
L’association solidarité pour un mieux être social et économique a procédé à la 3e édition de son maouloud ce samedi 18 mars 2023 à Ouagadougou dans le quartier Bissighin. Cette 3e édition se tient sous le thème « L’éducation de nos enfants face à l’insécurité […]
Actualité ReligionL’association Jam Burkina a fait parler son cœur en venant en aide aux personnes déplacées internes de Diapaga ce jeudi 09 mars 2022 à Ouagadougou. Ce don est une œuvre utile qui va soulager les ménages. Cette cérémonie officielle de remise s’est voulu très sobre. […]
Actualité SociétéLes Chefs coutumiers et traditionnels du Burkina Faso en collaboration avec le Mouvement des jeunes patriotes engagés ont animé une conférence de presse ce jeudi 09 mars 2023 à Ouagadougou. Cette rencontre avec les hommes médias était une occasion réaffirmer leur soutien au Président du […]
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Actualité SociétéCe vendredi 24 février 2023 à Ouagadougou, le Bureau burkinabè du droit d’auteur (BBDA) a animé une conférence de presse pour livrer des informations sur la première répartition de l’année 2023. Et pour cette répartition, la somme de 148 898 309 FCFA sera repartie à […]
Actualité CultureLe ministère du commerce à travers ses organes de contrôle a animé un point de presse ce jeudi 22 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de faire le point des opérations de contrôle des prix des produits de première consommation. Ladite conférence […]
Actualité SociétéLe ministère du commerce à travers ses organes de contrôle a animé un point de presse ce jeudi 22 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de faire le point des opérations de contrôle des prix des produits de première consommation. Ladite conférence a été animée sous le leadership du coordonnateur général de la Brigade Mobile de Contrôle économique et de la répression des fraudes ( BMCRF), Yacouba BILA.
Les jours passés, le ministère du commerce à travers ses organes a initié une opération de contrôle de prix des produits de grandes consommations pour inviter les commerçants au strict respect des normes. Mieux après cette opération de contrôle, il était temps de dresser le bilan des activités
Selon le coordinateur de la Brigade Mobile de contrôle Économique et de la Répression des Fraudes (BMCRF), Yacouba Bila, de janvier à mi-juillet 2021, les opérations de contrôles et de lutte contre les produits de contrefaçon, ont permis de toucher 18.428 commerçants dont 13.147 pour le contrôle spécial Ramadan et 1.154 tonnes de fer à bétons, 103.371 feuilles de tôle, 2,25 tonnes de produits alimentaires périmés ont été saisis au cours de ces opérations.
« Ces opérations ont été possibles grâce aux multiples mesures mises en place par le département. A savoir, la suspension de la délivrance des autorisations spéciales d’exportation des céréales locales, les relevés hebdomadaires des prix et des stocks et surtout l’intensification des opérations de contrôle durant cette période de soudure », a laissé entendre Yacouba Bila.
Il faut préciser que la BMCRF, relève le renforcement du dispositif réglementaire au vue d’assainir les secteurs des boissons alcoolisées et des produits du tabac et un combat acharné contre le commerce illicite basé sur un système de suivi de traçabilité fiscale.
Au niveau des fraudes, des contrebandes et des contrefaçons, la BMCRF fait cas de plusieurs saisies. Il s’agit entre autres de 690 bidons de 20L d’huile alimentaire de contrebande saisis, 389.995 litres de carburant frauduleux, 10.760 pagnes contrefaits, 986 cartouches de cigarettes de la fraude, 690 bidon de 20L d’huile alimentaire de contrebande et 78L de liqueur frelatée.
En rappel, la direction général de l’Agence Burkinabè de la Normalisation de la Métrologie et de la Qualité (ABNORM), rassure l’opinion publique car plusieurs actions sont en cours d’exécution dans le but de résoudre de façon drastique cette problématique de hausse de prix.
Le Syndicat National des Agents du Ministère de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat (SYNAMICA) a organisé une conférence avec les hommes du média ce lundi 19 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de dénoncer les maux qui minent au sein du […]
Actualité SociétéLe Syndicat National des Agents du Ministère de l’Industrie du Commerce et de l’Artisanat (SYNAMICA) a organisé une conférence avec les hommes du média ce lundi 19 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de dénoncer les maux qui minent au sein du ministère. Ladite conférence a été animée sous le leadership du Secrétaire Général du SYNAMICA, Nifabèbé Arthime KAMBIRE.
