence publique a pour but d’apporter la contribution du CERFI à la résolution de la crise que traverse le Burkina Faso depuis quelques années. Il ajoute qu’il s’agit de s’interroger sur la crise sociopolitique selon les prescriptions du Prophète Mohammed (SAW). « En revisitant les enseignements du Prophète, nous trouverons des résolutions propres à la communauté. Les solutions trouvées seront la contribution du CERFI. Ceux qui prennent part à cette conférence doivent porter plus le message du CERFI par rapport à la résolution de crise. On attend que les conférenciers soient porteurs de messages de paix, de vivre ensemble et de cohésion sociale. Après cette conférence, les résultats seront transmis aux décideurs », a confié Rasmané Simporé, Coordonnateur Régional du Centre CERFI.
Du reste, il convient de noter que ce sont plus de 200 personnes qui ont pris part à cette conférence publique du CERFI. Rendez-vous est pris pour les prochaines activités du CERFI.
Ismaël Kiekieta ✍️
Les Ex Prisonniers pour la Cause de l’Amitié Burkina Russie (EPC-ABR) animé un point de presse ce samedi 28 octobre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de rencontre avec les hommes de médias était d’expliquer à l’opinion publique les circonstances de l’ arrestation des membres de l’EPC-ABR […]
Actualité SociétéLes Ex Prisonniers pour la Cause de l’Amitié Burkina Russie (EPC-ABR) animé un point de presse ce samedi 28 octobre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de rencontre avec les hommes de médias était d’expliquer à l’opinion publique les circonstances de l’ arrestation des membres de l’EPC-ABR et d’affirmer leur soutien au Capitaine Ibrahim TRAORÉ, Président de la Transition du Burkina Faso. Ladite conférence de presse s’est tenue sous le leadership du Président du Mouvement, Hamad Tidiane Sawadogo, du porte-parole adjoint Alexis RG ZOUNGRANA, du vice-président Seydou Ouédraogo et du conseiller, Bikienga Ousseini.
D’entrée de jeu, il a été question pour les conférenciers du jour de revenir sur l’histoire de leurs arrestations. En effet, ce sont au total un mois que les EPC-ABR ont passé derrière les barreaux pour avoir demandé une collaboration Burkina-Russie. Et au porte parole de EPC-ABR de soutenir que tout à commencé au temps de Rock Marc Christian
KABORE, lorsque la situation sécuritaire était devenue très préoccupante.
«En ce moment nous sommes sortis donner notre opinion au président pour le retour de la sécurité et la Paix au Faso, mais en ce moment le régime en place ne nous a pas considéré. C’est ainsi que des soldats ont attaqué nos positions avec des gaz lacrymogènes. Au sein de la population, nous étions perçus comme des bandits. Après le régime de Roch Marc Christian Kaboré vînt celui de Sandaogo Damiba. Un régime que nous avons dans un premier temps applaudi et apporté une demande de diversification des partenaires. Mais au fil du temps, nous avons constaté qu’ils n’avaient aucun changement, surtout sur le volet sécuritaire. Notre coordination est sortie le 23 Avril 2022 pour manifester contre la mauvaise gestion du pays et c’est dans cette manifestation que plusieurs de nos membres ont été Capturés et Emprisonnés durant un mois à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou», a expliqué le porte parole adjoint de EPC-ABR.
Cependant, il convient de noter que EPC-ABR a continué la lutte. Pour les conférenciers l’avènement du MPSR2 est venu réconforter et donner raison à la lutte.
« Nous sommes sortis encore une fois de plus apporter notre soutien au Capitaine TRAORE et ses Camarades. Le Capitaine Ibrahim TRAORE est venu suivre la voie du peuple, en ce sens qu’il a diversifié les partenaires et annulé certains accords avec la France.Avec le Capitaine TRAORE, l’espoir est permis et nous le félicitons pour son courage, sa bravoure et sa détermination», a laissé le porte parole adjoint.
Le président des EPC-ABR, Hamad Tidiane Sawadogo,n’a pas manqué de souligner qu’il existe un seul Burkina pour tous les burkinabè. Pour lui, il n’est pas question que le pays sombre sous le poids de l’hydre terroriste.
