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Actualité CultureL’Association EMUL-BF a organisé une conférence de presse du Festival de Musique Live de Gounghin ( FEMULIG) ce jeudi 27 octobre 2021 à Ouagadougou. Cette 6e édition est placée sous le thème :“La place du musicien instrumentiste à l’ère du numérique, quelles stratégies pour allier pratique instrumentale et la musique assistée à l’ordinateur.” Ladite conférence s’est tenue sous le leadership du président Serge Désiré OUÉDRAOGO et du coordonnateur, Maximilien Aristide SOME.
Le FEMULIG est une plate-forme pour la promotion de la Musique live et la mise en exergue des musiciens instrumentistes.
Il faut noter que c’est un festival axé sur la promotion et la valorisation de la musique live et partant des musiciens instrumentistes chevilles ouvrières de l’industrie musicale burkinabè. Le FEMULIG soufflera sa 6 bougie forte de cinq éditions riches en couleurs et en innovations du 25 au 28 Novembre 2021 à Ouagadougou à la place de la femme du quartier Gounghin sous le thème « La place du musicien instrumentiste à l’ère du numérique, quelles stratégies pour allier pratique instrumentale et la musique assistée à l’ordinateur ». A laissé entendre le président, Serge Désiré OUÉDRAOGO.
l’idée principale de cette initiative est de valoriser les musiciens instrumentistes, les artistes et les groupes musicaux évoluant dans le live.
Pour Serge désiré OUEDRAOGO, président de L’Ensemble Musical Le Levain du Burkina Faso (EMUL-BF), l’ association initiatrice de ce festival de préciser que : « Notre ambition est de promouvoir la musique live à travers notre ensemble musical le levain doté d’une expérience de plus de 13 ans dans les animations live ».
Par ailleurs, cette 6 e édition sera marquée par certaines activités a savoir une conférence débat, des prestations artistiques, des activités d’œuvres sociales, la rue marchande et la nuit des lauréats et des partenaires.
Ce sont donc au total 12 artistes dont trois vedettes qui vont prester en live à cette édition. S’il y a une innovation majeure de cette édition, c’est bien la mise à disposition d’une enveloppe financière à chacun des cinq meilleurs musiciens instrumentalistes.
En plus de la rubrique « découverte des talents » qui consiste à offrir le plateau (pour 15 mn) à des jeunes talents cachés par manque de moyens ou insuffisance de promotion, il y’aura une deuxième innovation dénommée « Djam session » qui mettra sur scène au maximum cinq (05) musiciens qui montreront leur savoir-faire dans la pratique des instruments. La rubrique « Djam session » sera inséré dans la partie ANIMATION du chronogramme et la « découverte de talents » fera place de levé de rideaux.
En rappel, le FEMULIG est une manifestation culturelle née il y a 6 années grâce å la clairvoyance de musiciens instrumentistes constituant EMUL-BF. EMUL-BF est une association Burkinabè dont l’objectif principal est de valoriser les musiciens instrumentistes, la musique live et le chant profane et/ou choral en vue de contribuer au développement de la musique du Burkina-Faso.
Compte rendu de Minata SANFO
L’ association Afrique Contre le Tabac ( ACONTA), a procédé au lancement officiel du rapport sur l’indice d’ingérence de l’industrie au tabac au Burkina Faso ce 25 octobre 2021 à Ouagadougou. L’ objectif de ce lancement est d’interpeller la population sur les danger du tabac […]
SociétéL’ association Afrique Contre le Tabac ( ACONTA), a procédé au lancement officiel du rapport sur l’indice d’ingérence de l’industrie au tabac au Burkina Faso ce 25 octobre 2021 à Ouagadougou. L’ objectif de ce lancement est d’interpeller la population sur les danger du tabac car le Burkina Faso occupe la 10e place sur 14 pays africains. Ladite présentation a été fait sous le leadership du Ministre de l’industrie, du commerce et de l’artisanat, Harouna KABORE et le coordonnateur de Afrique contre le tabac, Salif NIKIEMA.
