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SociétéLa Direction générale du Trésor et de la comptabilité politique en collaboration avec la Loterie Nationale Burkinabè et la Police Nationale a organisé une conférence avec les hommes de médias ce mercredi 9 juin 2021 à Ouagadougou. L’ objet de cette conférence rentre dans le cadre de la sensibilisation et de la communication sur l’évolution inquiétante du phénomène lié à l’exploitation illégales des machines à sous non conventionnelles. Ladite conférence a été animée sous le leadership du DG du trésor et de la comptabilité politique, Célestin Santéré SANON.
La prolifération et l’exploitation illégale des machines à sous << non conventionnelles >> est une réalité au Burkina Faso. En effet, il a été constaté une implantation anarchique desdites machines à sous dans les endroits interdits à la pratique de cette activité. Il faut noter que le phénomène a pris une ampleur inquiétante car de nombreuses zones dites « non loties », ville et village ont été envahie. Ce phénomène est particulièrement constaté au niveau de la ville de Ouagadougou dans les quartiers de Zagtouli, zongo, Pissy, Yagma Nagrin, Nioko 1 et 2, Rimkiéta…La boucle du Mouhoun est la région la plus touchée parmi les autres régions.
Au regard de ce phénomène, un document unique a été élaboré en vu pour une lutte efficace intitulé << Stratégique national de lutte contre la prolifération et l’exploitation illégale des machines à sous non conventionnelles au Burkina Faso>>. D’ailleurs, certains actions ont été réalisés à savoir la sensibilisation des Maires à travers l’Association des Municipalités du Burkina, la sensibilisation des responsables des structures déconcentrées du Ministre en charge des Finances, la sensibilisation des Autorités des Forces de défense et de sécurité au sein des différentes régions du pays pour expliquer la procédure en matière de réglementation des jeux de hasard au Burkina Faso.
Il faut également noter que des actions de contrôle ont été mises en place dans les marchés et yaars de la ville de Ouagadougou et un autre dans les régions.
En rappel, deux mille trois cent soixante machines à sous non conventionnelles ont été saisis le 31 mai 2021 dont mille six cent vingt-six stockées au sein de la DGTCP, trois cent quarante- quatre au sein du commissariat central de police de la ville de Bobo-Dioulasso et cent onze dans les Commissariats de police de District de la Direction Régionale de la Police Nationale des Cascades.
Le symbole de la musique burkinabè a procédé à la dédicace de son nouvel album « So Wok » en présence des médias nationaux et internationaux ce vendredi 11 juin 2021 à Ouagadougou. Cette cérémonie dédicace a connu la mobilisation de plusieurs acteurs culturels et des artistes […]
Actualité CultureLe symbole de la musique burkinabè a procédé à la dédicace de son nouvel album « So Wok » en présence des médias nationaux et internationaux ce vendredi 11 juin 2021 à Ouagadougou. Cette cérémonie dédicace a connu la mobilisation de plusieurs acteurs culturels et des artistes du terroir qui a semé les graines d’une réussite totale de l’album.
« Long parcours », c’est la définition du titre de nouvel album « So Wok » de Alif Naaba. Réalisé entre l’Afrique et l’Europe, l’album a été enregistré, mixé à Ouagadougou et à Paris, puis au studio La Fonderie en SUISSE. « So Wok » touche les causes sociétales à savoir le terrorisme, l’immigration des jeunes Africains hors du continent, l’amitié (faux amis), l’amour et aussi l’histoire. C’est un album de 17 titres.
Après un longue attente des fans de Alif Naaba, soit sept ans depuis la sortie du quatrième album « Yiki » en 2013, « So Wok » est le cinquième album qui a su allier folk et musique traditionnelle pour créer un style à lui, et se frayer un passage dans le monde de la musique.
Selon l’artiste, Alif Naaba, c’est un album décomplexé et très varié qui a pris en compte toutes les couches d’âges et bien évidemment aussi tous les deux sexes. Pour lui, « So wok » a une particularité par rapport à ses précédents albums. Il ajoute que l’album est une compilation dans laquelle son « cœur parle ». Ce cinquième album est composé de 17 titres, « M’tenga, Tal rinda, Poko… ».
