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Actualité SociétéLe Collectif des leaders panafricains a animé un point de presse ce vendredi 22 mars 2024 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était de faire une lecture de la situation Nationale qui prévaut ces deniers temps. Ladite conférence s’est tenue sous le leadership du Président du CLP, Mahamadi ZOUNGRANA et du bureau exécutif.
D’entrée de jeu, il s’est agi pour le Président du CLP, Mahamadi ZOUNGRANA de matérialiser la contribution du collectif dans le combat de la souveraineté engagé par le Président Ibrahim TRAORÉ. A cet effet, il a cité entre autres:
-l’opposition farouche à la remise en cause du pouvoir du MPSR2,
-la dénonciation de la présence de certaines chaînes internationales complices d’une
propagande de déstabilisation de nos institutions,
-la dénonciation de l’immixtion d’une chancellerie étrangère dans les affaires intérieures de
notre pays
-la réclamation du départ des troupes françaises de notre territoire,
-la mise en place de la veille citoyenne qui s’étend aujourd’hui à toutes les régions du Burkina, etc.
-les démêlées judiciaires qui ont conduit nos leaders en prison.
« Le CLP est conscient que le chemin pour l’indépendance totale de notre pays, chemin qu’a emprunté le MPSR2 sous la houlette du Capitaine Ibrahim TRAORE, est plein d’embuches. Etant un des fervents soutiens de ce pouvoir, le CLP connaît toutes sortes d’attaques. Des attaques sordides allant jusqu’à l’accuser de connivence avec des partis politiques pour déstabiliser la Transition», confie le conférencier du jour.
Le CLP a pris la résolution, de ne marchander aucun espace de dignité du vaillant peuple
burkinabè.
Sur la situation géopolitique Nationale, le CLP constate une montée en puissance de la guerre contre le néocolonialisme occidental imposée aux peuples sahéliens sous une forme appelée terrorisme. Au premier responsable du CLP de signifier que depuis l’amorce de la phase de développement de la guerre contre le terrorisme, il faut noter une réelle avancée victoirieuse dans les différents fronts.
Et sur cette situation, le CLP note:
-L’augmentation des effectifs des FDS et des VDP,
-L’équipement conséquent des forces combattantes par des moyens opérationnels de dernière génération,
-La motivation et le moral hautement renforcé des combattants au front,
-La recrudescence des batailles victorieuses en faveur de nos forces armées nationales,
-Le choix des partenaires géopolitiques et stratégiques dans la lutte contre le néocolonialisme occidental, particulièrement le cas de la Russie comme principal partenaire,
-La réinstallation des villages dans certaines régions
-Le renforcement de la lutte pour l’autosuffisance alimentaire à travers l’offensive agricole impliquant la pratique de nouvelles cultures telles que le blé, le cacao,.. dans les pôles de croissance de Bagré , de la vallée du Sourou et du barrage de Samandeni,
-Le renforcement de la lutte contre le chômage à travers les projets d’industrialisation et de mécanisation dans l’exploitation minière ainsi que de transformation des produits agricoles et d’élevage,
-La suppression de la caution à vie de 500 000 pour l’hémodialyse,
-Le réduction de 80% du coût de la séance de dialyse qui passe de 15000 FCFA à 2500
FCFA,
-L’instauration d’une journée nationale des coutumes
«Au regard de ces résultats engrangés, le Collectif des Leaders Panafricains (CLP) félicite et réaffirme son engagement sincère et indéfectible aux côtés des autorités de la transition de notre pays dirigé par le camarade Président, le Capitaine Ibrahim Traoré dont le leadership est manifestement marqué par l’exemple et la révolution.
Le CLP demande au peuple burkinabé de se mobiliser autour du capitane Ibrahim TRAORE pour une prolongation de la durée de la transition afin de poursuivre la mission pour le bonheur de la population», a laissé entendre Mahamadi ZOUNGRANA.
Pour ce qui concerne la situation géopolitique internationale, le Président du CLP se veut claire, le terrorisme au Sahel, les rebelles du M23 en République démocratique du Congo, le massacre du peuple palestinien par Israel au Moyen-Orient, la guerre contre l’OTAN en Ukraine en sont les illustrations concrètes. «C’est pourquoi le collectif des leaders panafricain compatit aux douleurs et demeure aux côtés des peuples qui ont résolument pris la décision ferme de lutter pour une postérité épanouie notamment les peuples de L’Alliance Du Liptako-gourma.
Le CLP voudrait particulièrement saluer le Gouvernement nigérien pour la décision patriotique prise en dénonçant les accords militaires impérialistes qui les liaient aux Etats unis d’Amérique. Cette décision de rapatriement des bases militaires américaines du Niger vient soulager le fardeau économique qui pesait sur le peuple nigérien du fait de cet accord léonais», dixit le Président du CLP.
