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Actualité CultureCe vendredi 1er décembre 2023, l’agence matrimoniale et de bien-être Alter’ego a officiellement offert ses portes. Et ce, en présence de grands conseillers conjugaux dont le parrain, conseiller conjugal, Jean Bosco Kaboré et Karidia SINKA / DRAME, Psychologue / conseillère conjugale. C’est à Ouaga 2000 […]
Actualité Culture Education SociétéCe vendredi 1er décembre 2023, l’agence matrimoniale et de bien-être Alter’ego a officiellement offert ses portes. Et ce, en présence de grands conseillers conjugaux dont le parrain, conseiller conjugal, Jean Bosco Kaboré et Karidia SINKA / DRAME, Psychologue / conseillère conjugale. C’est à Ouaga 2000 que ALTER ÉGO a élu son siège social pour faire valoir son savoir-faire.
Qu’est ce que Alter’ego ?
Selon la représentante de la promotrice, Madame Armande Ouédraogo, Alter’ego est une agence matrimoniale et de bien-être, sérieuse qui intervient dans le domaine de mises en relation pour les célibataires, les veuves et les veufs et les divorcés. Alter’ego c’est également le coaching avec des experts, les formations et l’assistance. A la représentante d’ajouter que la plus value de l’agence c’est son siège social parce que la majeure partie des autres agences matrimoniales sont en ligne. « Nous assistons les femmes et les hommes en détresse. Nous sommes la toute première agence matrimoniale et de bien-être avec un siège social. L’une de nos valeurs, c’est la confidentialité et le secret professionnel. Nous voulons rassurer tout le monde que nous sommes une agence sérieuse» , a confié la représentante de la promotrice, Madame Armande Ouédraogo.
Alter’ego, propose des offres dont le Pack découverte, le Pack standard, le Pack Alelo et le Pack sérénité. Au-delà de ces packs qui allient rencontres personnalisées et service de bien être, Alter’ego offre également un service de coaching, d’expertise, de suivi et accompagnement des couples.
Qu’est-ce qui a motivé la création de Alter’ego ?
L’initiative de Alter’ego est née parce qu’il y a un manque dans le domaine matrimoniale. Pour la représentante de la promotrice, il y a des gens qui demandent à des amis de les mettre en relation avec d’autres personnes. Elle soutient que le besoin existe et manifeste avec les cadres.
Comment joindre Alter’ego ?
Alter’ego est joignable sur le site www.Alter’ego.africa,
sur WhatsApp au
+226 65647474,
par appel au
+226 52813131
et par mail à l’adresse contact@altzr’ego.africa
Quelle est la plus value de Alter’ego ?
– Son siège social, première au Burkina Faso
– Son professionnalisme
– Sa discrétion
– Sa confidentialité
Que pense le parrain, Jean Bosco Kaboré, conseiller conjugal ?
Pour lui, il faut félicité et salué l’initiative. La confidentialité et le secret professionnel sont la base dans une agence matrimoniale et de bien-être. « C’est une belle initiative qui répond à des réalités. Aujourd’hui, le divorce a atteint une proportion épidermique et ce genre de structure peut apporter un repère. C’est une initiative à louer et à saluer. Il faut former le personnel pour qu’il puissent garder le silence. La première devise est le secret professionnel. Je suis disponible pour l’agence dans l’optique d’accompagner et de guider pour que ça marche», a confié laissé le parrain, Jean Bosco Kaboré.
Sanfo Minata ✍️
MÉDECINS DU MONDE a initié ce jeudi 30 novembre 2023 à Ouagadougou, un déjeuner de presse avec pour objectif principal une meilleure promotion des services de droits et santé sexuels et reproductifs des adolescent-e-s et jeunes. Très actif sur les initiatives significatives pour répondre aux […]
Actualité santé SociétéMÉDECINS DU MONDE a initié ce jeudi 30 novembre 2023 à Ouagadougou, un déjeuner de presse avec pour objectif principal une meilleure promotion des services de droits et santé sexuels et reproductifs des adolescent-e-s et jeunes. Très actif sur les initiatives significatives pour répondre aux défis liés aux DSSR, MÉDECINS DU MONDE a bien voulu faire l’historique de ses projets, rappeler l’engagement de l’AOC et présenter le projet « Respect».
Ledit déjeuner de presse s’est tenu en présence des premiers responsables de MÉDECINS DU MONDE Burkina Faso dont le Coordonnateur, Bouba Bacharou Ousmane, la responsable du plaidoyer, Noellie Kouraogo, le chargé de programme du projet «Respect», Issaka Koianda et des médias partenaires.