« On doit se mettre ensemble pour sauver le pays de l’hydre terroriste. Si ce pays tombe les burkinabè tomberont et il n’est pas question. Notre lutte sera laissé à nos enfants et à nos petits fils pour la libération de l’Afrique. Depuis que nous sommes libre, nous étions silencieux parce qu’il fallait prendre du recul. Nous avons laissé libre cours à nos leaders. Nous avons défendu ce pays à cause de notre patriotisme et notre amour le Burkina Faso. Nous sommes à 80% de satisfaction pour la collaboration Burkina Faso et la Russie parce qu’on a pas encore vue le bout du tunnel qui n’est plus loin», confie le Président des EPC-ABR, Hamad Tidiane Sawadogo.
Du reste, selon les conférenciers EPC-ABR se porte bien. «Nous avons créé ce mouvement pour soutenir le Président Ibrahim TRAORÉ. Nous avons été emprisonné parce que nous avons demandé une collaboration Burkina-Russie. Et aujourd’hui, cette lutte a porté fruit et on continue la lutte pour la diversification des partenaires», a conclu le porte-parole adjoint, Alexis RG ZOUNGRANA.
Ismaël Kiekieta ✍️
DECLARATION DU #SYNATCOMB DU 27/10/2023 Notre pays traverse une situation difficile consécutive à cette guerre injuste que les forces du mal ont imposé à notre peuple depuis quelques années, dont les conséquences impactent drastiquement la vie de l’ensemble de notre nation et particulièrement celle de […]
Actualité SociétéDECLARATION DU #SYNATCOMB DU 27/10/2023
Notre pays traverse une situation difficile consécutive à cette guerre injuste que les forces du mal ont imposé à notre peuple depuis quelques années, dont les conséquences impactent drastiquement la vie de l’ensemble de notre nation et particulièrement celle de nos populations vivant dans les zones directement touchées par le phénomène. Ces populations sont souvent contraintes à l’abandon de leurs terres pour devenir des réfugiés dans leur propre pays sous l’appellation de PDI (Populations Déplacées Internes).
Le sang innocent de nos populations sauvagement massacrées ainsi que celui de nos FDS et VDP tombés sur le champ d’honneur les armes à la main, sur la terre du pays des hommes intègres doit parler à notre conscience.
Nos combattants, dans leur ferme volonté de défendre l’honneur de la patrie affrontent la mort au quotidien sur les théâtres d’opérations ; le sang de ceux qui y laissent leur vie, jeunes pour Ja plupart, prématurément arrachés à l’affection de leurs familles dans la fleur de l’âge, doit interpeler notre conscience et nous amener à plus de sagesse dans nos prises de position.
Un adage dit ceci : 《 la vie de vaut rien, mais rien ne vaut la vie 》; ceci pour dire que nous devons vivre utile c’est-à-dire accepter de perdre un peu de nos privilèges pour rendre service au reste de la société dont l’existence donne un sens à notre vie ; l’homme n’est rien tout seul en dehors de la société.
Ce que l’histoire retiendra de notre passage sur la terre du pays des hommes intègres, ce ne serait certainement pas les biens que nous aurions amassés pour nos familles, nos proches ou nos partisans, mais plutôt ce que nous aurons fait de positif pour notre nation dans son ensemble ; I’histoire de Thomas SANKARA notre désormais Héros national est là pour nous enseigner cette vertu de la dimension humaine.
Les 30 et 31 octobre 2014, sont des dates historiques dans la marche de notre pays et nous
nous inclinons avec respect devant la mémoire des martyrs de l’insurrection populaire.
Le terrorisme qui tente de s’implanter dans notre pays a bien une histoire et on est fondé à dire qu’elle tire ses sources de la mal gouvernance qui a longtemps caractérisé la gestion du pouvoir d’Etat dans notre pays ; il faudrait bien que les historiens nous situent un jour, sur l’origine de la crise.
La prise du pouvoir par le MPSR-II avec à sa tête le Capitaine Ibrahim TRAORE est perçue comme une bouée de sauvetage par une jeunesse consciente qui a décidé de faire corps avec l’équipe de la Transition dans un engagement résolu à mener une lutte sans merci contre le terrorisme qui tue nos populations dans les CAMPAGNES, et celui qui s’adonne au détournement des deniers publics dans les couloirs de l’Administration publique.
Comme Thomas SANKARA, visiblement la politique de rigueur qu’imprime le Pouvoir de la
Transition ne semble pas concilier les intérêts de certains acteurs de notre société.
En tout état de cause, le minimum d’honnêteté et de bon sens commande de reconnaître que les difficultés auxquelles le pays est confronté n’ont pas été engendrées par la gouvernance de la Transition en cours.