Le Collectif des leaders panafricains reste déterminé et engagé dans la lutte contre l’impérialisme et le soutien au Capitaine Ibrahim TRAORÉ.
Ismaël Kiekieta
Ce jeudi 21 mars 2024 à Ouagadougou, Sana Accessoires a procédé à l’ouverture officielle de son centre de formation. Un centre dont la spécialité est l’entretien et la réparation des appareils électroniques. L’objectif étant de résoudre un temps soit peu la problématique du chômage au […]
Actualité Education SociétéCe jeudi 21 mars 2024 à Ouagadougou, Sana Accessoires a procédé à l’ouverture officielle de son centre de formation. Un centre dont la spécialité est l’entretien et la réparation des appareils électroniques. L’objectif étant de résoudre un temps soit peu la problématique du chômage au pays des hommes intègres. La cérémonie officielle d’ouverture s’est tenue sous le leadership du premier responsable Sanoussa Sana.
Conscient de l’accroissement du chômage au Burkina Faso, de l’accès difficile au concours de la fonction publique et de la vision du gouvernement d’encourager l’entrepreneuriat des jeunes, le Centre de Formation Sana Accessoires International qui a vu le jour depuis 2013, entend apporter sa touche afin d’aider les jeunes à être indépendant et à être autonome dans la vie active.
Ce sont au total, une trentaine de jeunes en fin de formation que le centre de formation Sana Accessoires a présenté lors de la cérémonie d’ouverture officielle.
Ces jeunes sont désormais qualifiés dans la réparation et l’entretien des téléphones portables.
Le centre de formation s’inscrit en droite ligne avec la vision du Président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORÉ à savoir inviter les jeunes à entreprendre.
A entendre les premiers responsables cette formation permettra à chaque jeune de pouvoir développer son propre business et d’être indépendant financièrement.
Il faut noter que la formation pratique s’est tenue en deux tranches, une première partie est une formation intensive sur deux semaines et des formations pratiques.
Le centre de formation a pour slogan, « VDP à Notre Façon »
« je suis venu me faire former parce que c’est une très belle initiative. Il y’a des zones où les réparateurs de téléphones portables se comptent au bout du doigt donc je pense que ça va m’aider à pouvoir mettre une entreprise en place. Actuellement j’ai appris beaucoup de choses, je peux changer un écran de téléphone, changer la batterie…. A Sana Accessoires International les matériaux sont moins chers donc ça va nous aider une fois que nous allons mettre nos entreprises sur pied » a soutenu un des bénéficiaires, Sané Abdoul, élève en classe de 3e.
Pour le premier responsable Sana Accessoires International, M. Sanoussa Sana, le centre de formation répond à la préoccupation du chômage des jeunes car il y a beaucoup de jeunes qui sont diplômés mais par manque de moyens ou pour manques de formation professionnelle adapté à la situation du pays, ils sont toujours au chômage. «Nous avons ouvert ce centre de formation dans le but d’apporter un plus. Nous voulons former les jeunes qui vont prendre à bras le corps leur avenir. La formation s’inscrit dans le domaine de la réparation, de la maintenance des téléphones portables et de tous les appareils électroniques comme la programmation, le décodage, le flashage et la création de logiciels. La particularité à Sana Accessoires International, c’est que nous n’avons pas besoin d’une personne qui a déjà des connaissances intellectuelle, universitaire ou scolaire. Nous formons tout le monde» a-t-il soutenu.
Pour Brice Bamogo, ingénieur en électronique, cette formation va contribuer au développement du Burkina Faso. Il soutient qu’il est dans le domaine et s’y connait un peu.
« Les téléphones sont les appareils les plus miniaturisés en électronique. Et une fois que tu arrives à enlever et remettre les pièces, tu as forcément un bon niveau en électronique. Les réparateurs qui sont sur le marché actuellement, ce sont les gens qui ont l’expérience et malheureusement dans nos universités on a pas trop le temps pour faire la pratique. Donc quand j’ai entendu parler de cette formation je n’ai pas hésité à m’inscrire afin d’avoir une expérience de plus à mes compétences que j’ai au niveau universitaire» a-t-il expliqué.
Du reste, le centre de formation est ouvert à tous ceux qui désirent entreprendre dans la commercialisation, la vente, l’entretien et ‘a répartition des appareils électroniques.
Le centre de formation Sana accessoires est situé à Ouagadougou à Zabre Daaga.