Il ressort de cette conférence que depuis l’arrivée de Harouna Kaboré à la tête du ministère de l’industrie du commerce et de l’artisanat en 2018, le mal est profond. Pour le syndicat, il convient de noter que les agents du ministère souffrent de réformes hasardeuses et de la qualité de gestion des compétences par les autorités du département qui amplifié par le clientélisme, le populisme, la gabegie et l’arrogance. Dans ce secteur, il ajoute qu’il assiste également à des atteintes graves et récurrentes aux intérêts des consommateurs. Pour eux, Sur le plan industriel, on assiste à des mesures de saupoudrage, de populisme consistant plus à faire semblant et à tromper l’opinion.
En ce qui concerne la flambée des prix des produits de consommation, les visites sous le ministère Kaboré a pris une connotation politique et publicitaire, loin de la réalité du terrain. Il soutient que les structures de contrôle manquent de ressources nécessaires aussi bien financières qu’en matière d’équipements alors qu’il existe un fond d’équipements dont seuls les premiers responsables connaissent le contenu.
« Il faut noter que les postes de responsabilité au MICA comptent 12 bureau régionaux de contrôle et chaque bureau n’a reçu que la somme de 50 000f comme frais de carburant par an avec un problème de véhicules et de chauffeur. En outre, il faut noter une mauvaise orientation des fonds du ministère ainsi que son personnel avec 121 postes de responsabilité vacants », a ajouté le SG. Selon le SYNAMICA, en ce qui concerne la gestion du ministère, Harouna Kaboré fait du populisme sur les réseaux sociaux et que la réalité est tout autre que ce qu’il fait croire à l’opinion publique.
Du reste, le département en charge du commerce du Burkina Faso est très mal géré selon les responsables du SYNAMICA et si rien n’est fait, dans les jours à venir, ils passeront par d’autres voies pour mieux se faire entendre.
L’Alliance pour la Démocratie et la Fédération/ Rassemblement Démocratique Africain (ADF/RDA) a rencontré les membres de la structure du Kadiogo ce dimanche 18 juillet 2021 à son siège à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre était de démentir les propos de Jules Rasmané Ilboudo qui affirme […]
Actualité PolitiqueL’Alliance pour la Démocratie et la Fédération/ Rassemblement Démocratique Africain (ADF/RDA) a rencontré les membres de la structure du Kadiogo ce dimanche 18 juillet 2021 à son siège à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre était de démentir les propos de Jules Rasmané Ilboudo qui affirme avoir quitté le parti avec 600 membres. Ladite rencontre a été animée sous le leadership du président dudit parti, Gilbert Noël OUEDRAOGO.
Le parti de l’éléphant est un parti tolérant depuis sa création, ce sont là les mots d’entrés à la rencontre avec les membres de la structure du Kadiogo. Au cours de la rencontre avec les structures du Kadiogo ont démenti les propos de Jules Rasmané Ilboudo. Les propos selon lesquels il aurait quitté le parti avec six cent (600) militants. Selon le président, après avoir fait les points avec les responsables des secteurs, ces 600 personnes sont inconnues au niveau du parti.
Le président du parti, Gilbert Noel OUEDRAOGO affirme que Jules Abdoul Rasmané Ilboudo, porte-parole des démissionnaires a été nommé Secrétaire Général à titre provisoire. « Il est parti comme il est venu, il y a aussi une autre personne du nom de Bibata Derra qui a déposé sa démission », a soutenu le président du parti. Il ajoute qu’il fait le point et pense qu’il serait judicieux que Abdoul Rasmané Ilboudo fasse des déclarations vraies. « Toute autre personne qui voudrait jeter le discrédit sur le parti en faisant des fausses déclarations, nous porterons plainte devant le procureur pour usurpation d’identité et usage de faux », a laissé entendre Gilbert Noel Ouédraogo
Selon le coordonnateur du comité, Zoromé Assane, c’est après la publication des résultats des élections législatives que Jules Rasmané Ilboudo a décidé de démissionner. Il ajoute que c’est une démission personnelle et cela est possible dans un parti.