Le tabac est une substance dangereuse qui nuit l’organisme. << Toute les six seconde une personne quelque part dans le monde meurt à cause du tabagisme. En 2011, la consommation du tabac à provoqué 6 millions d’environ de décès dans le monde parmi lesquels 600.000 personnes étaient des fumeurs passifs. Malheureusement 80% de ces décès sont observés dans les pays à revenu faible ou moyen comme le Burkina Faso >>, a laissé entendre Dr NARE représentant du ministre de la santé.
En effet il s’agit du premier rapport du Burkina Faso sur l’indice d’ingérence de l’industrie du tabac.
Il faut noter que sur 80 pays participants dont 14 du continent africain, le Burkina Faso est à son premier rapport. C’est donc le lieu pour les membres de l’Afrique Contre le Tabac (ACONTA), de présenter le rapport sur l’indice de l’ ingérence de l’industrie du tabac au Burkina Faso.
Le Burkina Faso est un pays où l’ingérence du tabac est une réalité. Au regard du rang qu’il occupe dans la sous région. Il faut noter que le Burkina Faso a eu un score de 57 point et occupe la 10e place sur 14 pays africains.
Par ailleurs face à ces chiffres assez augmenter, l’ association ACONTA a énuméré un certain nombre de recommandation à l’endroit du gouvernement. Ces recommandation vont à l’endroit du ministère de la santé de s’engager dans la Lutte anti-tabac. Le coordonnateur affirme :<< Nous demandons la prise d’un arrêter ou d’un décret nationale pour mettre fin à la chicha. Nous demandons également à ce que le système de suivi et de traçabilité des produits du tabac au Burkina Faso connaisse une révision >>.
En ce qui concerne le Ministre de industrie du commerce et de l’ artisanat, Harouna KABORE, il a félicité d’abord l’association (ACONTA) qui a fait de la lutte contre le tabac son cheval de bataille. Aussi il ajoute: » On sait que dans le secteur, le tabac contribue à affaiblir nos capacités, il nuit à la santé, le tabac détruit des vies qu’on le consomme directement ou qu’on soit des personnes qui assiste à la consommation du tabac, c’est dangereux et on ne peut pas parler de capital humain si on ne traite pas de toute les questions qui permettent à la population, aux acteurs aux agents économiques de rester en bonne santé », dit-il.
Il convient de retenir que ce lancement a été marqué par une remise de rapport au représentant du ministre de la santé, de l’OMS, au ministre en charge de l’industrie dans le quel le gouvernement répond aux tactiques de l’industrie du tabac en utilisant les directives de l’article 5.3 de la CCLAT de l’ OMS.
Compte rendu de Minata SANFO
Le mardi 26 octobre 2021 au siège de l’Union pour la Renaissance/Parti sankariste, à Ouagadougou, le comité d’organisation du congrès de fusion a animé une conférence de presse. Placé sous le thème : << l’Union des forces progressistes comme alternative crédible dans la lutte contre […]
PolitiqueLe mardi 26 octobre 2021 au siège de l’Union pour la Renaissance/Parti sankariste, à Ouagadougou, le comité d’organisation du congrès de fusion a animé une conférence de presse. Placé sous le thème : << l’Union des forces progressistes comme alternative crédible dans la lutte contre l’insécurité pour le progrès du Burkina Faso>>, l’objectif de cette conférence était de donner des informations sur l’avancement des préparatifs du congrès. Ladite conférence a été animée sous le leadership du président du comité d’organisation, Alidou SANFO.
« Nonobstant les nombreux acquis de la gouvernance actuelle du président Kaboré, le peuple burkinabè reste en quête d’une alternative sankariste, plus conforme à ses aspirations », telle est la conviction des partis de la majorité présidentielle, qui ont décidé de se fusionner. Le président du comité d’organisation, Alidou SANFO a fait savoir qu’ à ce jour, à la suite de l’UNIR/PS et le Mouvement patriotique pour le Salut (MPS) qui avaient donné le ton le 4 août dernier, trois autres partis politique dont l’URD/MS, le CPP/FB et le PJD et deux organisations de la société civile (FASOKOOZ et la JSU) ont choisi de rejoindre « le large front gauche en constitution » afin « d’offrir une alternative crédible à la gouvernance » du Burkina. Par alternance crédible, les sankaristes entendent mettre en application les idéaux du président Sankara.