Partager les efforts de MEDECINS DU MONDE sur la promotion des droits et santé sexuels et reproductifs des adolescent-e-s et jeunes au Burkina Faso, voici résumé toute la quintessence qui a prévalu au déjeuner de presse du jour.
D’entrée de jeu, il s’est agi pour le conférencier principal, Bouba Bacharou Oumarou de faire l’historique des projets initiés par MEDECINS DU MONDE. Pour lui, en matière d’accès aux services de santé sexuelle et reproductive, il faut noter une évolution depuis 1985 et surtout depuis la conférence internationale en population et développement tenue au Caire et la ratification de plusieurs engagements internationaux.
« Malgré les efforts, la problématique liés aux droits et santé sexuels et reproductifs reste préoccupante surtout pour les populations vulnérables telles que les jeunes et adolescent-e-s de 10 à 24 ans. En 2014, pour améliorer les droits et santé sexuels et reproductifs des adolescent-e-s et jeunes, MEDECINS DU MONDE a lancé, le projet « Promouvoir le droit à décider pour réduire la morbi – mortalité liées aux grossesses non désirées» dans la région du Sahel ( DJIBO et Gorom Gorom) et du Centre ( Ouagadougou) », a répertorié le coordonnateur, Bouba Bacharou Oumarou.
A la suite, il faut noter que MEDECINS DU MONDE a mis en œuvre le projet « Promouvoir le droit à décider » et en 2021, le projet « d’accès au droit à la santé» pour répondre aux défis liés aux DSSR. Dernier en date, MEDECINS DU MONDE a présenté le projet RESPECT, un programme multi – pays qui vise à accroître l’utilisation équitable des services de droits et santé sexuels et reproductifs par les adolescent-e-s et jeunes et particulièrement celles en situation de vulnérabilité.
Au cours de ce déjeuner de presse, il était question pour la responsable du plaidoyer, Noellie Kouraogo, de rappeler l’engagement de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (AOC) pour des adolescents et des jeunes éduqués en bonne santé et épanouis. Elle a attiré l’attention principalement sur les défis et les principes transversaux.
Au titre, des défis, il faut relever entre autres les grossesses précoces et non désirées, la santé menstruelle, la précocité des premiers rapports sexuels, les normes sociales et les violences basées sur le genre.
Sur les principes transversaux, la responsable plaidoyer, a laissé entendre qu’il s’agissait de l’implication de l’ensemble des parties prenantes et l’engagement communautaire; du dialogue inter générationnel et la déconstruction des tabous; les espaces conviviaux d’échanges; la question de suivi et évaluation et le financement.
Pour le responsable programme du projet RESPECT, Issaka Koianda, le projet est multi-pays et mis en œuvre de 2021 à 2026 avec pour zone d’intervention, le district sanitaire de Baskuy. Il ajoute que le projet a pour OSC partenaires et partenaires nationaux, IPBF, MAJ/ABBEF, AJPO, CAPSSR, KEOOGO, DIRECTION DE LA SANTÉ DE LA FAMILLE ET DRSHO DU CENTRE. Et à lui d’ajouter que le choix dudit district n’est pas anodin, parce qu’il répond à la question de l’accessibilité des bénéficiaires et du public cible.
Il convient de retenir que le projet RESPECT à pour objectif général, la jouissance accrue des droits relatifs à la santé par les personnes en situation de vulnérabilité et de marginalité, en particulier des adolescents et jeunes femmes de 10 à 23 au Burkina Faso.
Du reste, il faut rappeler que Médecins du Monde qui est une association de solidarité internationale dédiée à la mission de soigner les populations les plus vulnérables à travers le monde met en œuvre de multiples projets au Burkina Faso pour améliorer les droits et santé sexuels et reproductifs des adolescent.e.s et jeunes.
Ismaël Kiekieta ✍️
L’Institut Supérieur de Technologies a animé un point de presse dans l’après-midi de ce mardi 28 novembre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était d’informer à l’opinion publique le lancement officiel de 300 bourses d’études sociales et d’excellence à […]
Actualité Education SociétéL’Institut Supérieur de Technologies a animé un point de presse dans l’après-midi de ce mardi 28 novembre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était d’informer à l’opinion publique le lancement officiel de 300 bourses d’études sociales et d’excellence à l’IST afin de venir aux étudiants qui sont dans le besoin. L’inscription pour cette bourse est prévue du 28 au 31 décembre 2023 et prend en compte le cycle universitaire. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership du Président Directeur Général de l’IST, Issa Compaoré.