D’ailleurs pour démentir les propos de Jules, ils ont vérifié le nom de certaines personnes qui n’étaient pas reconnues par les militants de ADF/ RDA. Du reste, il faut noter que c’est à travers une lettre de démission signé le vendredi 21 mai, adressée au président du parti, Gilbert Noël OUEDRAOGO par Jules Rasmané Ilboudo.
Le Conseil Economique et Social a procédé à la clôture de sa 1re session extraordinaire ce lundi 19 juillet 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème « La problématique de la gestion actuelle des terres du Burkina Faso : Quelles solutions pour un développement durable ? », le CES […]
Actualité SociétéLe Conseil Economique et Social a procédé à la clôture de sa 1re session extraordinaire ce lundi 19 juillet 2021 à Ouagadougou. Placé sous le thème « La problématique de la gestion actuelle des terres du Burkina Faso : Quelles solutions pour un développement durable ? », le CES a mis en place des recommandations qui seront transmises aux autorités compétentes afin qu’elles s’investissent davantage dans la gestion de terre qui devait être un bien collectif.
Depuis un certain temps, la problématique du foncier au Burkina fait l’objet de la une des médias. En effet, il faut dire que la terre a toujours constitué une problématique transversale qui touche à la fois des enjeux de sécurité alimentaire, de gestion durable des ressources naturelles, de croissance économique, etc. D’un point de vue général, la terre est considérée comme une ressource fondamentale pour le développement. Le phénomène des acquisitions de terres est en pleine expansion en milieu rural et urbain et cela s’explique par le fait de la promotion de l’agrobusiness enclenchée depuis 1999 ainsi que l’émergence de nouveaux acteurs que sont entre autres, les sociétés minières et les promoteurs immobiliers.
Au regard de cette situation, le Conseil Economique et Social a tenu sa première session extraordinaire de l’année 2021 du 22 juin au 19 juillet et a procédé à des recommandations. Lors du discours de clôture, la première vice-présidente du CES, Fatoumata LEGMA a soutenu que la prolifération des sociétés immobilières entraine l’accaparement des terres et cela maintient les populations dans l’extrême précarité. Elle ajoute qu’il s’ensuit des conflits résultant des sentiments d’iniquité et des suspicions de corruption autour des actes de cession des terrains mettant ainsi à rude épreuve la cohésion sociale et le vivre ensemble. « Le constat global qui se dégage durant cette session est que la gestion actuelle des terres au Burkina Faso n’est pas du reluisante. La conviction est que si nous continuons dans cette dynamique, les générations futures seront sacrifiées et nous serons tous responsable », a-t-elle souligné.
Il convient de retenir que les réflexions ont été menées autour de la terre comme bien collectif, la réduction de la spéculation foncière, la réforme du cadre juridique sur le foncier et l’instauration d’une gouvernance vertueuse du foncier.
Selon le reporter général adjoint, Aly Badra OUEDRAOGO, il faut l’Etat s’invite davantage avec toute son autorité pour recadrer la question foncière. « La question foncière est une bombe en retardement et on ne prend pas garde, il y a une génération à venir que nous sommes en train de biaiser du fait d’une mauvaise gestion des terres au niveau rural et urbain. Nous pensons que le CES selon ses attributions a fait œuvre utile et ce rapport sera remis à qui de droit afin de considérer les recommandations pour trouver une solution adéquate à la crise foncière », a laissé entendre Aly Badra OUEDRAOGO.
In fine, le CES recommande d’interdire la promotion foncière dans la loi N°057-2008, réviser les conditions d’obtention de l’agrément en augmentant le montant du compte séquestre et interdire les projets immobiliers dans les localités ne disposant pas de schéma directeur d’aménagement urbain et de plan d’occupation des sols.
Ce vendredi 16 juillet 2021 à Ouagadougou, les leaders de la Confédération Paysanne du Faso (CPF) ont organisé une conférence de presse. Placé sous le thème : << Sécurisation foncière et accaparement des terres au Burkina Faso >>, Ladite conférence a été animée sous le […]
HabitatCe vendredi 16 juillet 2021 à Ouagadougou, les leaders de la Confédération Paysanne du Faso (CPF) ont organisé une conférence de presse. Placé sous le thème : << Sécurisation foncière et accaparement des terres au Burkina Faso >>, Ladite conférence a été animée sous le leadership du Secrétaire Général du (FEPAB), Marc GANSONRÉ.
