Le consortium centre pour la gouvernance démocratique (CGD) a organisé un dialogue démocratique ce samedi 11 juin 2022 à Ouagadougou. Placé sous le thème : << pourquoi les burkinabè prennent-il les âmes contre des burkinabè ? >>, Ce dialogue a été animée sous le leadership de l’enseignement chercheur, Pr Augustin LOADA.
Depuis un certain temps, le Burkina Faso fait face à des attaques meurtrières qui endeuil chaque jours les familles. Face à celà le consortium centre pour la gouvernance démocratique aorganisé un dialogue démocratique qui est placé sous le thème :<< Pourquoi les burkinabè prennent-il les âmes contre des burkinabè ?>>, Afin de trouver connaître les causes du terrorisme et de trouver des solutions pour éradiquer à ce phénomène.
Pour l’un des 4 intervenants, les causes du terrorisme sont due au facteur international qui est une lutte fondé sur les faits religieux. Dans le pays on a l’état qui crée un ressentiment, le resentiment de reposession des ressources, aussi l’exploitation des ressources forestières et en l’eau.
Les réponses pour endiguer le phénomène terrorisme, est que les loi 060 et 61 sont créé pour lutter contre le terrorisme.
L’administration pénitentiaire à un programme de radicalisation qui permet de détecter les faits.
Pour le directeur exécutif du (CGD), Thomas Ouédraogo, l’événement est une problématique qu’ils ont posé sur la situation sécuritaire. Pourquoi les burkinabè attaque d’autres burkinabè ?, Parce que la question terroriste a été conçu comme une question exogène et aujourd’hui qu’il se rend compte que c’est une affaire beaucoup plus interne c’est la raison pour laquelle ils ont convié sur ce plateau une forme de triptyque chercheur qui a posé cette problématique d’internalisation du phénomène qui pourrait faire penser à autres choses que des actes purementose fort d’insurrection communautaire. Il a ajouté qu’ils ont également fait recours à quelqu’un qui vie au quotidien le problème, un journaliste qui a rapporté avec des récits à l’appui pour être même un auteur d’un ouvrage sur la question et nous avions voulu qu’il vienne en parler. Dit-il.
<< En dernier ressort, nous nous sommes rattaché au service de quelqu'un pour prendre des actes et reculer sur ces questions là. Notre objectif est de donner suffisamment d'informations pour mieux cerner mieux comprendre et mieux adresser le problème du terrorisme au Burkina Faso car on ne sait pas par quel goût le tenir. C'est une affaire de tous et le CGD et ses partenaires ont entendu apporter des contributions à ce débat. Après cette conférence nous allons transmettre les recommandations à qui de droit et nous allons organiser suffisamment de publicité pour engager les burkinabè sur la lutte contre le phénomène>>, a t’il laisser entendre.