Dans son album c’est un mélange du mooré, du français et de l’anglais. Il porte aussi la touche des ingénieurs de « renoms » tant sur le plan national qu’extérieur tel que Eliezer Oubda, David Felgeirolles et Jean Lamoot.
Au cours de la dédicace, le prince aux pieds nus, Alif Naaba a présenté et traduit toute sa reconnaissance à l’équipe artistique ainsi que les collaborateurs qui l’ont épaulé dans la concrétisation de son Long parcours, et leur a traduits toute sa reconnaissance.
En rappel, Alif Naaba dispose d’une discographie très riche, à savoir « Regard métis (2004), Foo (2005), Wakat (2009) Yiki (2013), Et maintenant (un single 2015), Gomdé (single 202O) et So Wok (2021) ». De son vrai nom Noura Mohamed Kaboré, il est né le 18 juillet 1982. Il est un compositeur-interprète, dont le genre musical est Afropop, afrobeat, folk musique du monde.
Le président de l’Alliance des Jeunes Burkinabè de la Côte d’Ivoire (AJB-CI), Malick ZAMPALIGRE a foulé le sol burkinabè et s’est rendu au siège du Mouvement Plus Rien ne Sera Comme Avant (MPRSCA) ce samedi 12 juin 2001 à Ouagadougou. L’objectif principal de cette visite […]
SociétéLe président de l’Alliance des Jeunes Burkinabè de la Côte d’Ivoire (AJB-CI), Malick ZAMPALIGRE a foulé le sol burkinabè et s’est rendu au siège du Mouvement Plus Rien ne Sera Comme Avant (MPRSCA) ce samedi 12 juin 2001 à Ouagadougou. L’objectif principal de cette visite était d’échanger sur la situation nationale et celui de la diaspora de la Côte d’Ivoire. Ces échanges se sont voulus fructueux pour l’ensemble des burkinabè.
L’Alliance des Jeunes Burkinabè de la Cote d’Ivoire n’est pas resté insensible face à la situation dramatique que le pays des hommes intègre a connu ses derniers jours. En effet, c’est au cours d’une visite de courtoisie que le président de l’Alliance des Jeunes Burkinabè de la Côte d’Ivoire (AJB-CI), Malick ZAMPALIGRE a exprimé toute sa compassion à ses frères burkinabè pour l’attaque meurtrière de Solhan. C’est une occasion pour le président de AJB-CI de renseigner sur tous les problèmes que vivent les burkinabè et d’exposer également au MPRSCA toutes les difficultés que les burkinabè vivant en Côte d’Ivoire rencontre.
Au titre des difficultés que vivent les compatriotes diaspo de la Côte d’Ivoire, il faut noter les problèmes d’établissement de la carte consulaire, celui de la carte nationale d’identité burkinabè et la problématique de la fermeture des frontières terrestres. L’un des points majeurs, sur l’établissement de la carte consulaire, c’est sur la durer et le coût.
Les cartes consulaires coûtent entre 7000 f CFA et 20000FCFA selon les régions et sa durée est de 5 ans et alors que la CNIB coûte 2500 FCFA pour 10 ans de durée. Toute chose qui ne s’explique pas selon l’opinion publique.
Sur l’établissement de la carte nationale d’identité, c’est le manque d’une équipe pour l’établissement des cartes. « L’établissement de la CNIB en Côte d’Ivoire au sein du consulat a été interrompu après les élections couplées de novembre 2020. Nous demandons une équipe permanente en Côte d’Ivoire pour établir les CNIB. Nous demandons au ministre des affaires étrangères de se penser sur nos difficultés», a souhaité le président Malick ZAMPALIGRE.
Quant à la ferme des frontières, le président de l’Alliance des jeunes burkinabè de la côte d’ivoire, ZAMPALIGRE Malick, estime que c’est un leurre parce que le trafic routier continu de façon officieuse. « Nous insistons sur l’ouverture des frontières parce que le trafic routier fonctionne toujours de manière officieuse. Il suffit de corrompre les agents postés sur la route » a t’il souligné.