Depuis quelques années, les Burkinabè font face à une course effrénée vers la terre, marquée par les acquisitions foncières à grande échelle et favorisée par des fins de promotion immobilière, d’agrobusiness ou d’exploitation minière.
Il faut noter que ces phénomènes sont porteurs de risques socio-économiques majeurs dues à des risques d’exclusion foncière avec à la clef, les conflits, les menaces sur la sécurité nutritionnelle, les menaces sur la cohésion sociale et la paix au regard des conflits fonciers qui devient de plus en plus récurent.
D’après le Secrétaire Général, Marc GANSONRÉ, il faut sécuriser le foncier rural pour sa mise en valeur et non sécuriser la vente du foncier. En effet, l’évaluation quinquennale de la loi portant régime foncier rural sensée permettre la sécurisation foncière montre clairement l’inachèvement institutionnel.
D’ailleurs, les instances locale de gestion foncière sont absents à savoir les communes touchées pour la mise en place de sécurisation foncières en milieu rural (SFR) sont au nombre de 267 soit 76,06% des communes du territoire national. En plus, le nombre des Commissions foncières Villageoises existantes est de 353 839, 74% de l’ensemble de 8902 villages du pays et le nombre des Commissaires de conciliation foncière Villageoises est de 3507 soit 39,4% de l’ensemble des 8902 villages. Il faut retenir qu’à peu près 7000 est estimé pour le nombre d’APFR délivré sur environ 25 000 demande exprimées. Pour le CPF, ce nombre n’est qu’une goutte d’eau comparativement au besoin de sécurisation foncière en milieu rural ainsi où l’on dénombre plus de 3 000 000 d’exploitation agricole.
Au regard, de tout ce qui se précède, la confédération paysanne du Faso qui a fait de l’agriculture familiale et de la sécurisation foncière des exploitations familiales son cheval de bataille, a décidé de porter la voix des exploitations familiaux auprès du Gouvernement et de ses partenaires pour l’amélioration de la gestion foncière au Burkina Faso. En prenant compte cet aspects, le CPF interpelle le Gouvernement porter plus d’attention à la sécurisation foncière des exploitations familiales pour promouvoir les investigations afin d’assurer la sécurité alimentaire nutritionnelle et aussi améliorer les conditions de vie des populations.
Il convient de noter que des recommandations ont été formulées. Ce sont entre autres, la réalisation d’un audite du foncier rural suivi du rétablissement du droit des ruraux floués par les différents accapareurs de la terre, la mise en œuvre de l’article 218 du code général des collectivités territoriales qui stipule que la commune rurale comprends un espace d’habitation, un espace de production et un espace de conservation, mettre fin à la confusion et au chao et mettre en place des opérations spéciales subventionnées de délivrance d’APFR au profit des populations rurales.
Du reste, le CPF souhaite une bonne campagne agricole 2021/2022 et invite le Gouvernement à considérer les acteurs du monde rural à travers leurs différentes faîtières, comme des partenaires sûrs dans le cadre des concertations nationales sur la gouvernance foncière.
La cérémonie d’ouverture de la deuxième concertation nationale dans le cadre du sommet mondial sur les systèmes alimentaire a eu lieu ce jeudi 15 juillet 2021. L’objectif de cette concertation c’est d’inverser la tendance du système alimentaire au Burkina Faso. Ladite cérémonie a été animée […]
Actualité santé SociétéLa cérémonie d’ouverture de la deuxième concertation nationale dans le cadre du sommet mondial sur les systèmes alimentaire a eu lieu ce jeudi 15 juillet 2021. L’objectif de cette concertation c’est d’inverser la tendance du système alimentaire au Burkina Faso. Ladite cérémonie a été animée sous le leadership du ministre de l’agriculture, Salifou Ouédraogo, représentant du premier ministre.
La deuxième concertation nationales dans le cadre du sommet mondial sur les systèmes alimentaires est placé sous le thème : << les dynamiques de production, de diversification, de transformation / enrichissement, de conservation / stockage et de commercialisation garantissent une qualité nutritionnelle et sanitaire des aliments au profil des populations >>.