Minata Sanfo✍️
A l’occasion du premier rendez-vous de l’année 2024 du REMAPSEN-Burkina Faso, la Communauté d’action pour la Promotion de la santé sexuelle et reproductive au Burkina Faso (CAPSSR) a bien voulu échanger ce jeudi 21 mars 2024 à Ouagadougou avec les membres du Réseau des Médias […]
Actualité santéA l’occasion du premier rendez-vous de l’année 2024 du REMAPSEN-Burkina Faso, la Communauté d’action pour la Promotion de la santé sexuelle et reproductive au Burkina Faso (CAPSSR) a bien voulu échanger ce jeudi 21 mars 2024 à Ouagadougou avec les membres du Réseau des Médias pour la Promotion de la Santé et de l’Environnement du Burkina Faso (REMAPSEN-BURKINA) sur les difficultés d’accès aux soins pour des survivantes de VBG . Cette rencontre a été possible grâce au programme Droits en Santé Sexuelle et Reproductive (DSSR) mis en œuvre par MdM à Ouagadougou dans le district sanitaire de Baskuy, à travers le projet RESPECT des droits et santé sexuels et reproductifs des jeunes et adolescent.e. s, et le projet de prévention et de prise en charge des lésions précancéreuses et cancéreuses du col de l’utérus. L’objectif général étant d’informer et renforcer la communication sur les difficultés d’accès aux soins pour les survivant.e.s de VBG au Burkina Faso.
Ladite rencontre s’est tenue sous le leadership de la Vice Présidente du REMAPSEN, Bénédicte Sawadogo et de la Présidente de la CAPSSR, Mariam Nonguierma.
Depuis quelques années, la problématique des violences basées sur le genre (VBG) s’est toujours posée au Burkina Faso. Jadis conséquences de certaines pesanteurs socioculturelles, les VBG sont aujourd’hui aggravées par la crise sécuritaire que traverse le pays du fait des attaques terroristes. Certes, de nombreuses actions ont été entreprises par l’état et ses partenaires au plan institutionnel et judiciaire pour y faire face. Mais les VBG continuent de faire des victimes.
D’entre de jeu, il s’est agi pour la présidente de la CAPSSR, Mariame Nonguierma de situer le contexte de la rencontre. Elle soutient que ce sont des sujets sensibles et il faut en parler pour diminuer le nombre des VBG et prendre en charge les survivantes. « En 2020, 5300 cas de VBG dont 4254 femmes contre 1071 hommes ont été enregistrés.
« Au Burkina Faso, l’insécurité et les sites de personnes déplacées internes ont un impact négatif sur les VBG. Nous sommes convaincus qu’en échangeant avec les journalistes du REMAPSEN Burkina, nous allons lancer des plaidoyer sur les VBG. La gente féminine est la plus touchée et la plus vulnérable. Il y a nécessité d’en parler. Je suis convaincu qu’à l’issue de cette rencontre, nous trouverons des solutions pour alléger la question des VBG.Il faudrait faire comprendre à l’État l’enjeux qui prévaut», a laissé entendre la présidente.
Pour la présentatrice de la thématique du jour, Habibou Kabré, juriste, lutter efficacement contre les VBG dans toutes ses dimensions implique d’une part, l’existence d’un dispositif juridique adapté et d’autre part, une coordination suffisante entre les différents acteurs de la chaîne de répression et de prise en charge.
A l’entendre, pour y parvenir, il est fondamental de développer et maintenir une synergie d’actions entre tous les intervenants de la prise en charge des cas de violences basées sur le genre et de maintenir une bonne communication.
En ce qui concerne les difficultés d’accès aux soins, la présentatrice a évoqué des difficultés liées à la société, à l’État et aux survivantes. Les difficultés sont entre autres :
□ Le silence
□ La honte et la culpabilité, la peur de la stigmatisation et des
représailles
□ L’ignorance des voies de recours pour la prise en charge
□ La lourdeur administrative
□《L’impunité dont bénéficient certains coupables après de
longues procédures pénibles et humiliantes》
□ Le cout très élevé de certains services
□L’insuffisance d’une coordination efficace et une réponse multisectorielle de qualité en matière de prise en charge des victimes des VBG dans les principaux secteurs d’intervention que sont la santé, l’appui
psychosocial et psychologique, l’assistance sécuritaire
légale, l’assistance juridique et judiciaire.
□ La crise sécuritaire
« Il existe cinq types de prise en charge: La prise en charge psycho-sociale, la prise en charge psychologique, la prise en sanitaire, la prise en charge judiciaire et la prise en charge juridique. Selon le rapport de février 2023 du Cluster VBG des acteurs communautaires, les données provenant de 11 régions du pays font état de 348 cas déclarés de VBG pris en charge», a confié la présentatrice.
La Vice Présidente du REMAPSEN, chargé des questions de santé, Bénédicte Sawadogo, lors de son allocution n’a pas manqué de réitérer ses remerciements au CAPSSR pour la confiance accordée au REMAPSEN. A elle d’inviter les membres du REMAPSEN a produire des œuvres de belle facture, toute chose qui va contribuer à rehausser l’image du réseau. « Merci à tous. Nous sommes tous acteurs et victimes des VBG», a-t-elle laissé entendre.