Ainsi, le comité d’organisation du congrès de fusion a noté que ses actions ont permis de mettre en forme « des documents de base devant régir le futur parti; l’organisation d’une rencontre des cadres de différents partis pour la constitution des équipes relais sur le terrain afin d’informer largement les militants de base ».
Pour le président du comité d’organisation du congrès M. Sanfo, « l’organisation des Assemblées générales d’information et d’explication dans les provinces » a eu lieu pour faire comprendre le projet de fusion aux militants.
En ce qui concerne le congrès de fusion proprement parler prévu du 30 octobre au 1er novembre, le Comité d’organisation a mis en place « un comité national d’organisation composé de 12 sous-commissions et réunissant 58 membres issus de tous les partis et organisations de la société civile », se dit « prêt à relever le défi d’une organisation matérielle réussie ». A ce propos, le comité précise que « 600 congressistes sont attendus pour les travaux proprement dits et 4 000 militants pour la cérémonie de clôture » du nom de cet ancien président de la République tanzanienne du 29 octobre 1964 au 5 novembre 1985. Surnommé le mwalimu, il fut l’un des principaux représentants du socialisme africain.
Il faut retenir qu’à se congrès sera signé le large font de gauche.
Du reste, au titre des participants, le comité d’organisation a évoqué des délégations étrangères du Niger, du Mali, de la Côte d’Ivoire et d’Europe; avec « la présence effective de la fille de Julius Nyerere ».
Compte rendu de Minata SANFO
Le promoteur Frédéric KAFANDO a procédé ce dimanche 24 octobre 2021 à Ouagadougou à la finale de la 6eme édition du MARACANA de football Espoir plus. Cette 6e édition de MARACANA a opposé MPP FC à NANA FC. La finale a été reportée par MPP […]
Actualité SportLe promoteur Frédéric KAFANDO a procédé ce dimanche 24 octobre 2021 à Ouagadougou à la finale de la 6eme édition du MARACANA de football Espoir plus. Cette 6e édition de MARACANA a opposé MPP FC à NANA FC. La finale a été reportée par MPP FC sur le score d’ un but à zéro sur tire aux buts. L’ équipe vainqueur est reparti avec un trophée plus un jet de maillots, un ballon, des médailles et une somme de 100000 francs CFA.
La 6eme édition du MARACANA de football Espoir plus s’est voulue un cadre de rencontre et de cohésion sociale entre les populations de l’arrondissement 1 du secteur cinq (5).
Pour le promoteur, Frédéric KAFANDO, il s’agit de remercier toutes les bonnes volontés qui ont bien voulu soutenir ce tournoi Maracana << Espoir plus >>. Il ajoute que c’est un grand plaisir de réunir la jeunesse au tour du football qui est un facteur de cohésion sociale.
En ce qui concerne le parrain, Roger NIKIENMA, c’est avec une grande joie qu’il est au côté de la jeunesse pour parrainer cette finale du MARACANA « Espoir plus ».
Pour le Co- président El Hadj Zoungrana, cette activité a gagné en maturité. Ce tournoi marque le vivre ensemble dans l’arrondissement N1. << Je prie Dieu que ce tournoi perdure dans le temps. Aujourd’hui, il n’y a pas de perdant ni de gagnant c’est la jeunesse qui gagnes >> a-t-il laisser entendre.
Un beau match à l’honneur, c’est les mots que le patron de la grande finale Maracana “Espoir Plus” acte 6, l’honorable député Issa BARRY pour qualifier la finale qui opposait MPP FC à NANA FC. Il reste convaincu qu’il aurait fallu la présence de l’équipe technique des étalons pour repérer des pépites au regard des qualités des prestations. ” Partout où il y a les jeunes, il y a l’espoir et s’il faut recommencer nous n’hésiterons pas soutenir la jeunesse “, a t-il affirmé.