Du reste, l’ensemble de notre peuple subit le poids de la crise mais pour l’amour de la patrie, nos concitoyens en majorité soutiennent la noble lutte qui se mène sur le terrain avec les moyens mobilisés par notre peuple car faisant confiance à cette Transition.
Dans le contexte actuel, notre priorité en tant que filles et fils de ce pays doit être de travailler à apporter le soutien et l’accompagnement dont ont besoins nos FDS et VDP qui se battent nuit et jour sur le front de de la reconquête des portions de notre territoire sous l’occupation ou la menace des groupes terroristes qui tentent de nous imposer leur loi.
Les contraintes de ce contexte commandent de taire nos divergences souvent stériles, en nous mettant au-dessus des intérêts particuliers ou partisans pour travailler à l’unisson dans un sursaut patriotique, en synergie d’actions, en vue de booster l’ensemble de nos forces combattantes qui enregistrent des victoires importantes sur le terrain de la lutte, et les pousser à la victoire finale sur les forces du mal qui endeuillent notre nation depuis près de huit ans.Comme le dit cet adage : 《 nous sommes condamnés à vivre ensemble comme des gens dotés d’intelligence, ou à mourir ensemble comme des idiots 》. C’est dire que nous devons tous prendre conscience et comprendre que le Burkina Faso est notre seul bien commun et donc à préserver à tout prix. Nous avons intérêt à ce que le pays tienne debout face aux menaces terroristes, pour que chacun puisse espérer un lendemain meilleur.
Pour ce faire, nous avons l’impérieux devoir de soutenir et de contribuer à la lutte engagée pour la reconquête de l’intégrité de notre territoire qui a amorcé une accélération sous la Transition actuelle et donne des résultats tangibles sur le plan de la récupération de certaines localités autrefois sous le contrôle de groupes terroristes.
Au regard du bilan enregistré dans la lutte de reconquête de l’intégrité de notre territoire sous l’impulsion du MPSR2 (acquisition d’équipements militaires, recrutements de combattants FDS et VDP, reconquête de certaines localités, etc.) en une année de gouvernance, nous pouvons être confiants pour dire que le bout du tunnel est proche si un esprit de sincérité anime tous les acteurs engagés dans la lutte.
Dans l’interview accordée au Président de la Transition à titre de bilan de l’an I du MPSRII
sur les antennes de la RTB, le Président a indiqué que ses portes restaient ouvertes à toutes les personnes qui souhaitent faire des propositions ou suggestions entrant dans le cadre d’une amélioration de la gouvernance. C’est donc dire que des canaux sont mis à la disposition de tous ceux qui souhaitent contribuer par leurs idées à la construction du pays, mais visiblement cela ne semble pas intéresser tout le monde.
Quand la nation est menacée dans son existence, le don de soi doit être la valeur la mieux promue et heureusement, notre peuple dans sa grande majorité l’a bien compris ; d’où sa forte adhésion au concept de ( l’effort de paix 》 initié par le Président de la Transition et qui a permis de mobiliser d’importants moyens financiers et matériels pour permettre de doter nos forces combattantes en équipements en vue de faire face plus efficacement à la situation sur le terrain.
La forte adhésion de nos compatriotes aussi bien de l’intérieur que de la diaspora à 《 l’effort de paix témoigne du degré de confiance portée à la Transition en raison de la transparence et la rigueur observées dans la gestion des contributions ; toute chose qui permet de mettre nos combattants dans de bien meilleures conditions de travail sur le terrain de la lutte. Sauf à être de mauvaise foi, cette réalité ne peut être niée.
Les conséquences de la crise sécuritaire que nous vivons impactent négativement la vie économique et sociale de nos concitoyens dans tous les secteurs d’activités de notre pays; la situation est encore plus difficile au niveau du secteur privé et le domaine du commerce se trouve particulièrement affecté.
Cependant, pour avoir compris que les sacrifices consentis visent à soutenir une lutte pour la bonne cause en ce sens qu’elle permettra à terme, à nos populations déplacées de rejoindre leurs localités en vue d’une vie qui respecte leur dignité, et au pays d’affirmer sa souveraineté à la face du monde par la prise en main de son destin dans le choix de ses partenaires en toute liberté et en fonction de sa vision du développement, nous invitons l’ensemble des Burkinabè et le monde syndical en particulier, à inscrire leurs actions dans la vision de cette dynamique de défense de l’intérêt national.