Les Violences Basées sur le Genre se définit comme tout acte de violence dirigé contre une personne sur la base des différences (de genre) fixées par la société entre les hommes et les femmes et causant ou pouvant causer à la victime/survivante un préjudice ou des souffrances physiques,sexuelles, psychologiques, morales, économiques, patrimoniales et culturelles y compris la menace de tels actes, que ce soit dans la vie publique ou dans la vie privée.
Du reste, il faut noter que la violence sous toutes ses formes constitue une violation grave des droits humains et une expression des inégalités sociales existantes entre les
hommes et les femmes dans le monde. Cette négation des droits humains entraine des conséquences désastreuses aussi bien sur le/la survivant/e, la famille, la communauté/ la société.
Ismaël Kiekieta
Le comité d’organisation du FIJAO 2024 a animé un point de presse ce samedi 16 Mars 2024 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était de présenter le bilan de la première édition et d’annoncer l’édition 2024 du FIJAO. Cette édition […]
Actualité SociétéLe comité d’organisation du FIJAO 2024 a animé un point de presse ce samedi 16 Mars 2024 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes de médias était de présenter le bilan de la première édition et d’annoncer l’édition 2024 du FIJAO. Cette édition se tient autour du thème «Defis et enjeux de l’intégration régionale en Afrique: Rôle et responsabilité de la jeunesse africaine».
Le comité d’organisation l’a annoncé, l’édition 2024 se tiendra du 24 au 25 mai prochain à la salle de conférence de Ouaga 2000. Cette édition attend 1800 participants dont 150 internationaux de 15 pays.
D’entre de jeu, il s’est agi pour Guindo Miriam Yacine Djamila, de présenter les 10 engagements du FIJAO 2023. A elle d’ajouter que cette édition à regrouper 1700 jeunes venus de 10 pays africains. « Ces 10 engagements ont été présentés au Président de la Transition, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ et aux partenaires techniques et financiers de l’association. Pour ma part les 10 engagements ont été respectés et le comité de suivi peut témoigner», a affirmé Guindo Miriam Yacine Djamila.
Pour cette deuxième édition, le FIJAO se tiendra autour de 48 heures réflexion sur le thème «Defis et enjeux de l’intégration régionale en Afrique: Rôle et responsabilité de la jeunesse Africaine». Il convient de noter que cette édition attend réunir autour de cette thématique 1800 participants dont 150 internationaux de 15 pays africains. Et comme programme majeur, il s’agit particulièrement des panels, des ateliers, des rencontres B2B et des opportunités de réseautage. L’édition 2024 a entrepris des innovations majeures dont le panel ministériel et les 48 heures du FIJAO.
Pour le Président de l’APIA, Billy Ouattara, le bilan de l’édition 2023 est satisfaisant. Il soutient que les 10 engagements ont été respectés et couronnés par des activités. Après avoir énuméré la pléthore d’activité tenue en 2024, il soutient que toutes ses activités ont été possible grâce à l’accompagnement des partenaires techniques et financiers les activités étaient une réussite.
« Les 10 engagements ont été réalisés à 100% parce que dans chaque axe thématique, une activité a été réalisée. Le bilan est satisfaisant et très ambitieux. Notre engagement c’est le rassemblement. C’est un forum qui invite tous les pays sans distinction sous régionale», a laissé entendre le Président de l’APIA.
Rendez-vous est pris du 24 au 25 mai prochain à la salle de conférence de Ouaga 2000.
Sanfo Minata
Le nombre des rond-point de veille citoyenne pour soutenir la transition burkinabè dans sa noble mission dans la ville de Ouagadougou ne cesse de croître. En effet, le Mouvement des Petits Transporteurs pour le Soutien de la Transition (MPTST) a procédé à l’instauration de leur […]
Actualité SociétéLe nombre des rond-point de veille citoyenne pour soutenir la transition burkinabè dans sa noble mission dans la ville de Ouagadougou ne cesse de croître. En effet, le Mouvement des Petits Transporteurs pour le Soutien de la Transition (MPTST) a procédé à l’instauration de leur rond-point de veille citoyenne dans la nuit du dimanche 11 mars 2023 à l’Arrondissement 05 de la Commune de Ouagadougou. L’objectif étant d’apporter leur touche particulière pour le retour progressif de la paix et le soutien au Capitaine Ibrahim TRAORÉ dans sa mission de reconquête du territoire. Ladite mise en place de la veille citoyenne s’est tenue sous le leadership du Président du MPTST, Antoine Kaboré, du Président du RJDP, Zakaria Tagnan, de Naaba Labidi et de Moussa Serge Dao.
Rond-point MPTST pour la veille citoyenne, c’est désormais officiel pour la population de l’arrondissement 05 et les petits transporteurs de la gare de l’Est. Cadre d’échange, de sensibilisation et de formation sur les idéaux de la transition burkinabè, voici résumé en quelques mots ce qui va animer le rond-point MPTST.