Pour ce qui est de cette 6eme édition, ce sont au total 36 équipes qui étaient en compétition. Le vainqueur repart MPP FC repart aune un trophée, un jet de maillot, un ballon plus une somme de 100 000 francs CFA. Il convient de retenir que NANA FC n’a pas démérité, elle repart avec un jet de maillots, un ballon, des médailles et une enveloppe de 100 000 FCFA. Il faut noter que le meilleur gardien a reçu une somme de 10 000 ainsi que le meilleur joueur. la 3ème équipe Fredy création FC et la 4ème équipe Rahim FC ont respectivement reçu des prix d’encouragement à savoir un jet de maillot et un ballon.
Selon le seul buteur des tirs aux Buts, Rachid KAFANDO s’était un match passionnant et au regard de la qualité des prestations toutes les deux équipes méritaient de gagner, mais il fallait un vainqueur et ils ont la chance de remporter la coupe de cette 6e édition du Maracana “Espoir Plus”. “Nous rêvions de remporter la finale et ce soir le rêve est une réalité. c’est un tournoi de qualité au regard de la forte mobilisation de la population. Nous n’étions pas de taille pour nos adversaires et nous avons dû jouer défensivement et cela a payé avec la victoire”, a laissé entendre Rachid KAFANDO.
Compte rendu de Minata SANFO
La communauté musulmane du Burkina Faso a organisé ce samedi 23 octobre 2021 à Ouagadougou son 13e congrès ordinaire. Placé sous le thème « quelles réformes pour une communauté musulmane rénovée, unie, réconciliée, actrices de paix et de cohésion sociale », le 13e congrès ordinaire se veut […]
Actualité SociétéLa communauté musulmane du Burkina Faso a organisé ce samedi 23 octobre 2021 à Ouagadougou son 13e congrès ordinaire. Placé sous le thème « quelles réformes pour une communauté musulmane rénovée, unie, réconciliée, actrices de paix et de cohésion sociale », le 13e congrès ordinaire se veut un cadre de concertation participative pour une communauté musulmane unie et facteur de cohésion sociale. Le présent congrès s’est tenu sous la présidence du président de l’Assemblée nationale, Alassane Bala SANKADE et du ministre d’État chargé du culte, pegwePeg Clément Sawadogo.
Le 13e congrès ordinaire de la communauté musulmane du Burkina Faso se tient dans un contexte d’un précédent crise qui a miné l’actualité au sein de la communauté musulmane. C’est grâce à un effort de tous les mismusulm unis du Burkina Faso que se tient le 13e congrès.
Pour le président de la communauté musulmane du Burkina Faso, Omar Kouanda, ce sont au total 43 provinces qui ont été conviés à ce congrès. Il ajoute que la tenue de ce congrès était un défi. « Ce congrès résonne comme une délivrance, un accouchement par césarienne. Ce congrès se tient grâce au Président sortant El Hadji Rasmané SANA qui a su faire preuve de discernement. El Hadji Rasmané SANA figure parmi les présidents d’honneurs de la communauté musulmane du Burkina Faso. Grâce aux burkinabè un nouveau jour ce lève pour notre communauté. Merci », a laissé entendre le président intérimaire Omar Kouanda.
Selon le discours du président de la chambre de commerce, parrain de la cérémonie, Mahamadi Sawadogo dit Kadafi, ce parrainage est une invite à une participation active au service de la communauté musulmane du Burkina Faso. Il ajoute que c’est un devoir pour les opérateurs économiques musulmans de soutenir la communauté musulmane pour assurer sa bonne marche et conserver son rôle de cohésion sociale et de paix.
Selon le ministre d’État en charge du culte, Pegwendé Clément Sawadogo, ce congrès est un effort de réconciliation. « Très attendu, ce congrès est aujourd’hui une réalité. Le gouvernement souhaite l’implication de tous les leaders pour une sortie de crise apaisée. Je suis que ce congrès sera une occasion pour lancer un appel au sursaut patriotique contre les forces du mal. Le gouvernement sera attentif aux décisions qui seront prises à ce congrès », affirme le ministre.