L’histoire retient toujours ce que nous avons fait de bien ou de mal à l’endroit de la nation ;
faisons donc en sorte que notre nom soit retenu du bon côté de I’histoire le moment venu.
Pour le combat de libération totale de notre pays, en avant;
Pour la lutte contre le détournement des deniers publics de notre Etat, en avant;
Pour la lutte contre l’incivisme dans les rues de nos villes, en avant;
Vive le SYNATCOMB;
Vive le Burkina Faso ;
La patrie ou la mort, nous vaincrons!
QUE DIEU BENISSE LE BURKINA FASO!
#faso-info
La coordination des OSC du Burkina Faso a initié dans la matinée de ce mardi 24 octobre 2023 à Ouagadougou un cadre d’échange avec les hommes de médias. Ces échanges ont porté essentiellement sur la situation sociopolitique du Burkina Faso et le meeting prévu par […]
Actualité SociétéLa coordination des OSC du Burkina Faso a initié dans la matinée de ce mardi 24 octobre 2023 à Ouagadougou un cadre d’échange avec les hommes de médias. Ces échanges ont porté essentiellement sur la situation sociopolitique du Burkina Faso et le meeting prévu par la CGTB. Cette conférence de presse s’est tenue sous le leadership du porte parole de la coordination des OSC, Justin Dabiré.
D’entrée de jeu, le conférencier principal du jour a laissé entendre « Monsieur le secrétaire général de la CGT-G, chers militants de la CGT-B nous voudrions vous rappeler sans pour faire autant de la leçon que depuis le pouvoir du président Rock Marc Christian KABORE, la situation de notre pays n’a jamais été prise au sérieux tant sur le terrain de combat que dans la gestion l’administration. Aujourd’hui avec le capitaine TRAORE, plusieurs initiatives ont été mises en place avec l’apport de la population. A cet effet, nous pouvons citer la question de la mobilisation générale dans la lutte contre le terrorisme qui a connu une participation jamais égalée de la population, la participation Volontaire à l’effort de paix, le projet de promotion d’une économie endogene devenue aujourd’hui une réalité. En ce qui concerne la vie chère, nous avons également constater des prises de décisions qui ont permis la diminution des prix de certains denrées alimentaires malgré qu’une bonne partie de notre population n’a pas pu produire du fait du terrorisme».
La position de la coordination des OSC se veut claire, face aux adeptes des libertés individuelles et collectives, la coordination des OSC voudrait rappeler que le statut de citoyen burkinabè est unique et égal pour tous. « Il n’existe pas de burkinabè qui soient faits pour combattre et d’autres pour critiquer. Cela nous permet de dire qu’en temps de guerre soit vous soutenez en étant acteur réel sur le terrain de combat ou vous êtes en arrière-plan pour fournir des informations et encourager les combattants au pire des cas, vous êtes observateurs mais jamais on ne peut avoir des opposants manifestes. Si cela n’est pas respecté il reviendra au peuple de déterminer le statut de chaque soi-disant burkinabè. Le combat pour la quête des libertés est celle que les VDP et les FDS au front depuis plusieurs années et il sera inconcevable pour le peuple de constater que des Burkinabè qui n’ont rien à faire veuillent nous inventer un autre terrain de combat pour des libertés individuelles et collectives si ce n’est de divertir les populations vaillamment engagées», a confié Justin Dabiré.
Sur l’affaire des machettes aiguisées sur les réseaux sociaux, le porte-parole affirme que ce ne sont pas des militants de la coordination. « Nous ne préparons pas un affrontement avec les militants de la CGTB. Nous ne pouvons pas entrer en combat avec d’autres burkinabè. Il n’y aura pas de bras de fer avec la CGTB. Nous sommes pour la cohésion sociale. Je ne pense pas que la porte du Président soit fermée aux discussions», soutient le porte-parole.
Du reste, la coordination des OSC, invite ses militants à la retenue et surtout à la vigilance afin de ne pas donner raison à l’impérialisme et à ses valets locaux qui n’attendent rien que la division du peuple burkinabè.
Ismaël Kiekieta ✍️
Le Secrétaire Général de la CGTB dans une sortie médiatique fracassante le 14 octobre 2023 a chargé les autorités de la Transition de tous les péchés du monde avant d’appeler les travailleurs à un meeting le 31 octobre 2023 à la Bourse du travail. Le […]
Actualité SociétéLe Secrétaire Général de la CGTB dans une sortie médiatique fracassante le 14 octobre 2023 a chargé les autorités de la Transition de tous les péchés du monde avant d’appeler les travailleurs à un meeting le 31 octobre 2023 à la Bourse du travail. Le Mouvement Le Faso Ma Patrie s’indigne de ce son de cloche égoïste aux relents de petit-bourgeois et notoirement aux antipodes des priorités des masses populaires en proie aux affres de l’hydre terroriste depuis près d’une décennie.