D’entrée de jeu, il s’est agi pour le PDG de l’IST, Issa Compaoré d’expliquer les raisons qui ont prévalues à la mise en disposition de bourses en faveur des étudiants qui sont dans le besoin. Pour lui, le contexte sécuritaire difficile que connait le Burkina Faso depuis un certains temps affecte toutes les couches sociales et ne laisse personne indifférent. Et à lui de soutenir que compte tenu de la demande et des observations au sein des campus IST, il était important de procéder au lancement de bourses d’études pour tendre la main aux plus démunis.
« Dans le cadre de sa politique Responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) le groupe Institut Supérieur de Technologies (IST) et UMANIS Business School (UBS) entendent apporter leur contribution à l’appel à la solidarité lancé par les plus hautes autorités du pays. De ce fait, nous avons le plaisir d’annoncer avec enthousiasme le lancement de l’initiative « Bourses sociales et bourses d’Excellence au profit des populations burkinabè. A travers cette initiative le groupe IST UBS offre 300 bourses sociales et d’excellence pour l’année académique 2023-2024», a confié le PDG de l’IST, Issa Compaoré.
Il faut noter que le groupe Institut Supérieur de Technologies (IST) et UMANIS Business School (UBS) s’est fixé pour mission fondamentale de satisfaire les besoins de développement de compétences des jeunes, des adultes, des entreprises et des organisations conformément aux standards universitaires, sociétaux et culturels. A entendre le PDG de l’IST, les deux instituts qui le composent, offrent des formations de haut niveau dans les domaines des Sciences et Technologiques et des Sciences Économiques et de Gestion.
Quels sont les objectifs attendus par l’IST ?
Le groupe IST – UBS se sont fixé pour vision d’ « Être une université leader des IPES au Burkina, centré sur l’employabilité l’entrepreneuriat, l’innovation et le service à la communauté à l’horizon 2025. »
L’objectif général de cette initiative est de promouvoir l’accès à l’excellence dans un contexte difficile. Cette bourse vise à offrir des opportunités de formation à des étudiants méritants et talentueux, tout en répondant aux réalités sociales qui entravent l’accès à une éducation de qualité.
Quelle est la cible des 300 bourses d’études sociales et d’excellence de l’IST?
La Bourse Sociale et d’Excellence de l’IST et de UBS est destinée aux étudiants talentueux issus de milieux socio-économiques défavorisés et aux professionnels qui répondent à un certain nombre de critères. Cette initiative vise à briser les barrières financières et à offrir des opportunités éducatives équitables. Les critères de sélection incluent le mérite académique, le potentiel de leadership, et le besoin financier.
Il convient de noter que les candidatures pour la Bourse Sociale et d’Excellence de l’IST seront ouvertes à partir du 28 novembre jusqu’au 31 Décembre 2023. Les critères de sélection et les détails du processus de candidature seront disponibles sur les différents campus de l’IST et de UBS à Ouagadougou, à Tenkodogo à Bobo Dioulasso et en ligne.
En rappel, il faut signaler que , l’IST a été classé en 2023 meilleur Institut Supérieur du Burkina Faso par le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
Ismaël Kiekieta ✍️
Dans la matinée de ce vendredi 24 novembre 2023 à Ouagadougou, la Coalition Nationale Pour le Faso a organisé une conférence de presse pour annoncer officiellement la naissance du CNPF. L’objectif de cette nouvelle coalition est de rassembler pour la première fois et de façon […]
Actualité SociétéDans la matinée de ce vendredi 24 novembre 2023 à Ouagadougou, la Coalition Nationale Pour le Faso a organisé une conférence de presse pour annoncer officiellement la naissance du CNPF. L’objectif de cette nouvelle coalition est de rassembler pour la première fois et de façon inclusive, toutes les sommités décisionnelles et influentes du Burkina Faso autour de l’esprit d’Unité nationale et de d’Union sacrée autour de la nation pour une transition réussie. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership du Porte-parole du CNPF, Hassane Bationo, Salif Nikiema, Fortune Younga et le Songkolgl Naaba de Cissin.
D’entrée de jeu, il s’est agi pour le porte-parole du CNPF, Hassane Bationo de différencier la CNPF à la pléthore d’OSC qui soutient la transition. « La pléthore d’association est un cadre d’échange et de réflexion. La plus-value de cette association est le forum qui sera le lieu de lancer un appel à la diaspora burkinabè. C’est aussi une occasion d’inviter les burkinabè à s’investir davantage pour le retour de la paix. Ce sont aussi des moments de discuter d’intérêt national. Nous essayons d’aller plus profondément dans la gestion », a soutenu Hassane Bationo.