Selon le co-patron de la cérémonie d’ouverture du congrès, président de l’Assemblée nationale, Alassane Bala SANKADE, il faut saluer les efforts de réconciliation de la communauté musulmane et du choix porté sur l’Assemblée Nationale. Pour lui, ce congrès est la résultante d’une attente. « Nous voulons demander qu’à l’issue de ce congrès qu’il y ait plus de problème au niveau de la communauté musulmane du Burkina Faso. Nous devons mettre fin aux problèmes. Dans la communauté musulmane, il ne peut pas avoir une opposition. Nous demandons à tous de faire preuve de discernement et de pardon « , s’est indigné le président de l’Assemblée Nationale.
Du reste, cette cérémonie officielle d’ouverture du 13e congrès ordinaire a pris fin par des remises d’attestation de reconnaissance et de mérite à El Hadji Omar Kouanda, président de la communauté musulmane et à El Hadji Abdoul Rasmané SANA, président sortant de la communauté musulmane.
La cérémonie d’ouverture des travaux de l’atelier de validation du projet de rapport analytique de l’étude pour l’actualisation de la politique de l’énergie de la CEDEAO s’est tenu ce jeudi 21 octobre 2021 à Ouagadougou. Durant 96 heures, les différents acteurs du secteur de l’énergie […]
Actualité Environnement PolitiqueLa cérémonie d’ouverture des travaux de l’atelier de validation du projet de rapport analytique de l’étude pour l’actualisation de la politique de l’énergie de la CEDEAO s’est tenu ce jeudi 21 octobre 2021 à Ouagadougou. Durant 96 heures, les différents acteurs du secteur de l’énergie de l’espace CEDEAO seront en atelier à Ouagadougou. L’objectif de cet atelier est de fédérer les idées pour actualiser la politique et le code énergétique régionale dans l’espace CEDEAO. Ladite cérémonie d’ouverture s’est tenu sous le leadership du COMMISSAIRE ENERGIE ET MINES DE LA CEDEAO SEDIKO DOUKA et du Représentant le ministre de tutelle patron de cette cérémonie, le DIRCAB du ministre en charge de l’énergie et des mines du Burkina Faso, Idrrissa Konditamdé.
La politique énergétique de la CEDEAO est veille de 40 ans et il y a nécessité de renouveler l’ancien Code Régional datant de depuis 1982 et élaborer une nouvelle politique énergétique de la CEDEAO pour répondre aux aspirations des peuples. D’entrée de jeu, ce sont là, la substance de l’atelier de validation d’une politique énergétique actualisée. Il faut noter que les différents acteurs du secteur de l’énergie de la CEDEAO ont ce CEDEAO ont 96 de travaux pour proposer une politique énergétique qui répond aux normes du moment et redondant au besoin de la population.
Selon le COMMISSAIRE ENERGIE ET MINES DE LA CEDEAO SEDIKO DOUKA, il y’avait bien la nécessité de revoir la politique énergétique de l’ensemble des Etats membres de la CEDEAO et surtout l’ancien qui était devenu caduque, car datant d’environ 40 ans. « C’est la première fois que la CEDEAO se met élaborer un code d’électricité. En ce qui concerne la politique, elle existe depuis 1982 environ 40ans et il y avait donc nécessité et voilà pourquoi nous voulons la réactualisé. Nous voulons faire de sorte que tous les Etats membre s’aligne à travers un code d’énergie et de mines », a laissé entendre SEDIKO DOUKA.
Pour le Directeur de Cabinet du ministre en charge de l’énergie et des mines du Burkina Faso, Idrrissa Konditamdé, ce geste de haute portée et confirme l’engagement et la disponibilité constante du Gouvernement burkinabé à accompagner la CEDEAO dans la concrétisation de ses ambitions en matière d’intégration régionale à travers la mise en œuvre des chantiers en cours.