Les veuves et orphelins ainsi que toutes les âmes des martyrs du terrorisme prient la CGTB d’actualiser son logiciel.
Face à la détresse perceptible au quotidien des populations piégées par les massacres, les déguerpissements et/ou les blocus des terroristes, notre peuple tout entier, fatigué de recueillir indéfiniment des subsides aliénants d’une certaine aide, a consenti d’assumer par lui-même et pour lui-même l’effort de paix aux cotés des sacrifices des VDP et FDS sous le leadership progressiste du Capitaine Ibrahim TRAORE, Chef de l’Etat, Président de la Transition. Le tableau des actions nous indique donc un bon élan de mobilisation générale avec des victoires d’étapes indéniables notamment des recouvrements de zones naguère infestées suivis de consolidations et de retours progressifs des PDI et des services de l’Etat.
Par ailleurs, nous notons régulièrement un équipement conséquent de nos forces combattantes leur garantissant une supériorité de feu et de frappe face à l’ennemi. C’est donc en pleine résilience et relèvement du pays à prendre son destin en main, que la CGTB choisit d’ignorer dans sa prise publique de parole la moindre compassion à l’endroit des nombreuses familles en proie au terrorisme et à la crise humanitaire, ainsi qu’aux vaillants VDP et FDS grâce à qui leurs responsables locaux peuvent encore se déplacer à un meeting à Ouagadougou.
Quid des orphelins, veuves et martyrs, cette sortie n’en a cure, la CGTB se préoccupe plus de ceux qui en ont déjà assez à manger et boire.
Le Mouvement Le Faso, Ma Patrie n’a pas non plus la prétention de vous tenir rigueur d’un quelconque devoir de compassion, c’est un réflexe d’éducation à pratique volontaire. D’ailleurs, vos militants qui vous ont déjà désavoué en souscrivant massivement à plus de 1% de contribution à l’effort de paix démontre à souhait que vous n’êtes plus crédible ni à parler en leurs noms ni les égarer au moment où la Nation a besoin de la solidarité de tous ses filles et fils.
En revanche, notre mouvement patriotique s’élève vigoureusement contre votre manque de responsabilité qui tente à condamner les autorités qui sont au four et au moulin pour sauver notre Patrie. Au demeurant, le meeting du 31 octobre 2023 décidé dans la foulée sur le même ton et sur le même fond, dans un contexte de synergie d’action des efforts de paix, nous interpelle à plus d’un titre. Nous ne doutons point sur l’existence de quelques préoccupations réelles des travailleurs en particulier et des populations en général. Toutefois, il n’y a pas mille priorités dans notre Burkina en danger de partition assaillit par le terrorisme. Dès lors, toute manœuvre visant à supplanter d’autres priorités à celle vitale de la sauvegarde de la patrie et au relèvement humanitaire n’est que chimère, diversion et imposture.
C’est pourquoi, notre Mouvement regrette qu’au moment où les prix des produits de grandes consommations connaissent une baisse sur le territoire national que la CGTB se gargarise des qualificatifs en déphasage avec la mercuriale des prix sur le marché national. Aussi, s’agissant des dossiers des crimes économiques, la CGTB fait une lecture visant à témoigner à l’opinion nationale et internationale que lesdits dossiers sont restés à leur niveau initial alors même que l’un des dossiers emblématiques connu sous le nom de ‘’charbon fin’’ connait en ce moment un procès. S’agissant de la liberté d’expression qu’elle tente de défendre avec toute la mauvaise fois du monde en assimilant la liberté d’expression au libertinage, cela témoigne encore de la duplicité de cette organisation censée défendre la cause du peuple dans un contexte de crise où le patriotisme et la résilience devraient être les maîtres mots.
Lors de cette conférence de presse, la CGTB feind de montrer qu’elle est mue par l’intérêt supérieur du peuple. Le mouvement s’interroge si tant est qu’elle se préoccupe réellement de l’avenir du peuple. Comment comprendre que la convention fiscale de la non-double imposition entre le Burkina et la France et l’accord militaire qui plaçait notre armée sous tutelle militaire française ne soient pas dénoncés par la CGTB qui prétend mener un combat pour la souveraineté du Burkina Faso.