Pour le Président du MPTST, Antoine Kaboré, c’est une suite logique depuis le lancement du mouvement le 30 décembre dernier. Il soutient que la veille citoyenne était l’une des activités majeures du MPTST.
« Nous avions décidé de mettre des commissions de veille citoyenne autour de nos gares. Aujourd’hui, c’est une concrétisation avec la mise en place de cette cellule de veille citoyenne. Cette veille intervient pour surveiller les mouvements de vas et viens dans cette zone. Elle va contribuer à soutenir les autorités de la transition avec des informations et des alertes. Nous invitons les riverains à sortir nombreux pour soutenir l’équipe de veille citoyenne », a invité le Président du MPTST.
Selon le président de l’équipe de veille citoyenne du rond-point MPTST, Madi Diallo, la mise en place de cette veille citoyenne va contribuer à soutenir les autorités du pays pour que la paix revienne. A entendre, le président, un bureau sera mis en place pour structurer la veille citoyenne. « L’union fait la force et ce cadre va permettre aux uns et autres de mieux se connaître mutuellement afin de partager des idées et des expériences», a confié le président de l’équipe de veille citoyenne du rond-point MPTST.
Zakaria Tagnan, Président de RNJDP, lors de son allocution n’a pas de préciser que la présence de la délégation de la coordination intervient pour soutenir le MPTST dans sa vision de soutien aux autorités de la transition à travers une cellule de veille citoyenne. Il ajoute que la mise en place de cette cellule de veille citoyenne est une bonne initiative en ce sens que le rond-point est proche de la Gare de l’est.
« Il y a beaucoup de choses qui se passent dans les gares et cette cellule sera d’une importance capitale dans la veille parce qu’elle pourra dénoncer les trafics illicites et le comportement douteux des passagers», a laissé entendre Zakaria Tagnan.
Du reste, il convient de noter que les jours à venir le MPTST compte mettre en place d’autres cellules de veille citoyenne dans la ville de Ouagadougou.
Ismaël KIEKIETA
Dans la matinée du mardi 27 février 2024 à Ouagadougou, l’Agence pour la Promotion de l’Entrepreneuriat Communautaire (APEC) a élu siège au sein du Camp de Gendarmerie Nationale de Paspanga. Durant 72 heures, il sera question d’explications détaillées et du bien fondé de l’actionnariat populaire […]
Actualité SociétéDans la matinée du mardi 27 février 2024 à Ouagadougou, l’Agence pour la Promotion de l’Entrepreneuriat Communautaire (APEC) a élu siège au sein du Camp de Gendarmerie Nationale de Paspanga. Durant 72 heures, il sera question d’explications détaillées et du bien fondé de l’actionnariat populaire aux gendarmes dans le but de les inviter à souscrire à l’APEC. Le message est clair aucune loi n’interdit à un militaire de souscrire à l’APEC. La présente rencontre s’est tenue sous le leadership du Lieutenant Colonel William Aristide Combary et du SG de la SCOOP-CA/BA, Sanoussa Sawadogo.
D’entrée de jeu, il s’est agi pour le Lieutenant Colonel William Aristide Combary de souhaiter la bienvenue à la délégation de l’APEC et de situer le contexte qui a prévalu à cette rencontre avec ses frères d’armes. Et au SG de la SCOOP-CA/BA, Sanoussa Sawadogo de prendre la parole pour livrer un exposé sur les tenants et les aboutissants du programme de l’APEC. Une occasion pour le conférencier du jour rappeler l’importance d’adhérer à ce programme. Pour lui, toutes les couches sociales doivent être impliquées.
« Que devient ton argent en cas de changement de programme politique ? Ya t’il une loi qui autorise les hommes de tenues à souscrire à un tel programme ? Comment se fera la gestion des fonds? Comment va vendre ses parts si on ne veut adhérer ?» voici ramassées les principales inquiétudes des gendarmes présents qui ont assisté à l’explication détaillée du programme de l’APEC.
Toutes les questions ont été répondues dans l’intégralité pour rassurer les hommes de tenue de la nécessité et de l’importance de souscrire à l’APEC.
A la question de savoir pour quoi la gendarmerie, le SG de l’APEC, Sanoussa Sawadogo, précise que tout part d’un constat. Pour lui, cela s’inscrit dans la vision d’être plus proche des populations et beaucoup frères d’armes veulent souscrire mais la contrainte de temps pour venir s’aligner dans les agences de l’APEC fait défaut. « C’est dans ce sens que nous avons entrées démarches pour êtres beaucoup plus proche d’eux pour les inviter à souscrire et être des ambassadeurs de l’APEC», a confié Sanoussa Sawadogo.