Aussi, dit-il, la coopération entre I ‘Union Européenne, l’UEMOA et la CEDEAO qui s’inscrit dans le cadre du Programme Indicatif Régional du 11ème FED a abouti au financement du Programme intitulé « Amélioration de la Gouvernance du Secteur de l’Energie en Afrique de
I ‘ouest, bras financier de ces
communautaires en projet. Aussi, le représentant du ministre de l’énergie et des mines, dit traduire, sa gratitude à l’Union Européenne pour son appui constant à la CEDEAO dans la mise en œuvre de tous ces projets.
«Les présents Ateliers se trouvant dans le chemin critique d’adoption des principaux documents par les hautes instances de la CEDEAO, notamment les Ministres sectoriels, le Conseil des Ministres, le Parlement et le Sommet des Chefs d’Etat, je demeure optimiste quant à votre capacité à relever les défis pour atteindre les résultats escomptes. Sur ce et au nom du ministre, je déclare ouvert les travaux», a lancé M. konditamdé
Le jeudi 21 octobre 2021 à Ouagadougou, l’ancien président sortant de la communauté musulmane à organisé un point de presse. L’ objectif de cet point de presse était de trouver un terrain d’entente avant d’aller au congrès prévu ce samedi 23 octobre 2021. Depuis un […]
SociétéLe jeudi 21 octobre 2021 à Ouagadougou, l’ancien président sortant de la communauté musulmane à organisé un point de presse. L’ objectif de cet point de presse était de trouver un terrain d’entente avant d’aller au congrès prévu ce samedi 23 octobre 2021.
Depuis un certain temps, la communauté musulmane fait face à une crise. En effet, les deux groupes se sont réunis et ya un comité qui a été mis en place. Il faut noter qu’un congrès extraordinaire est prévu ce samedi 23 octobre par le nouveau président de la communauté musulmane. Pour le président sortant, Abdoul Rasmané SANA, ce congrès ne peut avoir lieu sans avoir un terrain d’entente.
Pour cela, le président sortant demande au plus haut autorités, au chef coutumier et religieuses et au gouvernement d’intervenir pour qu’ils aient un terrain d’entente pour qu’ils puissent aller sur les nouvelles donnes. Il ajoute qu’ils ont demandé à rencontrer le Ministre qui a refusé les les recevoir.
Pour lui, si ya pas l’entendre avant le congrès tout risque de se bouleverser. << Je ne suis pas au courant d’un congrès le président a envoyé les correspondances dans les provinces et c’est là-bas on m’a appelé demandé si j’organise un congrès. S’ils force faire le congrès il y aura un deuxième congrès qui sera organisé par un autre bureau >>, a affirmé le président sortant, Abdoul Rasmané SANA.
Du reste, le président sortant a affirmé qu’ils sont entrain de faire les réconciliation que la négociation n’a pas encore abouti donc le congrès peut pas eu lieu.
La confrérie de la Tidjania a célébré, ce lundi 18 octobre 2021, le centenaire du Mouloud à Ramatoulaye dans la région du nord. Cette cérémonie patronnée par le président de l’Assemblée nationale, a été une occasion de renforcer les prières pour la paix et la […]
Actualité SociétéLa confrérie de la Tidjania a célébré, ce lundi 18 octobre 2021, le centenaire du Mouloud à Ramatoulaye dans la région du nord. Cette cérémonie patronnée par le président de l’Assemblée nationale, a été une occasion de renforcer les prières pour la paix et la cohésion sociale au Burkina Faso.
Sous le thème : « Cent ans de ferveur religieuse : Quelles contributions de la Tidjania en matière de spiritualité, de vivre ensemble et de cohésion sociale pour la paix au Burkina Faso », la confrérie a fait une pause cent ans après, pour remercier abondamment le seigneur (Allah) de lui avoir donné une nuit noble pour renforcer sa conviction et son attachement à la tradition du prophète Mohamed (SAW).
Le Président de l’Assemblée nationale, Alassane Bala Sakandé par ailleurs patron de la cérémonie a remercié la Tidjania pour cet acte fort qui rassemble les filles et fils d’ici et d’ailleurs pour enseigner la morale au service de toute l’humanité. Selon lui, cette célébration facilite la cohabitation pacifique et sociale des peuples, vu le grand rassemblement mobilisé autour de ce centenaire. Bala Sakandé a également souhaité que la communauté renforce les prières sur la paix et la cohésion sociale afin que la stabilité revienne au pays.