Selon Yassia Fortune Younga, membre du CNPF, le soutien à la transition burkinabè est sans doute et sans condition.
« Dans cet univers de soutien à la Transition, nous avons décidé de défendre nos idéologies intellectuellement et internationalement. Nous sommes organisés depuis novembre 2022. Nous participons et encourageons à la veille Citoyenne. Nous soutenons sans condition la Transition burkinabè», soutient Fortune Younga.
Sur la diaspora burkinabè, Hassane Bationo soutient qu’elle a la même place que les burkinabè de l’intérieur. A entendre le porte-parole, une vingtaine de personnes issues de la diaspora pour discuter des questions d’intérêt national. « Nous sommes inspirés de l’appel de Sékou Touré pour résister face à la France.Aujourd’hui, nous lançons un appel vibrant à tous les citoyens burkinabè, jeunes et moins jeunes, de toutes les obédiences et couches sociales, à se joindre à la C.N.P.F. C’est une coalition ouverte,inclusive, qui invite chacun à apporter sa contribution, ses idées et son énergie pour bâtir un Burkina Faso plus résilient, uni et prospere.
Nous exprimons notre engagement ferme envers la transition politique en cours et saluons les actions courageuses du Président, le Capitaine Ibrahim TRAORE. La C.N.P.F se positionne comme une force de soutien pour accompagner le projet politique du Président TRAORE,consciente des défis mais résolue à contribuer à la réussite de cette transition cruciale. », a confié Hassane Bationo.
Du reste, il faut souligner que selon les conférenciers du jour, La Coalition Nationale Pour le Faso (CNPF) se dresse comme un bastion des patriotes déterminés à défendre les valeurs fondamentales de notre nation. Ensemble, nous croyons en un Burkina Faso fort, uni, et tourné vers un avenir prometteur.
Ismaël Kiekieta ✍️
L’Alliance des fournisseurs Burkinabè de Biens et Services Miniers a animé dans la matinée de ce samedi 08 novembre 2023 à Ouagadougou une conférence de presse. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était d’informer à l’opinion publique la tenue de la 4e […]
Actualité Économie SociétéL’Alliance des fournisseurs Burkinabè de Biens et Services Miniers a animé dans la matinée de ce samedi 08 novembre 2023 à Ouagadougou une conférence de presse. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était d’informer à l’opinion publique la tenue de la 4e édition des journées du fournisseur Minier prévu du 06 au 07 décembre 2023. Pour cette édition 4 pays sont invités d’honneur à savoir, la Côte d’Ivoire, le Ghana, la Guinée et le Mali.
Le comité d’organisation l’a annoncé, la 4è édition de la Journée du Fournisseur Minier du Burkina Faso se tiendra du 06 au 07 décembre 2023 à Ouagadougou dans la salle des fêtes de Ouaga 2000. Et pour cette année le thème choisi est : « Enjeux et défis de la gouvernance du contenu local dans le secteur minier burkinabè ».
Il faut noter que l’objectif général de cet événement est de trouver des solutions qui permettront aux fournisseurs Burkinabé d’obtenir des contrats avec les industries extractives qui exploitent au Burkina Faso.
« En 4 ans nous étions dans un combat d’application des textes miniers. Nous avons atteint 95% de nos attentes sur le plaidoyer d’application des textes miniers. Les 4 pays invités d’honneur ont un dynamisme particulier dans le secteur minier. Il y aura plus de 50 expositions», a laissé entendre le Président, Yves Zongo.
Au programme de ces 48 heures des JFM, des rencontres B2B, des conférences débats et des expositions.
A entendre le chargé de communication de l’ABSM, Noël Ouédraogo, ce forum permettra aux participants de saisir les opportunités d’affaires dans les mines, d’être sensibilisés sur les textes du Contenu local ainsi que le lien avec la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), d’explorer les pistes de solutions de financement, entre autres.
Du reste, il faut noter que la soirée de clôture sera marquée par des remises de prix à la mine modèle en matière de consommation locale des biens et services, la meilleure banque en termes d’accompagnement et de produits adaptés et de deux champions nationaux en matière de fourniture de biens et services. Les acteurs du secteur minier sont tous attendus du 06 au 07 décembre à la salle des fêtes de OUAGA 2000.