Pour le ministre de l’agriculture, Salifou Ouédraogo, il faut remercier d’abord l’ensemble des acteurs au niveau du Burkina Faso parce que la première concertation s’est affranchie sans problème et cela a permis de dégager un certain nombre d’actions notamment, la prise en compte du foncier, la prise en compte de la gestion sécurisé des pesticides. << Cette deuxième concertation va permettre d’informer l’ensemble des acteurs sur ce que nous avons retenu pour qu’ensemble nous puissions voir dans quelle mesure on peut inverser l’insécurité alimentaire et faire en sorte que la faim zéro soit une réalité pour l’agenda 2030. Ensemble il faut qu’on parle au niveau national le même langage et nous verrons comment mettre en place des mécanismes pour faire en sorte que tout le monde ait accès à des systèmes alimentaires qui sont plus résilient, diversifiés en quantité et accessible à tout le monde >>, affirme le ministre. Il ajoute à cela qu’ils veulent que l’ensemble des acteurs puissent tourner leur point de vue pour que nous puissions tirer les enseignements et tirer un document consolidé au sommet qui doit se tenir entre le 26 et le 28 juillet à Rome.
Pour le coordonnateur de la concertation nationale, Alasane GUIRA, c’est après un constat fait par le chef des Nations-Unies qui a estimé que le monde ne mange pas à sa faim et il fallait interroger les systèmes. Pour lui, l’utilisation des pesticides est un danger pour la santé humaine. A l’issue de ces concertations, de façon unanime ce sont des options qui sont en train de se décider. « Nous avons eu la chance d’avoir une douzaine d’espèces scientifique en provenance des universités et du monde scientifique et un groupe de 24 espères qui viennent de tous les acteurs qui vont donner leur point de vue. Nous n’avons pas les mêmes préoccupations que l’Europe et l’Amérique, nous avons nos spécificités et donc il faudrait que l’Afrique au-delà des pays que nous constituons puissent aussi porter le vouloir africain », dit-il.
En rappel, le coordonnateur a souhaité un plein succès aux travaux et a déclaré ouverte la deuxième concertation mondiale sur le système alimentaire.
La 24e édition du concours « Prix Galian » s’est tenu ce jeudi 15 juillet 2021 à Ouagdougou. C’est avec un étonnement sans précédent que le public a appris par le jury qu’il n’y a pas de « Super Galian » pour l’édition 2021. Personne n’aura le premier prix, […]
Actualité SociétéLa 24e édition du concours « Prix Galian » s’est tenu ce jeudi 15 juillet 2021 à Ouagdougou. C’est avec un étonnement sans précédent que le public a appris par le jury qu’il n’y a pas de « Super Galian » pour l’édition 2021. Personne n’aura le premier prix, 3 000 000FCFA plus une villa d’une valeur de 20 000 000 FCFA. Une question permanent revenait dans le public, est-ce le niveau des journalistes qui a baissé où est-ce la moyenne qui est élevée ?
Une villa d’une valeur de 20 000 000 FCFA et 3 000 000 FCFA du Président du Faso, c’était le prix du « Super Galian » qui n’a malheureusement pas eu de preneur. Selon la représentante du jury, Aissata SANKARA, le prix du « Super Galian » est attribué chaque année au meilleur journaliste ayant obtenu la meilleure moyenne de tout le concours.
« La moyenne minimale pour être lauréat du prix « Super Galian » est de 17/20. Pour la 24e édition, le jury SUPER GALIAN a enregistré 4 œuvres de deux candidats issus de 2 jurys, le jury langue nationale et le jury presse écrite. L’édition 2021 n’enregistre pas de « Super Galian ». En effet, aucune œuvre proposée n’a obtenu la note minimale de 17/20 comme stipulé dans le règlement intérieur du concours. Nous fondons l’espoir que plus d’émulations et d’engagements permettront de décerner le « Super Galian » à la prochaine édition pour célébrer l’excellence dans la profession. Le jury adresse leur félicitation aux lauréats », a soutenu Aissata SANKARA.
Il faut noter que le ministère de la communication a décidé de repartir le prix du Président du Faso (3 000 000 FCFA) au premier des 4 catégories du concours à savoir les langues nationales, la presse en ligne, la presse écrite et la presse audiovisuelle. Il s’agit de Alidou BADINI, RTB/télé, premier en Audiovisuel ; Richard SAMA de l’observateur Paalga, premier en presse écrite ; Noufou KINDO de Burkina 24, premier presse en ligne et Abdoulaye SAWADOGO de la RTB/radio, premier en langue nationale.
