C’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹’é𝗱𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟮 de la journée Nationale de la jeunesse. En effet, le ministère des sports et de la jeunesse en partenariat avec le Conseil National de la Jeunesse organise la journée commémorative de la Journée Internationale de la Jeunesse – 2022 du 11 au 13 août 2022 au Palais de la culture Jean Pierre GUIGANE à Ouagadougou.Aux programmes des activités, une Séance Aérobic, des communications et enfin (le 13 août 2022), le Bilan mi-mandat CNJ-BF et des échanges avec les jeunes.
Célébrée chaque 12 août , la journée internationale de la jeunesse est une occasion pour la jeunesse mondiale et surtout burkinabè 🇧🇫 de se questionner sur les enjeux majeurs de développement durable. La jeunesse est un acteur majeur et fondamental dans le processus de développement de nos nations.
Il faut noter que la présente édition est placée sous le thème : « Promotion du sport et autonomisation des jeunes: facteurs de résilience face aux défis sécuritaires au Burkina Faso».
Cette journée commémorative a rassemblé plusieurs jeunes, leaders d’associations, venus des 13 régions du Burkina Faso pour échanger non seulement sur les défis actuels auxquels fait face le pays des hommes intègres, mais également se pencher sur des préoccupations en vue d’envisager des solutions.
Instituée par la résolution A/RES/54/120 du 17 décembre 1999 de l’Assemblée Générale des Nation-Unies, à laquelle le Burkina a souscrit et qui est commémorée par la communauté internationale le 12 août de chaque année, c’est le Ministre des Sports, de la Jeunesse et de l’Emploi, Monsieur Abdoul Wabou DRABO qui a procédé au lancement des activités commémoratives de cette journée internationale de la Jeunesse, édition 2022.
Le président du CNJ/BF Moumouni DIALA lui a une fois de plus plaidé auprès de l’autorité pour une prise en compte conséquente des préoccupations de la jeunesse burkinabè au vue de la rendre plus efficace, disponible a même de pouvoir mieux s’engager dans la lutte contre le terrorisme.
« Quand vous prenez cette jeunesse burkinabè elle a principalement des préoccupations allant de la formation, la recherche de l’emploi, son implication dans les sphères de prise de décision. Mais aussi et surtout comment la structurée afin qu’elle puisse s’engager dans la lutte contre le terrorisme, surtout dans un contexte où elle est à la fois acteur et victime », a plaidé le président DIALA.
Le ministre DRABO lors de son allocution a demandé aux participants des échanges francs et ouverts dans les débats parce qu’il s’engage à œuvrer pour l’application des recommandations.
«Nous avons interpellé les participants d’avoir un débat francs a même de traduire leurs réels besoins au sortir de ces travaux. Dégager des perspectives et regarder ensemble pour l’avenir. Il ne s’agit pas pour nous de passer à une solution bâton magique. Nous devons redoubler d’efforts et d’imagination pour trouver des solutions au terrorisme. La jeunesse est un moteur du développement. A travers le sport également on peut montrer le dynamisme de la jeunesse. Nous n’allons pas faire un pas sans la jeunesse. Le gouvernement de la transition est à l’écoute de la jeunesse. C’est un gouvernement de jeunesse et c’est l’occasion de jetter de nouvelles bases. C’est une transition civile avec à sa tête un militaire qui est à l’écoute de la jeunesse. Je voudrais saluer l’accompagnement des partenaires techniques et financiers. Malgré les difficultés, nous devons garder espoir. Jeune du Burkina Faso faisons de notre pays, un havre de paix», a plaidé le ministre de la jeunesse avant de déclarer ouverte la cérémonie.