Les doutes de la grande muette semblent visiblement dissiper et la volonté de souscrire est déjà perceptible. Pour le Lieutenant Colonel William Aristide Combary, il sort de cette conférence plus édifié et plus rassuré par rapport à certaines zones d’ombres. « J’invite le maximum de personnes à souscrire parce que personne ne viendra développer notre pays à notre place. Je vais souscrire dès maintenant. L’impact c’est déjà reprendre en main notre économie et être maître de notre destin. Je souhaite que ces différentes initiatives puissent prospérer pour le bien de la population», a souhaité le Lieutenant Colonel William Aristide Combary.
«L’APEC attend lancée une souscription massive au sein de la gendarmerie nationale pour permettre également aux agents de ce corps de contribuer à l’industrialisation du Burkina Faso, gage participation au développement du pays. Car il n’existe aucune règle qui empêche un militaire, ou un gendarme de souscrire à l’APEC. Et pour souscrire et être un membre de l’APEC. Il faut d’abord payer des frais d’adhésion qui s’élève à 5 000 franc CFA et la souscription minimale est de 10 000 franc CFA. Et les modalités de paiement à l’entrepreneuriat Communautaire sont entre autres les cash transfert comme MoneyGram, Western Union, Orange Money, Moov Money, etc… Mais également, il est possible de faire un versement direct au compte du trésor public et également dans les différents guichets APEC qui ouverts dans toutes les mairies des arrondissements de Ouagadougou, au SIAO, à la SNCF Bobo Dioulasso et dans tous les gouvernorats », a laissé entendre Sanoussa Sawadogo, le SG de l’APEC.
Du reste, il convient de noter que les souscriptions vont continuer jusqu’au jeudi 29 février au sein de la gendarmerie nationale de Paspanga. Le SG de l’APEC soutient et rassure que dans les prochains jours, ils seront chez d’autres corps militaires et paramilitaires pour continuer la sensibilisation.
Ismaël Kiekieta ✍️
Le comité d’organisation de la 3e édition du RENDEZ-VOUS des Arts et de la Culture à Cissin(RAC-CI) a animé un point de presse pour annoncer les couleurs de cette 3e édition. Placée sous le thème «une culture indépendante comme socle d’une souveraineté réelle du Burkina […]
Actualité CultureLe comité d’organisation de la 3e édition du RENDEZ-VOUS des Arts et de la Culture à Cissin(RAC-CI) a animé un point de presse pour annoncer les couleurs de cette 3e édition. Placée sous le thème «une culture indépendante comme socle d’une souveraineté réelle du Burkina Faso», la 3e édition du RAC-CI attend promouvoir la culture burkinabè dans son ensemble. Ladite conférence se tient sous le leadership du Président du comité d’organisation, Franck Bilgo et du Président du Président de l’association Vinnem Puiré
Permettre d’une part aux artisans d’exposer et vendre leurs œuvres d’art et d’autre part aux troupes traditionnelles et aux musiciens en herbe d’avoir une tribune pour leur prestation ; offrir à la population de Ouagadougou un cadre sain et convivial pour découvrir et célébrer la culture burkinabè dans toute sa diversité, voici présenté toute la quintessence du RAC-CI. Après trois années de pause en raison des difficultés, l’ association Vinnem puiré revient en force avec la 3e édition du RAC-CI qui se tiendra du 20 au 28 avril prochain au palais de la culture Jean Pierre Guingané autour du thème « une culture indépendante comme socle d’une souveraineté réelle du Burkina Faso».
A entendre, le Président du comité d’organisation, Franck Bilgo, la 3e édition du RAC-CI est axé sur la promotion de l’indépendance culturelle. Pour lui, la souveraineté du Burkina Faso ne peut être réelle tant que les citoyens continueront à être inféodés culturellement aux anciennes colonies.
« Nous estimons que cette ferveur pour la souveraineté de notre pays doit aller de pair avec une renaissance culturelle qui consiste à nous attacher davantage à nos propres cultures, en renonçant à vivre à l’image de ceux que nous rejetons aujourd’hui. En tout état de cause, c’est dans la perspective de présenter l’indépendance culturelle comme un moyen d’accéder à la souveraineté que nous avons retenu ce thème qui sera développé à l’occasion d’une conférence-débat au cours de cette édition», a expliqué le Président du comité d’organisation.
Comme innovations majeures de cette édition, l comité d’organisation a énuméré la réduction du nombre de jour en 4 jour, la promotion des artistes traditionnels, des troupes locales et des mets locaux et bien d’autres.
Le budget alloué pour l’organisation de cette 3e édition du RAC-CI est de 13 millions de francs CFA. Le comité d’organisation attend le soutien et l’apport des partenaires et sponsors pour la tenue effective du RAC-CI acte 3.
Au cours des quatres jours du RAC-CI, il sera question de conférences-débats, de soirées culturelles, de rue marchande et récompenses des meilleurs exposants.