Au cours de la cérémonie, le ministère du sport et l’Assemblé Nationale ont donné leurs accords pour participer activement à la 25e édition. Les journalistes sportifs pourront prendre part au Galian.
Du reste, il faut noter que la villa d’une valeur de 20 000 000 FCFA a été remise en jeu pour la prochaine édition.
Le Service Régional de a Police Judiciaire ( SRPJ) a organisé une conférence de presse ce mardi 13 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de présenter aux hommes de médias un réseau de malfrats qui s’attaquaient à des lieux de commerce, des […]
Actualité SociétéLe Service Régional de a Police Judiciaire ( SRPJ) a organisé une conférence de presse ce mardi 13 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était de présenter aux hommes de médias un réseau de malfrats qui s’attaquaient à des lieux de commerce, des boutiques de transfert d’argent et domicile. Ladite conférence a été animée sous le leadership du Commissaire principal de police, Sayibou Galbané.
Les investigations de la police judiciaire du centre ont permis de démanteler sept (07) présumés délinquants d’une même bande. Il faut noter qu’il s’agit d’un groupe bien organisé de trois cellules jouant chacun des rôles différents et bien déterminés.
Il faut retenir que la première cellule est celle de renseignement, de détection et d’information des cibles avec des initiales de O, E, Z, P, DAL et YM. La cellule d’intervention armée de pistolets prend les cibles en filature jusqu’à un endroit propice à l’agression et passe à l’acte. Selon les informations fournies, ces présumés font la connaissance des lieux avant l’intervention.
Ensuite, la cellule d’approvisionnement armée de munitions et d’écoulement des produits du vol, composé de K. I.I et de Y.Y. Le nommé K.I.I est un expatrié étranger chargé d’écouler les motos et les autres biens dans les pays voisins et aussi acheter les armes pour réconforter le groupe.
Il faut noter que ce groupe a à son actif plusieurs cas de vols à main armée à Ouagadougou. Les bien saisi au cours de l’enquête sont entre autres, deux crânes humains, un pistolet automatique de marque TISSAS, deux chargeur de pistolet automatique dont un garni de douze (12) munitions, un paquet de munition contenant 18 cartouches de calibre 7,65mm, Cinq (5) motocyclette dont, une scooter, une marque Suzuki Satria, une marque Finn, une marque Yamaha 135, une de marque TVS Appache plus une somme de 830.000 francs CFA.
Selon le commissaire principal de police, Sayibou GALBANE, l’exploitation des fichiers audio de leur téléphone portable a permis de savoir que le groupe s’adonnait à des pratiques occultes. Suite à la profanation de sépultures à Zounghou dans la province du Ganzourgou, des crânes humains ont été exhumés. Interrogés, ces malfrats présumés reconnaissent avoir exhumé des restes humains pour accomplir des sacrifices afin de devenir riche et puissant.
Il convient de retenir que parmi ces présumés, l’un est un ancien membre des forces Armées, connu des fichiers de police judiciaire pour avoir été déféré plusieurs fois pour cause de banditisme. Il est à sa deuxième interpellation pour les mêmes faits en espace de dix (10).
Du reste plusieurs braquages ont été perpétrés par ce groupe. Les numéros verts qui sont disponible pour tous renseignements. Le 17 pour la police nationale, le 16 pour la gendarmerie nationale, le 1010 pour le CNVA.
Le Conseil d’information et de suivi des actions du gouvernement (CISAG), en collaboration avec onze (11) organisation de la société civile ont été reçu en audience par le président du Conseil National du Patronat Burkinabè (CNPB), Apollinaire Compaoré ce lundi 12 juillet 2021 à Ouagadougou. […]
Actualité SociétéLe Conseil d’information et de suivi des actions du gouvernement (CISAG), en collaboration avec onze (11) organisation de la société civile ont été reçu en audience par le président du Conseil National du Patronat Burkinabè (CNPB), Apollinaire Compaoré ce lundi 12 juillet 2021 à Ouagadougou. L’objectif principal de cette audience était d’échanger sur la cherté de la vie au Burkina Faso afin de trouver une solution pour soulager les populations.