Le secrétaire général de la Tidjania, Yacouba Sawadogo chargé de l’organisation de cette cérémonie, a laissé entendre que cette initiative qui a amené la Tidjania au Burkina Faso se doit d’être célébrée. « Non seulement, nous disons merci à nos devanciers de nous avoir apporté cette religion qui est l’Islam à travers la Tidjania, mais aussi nous pouvons dire que ces cent ans nous ont permis d’amener une ferveur religieuse dans notre pays », a-t-il soutenu. Avec cette célébration qui s’est tenue dans un contexte sécuritaire et sanitaire très difficile, monsieur Sawadogo n’a pas manqué de remercier les Forces de défense et de sécurité ainsi que tous ceux qui n’ont ménagé aucun effort pour la réussite de la cérémonie.
Le fils du Cheick de Ramatoulaye, Dr Sidi Mohamed Maïga a indiqué que le thème choisi est collé à la réalité actuelle du pays. Alors « chaque musulman, après avoir consulté les textes fondamentaux, doit bien s’approprier du mouloud ainsi que son importance et ses mérites tout en sachant que l’Islam est composé d’un ensemble de leçons de morale d’Allah pour faciliter notre vie sur terre », a-t-il déclaré. Cette célébration, pour lui, a permis de remercier Dieu et de renforcer les prières pour la paix et la cohésion sociale au Burkina Faso.
En rappel, Ramatoulaye est une terre qui n’a jamais connu d’autres religions que l’Islam. D’ailleurs, son nom tire sa source dans plusieurs sourates du Coran. « Donc, il est temps qu’on fasse la différence entre la Tidjania et l’Islam. L’Islam est une religion universelle alors que la Tidjania n’est qu’une confrérie de l’Islam. C’est donc dire qu’estimer la Tidjania comme une autre religion, est une faute à éviter », a fait savoir le fils du Cheick de Ramatoulaye.
Compte rendu de Abdoul Ouedraogo
La Coordination des Jeunes Musulmans du Burkina a organisé une conférence en présence des hommes de médias ce vendredi 15 octobre 2021 à Ouagadougou. L’ objectif de cette conférence était de faire un compte rendu exhaustif à la jeunesse, à la presse et particulièrement au […]
Actualité Habitat SociétéLa Coordination des Jeunes Musulmans du Burkina a organisé une conférence en présence des hommes de médias ce vendredi 15 octobre 2021 à Ouagadougou. L’ objectif de cette conférence était de faire un compte rendu exhaustif à la jeunesse, à la presse et particulièrement au Fidèles musulmans du monde entier. Ladite conférence a été animée sous le leadership du vice président de l’association, Aboubacar DIANDA.
La coordination des jeunes musulmans du Burkina est une association qui était en première ligne pour mener le combat de la reconstruction intégrale de la mosquée et des classes détruites de Pazani.
En effet, après les différentes rencontres, le gouvernement avait en premier lieu opté au retrait du terrain et a fini par le restituer à la FAIB. C’est ainsi que la CJMB a pris contact avec la fédération pour voir comment entreprendre des démarches pour la reconstruction intégrale de la mosquée. Il faut noter que ces rencontres ne se sont pas passées sang divergences des points de vue. Il y a eu la mise en place d’un comité tripartite composé de la FAIB, de la CJMB et des fidèles de la mosquée de Pazani. Il faut noter que la mission première de ce comité est de veiller au respect des clauses, proposer des initiatives pour le renforcement de la fraternité à Pazani et surtout suivre l’évolution des travaux pour faire le point à chaque partie. « Depuis l’installation de ce comité, c’est le consensus qui l’emporte toujours sur les points de vue de chaque camp », à affirmé le vice président dans sa déclaration.
D’ailleurs, c’est Dar Al Ber Society- United Arab Emirates qui a entrepris cette reconstruction avec un coût de plus de 100 millions de francs CFA avec des dimensions plus large.