La conférence de presse s’est soldée par un plaidoyer du président de l’association Vinnem Puiré qui sollicite qu’on enlève un mur qui réduit l’espace exploitable.
Ismaël Kiekieta ✍️
A jour j moins trois, le comité d’organisation du Salon International de l’Agriculture, de l’Environnement et de l’Elevage a animé un point de presse ce vendredi 16 février 2024 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était d’annoncer l’édition 2024 du SIAEL et du Kuuri d’Or […]
Actualité Culture Économie Environnement SociétéA jour j moins trois, le comité d’organisation du Salon International de l’Agriculture, de l’Environnement et de l’Elevage a animé un point de presse ce vendredi 16 février 2024 à Ouagadougou. L’objectif de cette conférence était d’annoncer l’édition 2024 du SIAEL et du Kuuri d’Or prévu du 20 au 27 février prochain. Une 7e édition qui s’annonce grandiose selon les organisateurs est placée sous le très Haut patronage du Premier ministre, Dr Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambèla, le parrainage du Ministre en charge de l’Agriculture et le co-parrainage du Ministre en charge de l’Environnement.
Vitrine des acteurs du monde rural et promotion de l’excellence dans la production et la valorisation des produits agro-sylvo-pastorale au Burkina Faso, la septième édition du prestigieux « Kuuri d’Or » et la septième édition du Salon International de l’Agriculture et de l’Élevage (SIAEL) autrefois foire internationale agro-sylvo-pastorale se tient du 20 au 27 février 2024 à Komsilga. Il faut noter que ce sont deux initiatives conçues et portées par l’Association pour le Développement du Monde Rural (ADMR).
Pour le promoteur Jean Victor Ouédraogo, le Salon International de l’Agriculture et de l’Elevage se veut, un véritable marché, un rendez-vous bisannuel du donner et du recevoir au profit des acteurs de la chaîne de valeurs des filières Agro-sylvo-pastorales. Pour lui, le salon rassemble des producteurs, des transformateurs et des commerçants du secteur Agro-sylvo-pastoral des 13 régions du Burkina Faso et des pays voisins tels que la Côte d’Ivoire, le Niger et le Mali.
Une compétition « Kuuri d’Or » a été initiée. C’est une distinction prestigieuse récompensant l’excellence au sein des chaînes de valeurs du secteur Agro-sylvo-pastoral. Pour le comité d’organisation, les acquis du « Kuuri d’Or SIAEL » sont indéniables et reflètent le succès grandissant de cet événement.
«Le Kuuri d’Or ne se limite pas à une simple remise de récompenses ; il constitue aussi et surtout un cadre privilégié pour célébrer les meilleurs acteurs et partenaires œuvrant dans les secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de l’environnement, mettant en lumière ainsi nos « héros » du monde rural», explique le promoteur.
Du reste, il faut noter que la dernière édition du salon qui s’est tenue du 23 au 27 novembre 2021 a accueilli 234 stands, enregistré plus de 7000 visiteurs en une semaine. Cette édition a eu le privilège de voir la participation effective des 13 régions du Burkina Faso ainsi que celle de la Côte d’Ivoire, du Mali et du Niger.
Ismaël Kiekieta ✍️
Le Comité d’organisation du concert Freedom et l’artiste burkinabè, Amzy a animé un point de presse ce jeudi 08 février 2024 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes et femmes de médias était d’annoncer à l’opinion publique et à ses fans son concert […]
Actualité SociétéLe Comité d’organisation du concert Freedom et l’artiste burkinabè, Amzy a animé un point de presse ce jeudi 08 février 2024 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre avec les hommes et femmes de médias était d’annoncer à l’opinion publique et à ses fans son concert géant le 24 février prochain au Stade Municipal Issoufou Joseph Conombo. Le concert est placé sous le thème «Freedom» ou liberté et promet un prestation grandiose. Ledit concert se tiendra sous le patronage de son excellence le Président de la Transition, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, sous le parrainage du Ministre d’État en charge de la communication, Jean Emmanuel Ouédraogo et du footballeur international, Bertrand Traoré.
« Freedom» ou liberté c’est sous cette thématique que l’Artiste Amzy tiendra son concert le 24 février prochain au Stade Municipal au prix de 2000 FCFA et 5000 FCFA.
A entendre le Président du comité d’organisation, Papus ZONGO, c’est un grand jour qui attend l’univers musical. Pour lui, c’est un jour qui rassemble la culture burkinabè. « Amzy a fait des concerts et celui-ci aura un goût spécial. On sait comment le stade municipal rend grand. C’est un rendez-vous qui convoque 15 000 personnes. Ce pays a besoin de liberté et de paix. C’est ce que Amzy va donner à tout ceux qui vont effectuer le déplacement. Freedom a lien avec l’album de l’artiste. Nous avons demandé le Patronage du Chef de l’État pour porter un message d’espoir. La culture est une arme pour résister et inviter les burkinabè à la résilience. Un concert c’est une arme et un message. Un concert au Stade Municipal est le défi de quelques artistes et les artistes y vont pour chercher la consécration. Pour nous, il convient de rassembler toutes les forces. Concernant les ventes de tickets, il y a de l’engouement», a laissé entendre le PCO.