Depuis lors, le Burkina Faso connait une augmentation des prix des produits de grande consommation. Cette augmentation est due au contexte sanitaire et sécuritaire que le pays traverse actuellement. Pour remédier à cela, le président du Conseil d’administration et du suivi des actions du gouvernement (CISAG) en collaboration avec onze organisations de la société civile sont allés échanger avec le président du patronat burkinabè, Apollinaire Compaoré.
Selon le président du CISAG, Issiaka Ouédraogo, tout est chère au Burkina Faso et le ministre du commerce de l’industrie et de l’artisanat ne fait rien pour changer cela et essayer d’aider nos populations. Pour lui, le prix du maïs ne fait que grimper comme si les burkinabè ne cultivaient pas de maïs. Il faut noter également l’augmentation du riz, du fer, du ciment, etc. » Actuellement nos populations souffrent de la cherté de la vie et nous sommes venus échanger avec le président du patronat burkinabè en tant que premier acteur de l’économie burkinabè pour trouver des solutions et diminuer la souffrance de nos populations » a-t-il ajouté.
En ce qui concerne l’accusation faite sur la personne de Appolinaire Compaoré, le président du CISAG pense que les propos ne sont pas fondés..
Du reste, le président du CISAG, Issiaka Ouédraogo a souligné qu’un projet sera mis en place bientôt afin de soulager la population de la hausse des produits.
Ce mardi 13 juillet 2021 à Ouagadougou, les Association des Promoteurs Immobiliers du Burkina ont organisé une conférence de presse sur la réforme de la promotion immobilière au Burkina. Pour les promoteurs immobiliers leurs préoccupations n’ont pas été prises en compte lors de l’atelier de […]
Actualité HabitatCe mardi 13 juillet 2021 à Ouagadougou, les Association des Promoteurs Immobiliers du Burkina ont organisé une conférence de presse sur la réforme de la promotion immobilière au Burkina. Pour les promoteurs immobiliers leurs préoccupations n’ont pas été prises en compte lors de l’atelier de relecture de la loi 057-2008, portant promotion immobilière au Burkina Faso du 31 mai au 05 juin dernier.
Les promoteurs immobiliers sont confrontés à la réalité du terrain et les orientations de la réforme souhaitée par le ministère de l’urbanisme risquent de mettre en mal le secteur, ce sont là les propos qui ont mis fin à la déclaration liminaire des promoteurs immobiliers. « Nous ne sommes pas hostiles à l’idée de réforme seulement nous militons pour des réformes juste et équilibrée », dixit Nikiema Roger. En effet, la relecture globale d’un certain nombre de textes et de lois dans le secteur de l’urbanisme et de l’habitat est justifiée par 04 points essentiels :
-La vente de terrains nus
-La non viabilisation des sites
-L’accaparement du foncier rural à des fins de promotions immobilières
-La démesure des superficies et les délibérations irrégulières des conseils municipaux sur les superficies.
Les promoteurs immobiliers ont trouvé que les motifs étaient insuffisants pour justifier une révision de la loi. Il estime que l’article 2 de la loi 057-2008 stipule que les produits fonciers et immobiliers issus des opérations d’urbanisme et de construction sont destinés à la vente. Pour eux, au regard des motifs exposés, il nous semble que le problème ne réside pas dans la révision de la loi mais dans son application. Les promoteurs immobiliers soutiennent que la reforme opère une restriction du champ de compétence initiale du promoteur immobilier en lui privant de toute opération d’urbanisme, opère une discrimination entre les sociétés de promotion immobilière du privée et du publique et consacre plus de 21 articles à la recherche et à la constatation des infractions avec une panoplie de sanctions.
Lors de la déclaration liminaire, le président de l’association des promoteurs immobiliers du Burkina, Roger Nikiema n’a pas manqué de souligner que l’avant-projet de loi regorge de contradictions d’ordre constitutionnel, législatif et communautaire. Il affirme que cette réforme plombera le secteur de l’immobilier avec la fermeture des entreprises et n’incitera plus les investisseurs. « Lors de l’atelier toutes nos préoccupations n’ont pas été prises en compte. Il faut qu’il y ait des discussions franches pour être compris. Nous marquons notre total désaccord par rapport au projet de loi que nous qualifions de suicidaire », a laissé entendre le président de l’APIB.
En définitive, les promoteurs immobiliers réaffirment leur disponibilité à accompagner le gouvernement dans sa politique nationale de construction de logements et dans l’apurement du passif foncier.