Le MPRSCA trouve qu’au regard de l’insécurité les burkinabè ont plus que jamais besoin de leurs CNIB pour circuler librement. Ils demandent au président au Faso de gérer les burkinabè à un pied d’égalité. « Nous ne pouvons pas comprendre que les frontières terrestres sont fermées alors que les frontières aériennes sont ouvertes. Nous avons une population qui n’a pas suffisamment les moyens pour prendre les avions. Il faut qu’on ouvre les frontières parce que ses fermetures profitent à une minorité de la population. Nous dénonçons les comportements illégaux sur nos voies. Nous demandons au président du Faso et à la CEDEAO d’ouvrir les frontières », dixit le chargé de communication du MPRSCA, Massirou Guiro.
Du reste, le ministre des affaires étrangères est interpelé pour l’instauration d’une équipe permanente pour l’élaboration des CNIB en Cote d’Ivoire.
L’ Association Nationale des Artistes Professionnels des Arts Plastiques( ANAPAP) en collaboration avec l’ Agence pour le Rayonnement des Arts Plastiques ( ARAP) a convié les hommes de médias ce jeudi 10 juin 2021 à Ouagadougou au lancement du programme d’embellissement des édifices publics et […]
Actualité CultureL’ Association Nationale des Artistes Professionnels des Arts Plastiques( ANAPAP) en collaboration avec l’ Agence pour le Rayonnement des Arts Plastiques ( ARAP) a convié les hommes de médias ce jeudi 10 juin 2021 à Ouagadougou au lancement du programme d’embellissement des édifices publics et privés pour une période d’essai de trois mois afin de rendre visible les œuvres des artistes burkinabè. Ladite cérémonie a été animée sous le leadership du président de l’ANAPAP, Souleymane NIKIEMA, du ministre de la culture, Elyse Thiombiano et des autorités administratives.
Le programme d’embellissement des édifices publics et privés est un projet qui à terme, contribuera à renforcer la résilience des artistes plasticiens face à la Covid-19, et aussi en les permettant de mieux vivre de leur métier. Il faut noter, que pour cette première phase du programme, les artistes ont décidé d’embellir gratuitement les édifices publics et privés de la ville de Ouagadougou pour une période de 3 mois. Après cela, ça sera le tour de la ville de Bobo-Dioulasso. Le président de l’ ANAPAP a affirmé qu’ils proposent des formules adaptées à toutes les bourses avec un suivi régulier par une équipe de jeunes spécialistes et dynamiques.
Placé sous le patronage de Mme le ministre de la Culture des Arts et du Tourisme, Mme Élise Foniyama THIOMBIANO/ILBOUDO, ce lancement rentre dans le cadre de la relance dans le domaine des arts plastiques face à la COVID-19 mentionnée en lettre d’or dans l’initiative de SEM le président du Faso pour accompagner le secteur culturel. Son objectif est d’embellir les édifices publics et privés, sensibiliser des autorités et opérateurs économiques sur la consommation des produits de la culture. En en plus de cela, rendre visible les œuvres et faire connaître les artistes.
Le Burkina Faso est un pays cité à l’exemple pour sont dynamisme culturel. L’ un des domaines pour ce dynamisme et perceptible est celui de l’art plastique. Cependant l’épanouissement de ce métier est lié à des difficultés à leurs tour liées à l’insuffisance des infrastructures culturels en soutien aux arts visuels. Par ailleurs, le marché de l’art contemporain est limité part le manque d’engouement des Burkinabè pour les œuvres d’art plastique nationale, le déploiement insuffisant voire l’inexistence d’œuvre pour la décoration
L’Association Burkinabè pour l’Inclusion des Personnes Albinos (ABIPA), en marge de la journée internationale de sensibilisation à l’albinisme, a organisé une série d’activités au profit des personnes albinos, ce mercredi 09 juin 2021 à Ouagadougou. Lesdites activités se sont déroulées en deux phases, une sensibilisation […]
Actualité santé SociétéL’Association Burkinabè pour l’Inclusion des Personnes Albinos (ABIPA), en marge de la journée internationale de sensibilisation à l’albinisme, a organisé une série d’activités au profit des personnes albinos, ce mercredi 09 juin 2021 à Ouagadougou. Lesdites activités se sont déroulées en deux phases, une sensibilisation pour les parents et tuteurs albinos et une série de dépistage de pathologies oculaires chez les personnes albinos.