En outre, dans un contexte de lendemain de coup d’Etat manqué contre la marche irréversible dans l’implémentation de l’Indépendance vraie, le Mouvement Le Faso Ma Patrie se consacrera toujours à la veille citoyenne et ne transigera point sur les questions et attitudes arriérées et rétrogrades d’alliés objectifs de l’impérialisme.
A ce titre, nous dénonçons avec la dernière énergie le déficit de discernement qui prévaut au plus haut sommet de la CGTB d’un Moussa DIALLO en mal de leadership.
En tout état de cause, le Mouvement Le Faso, Ma Patrie met en garde la CGTB contre toute manœuvre d’instrumentalisation de l’opinion pour assouvir ses intérêts au détriment de l’intérêt supérieur de la nation et demande aux travailleurs conscients et soucieux de l’avenir de notre chère patrie de se départir de ce meeting.
La Patrie où la mort nous vaincrons !
Ouagadougou, le 23 octobre 2023
Le coordonnateur national
Richard Ouango
C’est officiel, pour un secteur privé plus solide et prospère au Burkina Faso, Appolinaire Compaoré sera candidat le mardi 24 octobre prochain à l’Assemblée générale élective du Conseil National du Patronat Burkinabè qui aura lieu à Ouagadougou. Cependant, il faut le rappeler, le secteur privé […]
Actualité Économie SociétéC’est officiel, pour un secteur privé plus solide et prospère au Burkina Faso, Appolinaire Compaoré sera candidat le mardi 24 octobre prochain à l’Assemblée générale élective du Conseil National du Patronat Burkinabè qui aura lieu à Ouagadougou. Cependant, il faut le rappeler, le secteur privé burkinabè n’a plus de secret pour Appolinaire Compaoré.
Face à un secteur privé dans un contexte sécuritaire difficile pour le Burkina Faso et en proie à une crise économique mondiale, Appolinaire Compaoré lors de son mandat a travaillé dans l’esprit de préserver et de consolider les acquis dudit secteur. Le chantier était périlleux mais il a su impulsé la dynamique de la promotion et du climat des affaires du secteur privé.
A cette AG élective du conseil national du patronat burkinabè (CNPB), Appolinaire Compaoré sera face Idrissa Nassa pour le poste de la présidence du CNPB. L’ opérateurs économiques, Appolinaire Compaoré, candidat à sa propre succession, il est l’actuel président du CNPB. Pour la cohésion sociale au sein du secteur privé, l’opérateur économique, Appolinaire Compaoré a travaillé au cours de son mandat à unir tous les acteurs pour un secteur privé fort et prospère.
Il convient de retenir que des activités ont été menées dans le cadre du renforcement de l’élaboration et la publication de guides pratiques et de documents référentiels à destination du secteur privé. Mieux,
dans le cadre de l’exécution des projets et programmes, des appuis institutionnels ont permis au CNPB d’acquérir du mobilier de bureau, des ordinateurs, des consommables informatiques pour le secrétariat.
Sous le mandat de Appolinaire Compaoré, le CNPB s’est doté au cours de la même période des outils de gestion et de communication dont le but est de contribuer à l’amélioration du climat des affaires au Burkina Faso. Il a engagé le Conseil National du Patronat Burkinabè (CNPB) dans la démarche EESE (Enabling Environment for Sustainable Enterprises) initiée par le Bureau International du Travail (BIT). Il faut noter que la démarche EESE vise à doter les structures faîtières d’appui aux entreprises des données et arguments scientifiques vérifiables pour leur plaidoyer auprès des Gouvernements et autres partenaires pour la création d’un environnement propice au développement d’entreprises durables.
Pour l’Assemblée générale élective, le secteur privé a besoin des efforts de tous les opérateurs économiques pour créer de l’emploi pour la jeunesse et répondre aux besoins des populations. Cependant, la compétition est souvent source de division après la proclamation des résultats si le consensus échoue dans la négociation. Alors, la fédération des énergies pour s’accompagner mutuellement à tour de rôle permettra de booster l’économie nationale et de resserrer les liens pour l’atteinte des objectifs. Le gouvernement de la Transition est fortement interpellé que les deux candidats trouvent un consensus pour le plein épanouissement de l’économie nationale. Le candidat Appolinaire Compaoré qui a antamé un travaille gigantesque lors de son premier mandat veut continuer son oeuvre en renforçant les acquis pour une économie florissante.