Sanfo Minata✍️
Dans la matinée de ce dimanche 19 octobre 2023 à Ouagadougou, BURKIMBI GAD-TAABA a animé un point de presse à Ouagadougou au mémorial Thomas Sankara. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était de livrer leur lecture de la situation nationale et demander […]
Actualité SociétéDans la matinée de ce dimanche 19 octobre 2023 à Ouagadougou, BURKIMBI GAD-TAABA a animé un point de presse à Ouagadougou au mémorial Thomas Sankara. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était de livrer leur lecture de la situation nationale et demander une prolongation à la transition burkinabè pour qu’elle vienne à bout de l’hydre terroriste. Convaincu que c’est avec le capitaine Ibrahim TRAORÉ que le pays des hommes pourra se sauver du terrorisme, le SG dudit mouvement Souleymane Ouédraogo et ses camarades plaide pour une prolongation de la transition.
D’entrée de jeu, il s’est agi pour les premiers responsables de BURKIMBI GAD-TAABA, de souligner l’effort qu’abattent chaque jour les vaillants FDS et VDP, et le désir incessant de reconquérir la souveraineté totale du territoire sous l’égide du capitaine Ibrahim TRAORE. A entendre le SG de BURKIMBI GAD-TAABA, Souleymane Ouédraogo de réitérer au nom du mouvement leur soutien indéfectible et inconditionné à la transition burkinabè. Il a émis le vœu que Dieu les protège dans leur noble mission.
«Pour nous, BURKIMBI GAD-TAABA, pour que ces vaillants FDS et VDP puissent parvenir à la reconquête totale de l’intégrité territoriale,il est impératif que la durée de la transition soit révisée. Nous
proposons que le peuple accorde à cette transition le temps qu’il faut
pour parvenir à bout du terrorisme.
L’inadéquation entre la réalité et les principes de notre constitution
n’est pas sans conséquences car contenant des parties inadaptées à nos
réalités. La réalité du peuple burkinabé est autre et les autorités en
place promettent déjà une éventuelle relecture. Nous proposons
qu’on accélère les travaux liés à la dite relecture. Celle, qui prendra en
compte toutes les aspirations du vaillant peuple burkinabé», a laissé entendre le SG BURKIMBI GAD-TAABA.
Sur les tueries de ZAONGO, sans connaître les réalités du terrain et du théâtre des opérations, le mouvement pense que c’est une situation qui n’incombe pas la responsabilité des
FDS et VDP qui donnent le meilleur d’eux-mêmes dans la reconquête
du territoire malgré la modestie des moyens. Cependant, le mouvement est indigné lorsque I’Union Européenne au lieu d’encourager et de féliciter nos braves FDS et VDP pour les efforts déployés quant à la lutte
contre l’insécurité, se met à menacer les autorités comme si ces actes barbares et ignobles émanaient d’eux. « Nous demandons à l’UE d’arrêter ses allégations afin de permettre à nos FDS et VDP de continuer leur noble mission. Nous constatons avec amertume l’absence des félicitations de la CEDEAO à sa souveraineté. Nous nous hâtons de se poser la question de savoir si les chefs d’État sont au service de l’impérialisme ?», s’interroge le mouvement BURKIMBI GAD-TAABA.
Concernant la récupération de Kidal par les FAMA du Mali, le mouvement félicite et encourage parce que c’est une mission qui vient de s’accomplir pour le Mali et une victoire d’étape pour la lutte contre le terrorisme au Sahel. « C’est une victoire historique saluée par tous !», a laissé entendre Souleymane Ouédraogo.
Du reste, il convient de noter que cette conférence s’est soldée dans une ambiance teintée d’espoir avec le Capitaine Ibrahim TRAORÉ. Et à cet effet, les voix s’élevaient avec des slogans
«Courage et force à nos FDS et VDP
Vive un Burkina libre, prospère et sécurisé !
Vive l’union des peuples libres et unis du sahel !
Vive la transition !
Vive le capitaine Ibrahim TRAORE!
La patrie ou la mort nous vaincrons»
Ismaël Kiekieta ✍️
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Le Secrétariat Permanent des ONG (SPONG) grâce à la générosité des travailleurs des organisations et associations membres du SPONG a procédé dans la matinée de ce vendredi 17 novembre 2023 à son siège à Ouagadougou a la remise de vivres aux personnes déplacées internes du […]
Actualité SociétéLe Secrétariat Permanent des ONG (SPONG) grâce à la générosité des travailleurs des organisations et associations membres du SPONG a procédé dans la matinée de ce vendredi 17 novembre 2023 à son siège à Ouagadougou a la remise de vivres aux personnes déplacées internes du Burkinaae Faso. Composé de 195 sacs de riz de 25 kg et de 112 bidons d’huile végétale de 5 litres, d’une valeur de plus de trois millions de FCFA, ce don s’inscrit dans le cadre de l’appel à l’effort de guerre du Président de la transition burkinabè, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ. Et c’est la chef du département coopération partenariat au SP/CONASUR, Stéphanie Nikyema et son équipe qui ont reçu le don des mains de la Présidente du Conseil d’Administration du SPONG, Mavalow Christelle Kalhoule.