La personne albinos souffre d’un défaut de production de mélanine. La mélanine est le pigment qui donne sa couleur à nos cheveux, nos yeux et notre peau. Elle nous protège aussi du soleil. L’albinisme est une maladie d’origine génétique.
Les albinos ont une vision déficiente et sont facilement sujets à des kératoses et cancers de la peau s’ils ne sont pas protégés du soleil.
Pour l’ABIPA cette célébration de la journée officielle de l’albinisme s’accompagne par une sensibilisation pour les parents albinos et un dépistage de pathologies oculaires pour les albinos.
Pour l’ABIPA, c’est le lieu de remercier, le centre de lutte contre cécité et la société burkinabè d’ophtalmologie.
Selon Faberé Sanon, cette activité est le fruit d’une collaboration avec d’autres structures. Il ajoute qu’il s’agit de donner des conseils sur comment protéger l’œil en général et de la personne albinos en particulier qui fragile.
Pour Docteur Sankara, cette activité intervient pour sensibilisé les parents albinos sur comment protéger l’œil de la personne albinos qui plus fragile que ce lui des autres. « On a besoin de soleil pour que l’œil se développer mais pour les personnes albinos il y a un déficit de pigments et l’œil se trouve exposé au rayon solaire. Les personnes vivant avec l’albinisme sont plus sensible aux problèmes oculaires et dermatologiques. Il était important qu’on approche ses personnes pour prévenir les pathologies et les sensibiliser à une protection. Nous allons tenter de les suivre régulièrement » a laissé entendre le docteur.
Du reste, un journée de célébration de l’albinisme est prévu le 13 juin 2021 à Banfora.
La chorale Sacré cœur de la communauté anglophone de l’ archidiocèse de Ouagadougou a dédicacé son premier album ce samedi 05 juin 2021. Cet album purement religieux de huit titres est baptisé << God’s love >>. Cet album est chanté exclusivement en anglais et invite […]
Culture La chorale Sacré cœur de la communauté anglophone de l’ archidiocèse de Ouagadougou a dédicacé son premier album ce samedi 05 juin 2021. Cet album purement religieux de huit titres est baptisé << God’s love >>.
Cet album est chanté exclusivement en anglais et invite à la louange et à l’action de grâce tout en manifestant l’amour de Dieu.
La chorale anglophone catholique << Sacré cœur >> est une chorale de la communauté catholique anglophone. En effet, c’est en mars 2020 que l’enregistrement de cet album a eu lieu. Chanté par 27 membres de la chorale, cet album est inscrit au Bureau Burkinabè de Droit d’ Auteur (BBDA). Ainsi est né l’album sous le nom de » l’Amour de Dieu ». Avec huit (08) titres différents.
Il faut noter que le tout premier titre de ces huit titre est » l’amour profond pour dire que Dieu est une source d’amour intarissable. En ce qui concerne le deuxième titre » Souvenez vous » est une prière dite par les chrétiens catholiques, le troisième nommé « personnes comme Jésus » , nous dit que personne ne peut être sauvé que par lui. Le quatrième » Actions de Grâce », nous traduit notre profonde gratitude car notre vie est une action de grâce. Le cinquième, K’OSISO CHUKWU pour dire que si Dieu est notre créateur, qui sommes nous pour refuser de faire sa volonté ?, Le sixième, » je suis le chemin » pour dire que Jesus Christ est le chemin, la vérité et la vie, le septième, nommé » viens dans mon cœur » et Kyrie le huitième chanté au cours de la messe entre le chant d’entrée et le gloria, il vient après l’aveu des fautes et la demande de pardon.
Pour le prêtre en charge, le révérend Père Moïse OULGA, la communauté a commencé depuis 1997 et il avait seulement une messe dominicale à la Chathédrale tous dimanche à 11h. Mais au fur et à mesure que la communauté augmentait, ils se sont trouver un autre endroit. Il affirme que le cardinal Philippe a demandé que nous venions cohabiter avec les chrétiens de la communauté chrétienne de basse, la CCB de Saint André. Voilà pourquoi nous occupons cette église avec eux. Cet album est baptisé Amour de Dieu, c’est la quasi totalité par conséquent l’amour du prochain. « Actuellement ce qui m’anime est la joie. A travers cet album nous allons continuer à louer le seigneur et à se faire connaître car à Ouagadougou ils sont ouverts si c’est ailleurs ils vont pas permettre qu’une autre langue puisse s’installer, une particularité qui fait une richesse. Nous voulons que dans quelques années, nous ayons notre propre église et que nous devenons une paroisse, la paroisse anglophone de Ouagadougou » a souhaité le révérend père.