Le conseil national de la jeune du centre a procédé à la célébration de la nuit de la jeunesse du centre ce vendredi 06 octobre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de La nuit de la jeunesse du Centre est de récompenser les meilleurs jeunes qui se […]
Actualité SociétéLe conseil national de la jeune du centre a procédé à la célébration de la nuit de la jeunesse du centre ce vendredi 06 octobre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de La nuit de la jeunesse du Centre est de récompenser les meilleurs jeunes qui se sont démarqués par leurs efforts pour le développement du Burkina Faso au cours de l’année écoulée. Et pour cette édition, ce sont au total 8 attestations et 07 trophées qui ont été octroyé à la jeunesse de la région en signe de mérites et d’encouragements. Cette cérémonie de distinction s’est tenue sous le leadership du conseiller spécial à la Présidence, Samuel KALKOUMDO, Parrain la cérémonie, du Président de la CNJ – BF, Moumouni Diala, Co-parrain, du Ministre en charge de la jeunesse, Dr Boubacar Savadogo et de l’ex gouverneur du centre, Alain Sibiri Ouédraogo.
D’entrée de jeu, il s’est agi pour le président du conseil national de la jeunesse, Djibril Bamogo, de prendre la parole pour souhaiter la bienvenue aux différents des invités. « La jeunesse est un maillon essentiel sur laquelle on peut compter dans le concert des nations. Cette nuit connaîtra des distinctions pour des jeunes qui se battent pour le développement du Burkina Faso. Ces distinctions sont la preuve que des jeunes se battent jour et nuit pour s’auto-suffir», a soutenu Djibril Bamogo.
Pour le Président du Conseil national de la jeunesse, Moumouni Diala, ce sont les mérites des jeunes de la région du Centre qui seront récompensées. Il ajoute qu’il voudrait féliciter et encourager le comité d’organisation. « Je voudrais féliciter les lauréats cette nuit. Si des jeunes sont distingués c’est parce qu’il le mérite. Aujourd’hui c’est une grande chose de récompenser les mérites des jeunes de leur vivant. Je souhaite une excellente soirée et une bonne nuit de la jeunesse du centre», a laissé entendre Moumouni Diala.
Selon le conseiller spécial à la Présidence du Faso, Samuel KALKOUMDO, Parrain de la nuit de la jeunesse du centre, il convient d’inviter les jeunes à s’assumer. « Je voudrais encourager la jeunesse», a souhaité Samuel KALKOUMDO.
Du reste, rendez-vous est pris pour la prochaine édition.
Ismaël Kiekieta ✍️
Ce mercredi 4 octobre 2023, l’association art et culture BISO a procédé au vernissage des œuvres de la 3e édition de la Biennale Internationale de Sculpture de Ouagadougou (BISO). Ce sont au total 20 artistes sculpteurs venus de 12 pays qui ont bénéficié d’une résidence […]
Actualité CultureCe mercredi 4 octobre 2023, l’association art et culture BISO a procédé au vernissage des œuvres de la 3e édition de la Biennale Internationale de Sculpture de Ouagadougou (BISO). Ce sont au total 20 artistes sculpteurs venus de 12 pays qui ont bénéficié d’une résidence de création du 4 septembre au 3 octobre 2023 à partir du projet « Compétences croisées». Pour cette édition, le thème retenu est «Le feu des Origines». Le vernissage de la 3e édition de la BISO a connu la participation du FDCT, du ministère en charge de la culture et de l’Union Européenne.
D’entrée de jeu, il faut noter que l’Association Art et Culture BISO est l’un des bénéficiaires du 2e appel à projets du Fonds de Développement Culturel et Touristique dans le cadre du Programme d’Appui aux Industries Créatives et à la Gouvernance de la Culture (PAIC GC), avec le soutien de l’Union Européenne. L’association a été financée à plus de 29 000 000 dont une subvention du FDCT de plus de 25 000 000 pour la mise en œuvre de ce projet intitulé « Compétences croisées ».
Selon l’un des porteurs du projet, Nyaba Léon Ouédraogo, il convient de remercier tout les invités qui ont répondu présents pour BISO acte 3.
« J’ai des mots de remerciement à l’endroit des artistes qui sont venus de loin pour ces créations artistiques. Merci au FDCT et les partenaires techniques et financiers. Avec Christophe Persan, nous avons osé donner de la visibilité et la création à la sculpture fondateur de notre civilisation. Le thème est inspiré d’un livre d’ Emmanuel Dongala qui invite à s’inspirer de l’essentiel», a expliqué Nyaba Ouedraogo.