La crise sécuritaire que connait le pays des hommes intègres depuis un certain temps a occasionné un déplacement massif de la population. Ces déplacements internes créent une situation de plus en plus difficile au niveau de la population. Plus qu’une nécessité ces déplacés internes ont besoin de se nourrir, de se vêtir, de se soigner et bien d’autres besoins. Ces besoins ne peuvent être comblés sans le concours combien estimable des personnes de bonnes volontés qui font preuve d’actions humanitaires. Le SPONG et ses partenaires se sont inscrits dans cette dynamique de soutien aux PDI.
A entendre,la Présidente du Conseil d’Administration du SPONG, Mavalow Christelle Kalhoule, l’idée de ce don est née de la 48e AG des ONG et Associations membres du SPONG qui ont bien voulu ouvrir leurs cœurs à l’endroit des PDI. Elle ajoute qu’évoluant dans le social et dans le développement, ce présent don est une mobilisation de quelques semaines qui va se poursuivre.
«Cette remise a mis parcourt est dû au fait que le besoin se fait sentir jour par jour sur le terrain », a signifié Mavalow Christelle Kalhoule.
Pour ce premier don du SPONG et ses partenaires, il s’agit de 195 sacs de riz de 25 kg et 112 bidon d’huile végétale de 5 litres estimé à environ 3 000 000 FCFA.
Selon la chef du département coopération partenariat au SP/CONASUR, Stéphanie Nikyema, c’est un sentiment de satisfaction qui anime la CONASUR. Elle insiste sur cet esprit de solidarité agissante entre les burkinabè et qui anime les uns et les autres. La chef de département coopération partenariat SP/CONASUR pense que cette solidarité qualifiée de générosité pourra sortir le Burkina Faso de cette crise sécuritaire.
« L’acte est solennelle et plein de sens pour la CONASUR. Merci au PERSONNELS des ONG et associations membre du SPONG. Remerciements pour ce dont qui intervient dans ce mois de solidarité. Nous interpellons l’ensemble des organisations à ne pas rompre cette chaîne de solidarité», a laissé entendre Nikyema Stéphanie.
Du reste, il faut noter que ce don a été rendu possible grâce à la générosité des travailleurs des organisations et associations membres du SPONG. Cependant, il convient de noter que le SPONG a laissé entendre cette opération de don ne sera une dernière du genre. Il rassure que d’autres opérations sont en cours.
Ismaël Kiekieta ✍️
La Coordination des Organisations de la Société Civile a animé un point de presse ce mercredi 15 novembre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de ces échanges avec les hommes de médias était d’exprimer leur indignation face aux agissements de l’Union Européenne suite aux malheureux évènements survenus […]
Actualité SociétéLa Coordination des Organisations de la Société Civile a animé un point de presse ce mercredi 15 novembre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de ces échanges avec les hommes de médias était d’exprimer leur indignation face aux agissements de l’Union Européenne suite aux malheureux évènements survenus à Zaongo le 6 novembre 2023 et qui a occasionné malheureusement des pertes en vies humaines. Et c’est le porte parole Boukary Ouédraogo qui était chargé de la lecture de la déclaration liminaire.
« La Coordination des OSC du Burkina Faso a appris par voie de communiqué du procureur du Faso en fate du 13 novembre 2023 faisant état de tueries qui aurait été perpétrées à Zaongo dans la commune de Boala dont les auteurs de ces actes barbares restent inconnus.
Face à cette situation, nous avons également appris par appel de l’Union Européenne à l’égard des autorités Burkinabè en leur demandant de faire la lumière sur cette affaire», a affirmé d’entrée de jeu, le porte-parole de la coordination des OSC.
Pour le conférencier du jour, c’est une situation qui interpelle plus d’un. Il ajoute que la coordination est tentée de s’interroger sur les prétendus droits de regard de l’Union Européenne sur les problèmes de notre Nation ? quelle autorité s’arroge-t-elle pour demander avec dédain des comptes à nos autorités sur la situation sécuritaire au Burkina Faso ?