Selon lui, tout ceux qui parlent anglais viendrons prier.
En définitive, parmi cet album de huit titre un est en français et un en Ibo. Ces CD sont vendus au prix unitaire de 3000 franc et par la suite ils seront en vente à la boutique AV Maria.
Le Conseil d’Information et de SUIVI des Actions du Gouvernement (SISAG) a procédé à la cérémonie d’ouverture d’un atelier ce jeudi 3 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cet atelier est de faire l’Etat de mise en œuvre, Bilan et Perspectives sur l’approche ITTIE au […]
Actualité Le Conseil d’Information et de SUIVI des Actions du Gouvernement (SISAG) a procédé à la cérémonie d’ouverture d’un atelier ce jeudi 3 juin 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cet atelier est de faire l’Etat de mise en œuvre, Bilan et Perspectives sur l’approche ITTIE au Burkina Faso. La cérémonie d’ouverture a été animée sous le leadership du président de SISAG, Issaka OUEDRAOGO.
Les industries extractives et minière sont au centre des préoccupations de la communauté internationale. En effet, elle constituent un enjeu de taille dans le développement économique et technologique au plan mondial et entraînent de ce fait une ruée vers leur exploitation à des fins commerciales. Elle sont malheureusement au centre de conflit et de guerres fratricides pour leur contrôle. C’est donc pour assurer d’une bonne traçabilité des ressources générés par l’industrie minière que la nécessité de la mise en œuvre du mécanismes de suivi et de contrôle s’est avérée nécessaire au plan international.
A travers notamment l’approche ITIE, l’initiative pour la transparence dans les industries minières et extractives. Dans le contexte spécifique du Burkina Faso, le secteur minier est aujourd’hui considéré comme l’un des plus dynamique de la sous-région Ouest Africaine, voir du continent en raison de ses bonnes performances réalisées au cours des dix dernières années. D’ailleurs, selon les données de la chambre des mines du Burkina, l’évolution de la production de l’or montre que celle ci est passé de 11,60T en 2009 à 50,5 tonnes en 2019. Ce qui a généré une recette totale en 2019 évaluée à 275 825milliards de FCFA.
Le premier atelier de cette série de communications va porter sur le rapport sur l’initiative pour la transparence dans les industries extractives au Burkina Faso paru en février 2021. Il faut noter que l’objectif principal de cet atelier est d’actualiser les données de base sur la connaissance du mécanisme du ITIE: Contexte de création, historique, enjeux, défis et contraintes, méthode de travail, méthodologie de collecte de vérification, et de certification des données et des résultats obtenus. Son objectifs spécifiques est de divulguer le rapport ITIE 2019, identifier les points qui pourraient faire l’objet de plaidoyer auprès des institutions ou structures compétentes.
Le SISAG voudrais initier une série de communications dénommées » Atelier d’échange et de partage d’information sur la contribution des sociétés minières au développement local du Burkina Faso ».
Pour le président du SISAG, Issaka OUEDRAOGO, l’atelier a été organisé pour parler d’un manque d’information sur la gestion minière au Burkina Faso. » On a remarqué qu’au Burkina Faso, les populations ne sont pas informé sur la gestion minière au Burkina. Ils trouvent que l’or est exploité au Burkina Faso et au niveau du panier de la ménagère il n’y a pas d’amélioration d’où l’organisation de cet atelier pour donner les informations utiles. Au niveau de l’exploitation minière il y’a des avantages et aussi des acquis qu’ils faut noter. A l’issue de cet atelier, on va faire plusieurs communications et a travers celle ci les responsables d’OSC et d’association pourront posé toute sorte de questions parceque c’est des questions sans tabous. En plus, que le SISAG se donnera les moyens pour visiter tous les sites miniers qui ont été signalés et voir comment il pourrait amélioré pour que la souffrance de leur populations diminus », dixit le président.En cela il ajoute que l’ État doit être plus exclusive sur la question minière en se sens qu’ au niveau du gouvernement il n’y a pas d’information pour dire au population voilà ce que les gens reçoivent comme argent de l’or et voilà à quoi ça contribue.