Pour Christophe Persan, co-porteur du projet, c’est avec beaucoup d’émotion qu’il revient tout les deux ans au Burkina Faso pour célébrer la sculpture. Il affirme que l’art et la culture parvient à transcender les soucis au quotidien. « Les œuvres qui seront présentées sont tous exceptionnel», a laissé Christophe Persan.
A entendre, le représentant de l’Union Européenne, Marc Duponcel, c’est un grand plaisir de participer à cette 3e édition du BISO. Pour lui cette édition se tient dans un contexte très difficile pour le Burkina Faso et il faut féliciter le comité d’organisation.
La directrice générale du FDCT, Carine Traoré, lors de son allocution a saisi l’occasion pour féliciter l’association Art et Culture BISO pour la pertinence et la qualité de son projet qui entre en étroite ligne avec les objectifs du PAIC GC. A elle de préciser qu’il permet la création d’œuvres, la professionnalisation des artistes plasticiens, le partage d’expériences entre artistes, ainsi que la mise en marché des produits et services culturels issus de cette résidence.
« C’est un immense plaisir pour moi de me joindre à vous ce soir pour le vernissage de l’exposition de la 3e édition de la Biennale Internationale de Sculpture de Ouagadougou (BISO) de l’association Art et Culture BISO. Qu’il me plaise de souhaiter la bienvenue à tous les artistes plasticiens venus d’ailleurs pour participer à cette biennale», a soutenu la DG du FDCT.
Rendez-vous est pris pour la 4e édition du BISO.
Ismael Kiekieta ✍️
Le comité d’organisation du Tour du Faso a animé un point de presse ce mardi 03 2023 à Ouagadougou. Cette 34e édition placée sous le signe de la renaissance a décliné le programme du Tour du Faso 2023. Et ce sont au total 1207,8 km² […]
Actualité SportLe comité d’organisation du Tour du Faso a animé un point de presse ce mardi 03 2023 à Ouagadougou. Cette 34e édition placée sous le signe de la renaissance a décliné le programme du Tour du Faso 2023. Et ce sont au total 1207,8 km² qui seront parcourus par 15 équipes. L’édition 2023 se tiendra du 26 octobre au 5 novembre 2023. Sur 20 pays invités 11 ont répondu à l’appel pour l’instant.
Le Mali, la Côte d’Ivoire, le Niger, l’Algérie, la Guinée, la Belgique, le Ghana, le Bénin, le Cameroun, le Rwanda et trois (03) équipes nationales du Burkina prendront part pour l’instant à cette 34e édition du Tour du Faso. L’Afrique du Sud est toujours en attente de confirmation.
Sur le plan sécuritaire, les responsables à la sécurité se veulent rassurant. Ils affirment que toutes les dispositions ont été largement prises en compte.
La France, grand absent de cette course cycliste du Burkina Faso a suscité beaucoup d’interrogations de la part des journalistes. Certains se posent la question de savoir si le climat politique n’a pas prévalu au désistement de la France. Mais le comité national d’organisation se veut claire là dessus. Une invitation a été adressée à la France mais elle a décidé de ne pas participer.
« La France a décidé de ne pas participer au Tour du Faso. L’Allemagne, la Suisse, la Hollande, l’Afrique du Sud et l’Erythrée sont déjà engagés à un autre tour. Au regard des exploits, le niveau des étalons est performant. Il y a un travail en amont qui se fait. Nous sommes dans le dernier virage. Le Tour du Faso est notre objectif principal», explique le comité d’organisation.
Pour l’un des responsables des finances du Tour du Faso, Félix Kabré, le budget n’est pas encore bouclé. « Nous sommes en train de recueillir le budget de chaque commission. Nous avons déjà 350 millions mobilisés», a laissé entendre Félix Kabré.
«Cette 34e tour cycliste du Faso ne sera pas un tour au rabais», a déclaré le DG des sports, Alexandre Yougbaré. « Nous avons été admirablement surpris de voir l’intérêt des partenaires resté inchangé dans cette organisation. L’organisation du présent tour du Faso est un symbole de renaissance et de résilience » , a confié, le DG Alexandre Yougbaré au nom du ministre en charge des sports.
Pour l’heure, rendez-vous est pris du 26 octobre au 5 novembre pour vivre la 34e édition du Tour du Faso.
Ismael Kiekieta ✍️