Pour l’artiste Amzy, il s’agit essentiellement de remerciement.
« Le quartier Noncin c’est mon quartier de naissance et c’est ici que mon inspiration est née. La conférence se tient ici pour juste prendre une bénédiction. Le concert Freedom est un rêve et avec vous, le rêve sera une réalité. J’ai besoin de vous parce que la liberté est un rêve commun. L’organisation de ce concert est nécessaire pour ma carrière. Je ne veux pas parler d’échec parce que l’idée y est. J’ai des collaborations avec les collègues artistes pour ce grand rendez-vous», a confié l’artiste.
Selon le responsable communication de Canal +, souahibou Bã, Canal + a montré son envi de soutenir la culture et Amzy est ambassadeur de Canal+ depuis quelques années. Il ajoute qu’avoir Amzy est une fierté. « Amzy c’est le tout premier artiste que Canal+ a signé. Après le palais des sports, aujourd’hui on rêve d’un concert au Stade Municipal», a soutenu Souahibou Bã.
Du reste, rendez-vous est pris le 24 février prochain pour le concert Freedom de l’artiste Amzy. Les tickets sont disponibles au prix de 2000 FCFA et 5000 FCFA à la perle Ouaga 2000, Mam Sankara, Destiny Pro, chez Simpo service à Bendogo et bien d’autres. Les tickets sont également disponibles sur l’application Maxit de Orange Burkina Faso.
Ismaël Kiekieta ✍️
C’est sous le thème « Traits d’union : Histoire,Territoires et Défis contemporains du vivre ensemble » que la 5e édition des Rencontres Internationales de Peinture de Ouagadougou se tiendront du 13 au 18 février prochain dans la Capitale burkinabè. L’information a été livrée ce mercredi […]
Actualité CultureC’est sous le thème « Traits d’union : Histoire,Territoires et Défis contemporains du vivre ensemble » que la 5e édition des Rencontres Internationales de Peinture de Ouagadougou se tiendront du 13 au 18 février prochain dans la Capitale burkinabè. L’information a été livrée ce mercredi 07 février 2023 à Ouagadougou par le comité d’organisation.
D’entrée de jeu, il s’est agi pour la promotrice, Susanne Songa Ouédraogo de livrer le chronogramme et les activités qui animeront la 5e édition des RIPO. A elle d’ajouter que la 5ème édition des RIPO, propose un regard inédit sur le rôle des expressions artistiques dans la réappropriation des valeurs communautaires qui transcendent les différences et favorisent le vivre ensemble.
«Cette édition marque également le point de départ d’un format nouveau : celui de l’itinérance
des RIPO, intitulé «Les RIPO itinérants». «Les RIPO itinérants» offrent une opportunité unique de mettre en valeur la richesse et la diversité des expressions artistiques et visuelles des territoires, tout en renforçant les liens entre les RIPO et les communautés artistiques à travers le monde», a confié la promotrice.
Selon M. Prosper Tiendrebeogo, l’entrée au RIPO est libre et accessible au public. Il ajoute que les artistes qui n’ont pas été retenus pour les RIPO auront des stands d’exposition pour vendre leurs œuvres. « Nous avons contacté un certain nombre d’établissements et d’université pour créer de l’engouement autour de la 5e édition des RIPO. Il y aura des panels, des masters class et des sensibilisation sur l’art. Des œuvres d’art seront mises également en vente. Il y aussi l’implication du Quartier qui abrite les RIPO», a laissé entendre M. Prosper Tiendrebeogo.
Les RIPO se veulent un grand marché de la peinture et des arts visuels en général. Outre,Y’exposition, activité majeure de ce marché, d’’autres activités parallèles animeront cet espace.C’est cadre qui offre à l’ensemble des festivaliers une multitude d’activité, favorisant les rencontres et le partage : rue marchande, concert, excursion.
Pour cette 5e édition est vraiment assez spécial, parce qu’elle n’a pas été facile. Elle ajoute qu’il a fallu la résilience pour pouvoir tenir cette édition.
Il convient de noter que les RIPO se tiennent sous le leadership l’Association pour la Promotion des Arts Plastiques (APAP).
La conférence de presse a été une occasion pour la promotion de remercier tous les partenaires techniques et financiers qui ont bien voulu œuvrer pour la réussite de la 5e édition des RIPO.
Rendez-vous est pris le 13 février prochain pour la cérémonie d’ouverture officielle de la 5e édition des RIPO.
Ismaël Kiekieta ✍️