En rappel, le SISAG est une structure de la société civile burkinabè créé depuis 1998 qui œuvre depuis lors dans le renforcement de la démocratie et de la bonne gouvernance.
L’ Union des jeunes opérateurs économiques du Burkina Faso a organisé une conférence avec les hommes de médias ce jeudi 3juin 2021 à Ouagadougou. L’ objectif principal de cette conférence était d’apporter une lumière sur l’affaire de Appolinaire COMPAORÉ soi- disant impliquer dans un trafic […]
PolitiqueL’ Union des jeunes opérateurs économiques du Burkina Faso a organisé une conférence avec les hommes de médias ce jeudi 3juin 2021 à Ouagadougou. L’ objectif principal de cette conférence était d’apporter une lumière sur l’affaire de Appolinaire COMPAORÉ soi- disant impliquer dans un trafic illicite. Ladies conférence a été animée sous le leadership du secrétaire à l’information Assimi KABORE.
L’Union des jeunes opérateurs économiques du Burkina s’est réuni pour demander à tous qu’il ait une lumière sur Apollinaire COMPAORÉ accusé dans les réseaux sociaux par un trafic de cigarette avec les terroristes. Il faut noter que les jeunes opérateurs économiques ont lancés un appel aux commerçants, tout ceux qui œuvre dans le domaine du commerce de se mobiliser enfin qu’il puisse trouver une solution sur cette malversation qui ne les honores pas.
D’après le secrétaire à l’information, le patron les a rassuré de sa bonne foi, à ce qu’il ait lumière sur l’affaire le concernant et a même demander un droit de réponse sur cette situation qui n’honore aucun de ses acteurs. Pour eux, il y’a un opérateur économique qui est à la base de cette manigance et ils prie le démasquer les jours à venir.
Le président des jeunes opérateurs économiques du Burkina, El Hadj Moumouni Koboré a affirmé que : » Notre rencontre d’aujourd’hui était pour faire savoir à la population Burkinabè sur tout ce qui se passe dans les réseaux sociaux plus de deux ou trois mois de cela. Monsieur Apollinaire COMPAORÉ qui a été accusé par un trafic dont il faut que nous même on se lève pour dire ce que nous pensons et ce que nous savons. Nous savons bien que Apollinaire COMPAORÉ est un homme qui est clair et ne fait jamais de faut affaires. Nous n’allons jamais accepté que quelqu’un vienne le noyer » dixit le président.
En rappel, le président ajoute que la vérité triomphera un jour et l’affaire reste à suivre.
L’Union des transporteurs opérateurs économiques et chauffeurs du Burkina Faso au Togo (UTOECBF-T) a animé un point de presse le mercredi 2 juin 2021 à Ouagadougou pour présenter sa nouvelle structure reconnue par les autorités burkinabè. Il s’agit de l’Association des transporteurs opérateurs économiques et […]
SociétéL’Union des transporteurs opérateurs économiques et chauffeurs du Burkina Faso au Togo (UTOECBF-T) a animé un point de presse le mercredi 2 juin 2021 à Ouagadougou pour présenter sa nouvelle structure reconnue par les autorités burkinabè. Il s’agit de l’Association des transporteurs opérateurs économiques et chauffeurs du Burkina Faso (ATOECBF).
Ayant été traités de droit togolais, les membres de l’Union des transporteurs opérateurs économiques et chauffeurs du Burkina Faso au Togo (UTOECBF-T) ont décidé de créer l’Association des transporteurs opérateurs économiques et chauffeurs du Burkina Faso (ATOECBF).
Après un plaidoyer avec les autorités du Burkina, un récépissé leur a été accordé pour reconnaitre l’ATOECBF comme étant du droit burkinabè.