Un ensemble de questionnement qui amène la coordination a demandé dans un premier temps l’interpellation de cette organisation Européenne et demande l’Union Européenne de tout mettre en œuvre afin de respecter le principe de non-ingérence dans les affaires intérieures des états et surtout celui de la souveraineté de l’État burkinabè. «Si les autorités Burkinabè ont des comptes à rendre à quelqu’un dans ce monde, cela n’irait pas au-delà du peuple Burkinabè.
Ces agissements viennent démontrer une fois de plus à quel point certaines organisations veuillent porter un coup à la cohésion sociale qui est sans doute le socle de notre vivre ensemble au Burkina Faso et freiner l’élan du combat souverainiste enclenché par le Capitaine Ibrahim TRAORÉ et son gouvernement.
Le peuple Burkinabè s’est engagé dans cette guerre sans rien attendre de qui que ce soit et il n’est demandé à personne à part le peuple de venir compter nos victoires encore moins nos morts», a laissé entendre le porte-parole de la coordination, Boukary Ouédraogo.
A l’issue de cette déclaration liminaire, la coordination des OSC par la voix de Boukary Ouédraogo, a exhorté les autorités à clarifier l’état des relations avec certains pays de l’Europe tel que la France qui passe tout son temps à donner la parole à des individus qui ont fuit la guerre dans leur pays afin que ceux-ci puissent s’exprimer au nom du peuple Burkinabè.
«Nous rejetons de telles manipulations qui n’ont aucun intérêt particulier si ce n’est de diviser le peuple et de dénigrer le combat dans lequel nous nous sommes dignement engagés.
Nous rappelons également à tout le monde entier que de tels actes n’ont jamais pu faire fléchir le vaillant peuple Burkinabè engagé que nous sommes, bien au contraire ils contribuent à renforcer nos rangs.
Qu’à cela ne tienne, nous appelons tout le peuple à une vigilance élevée et a une veille citoyenne plus dynamique et renforcée contre toute force de mal», a confié Boukary Ouédraogo.
A entendre, Lassané Sawadogo, la souveraineté du Burkina Faso est non négociable.
Du reste, la coordination se veut catégorique, la non ingérence dans les affaires de l’état burkinabè doit être une réalité.
Ismaël Kiekieta ✍️
L’association Semfilms à travers Ciné Droit Libre et l’ONG HUMUNDI ( ex- SOS FAIM) ont tenu une conférence de presse ce samedi 04 octobre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était d’annoncer à l’opinion publique la tenue de la […]
Actualité Culture SociétéL’association Semfilms à travers Ciné Droit Libre et l’ONG HUMUNDI ( ex- SOS FAIM) ont tenu une conférence de presse ce samedi 04 octobre 2023 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était d’annoncer à l’opinion publique la tenue de la deuxième édition du Festival Alimenterre au Burkina Faso. Ladite conférence se tient sous le leadership de Abdoulaye Diallo, Adjaratou Ouédraogo, jean Silvani Soahi et Napambeogo.
Vers une Alimentation Saine, Durable et Solidaire
Sous le parrainage de Monsieur Alfred SAWADOGO, président de SOS Sahel International, cet événement unique se tiendra du 8 au 11 novembre à Ouagadougou au *Palais de la Jeunesse et de la Culture Jean-Pierre Guingane, suivi d’une caravane à Tenkodogo, Koupela et Mogtedo du 16 au 19 novembre 2023.*
Cette deuxième édition promet d’être une aventure encore plus inspirante, instructive et engageante que la première édition. Cette année, autour du très captivant thème : * »Quelle alternative pour des systèmes alimentaires durables à l’échelle locale et mondiale ? »*, nous allons donner la parole aux agriculteurs, aux chercheurs, aux étudiants et élèves ainsi qu’aux défenseurs de l’agriculture durable.
*Au programme, des débats stimulants, des projections de films engagés, et des rencontres avec des experts, des agriculteurs, et des militants. Le Festival Alimenterre vise à éduquer, inspirer, et mobiliser pour un changement positif.*
Rejoignez-nous pour une réflexion essentielle sur notre alimentation et son impact sur notre santé, notre planète, et notre avenir. Ensemble, construisons un monde où l’alimentation rime avec durabilité, santé, et solidarité.