Pour le vice président de l’association, Aboubacar DIANDA, l’objectif de cette conférence c’est pour rendre compte à la jeunesse musulmans et au Monde entier de ce qui s’etait passé l’année dernière et où il en sont aujourd’hui avec le combat qu’il ont mené, le combat de la reconstruction de la mosquée de Pazani et les six classes qui avait été détruites. Il faut noter que l’État a jour un rôle de médiateur pacifiant la grise et en intervenant à tous moments pour les amené au calme. Il ajoute qu’il sont satisfaits de l’état d’avancement des travaux car il ya eu comité tripartite qui a été mise en place et qu’il les rappel à l’ordre s’il y a un dérapage.
En définitive, c’était le 07 septembre 2020 qu’a eu lieu la destruction de la mosquée et six classes à Pazani.
« Les dangers pour la santé des méthodes contraceptives » est livre de la commission Episcopale de la Pastorale de la Santé qui a été présenté officiellement à l’opinion publique ce jeudi 15 octobre 2021 à Ouagadougou. C’est un livre qui traite particulièrement des conséquences […]
Non classé« Les dangers pour la santé des méthodes contraceptives » est livre de la commission Episcopale de la Pastorale de la Santé qui a été présenté officiellement à l’opinion publique ce jeudi 15 octobre 2021 à Ouagadougou. C’est un livre qui traite particulièrement des conséquences de l’usages des méthodes contraceptives artificielles et qui conseille les méthodes contraceptives naturelles.
Les évêques de la commission pastorale santé sont visiblement remontés contre le recours aux méthodes contraceptives artificielles qui sont promues par les plus grandes institutions internationales avec la complicité des Etats. Et pour matérialiser ce désaccord, ils ont décidé de mettre sur le marché, un livre pour mieux faire passer leurs messages. Dénommé « Les dangers pour la santé des méthodes contraceptives », ils qualifient ce livre comme une approche scientifique de la question.
Ainsi donc ils dénoncent les méthodes contraceptives dites artificielles et au pire des cas le silence des premières autorités à propos des effets néfastes de ces mêmes méthodes. La commission reste convaincue que les institutions internationales qui promeuvent les méthodes contraceptives font semblant d’aider les Etats mais au fond, ils ont des agendas cachés, qui est selon eux est surtout celui de ralentir la démographie particulièrement en Afrique. Pour eux, les fabricants devraient aussi communiquer sur les effets
secondaires de ces méthodes. « Normalement, il n’y a pas de produits sans effets secondaires, minimes soient-ils. Il n’y a pas un produit qu’on met sur le marché sans dire, voilà les effets qui accompagnent. Dans les notices, vous en lisez toujours, et ça ne manque pas. Mais là il n’y a rien du tout » lance le président de la commission pastorale de la santé, Monseigneur Justin KIENTEGA, évêque de Ouahigouya. Ils se demandent donc pourquoi ce silence des Etats et surtout des organisations de la société civiles sur ce sujet. Malgré tout, ils se sont intéressés à la question et les réponses qu’ils ont trouvé et tiennent à partager avec le peuple sont entre autres, le risque de cancers, des malformations, et même le comportement de l’enfant. Ils demandent ainsi aux utilisateurs de prendre connaissances des conséquences de ces méthodes contraceptives pour ne pas être surpris à aucun moment d’une situation quelconque.
« En lisant ce livre, nous demandons aux et aux autres de savoir partager l’information pour que tous soient au même niveau d’informations et qu’ils s’engagent », indique Monseigneur Justin KIENTEGA.
Pour la commission, les méthodes naturelles sont efficaces à 98% si elles sont suivies correctement alors que le reste promu connait inéluctablement des effets néfastes. Pour eux, la voie la mieux indiquée sont les méthodes naturelles s’il y a réellement la volonté. « C’est ce que Dieu a prévu et c’est là ou il y a le bonheur », foi de la commission.
Le livre est disponible à la librairie Jeunesse d’Afrique à 1 000 F CFA.