« Hier notre structure était du droit togolais. Plusieurs structures ont traité notre structure de droit togolais. Nous rassurons les uns et les autres que nous avons le récépissé du Burkina maintenant et désormais nous sommes du droit burkinabè », a dit Alassane Guira président de l’ATOECBF-T par ailleurs président de l’ATOECBF.
Alassane Guira président de l’ATOECBF-T par ailleurs président de l’ATOECBF.
Pour Alassane Guira, que l’UTOECBF-T soit de droit togolais, ce qui est sûr, c’est l’intérêt du Burkina qu’elle défend bien qu’elle soit basée au Togo. « Mais comme le Conseil Burkinabè des Chargeurs (CBC) ne veut pas nous reconnaitre, nous avons jugé nécessaire de créer une deuxième structure cette fois de droit burkinabè, d’où la naissance de l’ATOECBF », a-t-expliqué.
La naissance de l’ATOECBF va changer beaucoup de chose parce que selon M. Guira leur structure sera désormais irréprochable et aura les mêmes droits et les mêmes devoirs que les autres structures vis-à-vis de l’Etat burkinabè.
Il demande au CBC et aux autres structures exerçant dans le même domaine, de leur associer afin qu’ils puissent travailler ensemble.
En ce qui concerne la gestion du fret, M. Guira a fait savoir que le Burkina n’a pas de fret mais ce sont des burkinabè qui ont de fret. « Dans notre structure, nous sommes tous des transporteurs et nous sommes propriétaires du fret. Vouloir donner la suprématie à une structure par rapport à une autre, c’est cela qui cause problème », a-t-signifié.
ATOECBF veut que le CBC joue correctement son rôle, parce que toutes les structures intervenant dans le domaine du transport travaillent toutes dans l’intérêt du Burkina Faso.
Sanfo minata
Le lancement officiel du Championnat National du Kalma ( CNK) a eu lieu ce mercredi le 2 juin 2021 à Ouagadougou. Cette 3 ème édition du championnat national du Kalma composé de trois phases est prévu du 24 au 27 juin 2021 à l’espace culturel […]
CultureLe lancement officiel du Championnat National du Kalma ( CNK) a eu lieu ce mercredi le 2 juin 2021 à Ouagadougou. Cette 3 ème édition du championnat national du Kalma composé de trois phases est prévu du 24 au 27 juin 2021 à l’espace culturel Napambeogo à Gounghin. Ladite cérémonie a été animée par le coordonnateur du Kalma Aboudou BADO Dabs.
La 3 ème édition du Championnat National du Kalma ( CNK) est une manifestation culturelle bâtit au tour d’une grande compétition d’envergure nationale d’artistes danseurs Kalma. Il faut noter que cette édition se présente comme une manifestation de type festivalesque qui se déroulera en quatre jours en un seul endroit. Cette 3 ème édition sera composé d’ une grande cérémonie d’ouverture spéciale et une grande compétition de Kalma à trois étapes à savoir les éliminatoires, une demi-finale et une finale.
D’ailleurs, au delà de cette grande compétition de la nouvelle génération des danseurs du Kalma, ce championnat verra une grande exposition artistique et culturelle dont l’art vestimentaire et la participation en animation des compétitions des prestations des grands danseurs phénomènes du Kalma et des artistes multiformes.
Il faut retenir que la particularité de cette 3 ème édition est que chaque danseurs sera habillé par une maison de couture d’après Aboudou BADO, le coordonnateur du Kalma.
Parmi les trois phases, la première phase qui est là phase des éliminatoires mettra en compétition 32 danseurs retenus lors d’un appel à candidature. Cette phase est subdivisée en 4 spectacle de 8 danseurs permettront de retenir 4 danseurs par spectacle dont 16 candidats pour les demi-finales. En plus, la demi-finale composé de deux spectacles verra l’exposition de 16 artistes danseurs retenus lors des éliminatoires. En fin, la finale permettra aux 8 finalistes de se lancer à la conquête du titre suprême de Championnat National du Kalma 2021et le lauréat bénéficiera du gros lot et d’un trophée. Les villes participantes à cette 3 ème édition sont Ouagadougou, Koudougou, Bobo-Dioulasso, Gaoua, Puitenga.
En rappel, un jury de trois membres seront chargés de l’appréciation de la compétition et de la meilleure création de mode.