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Dans l’après midi de ce jeudi 02 octobre le journal Faso-info.net est allé à la rencontre de Faisal Ousseini NANEMA, Président du Mouvement pour la Démocratie et le Vivre Ensemble pour échanger sur des questions sociopolitique du Burkina. Très connu pour son fran parlé, Faisal […]
Actualité SociétéDans l’après midi de ce jeudi 02 octobre le journal Faso-info.net est allé à la rencontre de Faisal Ousseini NANEMA, Président du Mouvement pour la Démocratie et le Vivre Ensemble pour échanger sur des questions sociopolitique du Burkina. Très connu pour son fran parlé, Faisal Ousseini NANEMA est revenu sur les points focaux qui ont miné la vie sociopolitique du Burkina Faso.
-Faso-info.net: Présentez-vous à nos lecteurs?
-Faso-info.net: Quelle analyse faites-vous de la situation sociopolitique du Burkina ?
Faical Ousseni NANEMA : La situation sociopolitique du Burkina est très bon. Nous voyons que depuis le 30 septembre 2022, il y a des dignes fils du Burkina qui ont pris l’engagement de s’assumer au détriment des autorités supérieures au ventre ballonné et milliardaire. Tout à commencé le 24 janvier 2021 mais malheureusement, ils se sont trompés sur le choix de leur leader. Ils ont pris un homme qui était la photographie légalisée de l’autorité supérieur qui était assoiffée de l’argent . Dieu merci avec leur intelligence et leur savoir faire et leur sens de responsabilité, ils ont vite vu qu’ils se sont trompés. Ils ont donné le pouvoir à un assoiffés qui n’était que le lieutenant colonel Damiba et ils ont rectifier le choix le 30 septembre au bonheur des burkinabè avec le Capitaine Ibrahim TRAORÉ.Actuellement, le climat est très parfait.
-Faso-info.net: Quelle est votre position sur la prolongation de la Transition burkinabè ?
–Ouesseini Faisal NANEMA : Avant de savoir que dans la vie, il y avait un homme qui s’appelait Capitaine Ibrahim TRAORÉ, j’avais dit de prolonger la transition même si je ne soutenais pas le pouvoir de Damiba. J’avais vue qu’il n’était pas possible d’organiser les élections en 2024. Le chemin était long et périlleux pour pouvoir organiser les élections en si peu de temps.
-Faso-info.net: Quel regard critique faites-vous de la veille Citoyenne des derniers jours ?
–Faisal Ousseini NANEMA : La veille Citoyenne est une bonne chose pour le Burkina Faso qu’il faut louer et saluer. Si pendant l’évolution y’avait ses veilles citoyennes, on ne pouvait pas faire ce qu’on a fait au pouvoir de Sankara. Tout ceux qui sont dans les grains et dans les rond-point sont des gens qui n’ont jamais fait la politique parce que la politique c’est pas leur problème. Ils ont vu entre temps que le Burkina Faso partait dans un chaos et ils sont venus pour rétablir l’ordre. Ce sont des gens qui croient au Capitaine Ibrahim TRAORÉ comme ils croient au prophète Mohammed et à Jésus Christ. Ce sont des pères de famille qui ont laissé leur femme pour venir dormir au dehors. C’est un exemple de patriotisme et d’amour pour la patrie. Toutes choses que je félicites à sa juste valeur.
-Faso-info.net: Meeting avorté de la CGTB, quel regard sur la situation ?
–Faisal Ousseini NANEMA : Il y a eu un moment où j’ai eu les informations de certains leaders politiques qui voulaient une occasions pour faire un meeting et c’était le fiasco. Il y a des rumeurs qui disent que ce sont les pagtagé pagtagé sauf que les 95% des pagtagé pagtagé sont des commerçants et des analphabètes. Est ce que les pagtagé, pagtagé peuvent commenter les publications sur Facebook. Ils font généralement des audios. Mais quand on regarde le niveau de violence verbale sur les publications et les commentaires, on se demande le niveau social de ces internautes. Ce sont les militants politiques et les fonctionnaires qui avaient refusé qu’on prélève 1% de leur salaire pour l’effort de Guerre. Au nom de la mobilisation générale et l’amélioration des conditions de vie, je demande au président Ibrahim TRAORÉ de faire un prélèvement de 5% sur les salaires.
-Faso-info.net: Quel avenir pour le Burkina Faso dans les années à venir?
–Ouesseini Faisal NANEMA : L’avenir du Burkina Faso sera très merveille. Dans 5 ou 10 ans des gens auront envie de revenir au Burkina. Nous avons un boom minier qui sera développé car notre sous sol est très riche. Après dans 5 -10 ans que Dieu nous donne longue vie le Burkina sera un paradis inoubliable.
Interview réalisée par
Sanfo Minata et Ismael Kiekieta ✍️